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Il dit alors : "Faut que tu partes
avant que mon coloc rentre".
Je dis : "On s'en fout !"
Et lui répond...
T'es une mobylette.
- Tu le savais ? Ça veut dire quoi ?
- Que...
Une mob, c'est drôle, mais t'évites
que tes amis te voient sur une.
Ouais.
C'est pas l'économie de carburant ?
J'ai eu que 10 bières.
- D'un litre chacune ?
- Non.
Si. D'où le panaché.
J'ai dans le crâne des singes
qui se battent pour des billes.
Fous-toi ton klaxon dans le cul !
Tête de gland.
- Quelle heure est-il ?
- 9 h 01, mais...
Un retard commence quand ?
En théorie aussi à 9 h 01.
Je suis sûre que Cheryl
aura une bonne excuse.
- Comme son ocelot malade ?
- Eh bien...
Hier, elle a dû venir à pied
car un nain était dans le train.
- Elle a dit "gnome", non ?
- C'était sa dernière chance.
- Mais...
- Elle est renvoyée.
Nettoyez son bureau,
trouvez une nouvelle secrétaire.
- C'est le domaine de Pam.
- Qui est aussi en retard.
J'ai hâte d'entendre
sa pauvre excuse.
Foutez-la dedans.
C'est qu'elle est trop forte.
Ouais ! Bats-toi, Cheryl.
- Quoi ? Cheryl ?
- Oui.
C'est toi. Tu es Cheryl.
Quoi ? Que...
Elle m'a aveuglé.
Dépêche. Le patron attend.
On n'a pas besoin d'elle.
Car je suis son amie stupide.
- Quoi ?
- C'est elle.
- C'est...
- Cheryl !
Oui, continue à hurler ton nom !
- Que dis-tu ?
- Je prierai pour toi, Cheryl.
C'est pas vrai, je suis pas Che...
J'ai eu chaud.
Merci Pam, d'avoir prolongé
le kidnapping. Me voilà en retard.
Mais c'est une bien meilleure excuse
que le gnome du train, qui...
Kidnappée.
Comme un énorme bébé Lindbergh.
Je suis en retard par sa faute.
- Pourquoi
- Diable.
voudrait-on kidnapper Pam ?
Il y a une minuscule chance
qu'ils l'aient prise pour moi.
- Comment ?
- Aucune idée.
Même si vous ne mentez pas...
Le gnome du train était vrai.
Il me fixait de ses yeux gnomineux.
Pourquoi vouloir vous kidnapper ?
Car mon nom n'est pas Gimple,
comme l'indique mon dossier.
- C'est Tunt.
- Tunt dira tant ?
- C'est pas drôle ?
- Pas les Tunt.
Je connais ce nom !
- Vous avez pris le train ?
- Oui.
- Merde alors !
- Pas de quoi s'extasier.
- Oui.
- Il y en a partout, Lana.
- Son arrière-grand-père les a faits.
- Quoi ?
Vous voulez que je croie que vous êtes
une descendante de Cornelius Tunt ?
Ça fait 5 Cornelii plus tôt.
- Et George Washington Tunt...
- De la maison Tuntmore.
J'y passais tous mes étés,
à écouter mon arrière-grand-mère
se plaindre d'Abraham Lincoln.
Elle adorait l'esclavage.
- Prouvez-le.
- La main d'œuvre gratuite.
- Pas ça, pauvre con.
- Quoi ?
Prouvez que vous êtes une Tunt.
J'ai une image.
Vous plaisantez !
- Pas possible ! C'est toi.
- Oui, c'est moi.
Vous me faites capoter.
Je peux prendre de la colle ?
- Vous êtes chez vous.
- Chez toi ?
- Et à côté, c'est...
- Oui.
Le manoir Roosevelt.
C'est merdique. Ils sont bizarres.
- Qu'est-ce...
- C'est quoi ?
Mon stupide ocelot.
J'ai jamais vu d'ocelot.
Cheryl, ma chère, je ne sais
comment vous le dire...
Merde alors !
- Vous avez vu ses petites taches ?
- Combien
- Les touffes de ses oreilles.
- valez-vous ?
Jusqu'à lundi, c'était
peut-être 50 millions ?
- Quoi ?
- Carol, il s'appelle comment ?
- Babou.
- J'adore.
- Ce devrait être Boulet.
- Et...
Cette stupide bête est toujours malade.
Pourquoi lundi ?
- Mes parents ont été assassinés.
- Quoi ?
- Je blague.
- Quoi ?
Mais ils sont morts. Crise cardiaque
du chauffeur. Accident.
- Merde !
- L'enterrement se termine.
Vous n'y êtes pas ?
Si j'étais encore en retard,
vous alliez me virer.
- Pas pour vos parents.
- Je ne connais pas toutes vos règles.
Je peux intervenir ? Je suis curieuse.
- Pourquoi vous bossez à ISIS ?
- Et vous ?
Car je ne vaux pas des milliards.
Moi non plus. Je dois partager
avec mon stupide frère, Cecil.
Vous partagerez combien ?
Un milliard de dollars.
Je mouille de jalousie.
Jalouse de quoi ? De craindre
d'être kidnapper pour toute la vie ?
C'était déjà difficile
quand je valais 50 millions.
Maintenant, ça va
être 10 fois pire et...
Je suis une poule mouillée.
J'ai dit que Pam était moi.
Lana, taisez-vous.
D'abord, je suis sûre que Pam va bien.
Qui t'a appris à cogner ?
Ton mari ?
Tu devrais juste ******* me tuer.
Ensuite, personne ne va vous
kidnapper tant que j'y veille.
Considérez qu'ISIS
est votre garde du corps.
- Mais...
- Pour de minces honoraires.
- Ah !
- La ferme.
Mon Dieu ! Et Pam ?
J'ignore où est Pam,
et tout des ocelots, mais
j'ai l'intuition que tu dois
apporter des branches.
une balançoire ou un autre truc.
Il a un besoin désespéré de jouer.
On fait quoi ?
On ramène Cheryl à ISIS
et on verrouille tout
jusqu'à ce qu'on attrape
ces infâmes kidnappeurs.
On est sa famille, à présent.
En chemin, on s'arrête à un magasin
de jouets pour acheter un toutou.
C'est Miaou-schwitz là-dedans.
BUANDERIE
POPEYE
Un demi-milliard ?
- Avec un M ?
- Plus "illiard".
Quelle petite...
- Elle me doit 3700 $.
- Pourquoi ?
Quoi ?
- Rien. On fait quoi ?
- On verrouille ISIS.
Quand ils verront
qu'ils se sont trompés d'idiote,
ils reviendront
prendre la bonne.
Voilà. Tout le monde sur le pont.
Cool.
Sécurité enlevée, Barn.
Croyez-moi, ma chère, cette pièce
forte est la plus sûre de l'immeuble.
Combien vous demandez pour
qu'ISIS me protège ?
C'est selon mes dépenses.
Quelques frais administratifs,
de menus frais conditionnels,
et quelques bagatelles.
- Vous ramènerez Pam ?
- Après la signature du contrat.
- Alors, non.
- Mais...
- Vous ramenez Pam.
- Mais...
Et amenez-moi des trucs à faire.
On se fait chier ici.
Tu sais ce qu'éprouve Babou.
Corpusculaire ?
- Mince alors, Cyril !
- Pardon.
- Voyons !
- Barney.
C'est un désastre.
- Vous l'avez dit.
- Quoi ?
- Pas vous, banque de sang.
- Il s'est encore fait tiré.
Cheryl veut qu'on ait
les kidnappeurs, pour libérer Pam.
Vous n'alliez pas le faire ?
Si ça se présentait.
Quelqu'un peut répondre à ce sacré
téléphone, pour une fois ?
On vous regarde, Brett.
- Allo.
- C'était si dur ?
Oui ? Un instant.
- Kidnappeurs.
- Quoi ?
Gardez-les en ligne.
- Je négocie.
- Non.
Et vous, amenez des crayons de
couleur à Cheryl, ou du fromage.
RECONNAISSANCE DE VOIX
BRETT BUCKLEY
- J'ai froid.
- Brett, raccroche.
- c'est bon ?
- Oui, raccroche.
- Combien de temps ?
- Deux minutes.
- Quoi ?
- C'était 30 secondes.
Priorités budgétaires de ta mère.
Non, c'est une seule pièce de bois.
Bois de rose brésilien venu
droit de la jungle amazonienne.
Devinez combien de pygmées
sont morts en l'abattant.
Indice : six.
Faible prix pour la beauté.
Sterling Archer, chef négociateur.
- À qui ai-je le plaisir de parler ?
- Ton pire cauchemar.
Super. Un instant.
- Allo.
- Que fais-tu ?
Un truc que je ne ferai pas,
- c'est négocier avec un cyborg.
- Allo.
- C'est un modulateur vocal.
- Allo.
Les cyborgs connaissent
la technologie. Je raccroche.
- Quoi ?
- Ça vaut pas le coup pour Pam.
- Non, Archer.
- Allo.
TRAÇAGE INCOMPLET
COUPÉE 1'03"
Ils nous traquaient sans doute.
On ne veut pas qu'ils viennent ici.
Idiots ! C'est pas Cheryl Tunt.
C'est ce que je vous disais.
Entre deux caresses de la fillette.
Sérieux. Va voir si ton père te
donnera de quoi acheter des bonbons.
D'abord,
comment es-tu encore consciente ?
Fallait bien me payer mes études.
Deux cent soixante, 280
et ça fait trois cents.
Désolée pour votre ami,
mes amis.
Ensuite, où est Cheryl Tunt ?
En sûreté à ISIS,
à se taper son maigre cul de
rire pour m'avoir fait kidnappée.
Ce n'est pas drôle, Cheryl.
J'ai besoin de ces 3700 $.
- Désolée. J'ai plus le fric.
- Comment ça...
Comment ça, tu ne l'as plus ?
C'était une année très volatile.
- La Bourse ?
- C'est ça.
Je l'ai pris de mon IRA.
Si je ne le rembourse pas...
- Ils te pètent la rotule ?
- Quoi ?
Mon IRA est un plan de retraite.
Il y aura de lourdes
conséquences fiscales.
Je l'ai pas, idiot.
Mon fric est en fiducie. Je dois
demander à mon con de frère.
- Et alors ?
- Il est con.
Il me faut cet argent.
Je l'ai pas.
Fous le camp.
Je dois me soucier des ravisseurs.
Mais...
Bon. C'est parti.
Ici agent Lana Kane. Qui êtes-vous ?
Vous avez 5 secondes avant qu'on tire
dans la gueule de pierre de cette Pam.
- On ne veut pas que vous...
- Violiez la première loi des robots.
... tiriez sur Pam.
- Bon.
- Que voulez-vous pour sa libération ?
Un échange. Pour Cheryl Tunt.
Tunt dira tant ? Pas drôle ?
Non, non.
D'abord, on ignore
si Pam est encore en vie.
Oui, je suis à cöté de lui.
- Même si elle est en...
- Je le suis.
Pas d'hésitation.
Seigneur !
Cheryl vaut un demi-milliard.
- Quoi ?
- Et celle-là vaut combien ?
- Non... Sérieux ?
- Je réfléchis.
vous cherchez à localiser l'appel.
- Vous avez le temps.
- La ferme.
Alors, ce sera combien ?
- Malory.
- D'accord.
Je peux donner 5000.
- Quoi ?
- Bon, on a fini.
Non. Attendez. Ne rac...
COUPURE 0'53"
- 5 000 ?
- Pour Pam ?
Je parie que la table de conférence
coûte dix fois plus.
Pas du tout.
Sauf si on inclut les dépenses
pour l'enterrement des pygmées.
Et encore, ce petit chef
fourbe a dû les flanquer
dans un trou de taille moyenne.
J'ai pu localiser l'appel
à une rue près.
Si vous voulez m'excuser,
je vais aller sauver Pam.
- Non, c'est moi.
- Non, moi.
- Mince, on n'a qu'à y aller tous.
- Non.
Un demi-milliard de Tunt
est assis dans la chambre forte.
C'est la mission essentielle.
Alors, qui y va ?
Pas d'héroïsme. Ce n'est que Pam.
C'est dur de mettre un chiffre
sur une vie humaine,
mais putain, que 5 mille ?
Ne le prends pas mal,
mais je vais te tuer.
Voyons donc !
Je n'ai pas vu vos visages.
- Là.
- Merde !
Alors, ferme-la.
Je ne suis pas d'accord
avec l'attaque de front d'ISIS.
Moi, je suis assez contre.
- J'ai assez mal aux yeux.
- Dommage.
C'est la seule façon
de récupérer Cheryl Tunt.
- Je peux vous y faire entrer.
- Sérieux ?
Je les emmerde, surtout Cheryl.
Kidnappez-la jusqu'à la moelle.
Quoi ? Où est-elle passée ?
Tu vas avoir des tonnes d'ennuis.
Non, les ennuis, c'est si
je ne rembourse pas la DGI.
La DGI ?
Il y a combien de gangs irlandais ?
Elle doit être dans l'immeuble.
- Les satanées portes sont closes.
- Alors...
Merde. Archer et Ray
sont partis par le garage.
Ils ne sont pas assez cons
pour laisser la porte ouverte. Non ?
- Oui.
- Pourquoi ?
Tu le portes
juste pour me faire chier.
- Ça marche ?
- Oui. Enlève-le.
- On a l'air gay.
- Je le suis.
- Pas moi.
- Alors pourquoi portes-tu un col roulé ?
Enlève-le.
Remets vite ça dans ton sac à main.
Attends. Ce n'est pas fini.
Parle-moi.
Oui, il est grand ouvert.
Je ne suis pas idiot, maman.
On est encore dans le garage.
Car Ray est une vraie salope.
- Ce qu'il porte ?
- C'est pas vrai.
- Je ne prends pas son parti.
- Pas vrai.
Sterling, ils ont enlevé Cheryl.
Sous votre nez pendant
la dispute sur le plus joli des deux.
Pas par ici.
- Ils ont Cheryl.
- Merde.
- Ils sont dans l'immeuble ?
- Sans doute.
Sécurisez le périmètre,
fouillez les étages, et...
Brett, pour l'amour de Dieu !
Allo.
Oui, un instant.
Kidnappeurs, ligne un.
Ce sont eux. Sécurisez, fouillez.
Quels idiots. Lana, suivez-moi.
Bien reçu.
Je le lui dis tout de suite.
- Me dire quoi ?
- De l'enlever.
- Non, elle n'a pas dit ça.
- Elle l'a totalement dit, Ray.
Et de fouiller l'immeuble,
ce dont je suis responsable.
Merci de nous y avoir amenés, Pam.
- Qu'on la tue.
- Bien sûr.
Bonne chance avec tous
les scanneurs biométriques.
Sauf si vous voulez me couper
les doigts et m'arracher la rétine.
- Soyez pas cons.
- Quoi ?
Je vais tuer la femme Tunt
si vous ne payez pas la rançon.
Je ne comprends pas un mot.
Trainspotting, vous baissez
un peu le modulateur ?
Pardon.
- c'est mieux ?
- À peine.
Ne quittez pas.
- Et là ?
- Mieux.
Je crois que vous parliez
d'une rançon ?
Trois mille sept cents dollars.
- Mais...
- Attendez. Combien ?
Un million de dollars. 50 millions.
Que fais-tu donc ici ?
Cyril m'a kidnappée, voyons !
- Quoi ?
- C'est n'importe quoi !
Vous m'avez entendu. 50 millions.
- Non marqués, sans suite numérique.
- Gardez-le en ligne.
Il y a quelque chose de louche
chez ce kidnappeur.
- Voyons voir. Quoi d'autre ?
- Un Tom Collins. Ne le mouillez pas.
Bien sûr, aucun système à encre.
Tu te grouilles un peu ?
Hé, c'est pas moi qui ai
transformé mes yeux en aubergines.
Tête de gland.
Voilà. Coupez cette connerie,
pour les empreintes digitales.
Et quoi d'autre ?
- À qui tu parles ?
- Personne. La ligne érotique.
- Tiens.
- Ouais. Tu vois ?
Ouais, tu aimes ça, hein ?
- Quoi ?
- Je le sais.
Tu es la petite pute
à ton papa.
- Quoi ?
- *** finie. Au revoir.
Quel genre de malade dégénéré...
Mais...
ISIS SAT SUITE DE COMMANDE
ISIS QG
Seigneur ! Il appelait de cet étage.
- Où est-elle ?
- Qui sait ?
Sans doute une roulotte en Alabama.
Pas ton mensonge de
ligne érotique. Cheryl.
Elle est ici.
- Quoi ?
- Quoi ?
Plutôt : tu vois ?
Mlle Crie-au-loup
s'était attachée à un radiateur.
- Quoi ?
- Même pour toi, c'est minable.
Ce n'est pas moi. C'est lui.
Qui ? Moi ? Non.
Non, j'étais là tout le temps,
sur la ligne érotique.
À me branler. Au téléphone.
Tu trompes
le *** Internet ?
- Très drôle.
- Merci.
Lana, Lana, le kidnappeur.
Il appelait de cet étage.
- Oui, c'était...
- Et où était-elle ?
- Sous-sol.
- S'est kidnappée.
- C'est faux.
- Même pour vous...
- Non, c'est faux !
- C'est pitoyable.
- Oui, elle est folle.
- Tu es fou.
Pour me branler au téléphone ?
Puisqu'on sait que je faisais ça.
- Attendez...
- Ce qu'on a enduré pour vous !
Y avait-il des kidnappeurs
dans l'histoire ?
Quoi ? Oui.
- Prouvez-le.
- Ils sont là, voyons !
- Double merde.
- Pas bon.
Lâchez vos armes ou elle meurt.
Pour... Sérieux ?
Ils ne le feront pas.
Ils sont pas programmés pour ça.
- Quoi ?
- Pas la peine.
- Alors, je descends Carol.
- Quoi ?
- Sterling.
- La merde !
Ils peuvent pas courir ce risque.
- Ce serait gagnant pour moi.
- La ferme.
- Juste au cas où.
- Cool.
Non, ne lui donne pas...
Merde.
La ferme. C'est un gilet pare-balles.
Mais c'est un gilet, tu sais.
Non. Ne tirez pas ! Tirez pas.
Je me rends. Reddition totale.
Mains en l'air. Pam, ça va ?
Vous vous en foutez tous !
- Merde.
- Pas vrai, la fille !
La conne de Cheryl me fait enlever,
je me fais tabasser tout le temps,
et personne essaie de me sauver ?
- La faute d'Archer.
- La ferme.
Toi, M. "Pam en vaut pas le coup".
Et les autres connards me
tirent un million de balles dessus.
Pas moi. Je ne tirais pas.
Vous êtes la pire de tous.
Moi ? Pourquoi ?
Cinq mille malheureux dollars.
J'ai commencé assez bas
pour pouvoir manœuvrer.
- Oui ?
- Vous...
On va voir vos manœuvres,
quand je vous fouetterai le cul
pour 5000 dollars.
- Quoi ?
- Hé, Pam !
Lana, laisse-la faire, là.
Sterling.
Quelqu'un ? N'importe qui !
Oui, quelqu'un
veut goûter à ça ?
Non.
[French - Canadian]