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darktable chapitre 6 - 1ère partie : groupe des « modules de couleur »
Bon ... c'est la cinquième ou sixième fois
que j'essaie d'enregistrer ce tutoriel vidéo.
Alors je vous épargne le "Bonjour les amis et bienvenue ..."
parce que je ne songe pas à le dire,
au moins dans ce chapitre.
Je vous explique :
j'ai acheté un nouvel ordinateur tout neuf,
à la pointe de la technologie, que j'ai monté moi-même.
J'ai fait plusieurs essais d'enregistrement, qui tous ont échoué,
t le dernier essai était un tutoriel complet,
enregistré en 1080 sur plus d'une heure.
Quand j'ai eu fini, j'ai réalisé que Kazam,
le logiciel que j'utilise pour enregistrer, était resté en pause.
Alors je recommence une fois de plus, armé de patience
et en espérant que vous apprécierez cette vidéo ou que vous la verrez un jour ...
Donc, aujourd'hui, nous allons poursuivre l'analyse des modules du groupe « couleur ».
J'ai décidé de travailler avec de nouvelles photos,
les miennes cette fois-ci ; et je les ai choisies car
je les trouve plus appropriées au thème traité :
la couleur.
J'ai choisi cette photo de quelques fleurs
avec de nombreuses couleurs et nous allons voir ce que nous pouvons faire
en jouant avec les couleurs dans DT.
Nous disposons d'une grande collection de modules,
j'ai donc divisé le chapitre en plusieurs parties.
Le premier module est très curieux:
« sous- et sur-exposition » [déplacé dans le groupe des modules de base dans la version 1.1.1].
Il est lié à cet autre bouton
qui nous indique les zones sous- et sur-exposées de l'image.
Lorsque je clique dessus, il affiche en noir les zones surexposées
qui ont perdu tout détail par excès de lumière,
et en blanc celles qui ont perdu tout détail par manque de lumière.
Cet outil existe dans tous les programmes de développement de photos,
et constitue une aide importante sur les détails dans les hautes lumières et les ombres.
La différence est que DT fournit un outil
pour contrôler les seuils de quantité de lumière et d'ombre
à partir desquels DT considère qu'une zone est sur ou sous-exposée.
Je peux utiliser les curseurs pour en augmenter ou réduire la portée.
Ceci peut être très intéressant en fonction de la façon dont nous avons calibré l'écran.
Après un processus de prise de vues et le post-traitement correspondant,
il est très frustrant de voir que le résultat sur papier
n'est pas identique au résultat à l'écran.
Généralement, ces problèmes sont dus à une mauvaise gestion de la couleur.
Pour gérer la couleur sur nos ordinateurs,
nous devons calibrer correctement l'écran,
à l'aide d'un outil appelé colorimètre.
Parfois, si nous ne pouvons nous permettre un colorimètre pour contrôler la luminosité,
ces curseurs peuvent être utilisés pour corriger les déficiences de notre écran.
De cette manière, nous pouvons comparer notre image avec une version imprimée
et corriger les zones de luminosité qui doivent être identifiées
comme sur / sous-exposées.
Il s'agit d'un outil très intéressant pour ces corrections,
bien qu'il soit recommandé de calibrer correctement l'écran.
Sur cette photo, par exemple, j'ai réalisé que je devais régler certaines valeurs
parce que j'ai une version imprimée de cette photographie.
Je pense que la sous-exposition n'est pas bien représentée,
car il n'y a pas de marques sur cette zone sombre du centre.
Le module suivant est appelé «Velvia».
Ce nom vient d'un type de pellicule populaire de l'ère argentique.
C'était un film de FujiFilm,
très célèbre pour l'intensité particulière des couleurs.
Sa renommée a survécu à l'ère argentique,
et j'ai trouvé ce nom dans des filtres et modules de nombreux programmes d'édition photo.
Dans DT ce module fonctionne en ajustant la saturation
les plus délavées de l'image.
Sur cette photo on le voit dans les verts pâlichons, ainsi que dans l'arrière-plan.
Si nous ajustons le curseur « force », nous pouvons voir la différence entre avant et après,
avec un renforcement des bleus et des violets.
Ces feuilles au centre sont renforcées ainsi que ces pétales délicats à gauche.
Ce module essaie de respecter les tons déjà saturés.
L'effet est très subtil.
«Répartition » modifie la plage de l'effet,
en l'appliquant aux tons déjà saturés.
Vous pouvez obtenir une sur-saturation au-dessous de 0,50.
C'est un module intéressant pour les photos d'architecture, de paysage, de macro,
mais pas pour les portraits,
ar il dégraderait les tons délicats de la peau humaine.
Pour cela, nous disposons d'autres modules.
sous-titres par Marie-Noëlle Augendre