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CHAPITRE XI. Le château de Vaux-le-Vicomte.
Le château de Vaux-le-Vicomte, situé à environ une lieue de Melun, avait été construit
par Fouquet en 1655, à un moment où il y avait une pénurie d'argent en France; Mazarin
avait pris tout ce qu'il ya, et Fouquet dépensé le reste.
Cependant, comme certains hommes ont vices fertiles, faux, et utiles, Fouquet,
diffusion de millions de diffusion de l'argent dans la construction de ce palais, avait trouvé
un moyen de rassembler, comme le résultat de son
foisonnement généreux, trois hommes illustres ensemble: Levau, l'architecte de la
bâtiment; Lenôtre, le concepteur des jardins, et Lebrun, le décorateur de l'
appartements.
Si le château de Vaux possédait un seul défaut avec lequel il pourrait être reproché, il
a été son grand, son caractère prétentieux.
Il est même à l'heure actuelle proverbiale pour calculer le nombre d'hectares de toitures,
la restauration de ce qui serait, à notre âge, la ruine des fortunes exigus et
rétréci, car l'époque elle-même.
Vaux-le-Vicomte, quand ses portes magnifiques, soutenue par des cariatides, ont été
passé à travers, a le front principal de l'ouverture de bâtiment principal sur un vaste ensemble, si-
appelé, cour d'honneur, enfermée par de profondes
fossés, bordé par une balustrade en pierre magnifique.
Rien de plus noble en apparence que le parvis centrale soulevée à la
marches du perron, comme un roi sur son trône, ayant autour de lui quatre pavillons au
les angles, les immenses colonnes ioniques de la
qui est passé majestueusement toute la hauteur de l'immeuble.
Les frises ornées d'arabesques, et les frontons qui a couronné les pilastres,
la richesse et la grâce conférée à chaque partie du bâtiment, tandis que les dômes qui
surmonté la proportion entière ajoutée et la majesté.
Ce manoir, construit par un sujet, une ressemblance bien plus grande pour ces royales
résidences dont Wolsey crut était appelé à construire, afin de
les présenter à son maître la forme de la crainte de le rendre jaloux.
Mais si magnificence et la splendeur ont été affichés dans n'importe quelle partie particulière
ce palais plus qu'un autre, - si quelque chose pouvait être préférée à la merveilleuse
arrangement de l'intérieur, à la
somptuosité de la dorure, et à la profusion des peintures et des statues, il
serait le parc et les jardins de Vaux.
Les jets d'eau, qui étaient considérés comme merveilleux en 1653, sont encore si, même à
l'heure actuelle, les cascades réveillé l'admiration des rois et des princes, et que pour
la fameuse grotte, sur le thème de tant de
épanchements poétiques, la résidence de cette nymphe illustres de Vaux, dont Pelisson
fait converser avec La Fontaine, nous devons être épargné la description de toutes ses beautés.
Nous allons faire comme Despréaux a fait, - nous allons entrer dans le parc, les arbres qui sont de huit
années de croissance seulement - c'est-à-dire, dans leur position actuelle - et dont les sommets
même pas encore, comme ils fièrement la tour en altitude,
rougissant dérouler leurs feuilles aux premiers rayons du soleil levant.
Lenôtre avait hâté le plaisir de le mécène de son temps, toutes les maternelles-
motifs avaient fourni des arbres dont la croissance a été accélérée par la culture attentive et
les plus riches de plantes alimentaires.
Chaque arbre dans le quartier qui présentait une apparence de beauté ou salon
la stature avait été repris par ses racines et transplanté dans le parc.
Fouquet pouvait bien se permettre d'acheter des arbres pour décorer son parc, car il avait acheté
jusqu'à trois villages et leurs dépendances (pour utiliser un mot juridique) pour augmenter sa
mesure.
M. de Scudéry dit de ce palais, que, dans le but de garder les motifs et
jardins bien arrosés, M. Fouquet avait divisé une rivière en mille fontaines,
et a rassemblé les eaux de mille fontaines en torrents.
Ce même M. de Scudéry a dit un grand nombre d'autres choses dans son «Clélie», à propos
ce palais de Valterre, les charmes de laquelle il décrit plus minutieusement.
Nous devrions être beaucoup plus sage d'envoyer nos lecteurs curieux de Vaux de juger par eux-mêmes,
que de les référer à "Clélie;» et pourtant il ya autant de ligues de Paris à
Vaux, comme il ya des volumes de la "Clélie".
Ce magnifique palais avait préparé pour la réception de la plus grande règne
souverain de l'époque.
Amis de M. Fouquet 's avait transporté là, certains acteurs de leurs et de leurs
robes, d'autres leurs troupes de sculpteurs et d'artistes, sans oublier les autres avec
leur prêt-mandé stylos, - inondations de impromptus ont été envisagées.
Les cascades, des nymphes peu rebelle, mais ils étaient, répandu leurs eaux
plus lumineux et plus clair que le cristal: ils dispersés sur le triton de bronze et
néréides leurs vagues de mousse, qui brillaient comme du feu dans les rayons du soleil.
Une armée de serviteurs se hâtaient çà et là dans les escadrons de la cour et
couloirs, tandis que Fouquet, qui avait seulement sont arrivés ce matin-là, marchait tout au long du
palais avec un calme, le regard attentif, dans les
Afin de donner ses derniers ordres, après ses intendants avaient inspecté tout.
Il était, comme nous l'avons dit, le 15 août.
Le soleil tombait de ses rayons brûlants sur les divinités païennes de marbre et de bronze:
elle a soulevé la température de l'eau dans les conques, et mûri, sur la
murs, ceux de pêches magnifiques, dont
le roi, cinquante ans plus ***, a parlé avec tant de regret, quand, à Marly, à une occasion
d'une rareté de la plus fine sortes de pêches étant plaint, dans la belle
jardins, il - les jardins qui avait coûté
France le double du montant qui avait été dépensé sur les Vaux - le grand roi observée
à quelqu'un: "Tu es beaucoup trop jeune pour avoir mangé des pêches M. Fouquet."
Ah, la célébrité!
Oh, blason de la renommée! Ah, la gloire de cette terre!
Cet homme dont le jugement a été très solides et exactes afin où le mérite était concerné - qu'il
qui avait entraîné dans ses coffres l'héritage de Nicolas Fouquet, qui avait
lui a volé Lenôtre et Lebrun, et avait
lui a envoyé à pourrir pour le reste de sa vie dans l'une des prisons de l'Etat - simplement
rappeler les pêches de ce vaincu, écrasé, ennemi oublié!
Il était de peu d'utilité que Fouquet avait dilapidé trente millions de francs dans le
fontaines de ses jardins, dans les creusets de ses sculpteurs, dans le bureau de travail de
ses amis littéraires, dans les portefeuilles des
ses peintres; vain avait-il s'imagina que ce qu'il pourrait être rappelé.
Une pêche - une rougeur, riche saveur de fruits, niché dans le treillis sur le jardin
mur, caché sous ses longues feuilles vertes, - cette production de légumes à peu,
qui serait un loir jusqu'à grignoter sans
pensée, était suffisant pour rappeler à la mémoire de ce grand monarque de la lugubre
ombre de la dernière Superintendent de la France.
Avec une confiance parfaite qui Aramis avait pris des dispositions assez pour distribuer le
grand nombre de personnes à travers le palais, et qu'il n'avait pas omis de
participer à l'un des règlements intérieurs
pour leur confort, Fouquet a consacré toute son attention à l'ensemble seul.
Dans un sens Gourville lui a montré les préparatifs qui avaient été faites pour le
feux d'artifice, dans l'autre, Molière l'a conduit sur le théâtre; enfin, après avoir visité
la chapelle, les salons et les galeries,
et a été à nouveau en descendant l'escalier, épuisé de fatigue, Fouquet vit Aramis sur le
escalier. Le prélat fit signe de lui.
Le surintendant a rejoint son ami, et, avec lui, s'arrêta devant un grand tableau
à peine terminé.
Lui appliquant, coeur et âme à son travail, le peintre Lebrun, couvert de
la sueur, taché de peinture, pâle de fatigue et de l'inspiration de génie, a été
mettre la dernière touche de finition avec son pinceau rapides.
Il était le portrait du roi, auquel ils s'attendaient, habillé dans le costume judiciaire
dont Percerin avait daigné justifier au préalable de l'évêque de Vannes.
Fouquet lui-même placé devant ce portrait, qui semblait vivre, comme on
pourrait dire, dans la fraîcheur de ses chairs, et sa chaleur de la couleur.
Il regardait fixement c'est long et, a estimé le prodigieux travail qui avait
été accordé à elle, et, ne pouvant trouver aucune rétribution suffisamment grande
pour cet effort herculéen, il a passé son
bras autour du cou du peintre et l'embrassa.
Le surintendant, par cette action, avait totalement ruiné un costume d'une valeur
mille pistoles, mais il avait satisfait, plus que satisfait, Lebrun.
Ce fut un moment heureux pour l'artiste, il a été un moment malheureux pour M. Percerin, qui
marchait derrière Fouquet, et a été engagé en admirant, dans la peinture de Lebrun, le costume
qu'il avait fait pour sa majesté, une parfaite
objets d'art, comme il l'appelait, qui était de ne pas être adaptée, sauf dans l'armoire de l'
Superintendent.
Sa détresse et ses exclamations ont été interrompus par un signal qui avait été
donnée par le sommet de la maison.
Dans la direction de Melun, dans le vide encore, plaine ouverte, les sentinelles de Vaux
venait d'apercevoir le cortège avance du roi et les reines.
Sa majesté a été saisie de Melun avec son long cortège de calèches et de cavaliers.
«Dans une heure -" dit Aramis à Fouquet. «Dans une heure!" Répondit celui-ci, en soupirant.
"Et les gens qui demandent un de l'autre ce qui est le bien de ces fêtes royales!" Continue
l'évêque de Vannes, en riant, avec son sourire faux.
«Hélas!
Moi aussi, qui ne suis pas le peuple, me poser la même chose. "
"Je vais vous répondre dans les vingt-quatre heures, monseigneur.
Supposons un visage souriant, car elle devrait être une journée de vraie joie. "
«Eh bien, croyez-moi ou non, que vous le souhaitez, d'Herblay,» dit le surintendant, avec un
un gonflement du cœur, pointant le cortège de Louis, visible à l'horizon, "at-il
aime bien moi, mais très peu, et je
ne se soucient pas beaucoup plus pour lui, mais je ne peux pas vous dire comment il est, que depuis qu'il est
approchant de ma maison - "" Eh bien, quoi? "
«Eh bien, puisque je sais qu'il est sur son chemin ici, comme mon invité, il est plus sacrée que jamais
pour moi, il est mon souverain reconnu, et comme tel est très cher pour moi ".
«Cher? oui ", dit Aramis, jouant sur le mot, comme l'abbé Terray a fait, à une date ultérieure
période, avec Louis XV.
«Ne riez pas, d'Herblay, je sens que, s'il semblait vraiment le souhaitez, je pourrais aimer
ce jeune homme. "" Vous ne devriez pas dire que pour moi, "a renvoyé
Aramis », mais plutôt à M. Colbert."
»Pour M. Colbert!" S'écria Fouquet. "Pourquoi donc?"
«Parce qu'il vous permettra une pension sur la cassette du roi, dès qu'il
devient surintendant », dit Aramis, s'apprêtaient à quitter dès qu'il avait traité
ce dernier coup.
«Où allez-vous?" A renvoyé Fouquet, d'un air sombre.
«Pour mon propre appartement, afin de changer de costume, monseigneur."
"Whereabouts êtes-vous d'hébergement, d'Herblay?"
«Dans la chambre bleue au deuxième étage." "La salle immédiatement au-dessus du roi
chambre? "" Exactement. "
"Vous serez soumis à des restrictions très grand là-bas.
Quelle idée de vous condamner à une pièce où vous ne pouvez pas mélanger ou de se déplacer! "
"Pendant la nuit, monseigneur, je dors ou lire dans mon lit."
"Et tes serviteurs?" "Je n'ai qu'un accompagnateur avec moi.
Je trouve mon lecteur tout à fait suffisant.
Adieu, monseigneur, ne vous surmenage; vous garder frais pour les
l'arrivée du roi. "" Nous vous verrons tantôt, je suppose, et
verrons votre ami Du Vallon aussi? "
"Il est logé à côté de moi, et c'est à ce moment, vinaigrette."
Et Fouquet en s'inclinant, avec un sourire, transmis comme un commandant en chef qui paie les
postes différents, après une visite de l'ennemi a été signalée en vue.