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En Amérique, il y a un cambriolage
toutes les 11 secondes.
Un vol à main armée
toutes les 65 secondes.
Une agression
toutes les 25 secondes.
Un meurtre toutes
les 24 minutes...
et 250 viols par jour.
COBRA
Jerry, ne les mets pas ensemble
comme ça !
Tu me laisses faire, oui ?
Tu me dégoûtes !
Hé, attention !
Je peux vous aider ?
Nous sommes prêts à discuter.
Personne ne veut vous faire de mal.
Vous comprenez ?
Nous sommes prêts...
à discuter.
Pas besoin de violence.
Il n'y a pas d'autre solution.
Il faut discuter.
Vous comprenez ?
Personne ne veut
vous faire de mal.
Nous voulons vous aider.
Parlez-nous.
Tu peux partir !
Tu es libre !
Assez parlé !
D'ici quelques minutes,
nous contrôlerons la situation.
Vous contrôlerez quoi ?
Appelez le Cobra.
- Mauvais ?
- Très.
On sait qui c'est ?
Encore un connard
qui hait le monde entier.
Je suis opposé...
à votre présence.
Je veux que vous le sachiez.
Allez !
Avance.
Avance...
ou je te fais sauter la tête !
À terre !
Toi, tu t'écartes !
Je vais te tuer !
Je vais tous les tuer !
C'est la voie du monde nouveau !
Où sont les caméras de télé ?
J'ai une bombe !
Je vais tous les tuer !
Fais venir la télé...
ou je les tue tous !
Tu as saisi ?
C'est la voie du monde nouveau !
Qu'est-ce que tu attends ?
Allez !
Amène-toi ou je les tue !
Tas de minables,
c'est tout ce que vous méritez !
Toi, tu vas mourir !
Je vais la crever, tu m'entends ?
Hé, ordure !
Tu tires comme un pied !
Et j'aime pas ça !
Tu as buté un gamin... pour rien !
Maintenant, c'est ton tour.
J'ai une bombe.
Je vais la tuer !
Je fais sauter la baraque !
Vas-y. Moi, j'achète pas ici.
Relax, amigo.
Tu veux causer...
on cause.
Pour la tchatche,
je suis toujours partant.
Je veux pas causer.
Tu vas faire venir ces caméras
de télé ! Tout de suite !
Pas possible.
Pourquoi ?
Je traite pas avec
les dingues, je les élimine.
Je suis pas dingue !
Je suis un héros !
Ce que je suis, c'est un chasseur !
Un héros du monde nouveau !
Toi, tu es le mal...
moi, je suis le remède.
Crève !
Lâche ça !
Ça va ?
C'est vous qui avez tué le forcené ?
A-t-il expliqué son acte ?
S'agit-il de l'Équarrisseur ?
Aucun rapport
avec l'affaire de l'Équarrisseur.
Était-il nécessaire,
je vous le demande...
Était-il nécessaire
d'en arriver là ?
Fallait-il le tuer ?
N'écoute pas ce connard.
Avez-vous utilisé
la force sans nécessité ?
J'ai utilisé tout ce que je pouvais.
On n'est pas là pour
un débat public. On a du boulot !
Un policier peut-il s'ériger
en tribunal ? Les gens ont des droits.
Ce dingue a tué un gosse...
et il avait des droits ?
Quoi que vous pensiez, tout le monde
a droit à la protection de la loi.
Va dire ça à sa famille.
Le spectacle est terminé !
Circulez !
Je t'emmerde !
Ça va pas, non ?
T'as touché ma bagnole.
Mauvais pour ta santé.
Quoi donc ?
Moi.
Faudra faire mieux.
Ce soir, l'Équarrisseur...
a frappé pour la seizième fois
en à peine plus d'un mois.
La victime, âgée de 22 ans, a été
mutilée avec un engin tranchant...
son choix est aussi déroutant
que celui des autres victimes.
L'Équarrisseur s'attaque
à n'importe qui.
Parmi ses victimes, des hommes
d'affaires, des immigrés d'Asie...
des personnes âgées, et un enfant
qui a subi des violences sexuelles.
L'assassin a plongé la ville
dans la terreur...
et jusqu'ici, on ne possède
aucun indice sur son identité.
Le tueur entre souvent
par les fenêtres...
et tue ses victimes
pendant leur sommeil.
Il se sert d'instruments silencieux :
Marteau, couteau, hache.
C'est la même arme ?
Sûr à 90% .
Des entailles longues et profondes,
comme les autres.
Seize meurtres, et
toujours rien qui les relie.
Il y a peut-être plus d'un tueur.
C'est pas votre domaine, d'accord ?
Il s'agit d'une enquête...
pas de sauter par une fenêtre.
- Il nous faut davantage d'effectifs.
- Et de la coopération entre services.
Ils veulent tous jouer les héros.
Je ne veux pas jouer les héros.
Je veux jouer mon rôle.
Je peux dire un mot ?
Avec Cobretti et ses méthodes,
on aura des ennuis.
Que voulez-vous dire ?
Il travaille à la Brigade
des Zombies, qu'il y reste.
- Vous allez me dire où est ma place ?
- Rien de personnel.
On n'est pas le même genre de flics.
Cobra, vous êtes un spécialiste
des boulots dont personne ne veut.
Mais on ne peut pas employer
la manière forte.
- Alors, on a perdu.
- Perdu ?
Si on doit suivre des règles à la con et
que le tueur les suit pas, on a perdu.
- Qu'est-ce que tu veux faire ?
- On peut seulement attendre.
Quoi ?
Que ça se reproduise.
Vraiment désolée.
Il y a du dégât ?
Comment avez-vous pu
me rentrer dedans ? Vous avez bu ?
Oui.
Le numéro !
Il nous nargue, vous le savez.
On trouvera cette piste.
Laissez tomber.
Comment ça ?
Est-ce qu'on a le choix ?
Appelez l'autre salaud.
ENTRER LE NUMÉRO
D'IMMATRICULATION
Commissariat de Police.
Je serai bref.
Vous connaissez tous les tordus
de la ville.
Faites-les causer.
Trouvez-nous une piste.
Et si je le trouve ?
À vous de jouer.
Essayez de ne pas
vous tromper de cible.
Mais évidemment...
qu'est-ce que vous en avez
à foutre, hein ?
Quand ça sera fini...
j'aimerais fêter ça...
en crevant la paillasse à Monte.
Tu sais quel est ton problème ?
Tu es trop violent.
Avec le sucre que tu bouffes.
- C'est le premier de la journée.
- Toute cette bouffe chimique.
Mange des prunes.
Des trucs naturels. Des raisins.
Du poisson. Et du riz.
Ça, c'est bon.
- Ça va, je me débrouillerai.
- Sûr ?
Ma voiture est juste là.
Si tu voulais...
tu pourrais faire beaucoup
plus de pages centrales.
Ça dépend de toi...
je pourrais t'aider.
Je n'aime pas ce qu'il y a autour.
Comment ça ?
Tu m'as comprise.
Je serais malade
si je n'avais pas envie de toi.
Ne le fais pas pour moi,
fais-le pour ta carrière.
Tu n'as rien entendu ?
Je ne te demande pas de m'épouser.
Ça va prendre du temps
pour te convaincre.
- Alors, où veux-tu dîner ?
- Je n'ai pas faim.
Je ne fais pas ça pour moi.
Vraiment.
J'essaie de t'aider
à trouver le bonheur.
J'ai oublié mon sac.
Tu vois, tu as besoin de moi.
Laissez-moi !
Ils essaient de me tuer !
Tuez-la.
Ça met longtemps à agir ?
Je ne veux pas dormir.
Ça va simplement vous calmer.
Je reviendrai quand vous aurez fini.
C'est Knudsen avec un K ?
C'est ce que je pensais.
Je suis le sergent Gonzales.
Celui qui a l'air tendu,
derrière vous...
c'est le lieutenant Cobretti.
On est des gars
vraiment gentils.
Et on va vous poser
des questions méchantes.
D'accord ?
Vous n'avez pas l'air de policiers.
Ah bon ?
Vous plaisantez !
Elle doit parler de toi.
Mais on est des vrais, certifiés.
Je ne comprends pas comment
ça a pu m'arriver.
Réfléchissez un peu.
Vous vous êtes disputée ?
Vous avez des dettes ?
Pas d'histoire de drogue ?
C'est bien.
Ces derniers temps, on ne vous a pas
menacée par téléphone...
ou d'une autre manière ?
Il y a bien un type
qui m'a fait peur, ce soir.
Qui ?
Je ne sais pas qui c'était.
Un type a piqué sa crise
près du souterrain.
J'ai continué à rouler.
Il était quelle heure ?
À peu près dix heures.
Vous dites qu'il vous a fait peur.
Que faisait-il ?
C'était sa façon de me regarder.
Qu'avez-vous vu d'autre ?
Il y avait une voiture devant eux.
Eux ?
Je crois qu'ils étaient trois.
Vous pourriez les reconnaître ?
Le grand ?
Oui. Celui qui veut vous tuer.
Elle connaît ton visage.
Je sais où elle est.
Laisse-moi te l'amener.
Elle est à moi.
Tu as fini ?
Il est mignon.
Qu'en pensez-vous ?
Il lui ressemble un peu.
Et les deux autres ?
Il faisait trop sombre.
- Je le fais tirer ?
- Ça va, je m'en occuperai.
Vous restez là cette nuit.
Demain on vous emmène en lieu sûr.
Pourquoi dois-je rester ?
Je veux m'en aller.
Vous êtes la seule à avoir vu
le type sur le lieu du crime.
Vous resterez ici le temps qu'il faudra
pour le retrouver.
Tu as faim ?
C'est quoi ?
On dirait du fromage.
Il y a du gâteau, là-dessus.
- Prends le fromage.
- Je n'en veux pas.
Vous avez terminé ?
Prends le gâteau,
mais garde les biscuits.
Elle va détruire
notre monde nouveau.
Briser le rêve.
Il faut l'arrêter.
Beau mec, hein ?
Tu le tiens pas à l'envers ?
L'ordure modèle courant.
Je rentre comparer ça
avec mes dossiers.
Je reviens dans deux heures.
Elle est plutôt mignonne, hein ?
- La fille d'en haut ?
- Oui. Tu te souviens ?
Je n'ai pas remarqué.
Je pensais au boulot.
- Tu devrais en faire autant.
- J'ai rien remarqué non plus.
Putain de menteur !
- Tiens ta langue en public !
- Ouais.
T'es un bon citoyen.
On trouve rien, ici...
Vous devez utiliser
l'ascenseur de service.
La prochaine fois,
prenez l'escalier.
Respectez les mesures d'hygiène.
Prenez l'escalier.
C'est un peu *** pour le ménage.
Je vais lui dire ?
Je dois faire mes visites.
Je lui dirai moi-même.
Je suis à ton bureau.
T'as besoin de moi pour quoi ?
Qu'est-ce que tu fous là ?
Le Q.G. M'a appelé de ta part.
Fonce à l'hôpital !
Jolis cheveux.
Pourquoi vous me faites ça ?
Arrêtez !
Pourquoi faites-vous ça ?
Il y a quelqu'un ?
Toutes les issues
sont clairement indiquées.
Empruntez les escaliers,
et gardez votre calme.
Vos méthodes ont failli
faire des morts.
Vous allez en changer !
Ils ont quelqu'un chez nous.
C'est une accusation grave.
Vous avez des preuves ?
Le chef veut une réponse.
Pas encore.
Je sais à quoi on a affaire.
Ne nous compliquez pas
les choses.
Vous détenez
un portrait du tueur.
Vous croyez qu'on joue ?
Vous n'avez pas dit
la parole magique.
Laquelle ?
S'il vous plaît.
Assez de conneries !
C'est compris ?
Tu parles.
C'est tout ?
C'est tout.
Vous avez
un problème d'attitude ?
Oui, mais il est tout petit.
Il va venir me tuer.
Mais non.
Vous plaisantez ? Vous aviez dit
que j'étais en sûreté ici.
Qui est-ce ?
Nous ne savons pas encore.
Il est l'heure de déménager.
L'agent Stalk
va travailler sur l'affaire.
- Allons-y.
- Où ça ?
Dans un lieu sûr.
Je peux vous aider ?
Vous en voulez ?
Vous n'aimez pas
la bouffe naturelle ?
Vous n'avez rien remarqué
d'anormal ?
On ne vous a pas provoqué ?
Si vous vous souvenez de quelque chose,
faites-nous signe.
Dites-moi ce qui s'est passé
cette nuit.
Vous auriez dû laisser mes hommes
s'en charger. Compris ?
Bien sûr que non !
Écoutez, le caïd...
- On veut l'avoir autant que vous.
- Vraiment ?
Vous aviez trois hommes en faction.
Le Q.G. En a rappelé deux. Pourquoi ?
Le QG n'a rien fait.
Non ? Alors qui ?
C'est votre affaire,
démerdez-vous.
Où est Gonzales ?
Votre ceinture !
Accrochez-vous !
Il est dingue !
Fonce !
Baissez-vous !
C'est un tel bordel
que je ne sais par où commencer.
Par les problèmes légaux.
On en aura. Cette ville est devenue
un champ de bataille !
D'ici trois jours,
les gens vont réclamer l'aide du FBI.
Je n'en veux pas ici !
On a assez d'hommes...
pour assurer,
pourquoi on y arrive pas ?
On n'a pas affaire à un homme,
mais à une armée de tueurs.
- Qu'en savez-vous ?
- Je le sais.
Un peu faible, comme théorie.
- Ah, oui ?
- Vraiment faiblard.
Vous n'avez qu'une fille paniquée
pour vous soutenir.
Et l'emmener hors de la ville
pour la protéger, c'est ridicule !
La sécurité, c'est ici.
Monte a raison.
Ici, on peut avoir l'œil sur elle.
- Ça ne marchera pas.
- Pourquoi pas ?
Ce sont des fanatiques,
prêts à tout pour la tuer.
Excusez-moi, il faut que je parle.
Cette pénible affaire prend l'allure...
d'une farce sinistre, à mon avis.
On ne vous l'a pas demandé.
Eh bien, c'est dommage.
Soyons sérieux.
Il se fout de la fille.
Ce n'est qu'un appât...
pour que Cobretti
ait un nouveau trophée !
Vous avez déjà causé assez de morts.
Si vous la laissiez vivre ?
Ça suffit !
Partie remise.
Le dingue, c'est lui !
Qu'est-ce qu'on fait ?
S'il pense que ces dingues
vont la suivre, laissez-le faire.
Au moins, on l'aura plus en ville.
Ça va ?
Vos hommes sont là ?
Oui.
On va rouler jusqu'à ce qu'il essaie
encore de nous tuer ?
Ils ne vous auront pas.
Vous dites toujours ça.
Qu'est-ce que vous en savez ?
Il faut avoir la foi.
Je peux vous poser une question ?
Allez-y.
Pourquoi vous battiez-vous
avec l'autre ?
Quelquefois...
ils n'acceptent pas
ce que je crois.
Mais ces détraqués
qui sont partout...
pourquoi la police ne les enferme pas
une bonne fois ?
Allez dire ça au juge.
C'est-à-dire ?
On les boucle, ils les relâchent.
Ça me rend malade.
Je vous le répète,
allez dire ça au juge.
Beau jour pour la bouffe industrielle.
Tu veux pas un peu de viande en plus ?
Je dé*** les cuisses de grenouille.
Vous en voulez ?
Merci.
On est entre poubelles.
Vous vous en sortez ?
Ça va. Et vous ?
Pas mal.
Où va-t-on ?
Demandez à Cobra.
C'est lui l'expert.
Il n'en a vraiment pas l'air.
Je sais.
On dirait un rescapé
des années cinquante.
Mais pour coincer les dingues,
c'est le roi.
L'orgueil de la Brigade
des Zombies.
C'est quoi, ça ?
Le fond du panier.
Vous voulez rire un peu ?
C'est assez personnel...
mais ça le déridera peut-être.
Allez le trouver...
et appelez-le...
Il aime ça.
Une affaire.
Vous avez trouvé du nouveau ?
Depuis que vous étiez aux toilettes ?
Pas vraiment.
Moi, si.
Quoi donc ?
Marion Cobretti.
C'est vraiment votre nom ?
Gonzales est trop bavard.
Ce n'est pas si vilain.
Un peu dur de grandir avec, non ?
- Ça me plaît.
- Vraiment ?
Moi, j'aurais voulu quelque chose
de plus costaud comme prénom.
De plus dur.
Comme quoi ?
Alice.
On ferait bien d'y aller.
Désolé, on n'achète rien.
Votre entrée est prête.
C'est pour une famille nombreuse.
Et la ceinture de sauvetage ?
Pour quoi faire ?
Vos frites se noient.
Où sommes-nous, ici ?
C'est une ville sidérurgique.
Dites-moi...
vous ne décompressez jamais ?
Si.
Vraiment ?
Et vous faites quoi, alors ?
Je cherche des ennuis.
Je veux dire...
Jamais d'aventures ?
Avec une femme ?
Oui, avec une femme.
En chair et en os.
Ça arrive, rien de durable.
Pourquoi ?
Mettons que...
peu de gens supporteraient
ma façon de vivre.
Et si vous trouvez l'exception ?
Il faudrait qu'elle soit
un peu folle.
Je dois raccrocher.
Vous m'avez fait peur.
Où est Tony ?
Il dort.
Je téléphonais chez moi.
Et le téléphone
de votre chambre ?
En dérangement.
- Il fait froid ici.
- Oui. Mieux vaut rentrer.
Mon avis ne compte guère, mais je
trouve que vous faites un sacré boulot.
Vous aussi.
Vous ne pouvez pas dormir ?
Pas vraiment.
Essayez.
- J'entends tout de même.
- Quoi ?
Que vos yeux sont ouverts.
Qui pourrait dormir ?
Vous voulez venir un peu ?
Je ne vais pas vous manger.
Oui. Pourquoi pas ?
Je crois que je serai en sûreté.
Où irez-vous
quand tout ça sera fini ?
Sais pas. Sur une autre affaire.
Mais on se reverra, après ?
Ça vous paraît une bonne idée ?
Peut-être bien.
Je vais voir la fenêtre.
Je crois que ça serait
une très bonne idée.
Bonjour.
Où va-t-on aujourd'hui ?
Vers le nord de l'État.
Va voir ce qui retient Stalk.
Monte dans la voiture.
Ça ne va pas ?
Tu as l'air furieux.
Toujours, avant le petit déjeuner.
- Elle n'est plus là.
- Quoi ?
Rentre !
J'ai jamais aimé
cette salope.
Moi non plus.
Rentre.
À terre !
Qu'est-ce que je fais ?
Fonce !
Continue !
Allons-y !
Baisse-toi !
Vite, à la fonderie !
Vous avez le droit
de garder le silence...
Crève, salope !
Tire-toi de là !
Je vais te saigner, porc !
Où es-tu ?
J'aurai tes yeux !
Je les aurai !
Tu veux aller en enfer ?
Hein, porc ?
Tu veux aller en enfer avec moi ?
On s'en fout, pas vrai ?
On est les chasseurs.
On tue les faibles...
pour que les forts survivent.
Tu n'arrêteras pas le monde nouveau.
Jamais ta société de merde
n'éliminera les gens comme nous.
Elle les engendre.
Nous sommes le futur !
Vous êtes de l'histoire.
Tu n'oseras pas, porc.
Tu ne tireras pas.
La loi te l'interdit.
Tu dois m'arrêter...
si...
tu le peux.
Même moi, j'ai des droits.
Pas vrai...
porc ?
Arrête-moi.
Ils me déclareront fou...
pas vrai ?
Les juges sont civilisés...
n'est-ce pas...
porc ?
Moi, pas.
Ici, la loi s'arrête...
et moi, j'interviens.
Patate.
Approche, porc.
Ça va ?
Tu es sûre ?
Partons d'ici.
T'as fait de ton mieux.
Te sens pas coupable.
C'est bon de ta part.
Ça va aller ?
Je raterai la finale
du concours de danse.
Je t'apporte quelque chose ?
Ouais.
Je serais capable de tuer pour...
Quoi ?
Quelques Gummy Bears.
Je te verrai à l'hôpital.
- Donne des nouvelles.
- Conduis pas trop vite.
Vous avez fait du beau boulot.
Si vous voulez un transfert
à un poste plus peinard...
ou n'importe quoi d'autre...
vous n'avez qu'à causer.
J'aimerais bien
qu'on remplace ma voiture.
Désolé, ça n'est pas prévu
dans le budget.
Bon, je vous verrai au Q.G.
Je prendrai soin de votre joujou.
Sans rancune ?
Vous en avez fait
un peu trop, par ici.
J'aurais essayé une solution plus...
subtile,
mais ce n'est pas votre style.
Sans rancune ?
Sans rancune, vieux.
Allez, je vous dépose.
J'ai déjà un moyen de transport.
Prête ?
Prête, Marion.
Facile à retenir, hein ?