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"Antioxydants alimentaires, ACV et maladie cardiaque"
La capacité antioxydante total de notre alimentation pourrait également nous protéger contre les ACV,
contrairement à ce que démontre toutes les études sur les pillules.
Ce qu'ils ont fait dans cette étude à été de prendre en considération
tout les antioxydants présent dans la nourriture consommée,
incluant des milliers de composées phytochimiques obtenu dans une alimentation régulière,
et non 1 ou 2 haute dose de vitamine dans une pillule.
Les ACV sont la principale cause de mortalité au monde, après les maladies cardiaques.
L'accumulation de gras oxydé est considéré comme la base de la formation de stries lipidiques,
la preière manifestation de plaques d'athérosclérose.
Oui, l'oxydation du gras peut survenir en dehors du corps,
lors de la cuisson, mais l'oxydation des gras n'est pas seulement créé dans les aliments,
il peut survenir également durant la digestion, principalement par l'acide gastrique.
Nos estomacs sont comme un bioréacteur pour l'oxydation
d'aliments riche en gras et en cholestérol.
Les aliments musculaires contiennent de large quantité de catalyseurs d'endogène,
ce qui accélaire l'oxydation du gras.
Lorsque le poulet reste dans notre estomac, l'oxydation pourrait croître de minute en minute.
Les poulets sont seulement vider de la moitier de leur sang,
et le reste peut être un promoteur puissant dans l'oxydation du gras,
alors il y en a certain dans l'industrie qui demande une étape de décapitation additionnelle
pour réduire toute cette oxydation.
Mais si l'oxydation est le problème, peut-être que les antioxydants font parti de la solution.
La capacité antioxydante total de l'alimentation et les risques de maladies cardiaque.
Nous savons que les antioxydants en pillule ne fonctionne pas.
Pendant qu'une foule de résultats expérimentaux ont démontrés que
le stress de l'oxydation joue un rôle central dans le raidissement de nos artères
et suggèrent un rôle potentiel pour des traitement aux antioxydants contre les maladies cardiovasculaires,
les résultats expérimentaux ne se sont pas traduit en bénéfices cliniques.
La majorité des études sur les vitamines antioxydantes ont échouées à réduire la maladie cardiaque
et la mort, et pourrait même avoir un effet nuisible.
Ce qui amène certain à questionner le rôle supposément central
du stress de l'oxydation dans le processus de la maladie,
décrit comme un coup critique contre toute la théorie du veillissement dû aux radicaux libres,
vu que les pillules n'ont pas fonctionnées.
Mais la supplémentation avec de hautes doses d'antioxydants isolés
ne sont pas un très bon substitut pour le très complexe réseau d'antioxydant
trouvé dans de milliers de composés phytochimiques trouvés dans les aliments,
présent dans des concentrations bien au deça des pillules utilisées dans ces études.
Personne n'avait pris le temps d'étudier l'effet global de ce
réseau complexe d'antioxydant dans notre alimentation en lien
avec notre principale cause de mortalité, la maladie cardiaque...jusqu'à maintenant.
La capacité d'antioxydants total mesure, dans une seule unité,
la capacité de réduire les radicaux libres de tous les antioxydants
présents dans la nourriture et tout les effets synergétiques.
De plus, dans cette grosse étude de cohorte prospective en population générale,
ils ont observé que plus la capacité total d'antioxydants de notre alimentation était élevée,
elle était associée avec un plus faible risque d'accidents cardiovasculaires dans une relation dose-effet.
c'est-à-dire que, potentiellement, plus nous ajoutons des plantes avec un niveau élevé en antioxydant, meilleurs seraient les résultats.