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LIVRE III: L'ÉPÉE CHAPITRE II.
Quos vult perdere DEUS
Une fois encore, exactement comme il l'avait fait quand il a rejoint la troupe de Binet, n'a André-Louis
désormais s'installer tout coeur à la nouvelle profession dans laquelle la nécessité avait conduit
lui, et dans lequel il a trouvé efficaces
la dissimulation de ceux qui pourraient le chercher à son mal.
Cette profession pourrait - bien qu'en fait il n'a pas - ont amené à considérer
lui enfin comme un homme d'action.
Il n'avait pas, cependant, à ce titre a cessé d'être un homme de pensée, et les événements de
le printemps et l'été de cette année 1789 à Paris lui ont fourni d'abondantes
matière à réflexion.
Il y lire dans les premières ce qui est peut-être la page la plus étonnante dans l'histoire de
développement humain et à la fin il a été contraint à la conclusion que tous ses premiers
préconceptions avait été en faute, et que
il était par exemple élevé, les amateurs passionnés que Vilmorin qui avait eu raison.
Je le soupçonne de réellement prendre la fierté dans le fait qu'il avait été trompé,
complaisamment attribuant son erreur à la circonstance qu'il avait été, lui-même, des
trop sain d'esprit et un esprit logique, pour mesurer les profondeurs de la folie humaine maintenant révélé.
Il a regardé la croissance de la faim, la pauvreté croissante et la détresse de Paris
durant ce printemps, et l'a assigné à sa cause bon, avec de la patience
avec laquelle les gens qu'il portait.
Le monde de la France était dans un état de feutré, de l'espérance de paralysés, dans l'attente
pour les Etats généraux de se réunir et pour les siècles de tyrannie à la fin.
Et à cause de cette espérance, de l'industrie était venu à un arrêt, le flux de
le commerce avait diminué comme peau de chagrin.
Les hommes ne seraient pas acheter ou vendre jusqu'à ce qu'ils voyaient clairement les moyens par lesquels le génie
du banquier suisse, M. Necker, était de les délivrer de ce bourbier.
Et à cause de cette paralysie des affaires des hommes du peuple ont été jetés hors de
travail et laissé mourir de faim avec leurs épouses et enfants.
Regardant, André-Louis sourit tristement.
Jusqu'ici il avait raison. Les malades étaient jamais le prolétariat.
Les hommes qui ont cherché à faire de cette révolution, les électeurs -, ici à Paris comme ailleurs -
les hommes étaient sur le fond, notables bourgeois, de riches commerçants.
Et tandis que ces derniers, dédaignant la canaille, et enviant les privilégiés, largement parlé
d'égalité - par lequel ils signifiait une égalité ascendante qui devrait confondre
eux-mêmes avec la noblesse - le prolétariat péri de faim dans son chenil.
Enfin au mois de mai, les députés sont arrivés, André-Louis "ami Le Chapelier
éminents parmi eux, et les États généraux ont été inaugurés à Versailles.
C'est alors que les affaires ont commencé à devenir intéressant, alors que André-Louis a commencé
sérieusement à douter de la justesse des vues qu'il avait tenu jusque-là.
Lorsque la proclamation royale était sorti décrétant que les députés du Tiers
Immobilier devraient être au nombre deux fois plus nombreux que ceux des deux autres ordres ensemble, André-
Louis avait cru que la prépondérance
de votes ainsi assuré au Tiers rendu inévitable la réforme à laquelle
ils s'étaient engagés.
Mais il avait compté sans la puissance des ordres privilégiés au cours de la fierté
La reine autrichienne, et son pouvoir sur l'obésité, flegmatique, monarque irrésolu.
Que les ordres privilégiés doivent livrer bataille pour la défense de leurs privilèges,
André-Louis pouvait comprendre.
L'homme étant ce qu'il est, et travaillant sous sa malédiction d'avidité, ne sera jamais
volontiers reddition possessions, qu'ils soient justement ou injustement détenues.
Mais ce qui surprit André-Louis était la grossièreté ineffable des méthodes par
où les privilégiés se rangèrent pour la bataille.
Ils se sont opposés force brutale à la raison et la philosophie, et des bataillons de l'étranger
mercenaires pour des idées. Comme si les idées devaient être empalé sur des baïonnettes!
La guerre entre les privilégiés et la Cour d'un côté, et l'Assemblée et le
Les gens de l'autre avait commencé.
Le Tiers elle-même contenue, et attendit; attendu avec la patience de la nature;
attendu un tout mois, avec la paralysie de l'entreprise maintenant terminé, la main de squelette
de la famine a pris une plus grande emprise de Paris;
attendu un mois tout privilège progressivement assemblé une armée de Versailles
l'intimider - une armée de quinze régiments, dont neuf étaient suisses et
Allemand - et monté un parc d'artillerie
avant que le bâtiment dans lequel les députés sam.
Mais les députés ont refusé d'être intimidés, ils ont refusé de voir les canons et les étrangers
uniformes, ils ont refusé de voir autre chose que le but pour lequel elles avaient été portées
ensemble par proclamation royale.
Ainsi jusqu'au 10 Juin, lorsque ce grand penseur et métaphysicien, l'abbé
Sieyès, donna le signal: «Il est temps», dit-il, "pour couper le câble."
Et l'occasion s'est présentée bientôt, au tout début de Juillet.
M. du Châtelet, une dure, hautaine discipline, a proposé de transférer le
onze gardes-françaises placé en résidence surveillée de la prison militaire de l'Abbaye de la
infecte prison de Bicêtre réservés pour les voleurs et les criminels de l'ordre le plus bas.
Parole de cette intention va de suite, le peuple enfin rencontré la violence par la violence.
Une foule quatre mille hommes ont fait irruption dans l'Abbaye, et livré là non seulement les
onze gardes du corps, mais tous les autres prisonniers, à l'exception de celui que
ils ont découvert d'être un voleur, et dont ils ont mis à nouveau.
Ce fut la révolte ouverte au dernier, et avec le privilège révolte savait comment faire face.
Il serait étouffer ce mutins de Paris dans la poigne de fer des régiments étrangers.
Des mesures ont été rapidement concertés.
Ancien maréchal de Broglie, un vétéran de la Guerre de Sept Ans, imprégnée d'un soldat
mépris pour les civils, concevoir que la vue d'un uniforme serait suffisant pour
restaurer la paix et l'ordre, a pris le contrôle avec Besenval comme son second de commande.
Les régiments étrangers étaient stationnés dans les environs de Paris, dont les régiments très
les noms ont été une irritation des Parisiens, des régiments de Reisbach, de Diesbach, du
Nassau, Esterhazy, et Roehmer.
Des renforts de la Suisse ont été envoyés à la Bastille entre les créneaux, dont déjà
depuis le 30 Juin on voyait la bouche menaçante de canons chargés.
Le 10 Juillet les électeurs une fois de plus abordé le Roi à la demande du
retrait des troupes.
Ils ont répondu lendemain que les troupes avaient pour but de défendre la
libertés de l'Assemblée!
Et le jour à côté de ce qui était un dimanche, le philanthrope docteur Guillotin -
dont le moteur philanthropique de mort sans douleur a été très long avant de trouver un accord
de travail - est venue de l'Assemblée, dont
il a été membre, pour assurer les électeurs de Paris, que tout allait bien, les apparences
nonobstant, puisque Necker était plus solidement en selle que jamais.
Il ne savait pas que, au moment même où il parlait avec tant de confiance, le
souvent rejeté et souvent rappelé M. Necker venait d'être rejeté une fois encore par la
cabale hostile au sujet de la Reine.
Privilège voulu des mesures concluantes et mesures concluante, il aurait -
concluante à lui-même.
Et au même moment un autre philanthrope, médecin également, un certain Jean-
Paul Mara, d'origine italienne - mieux connu comme Marat, la forme francisée du nom
il a adopté - un homme de lettres, aussi, qui avait
passé quelques années en Angleterre, et il a publié plusieurs ouvrages sur la sociologie, a été
écrit: «Prenez garde!
Pensez à ce que serait l'effet mortel d'un mouvement séditieux.
Si vous avez le malheur de céder à cela, vous serez traités comme des personnes
en révolte, et le sang va couler. "
André-Louis a été dans les jardins du Palais Royal, ce lieu de commerces et
marionnettes, du cirque et des cafés, des maisons de jeux et les bordels, que l'accès universel
rendez-vous, ce dimanche matin lorsque le
Nouvelles du renvoi de Necker propager, emportant avec elle la consternation et fureur.
Into renvoi de Necker le peuple lire le triomphe du parti hostile à eux-mêmes.
Il a sonné le glas de tout espoir de redressement de leurs torts.
Il vit un homme mince jeune avec un visage grêlé, rachetés de la laideur absolue
par une paire d'yeux magnifiques, le saut à une table en dehors du café de Foy, un établi
épée dans sa main, en criant: «Aux armes!"
Et puis le silence de l'étonnement que le cri imposée, ce jeune homme a versé un
flot d'éloquence inflammatoires, prononcé d'une voix marquée par des moments un bégaiement.
Il dit aux gens que les Allemands sur le Champ de Mars serait entrer dans Paris cette nuit
pour boucher les habitants.
"Laissez-nous monter une cocarde!" Criait-il, et déchira une feuille d'un arbre pour servir son
objectif - la cocarde verte de l'espoir.
Enthousiasme balayé la foule, une foule bigarrée composée d'hommes et de femmes de toutes classes,
de Vagabond au grand seigneur, de prostituée pour dame de la mode.
Les arbres ont été dépouillés de leurs feuilles, et la cocarde verte fut fait étalage de presque
toutes les têtes. «Vous êtes pris entre deux feux», du
incendiaires de la voix sur le bégaiement déliré.
«Entre les Allemands sur le Champ de Mars et les Suisses à la Bastille.
Aux armes, alors! Aux armes! "
L'excitation bouillir et plus.
Du spectacle cire voisins vinrent le buste de Necker, et bientôt un buste de
ce comédien du duc d'Orléans, qui avait un parti et qui était aussi prêt que tout autre
des opportunistes en herbe de ces jours
de profiter du moment pour son propre profit.
Le buste de Necker était drapé avec crêpe. André-Louis regardait, et a grandi peur.
Pamphlet de Marat l'avait impressionné.
Il avait exprimé ce que lui, il avait exprimé plus de la moitié il ya un an à l'
mob à Rennes. Cette foule, il se sentait doit être retenue.
C'est la tête chaude, bègue irresponsables aurait de la ville dans un flamboiement de nuit
si rien n'était fait.
Le jeune homme, un défenseur immotivée de l'Desmoulins Palais nommée Camille, plus *** pour
devenu célèbre, a sauté en bas de sa table toujours brandissant son épée, toujours criant: «Pour
bras!
Suivez-moi! "
André-Louis avancés pour occuper la tribune improvisée, qui avait la personne bègue
vient de quitter, de faire un effort à contrer que les incendiaires
performances.
Il enfonça dans la foule, et vint soudainement face à face avec un grand homme
magnifiquement habillé, dont les beaux visage était sévèrement réglée, dont la grande
yeux sombres pourri comme avec colère réprimée.
Ainsi face à face, chacun regardant dans les yeux de l'autre, ils se tenaient pour un long
moment, la bousculade de streaming devant eux, lettre morte.
Puis André-Louis en riant.
«Ce gaillard-là, aussi, a un don très dangereux de l'éloquence marquis, M. le», at-il dit.
"En fait il ya un certain nombre de ce type en France le jour.
Ils se développent à partir du sol, ce qui vous et les vôtres ont irrigué par le sang de l'
martyrs de la liberté. Bientôt, il peut être votre sang à la place.
Le sol est desséché, et soif de lui. "
"Pendard!" Il a été répondu. "La police va faire votre affaire pour vous.
Je dirai le lieutenant-général que vous êtes se trouve à Paris. "
«Mon Dieu, l'homme!" Cria André-Louis, "vous jamais du sens?
Voulez-vous parler comme ça des lieutenants-généraux quand Paris lui-même est susceptible de
linge sur vos oreilles ou prendre feu sous vos pieds?
Faites entendre votre voix, monsieur le marquis.
Me dénoncer ici, pour ces derniers. Vous allez faire un héros de moi dans une telle heure
celui-ci. Ou dois-je vous dénoncez?
Je pense que je le ferai.
Je pense qu'il est grand temps que vous avez reçu votre salaire.
Salut! Vous autres, écoutez-moi!
Laissez-moi vous présenter ... "
Une ruée des hommes fonçait contre lui, emporté avec eux, quoi qu'il fît,
le séparant de M. de La Tour d'Azyr, si curieusement rencontré.
Il a cherché à maternel ce torrent humain; le marquis, pris dans un tourbillon d'elle, est restée
où il avait été, et dernier aperçu André-Louis de lui était d'un homme souriant avec
lèvres serrées, un sourire affreux.
En attendant les jardins se vidaient dans le sillage de ce tison qui avait le bégaiement
la cocarde verte.
Le torrent humain répandu dans la rue de Richelieu, et André-Louis doit forcément
se laisse porter par elle, au moins aussi loin que la rue du Hasard.
Là, il se glissa hors de lui, et ne voulant pas être écrasé à mort ou à prendre
plus participer à la folie qui se tramait, il a glissé dans la rue, et ainsi de retour à la maison
à l'académie déserte.
Pour les élèves il n'y avait pas à jour, et même M. des Amis, comme André-Louis, était sorti
à chercher des nouvelles de ce qui se passait à Versailles.
Ce n'était pas l'état normal des choses à l'Académie de Bertrand des Amis.
Quoi que, à Paris aurait pu être à l'arrêt ces derniers temps, l'académie d'escrime avait
prospéré comme jamais jusqu'ici.
Habituellement fois le maître et son assistant étaient occupés du matin au crépuscule, et
déjà André-Louis était accordée aujourd'hui par les leçons qu'il a donné, le maître
lui permettant une moitié de la taxe dans chaque
cas pour lui-même, un arrangement qui l'assistant trouve rentable.
Le dimanche de l'académie a fait demi-congé, mais en ce dimanche ce type n'avait été de l'état
de suspense et de fermenter dans la ville que personne ne semblait avoir à onze heures à la fois
des Amis et André-Louis était sorti.
Peu ils ont pensé qu'ils légère prit congé les uns des autres - ils étaient très bons
amis en maintenant - qu'ils n'ont jamais été de rencontrer de nouveau dans ce monde.
Bloodshed il y avait ce jour-là à Paris.
Sur la Place Vendôme, un détachement de dragons attendu la foule d'où
André-Louis avait glissé.
Les cavaliers s'abattit sur la foule, il s'est dispersé, fracassé à l'effigie de cire du
M. Necker, et tué un homme à l'endroit - une Garde malheureux Français qui se tenaient sa
sol.
Ce fut un début. En conséquence, Besenval apporté son
Suisse du Champ de Mars et les rassemblé en ordre de bataille sur les Champs Elysées
avec quatre pièces d'artillerie.
Ses dragons, il stationnés dans la place Louis XV.
Ce soir-là une foule énorme, le streaming sur les Champs Elysées et les Tuileries
Jardins, considérée avec les yeux d'alarme que la préparation guerrière.
Quelques insultes ont été jetés sur les mercenaires étrangers et quelques pierres ont été jetés.
Besenval, perdant la tête, ou agissant sous les ordres envoyés pour ses dragons et ordonnée
entre eux pour disperser la foule, mais qu'il foule était trop dense pour être dispersées dans ce
mode; si dense qu'il était impossible
pour les cavaliers de se déplacer sans écraser quelqu'un.
Il y avait plusieurs écrasés, et en conséquence lorsque les dragons, dirigé par le
Prince de Lambesc, s'avance dans le jardin des Tuileries, la foule indignée rencontré
eux avec une fusillade de pierres et de bouteilles.
Lambesc a donné l'ordre de tirer. Il y avait une bousculade.
Déversant des Tuileries à travers la ville est allé ces gens indignés
leur histoire de la cavalerie allemande piétinant des femmes et des enfants, et proférer aujourd'hui
dans les plus sombres sérieusement l'appel aux armes,
soulevées à midi par Desmoulins au Palais-Royal.
Les victimes ont été repris et porté de là, et parmi eux était Bertrand des Amis,
lui-même - comme tous ceux qui vivent par l'épée - un défenseur ardent de la noblesse,
piétiné à mort sous les sabots des étrangers
cavaliers lancés par la noblesse et dirigée par un noble.
Pour André-Louis, en attendant ce soir, au deuxième étage du n ° 13 rue du Hasard pour les
le retour de son ami et maître, quatre hommes du peuple amené ce corps brisé
d'une des premières victimes de la
Révolution qui a été lancé aujourd'hui pour de bon.