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Je suis Fatimah Mohammad, vice-présidente du Syndicat des employés du ministère de la sylviculture de Sarawak,
également connu sous le nom de UFES.
Je suis aussi la présidente du Comité des femmes pour l’IBB de l’ Asie-Pacifique.
Au nom de l’UFES et du Comité des femmes IBB Asie-Pacifique,
je tiens à exprimer mes salutations les plus chaleureuses et vous remercie de l'occasion donnée
de transmettre mes salutation de solidarité à tous mes collègues syndicalistes à travers le monde.
J'ai reconnu l'importance d'aujourd'hui
28 avril comme étant la Journée Internationale pour la Commémoration des Travailleurs.
Et les Nations Unies ont déclaré cette année comme année internationale de la forêt.
En Malaisie, environ 300.000 personnes étaient employées
à la fois en amont et en aval de la sylviculture.
Malheureusement, il ya une tendance à la hausse, pour les employeurs, à employer des travailleurs étrangers.
Cela a entraîné le déplacement des employés locaux et la baisse les salaires.
Les conditions de travail ont été décrites comme difficiles, salissantes et dangereuses.
Par rapport aux autres secteurs, dans les secteurs sylvicoles, les travaux sont souvent effectués
dans les hautes montagnes, dans les zones marécageuses, dans les profondeurs de forêts vierges ou éloignées.
Pour ceux des secteurs d’exploitation sylvicole,
les heures de travail sont souvent très longues en raison de la compensation des saisons des pluies.
Elles ont abouti à des taux de mortalité et d'accidents plus élevés.
Les secteurs de l'exploitation et de la transformation sylvicole ont un taux d'accidents d'exploitation élevé.
Les statistiques sur les accidents montrent qu'il ya des niveaux significatifs d'accident
dans la fabrication, les scieries et les secteurs du meuble.
Jusqu’à Février 2011, 60 travailleurs auraient été tués au travail.
Avec ce chiffre, il faut des lois sévères en matière de SST et des syndicats forts sur les lieux de travail.
La JICT est une journée pour honorer et commémorer les proches,
un jour ou il faut se mettre de côté, reconnaître les travailleurs tués, estropiés,
blessés ou rendus malades par leur travail.
Nous devons réaffirmé notre engagement
à améliorer la sécurité et la santé dans tous les lieux de travail.