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Tu ne pars pas sans avoir mangé.
A quoi ça ressemble ?
Pourquoi mets-tu cette chemise noire ?
N'énerve pas ton père.
Je t'ai repassé une chemise blanche.
Les blanches se salissent vite.
J'ai honte de te voir sortir comme ça.
- Mange. - Mais je mange !
Mais je mange, papa !
- Prends du pain. - J'en veux pas.
Il faut manger du pain !
Tu entends ce qu'on te dit ?
Réveillez-vous !
Notre équipe de v achères progresse chaque jour.
Nous avons obtenu l'an passé
2050 litres de lait par v ache,
un chiffre supérieur au plan de 490 litres...
Salut !
Tu pourrais te cirer les chaussures.
- Voilà ! - Et l'autre ?
Tu es incorrigible.
Boutonne-toi ! On a honte de marcher à côté de toi.
Mets pas les mains dans les poches.
Baisse ton col. Prends la serviette à la main.
Je dis ça pour ton bien.
Pas moins de 6 photos.
La tête droite.
Nijaradze !
Bonjour !
Pas de blague !
Excusez-moi. Vous désirez ?
- Passeport. - Tout de suite.
Où peut-on trouver le directeur ?
( en russe ) La baisse des prix de revient
nous a permis pendant ce quinquennat
d'économiser 2 millions de roubles...
J'avais interdit de donner du vin aux particuliers.
Il m'a demandé, je n'ai pas pu refuser.
Quand vas-tu obéir à mes ordres ?
On peut vous déranger ?
Quatre malheureux décalitres !
Tu trouves que c'est peu ?
Laisse-moi parler à ces gens.
Vous êtes diplômés ?
Qu'est-ce que je fais, alors ?
Laisse-moi leur parler.
Avec quelle mention ?
Très bien.
Passable.
Un stylo.
Voilà.
- Tu ne fais pas de sport ? - Non.
Mais je joue bien au billard.
- Et aux cartes ? - Quelquefois.
- Pour de l'argent ? - Ça arrive.
- Tu bois ? - Parfois.
Tiens, tiens ! Et vous ?
Je ne bois pas, je ne joue pas.
Au laboratoire.
Et vous, dans les caves.
Tu en as profité ?
Nous commençons tout de suite ?
Commencez.
Notre collectif va vous plaire, il est jeune et sain.
A toi de jouer.
Laisse passer.
Tous les flacons que tu m'as donnés étaient fêlés.
Tu n'avais qu'à vérifier.
- J'avais vu, mais... - Quoi, mais ?
Je n'ai pas osé t'en parler.
Pourquoi ?
Ça me gênait.
Je descends, je reviens, et on en parle.
Bonjour ! Vous me reconnaissez ?
Nous habitons la même rue.
- Quel numéro ? - 20, à côté de chez vous.
Chez tante Nina ?
Vous travaillez ici ?
Ça se voit ?
On est envoyés chez vous.
Bonne chance !
Bonjour à la tante Nina !
Je suis envoyé comme technicien dans l'atelier n°1. C'est ici ?
II nous accuse de vendre du vin ?
On va examiner ça.
N'en parlons plus.
C'est ici l'atelier n°1 ?
Je m'en occupe.
Fais pas attention au vieux.
Il a ses soucis et il est nerveux.
Ici, c'est pas le boulot qui manque.
L'essentiel, c'est de savoir t'imposer aux ouvriers.
L'ouvrier, c'est l'ouvrier.
Il aime les gens sérieux. Il faut être sévère.
Il m'a vu ?
Cher ami, ça fait longtemps !
Mais c'est trop petit !
C'est tout ce que j'ai.
Occupe-toi de notre ami.
Qui c'est ?
Un emmerdeur. Il est collant.
( en russe ) Camarades, vous êtes dans une entreprise d'avant-garde.
Nos caves datent de 1789.
Nous produisons des grands crus et des vins de table...
Où est ma brosse ?
Pourquoi tu me demandes ?
Je dois gratter avec les mains ?
Pas celui-là. Le mien est plus court.
Regarde par là-bas.
A droite, dans le coin.
Dans cette cave, le vin se clarifie et vieillit.
Tout ça, c'est ton domaine.
Il faut que tu te décides.
Laisse ça. Enlève ton manteau et apporte un autre tonneau.
Je le prends.
Merci beaucoup.
Tu es fatigué ?
Pas du tout.
Vous avez vu ce mendiant ?
Cinq fois qu'il vient.
Il est pas gêné.
Qu'est-ce que ça te fait ?
Buvons plutôt.
- Comment tu t'appelles ? - Niko.
A ta santé, jeune homme.
Il a mûri.
Oui, il est bon.
Ton nom de famille ?
Nijaradze.
Alexandre, c'était qui pour toi ?
Mon père.
Un type bien.
Santé, mon garçon.
Je vous remercie.
- Vous êtes seule ici ? - Oui.
- Puis-je vous amuser ? - Vous en êtes capable ?
- Pourquoi pas ? - Alors, essayez.
Par exemple, que faites-vous ce soir ?
Vous m'invitez ?
Je peux ?
Celui-ci est fendu.
Quels yeux elle a !
- Je vous plais ? - Oui.
Alors peut-être, un jour, est-il possible...
Signez le reçu.
- On peut causer ? - D'abord, fermons la porte.
C'est tout ?
Un instant.
Posez ce truc.
- Qu'est-ce que c'est ? - Un ballon.
- Pour quoi faire ? - Pour jouer.
Ton premier jour au travail, tu joues au ballon ?
C'est la pause.
Pense à ta réputation ! Ils vont se moquer de toi.
Mets ta blouse.
Montre tes mains.
Tu pousses des tonneaux !
Attends-moi à la sortie.
Je ne peux pas rentrer avec toi. Je suis pris.
Réfléchis un peu.
Ne sois pas naïïf. Ici, c'est une entreprise...
J'y vais.
Ça ne me regarde pas, mais je voulais t'avertir.
Méfie-toi de ton chef.
Il n'est pas net.
J'en sais long sur lui.
Ça ne te regarde pas.
Non, c'est vrai.
Un type arrive. Faisons semblant de parler d'autre chose.
Bref, je t'ai prévenue.
Bonjour. Vous me reconnaissez ?
Mais oui.
Bonjour.
Rebonjour !
- Vous vous promenez ? - Oui.
On prend un café ?
Vous croyez qu'on va venir vous servir ?
Deux cafés.
Assieds-toi, je t'appelle.
C'est occupé.
- C'est libre ? - Allez-y.
T'as des allumettes ?
Pour qui, les deux cafés ?
Quel âge avez-vous ?
Oh, je suis vieux.
Approchez.
Vous connaissez cette blonde ?
Non.
Regardez-la. Ne vous gênez pas.
Vous êtes timide !
T'es pas rapide !
Qu'est-ce qu'il y a ?
- Qui est ce type ? - Un collègue.
Fais attention avec moi.
Ça ne peut plus durer !
Laisse-moi, s'il te plaît.
Excuse-nous, on t'a dérangé ?
Elle était pas mal.
Tu es vexé ?
- Où tu l'as draguée ? - Draguée, ça peut le vexer.
- Elle a des copines ? - Laissez-le tranquille.
Il peut pas se vexer.
- Qui l'a vexé ? - Nous.
Il était avec une jeune fille.
Je ne suis pas vexé.
Donc, tu es vexé.
Si je t'ai vexé, excuse-moi.
Tu es vraiment vexé ?
Un instant, je reviens.
- Qui c'est, ce type ? - Un imbécile.
Il court après cette fille.
Demain, nous mettrons le fût 49 en bouteilles.
On peut goûter ?
Bien sûr !
Si tu as l'estomac solide !
Alors ?
Pas évident.
- On va mettre ça en bouteilles ? - Je n'y peux rien.
Mais c'est imbuvable !
Heureusement que vous êtes là !
Sans vous, on était foutus !
Silence !
II faut remplir le plan avec le vin de cette année.
On ne met en bouteilles que celui-là.
Récolte de l'année passée.
Vous connaissez les paramètres.
Je vous écoute.
Pour moi, il est tout à fait mûr.
C'est vrai qu'il a un goût de poire sauvage.
Un peu acide.
Peut-être, mais ce qui me plaît, c'est la couleur.
La couleur, d'accord, mais le bouquet ?
Si on parle bouquet, pas fameux.
Pas fameux, d'accord.
A vous de décider.
Assez bavardé. On n'a pas le choix.
Combien on peut mettre en bouteilles ?
Le fût 47 est vidé.
Demain, on commence le 49.
- Alors, le plan ? - Sera rempli.
Qui a quelque chose à ajouter ?
La séance est levée.
Le 49 ne peut pas être mis en bouteilles.
Le vin est mauvais.
Qu'est-ce qu'il a, ce vin ?
II est trouble et trop alcoolisé.
Pour un vin sec, ça irait. Mais c'est un Saperavi.
Ça ira aussi pour le Saperavi.
Que proposez-vous ?
Le collage à la gélatine.
Ça prendra deux semaines.
On arrête l'usine ?
II faut attendre.
Tu nous as bien amusés.
Le vin du 49 n'est pas encore du Saperavi.
Il doit reposer.
Si je disais ce que je pense...
Pourquoi ne pas dire ce qu'on pense ?
- Que voulais-tu dire ? - Rien !
Vous pouvez disposer. Vous deux, restez.
Tu sais que le plan dépend de toi ?
Tu as entendu ?
Je sais ce qu'est le Saperavi.
Mais il faut passer outre.
Oubliez ces plaisanteries.
Au travail.
( en russe ) Ces caves datent de 1789.
Ici, on conserve des vins de Géorgie de tous les âges.
Le vin, comme l'homme, vieillit et... meurt.
Ne touchez pas.
Prends ça !
Ouvre le robinet !
L'un dit ouvre, l'autre n'ouvre pas. D'abord, mettez-vous d'accord.
La conscience est une belle chose.
Du vin comme ça, mon grand-père en faisait du vinaigre.
Il a raison.
Tu sais ce que ça va nous coûter ?
C'est quoi, ce vacarme ?
II ne veut pas signer.
Est-ce qu'on peut travailler comme ça ?
Vous ne signez pas ?
Je ne peux pas.
Pourquoi ?
Je ne signe pas.
Voici notre atelier principal.
Il dépasse toujours le plan.
Ces grands tonneaux s'appellent des fûts.
Notre oenologue en chef.
Ces jeunes gens sont des techniciens.
La qualité du vin dépend de leur travail.
( en géorgien ) Emmène-les vite.
On va leur donner à boire.
Dépêchez-vous, on a à faire.
Qu'est-ce que vous leur donnez ?
Celui-là.
( en russe ) Vous allez goûter un vin rouge naturel.
C'est beaucoup trop.
Buvez ce que vous pourrez.
Ce camarade n'est pas avec nous.
- C'est quoi, cette piquette ? - T'occupe.
Qui en veut encore ?
- On peut chanter ? - Tant que vous voudrez.
Et vous, camarade, venez chez le directeur.
Descends !
- Qu'est-ce qu'il y a ? - Descends !
Tu te bagarres quand tu es saoul ?
Vous avez peur ?
Tout le monde se bagarre, aujourd'hui.
Poulet, agneau...
Je ne conseille pas le chachlik.
- Et les hors-d'oeuvre ? - Tout est bon.
Poulet pour tous.
- Et comme vin ? - Du blanc et du Saperavi.
Apporte-nous une bouteille pour voir.
Il est bon.
Apporte quand même.
Le nôtre.
Du 25 mars.
On se tire.
Dommage.
Oublions ça.
Qu'est-ce qu'on peut faire ?
On va chez moi !
Tu as quel vin ?
Du vrai.
Je veux arrêter de fumer, je n'y arrive pas.
On m'attend à la maison.
Ma femme, les enfants, tu comprends.
Où traînais-tu ?
Je te présente mon chef.
T'as encore bu.
Nous fumions, simplement.
Rentre, ou je te laisse dehors.
Je ne sais pas ce qui lui prend.
Excuse-moi.
Tu rentres, oui ou non ?
Soyez sages, je viendrai vous chercher.
Je vous ai interrompu, continuez.
- Ça vous plaît ? - Oui.
Puis le directeur a dit que...
Ça ne vous intéresse pas ?
Au contraire, c'est passionnant.
Où étais-tu passée ?
Je te présente.
Excusez-nous.
- Tu es au courant ? - Bien sûr.
Qui l'aurait cru ?
Je l'ai vue hier, je n'ai rien remarqué.
- Qui tu as ramassé ? - Ça te regarde ?
Celle-là, elle connaît tous les ragots.
Continuez. Vous parliez de vin, d'alcool.
Je n'ai rien compris.
Le vin est mauvais, et ils veulent ma signature.
- Vous êtes toujours aussi sérieux ? - Pourquoi ?
Tu t'es fait attendre !
J'ai été retenue.
J'avais oublié, nous allons quelque part.
- Vous venez avec nous ? - Non, merci.
Comme vous voudrez.
Ne te mêle pas de mes affaires.
Je n'ai pas oublié que tu bois, que tu joues aux cartes
et que tu étais mauvais élève.
Ne fais pas le redresseur de torts.
Je devais vous avertir.
Fais ce qu'on te dit !
J'ai attendu ton coup de fil.
Ne me raconte pas d'histoires !
Est-ce si difficile
de m'accorder un instant ?
Appelle-moi ce soir, on verra.
Vous n'êtes pas bien malin.
Avec lui, il faut ruser.
Comment vous appelez-vous ?
Lui aussi, il boit et il joue aux cartes, compris ?
Bonne chance !
On t'a mis au pas ?
Excuse-moi, tu es un peu bizarre.
Réveille-toi.
Ce n'est pas un temps où on a des principes.
Les choses ne sont pas si simples.
Tu es jeune, tu manques d'expérience.
On se moque de toi, on t'engueule.
Tu aimes ça ? Ça m'étonnerait.
Si tu t'entêtes, tu seras malheureux.
Bien sûr, je sais que tu as raison.
Mais crois-moi, tu n'arriveras à rien.
Il n'y a rien à faire, c'est comme ça.
Il t'envoie un gosse.
- Quel gosse ? - Un rouquin.
Rappelez un peu plus ***.
Il dit que tu descendes.
Je suis occupée.
Je t'écoute.
C'est pas vrai !
Viens, on parlera ici.
Il veut me parler sérieusement.
Bonjour, Otar !
Justement, je pensais à toi.
Je m'ennuie de toi.
Tu veux passer me voir ?
Je voudrais bien.
Je t'attends.
- Qu'est-ce que tu mijotes ? - Je m'amuse.
Il est toujours là ?
Fidèle au poste.
- Où vas-tu ? - Ça te regarde ?
- Où tu vas ? - Chez un camarade.
Au premier ?
Allez, casse-toi.
Où tu vas, chéri ?
Nulle part.
Quel froussard.
Et celui-là, d'où il sort ?
- Il t'aime ? - Follement.
Le pauvre.
On ne monte pas.
Dégage !
- Où vas-tu, cher ami ? - Chez Marina.
Tu te souviens de moi ?
Je t'ai prévenu ?
Bonjour, mon garçon.
- Comment va maman ? - Pas très bien.
La tension ?
Elle a vu le médecin et...
Qu'est-ce qu'il a ?
II est pressé.
- Qu'est-ce qui s'est passé ? - Je ne sais pas.
Je viens vous voir.
Entrez.
Il est sympathique.
Niko, vous plaisez à mon amie.
Demande-lui si je lui plais.
Il est timide.
Je lui plais, mais il ne dit rien.
C'est vrai ?
II ne dit rien.
Qu'il est grand ! II joue au basket ?
Non, je ne joue pas.
C'est dommage.
En revanche...
asseyez-vous, Niko...
il est intelligent et il a des principes.
Tu as de la chance !
N'est-ce pas ?
Aide-moi un peu.
Je n'ai pas le temps.
Niko, aidez-nous.
Asseyez-vous.
Vous savez chanter ?
Chantez donc.
Je ne chante pas.
Elle n'est pas là.
Otar, où es-tu ?
Ne mens pas, tu n'es pas au travail.
Je suis occupée.
Appelle-moi demain.
Pourquoi vous levez-vous ?
Chantons tous ensemble.
Je dois partir.
Vous êtes si pressé ?
Je l'accompagne et je reviens.
Pas la peine.
Pour qu'il ne lui arrive rien.
- Où courez-vous ? - Je ne cours pas.
Venez par ici.
Ce n'est pas mon chemin.
Toi, tu dégages.
Explique-moi. Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
Laissez-nous parler.
Vous, taisez-vous.
N'y touche pas. Tu vois, c'est un gosse.
Qu'est-ce qu'il faisait chez toi ?
Rien, je te dis. Lâche-le.
Laisse-moi.
Rezo n'est pas là.
Il y a quelque chose à lui dire ?
Inutile de sonner, ils sont tous sortis.
Pas de chance !
Qu'est-ce que tu as ?
Je me suis cogné.
Tu ne t'es pas battu ?
- On t'a frappé ? - Non.
Comment ça va, chez toi ?
Tout va bien.
Tu n'es pas marié ?
Vous êtes les deux derniers.
J'ai gagné 3 bouteilles.
Tu vois les autres ?
On devrait se réunir un jour.
Ramassez ce mégot.
Vous n'avez pas entendu ?
Mal élevé !
Excusez-moi.
Lève-toi.
Pardon, je n'avais pas vu.
Il n'avait pas vu !
Je suis très embarrassé, mais je vous prie de m'écouter.
Que voulez-vous ?
Souriez.
Salut, chef ! Tu te promènes ?
Qu'est-ce que tu as à l'oeil ?
Je me suis cogné.
- Tu n'as pas vu... - Je n'ai vu personne.
Tu es de mauvais poil ?
Salut.
Le sel !
- Tu es fatigué ? - Je ne suis pas fatigué !
Mange, puisqu'on te le dit.
Des ennuis au travail ?
Dis quelque chose.
Ne te fais pas de mauvais sang.
"Du mauvais sang" !
Tous les jours, la même rengaine !
Levez-vous.
Si tu ne veux pas, ne dis rien.
Foutez-moi la paix.
Laisse-le.
Bonjour.
On est quel jour ?
Le 12.
Dites à nos amis, parents et connaissances
que le vin tiré le 12 août est imbuvable.
Que le Seigneur nous pardonne !
Pourquoi es-tu en retard ?
J'ai une excuse.
Fais une note d'explication
à l'attention du directeur,
ou je te compte une absence.
Que ce soit la dernière fois !
Je voulais vous dire...
Ne t'en fais pas, petite.
Qu'est-ce que c'est ?
C'est un vieil ami.
J'ai des invités, aujourd'hui.
Ce n'est pas l'auberge de papa, ici ! On ne lui donne rien !
Qui tu es, toi ?
Pas une goutte, ou vous aurez des ennuis !
On pourrait s'arranger...
Ordre de la direction. Pas une goutte.
Qu'est-ce que vous faites là ?
On se repose.
Venez avec moi.
Qu'est-ce que tu as à l'oeil ?
Rien. Suivez-moi.
Debout !
Posez.
Apporte.
Versez !
Quelqu'un est au courant ?
Faites ce que je vous dis.
Tu sais ce que tu risques.
Ça ne vous regarde pas.
Pose, là.
Occupe-toi de ça.
Ferme !
Qu'est-ce que tu as à me regarder ?
Alors, vas-y !
Passe-le-lui.
- Qu'est-ce que c'est ? - Ça va, chef ?
Qu'est-ce qui se passe ?
Rien, on cause.
Salut !
Qu'est-ce que tu fais ?
Tu vas bien ?
J'y ai mis de la colle.
J'y ai mis de la colle.
Ce n'est pas ma faute.
Laissez-nous.
Je n'étais pas là.
Il a versé de la gélatine.
Il ment. Il était au courant.
Tu n'as pas honte ?
C'est de sa faute. Avec votre expérience, vous comprendrez.
On fait la paix ?
Moins de bruit, les enfants !
II a versé de la gélatine dans le 49.
- Qui ça ? - Le jeune.
Appelez-le-moi.
- Ça mérite une raclée. - Attends.
Dans le 49, j'ai mis...
Je sais tout. Tu as bien fait.
Bravo.
Dehors !
Je viens faire mes exercices.