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Précédemment dans Breaking Bad...
Ça fait presque un million de dollars
de revenus pas déclarés.
À quoi tu penses ?
Il faisait affaires
avec votre neveu Tuco ?
- Tu es un dealer de drogue.
- Je la fabrique, je ne suis pas dealer.
Je dirai rien à Hank
seulement si tu acceptes ce divorce.
J'ai trouvé ton laboratoire.
Libérez les lieux dans les 72 heures.
Est-ce clair ?
Trois millions de dollars
pour trois mois de votre vie.
C'est toujours non.
- Bonjour, monsieur l'agent.
- Vous pouvez baisser la musique ?
Je vous demande de l'éteindre.
Vous savez pourquoi je suis là ?
Je ne crois pas
que je roulais trop vite.
J'utilise le régulateur de vitesse.
C'est votre pare-brise.
Carte grise et permis,
s'il vous plaît.
Bien sûr.
C'est le Wayfarer 515
qui a causé ça.
Des débris sont tombés chez moi.
C'est ce qui a cassé mon pare-brise,
un morceau de l'avion.
Je comprends.
Le crash du vol 515, ça vous parle ?
Vous portez le ruban.
Oui, je suis bien au courant.
J'étais un des premiers sur place.
- Mais alors, vous faites quoi ?
- Un procès-verbal.
Vous me croyez pas ?
Peu importe comment
votre pare-brise a été abîmé,
il est dangereux
de conduire cette voiture.
Restez dans la voiture.
Attendez une minute.
Restez dans le véhicule.
- J'ai le droit de sortir de ma voiture.
- Écoutez...
Non, c'est à votre tour
de m'écouter.
- Calmez-vous et reculez.
- On est aux États-Unis.
J'ai des droits. Compris ?
Soyez poli
et écoutez-moi jusqu'au bout.
- Reculez tout de suite.
- Vous m'avez entendu ?
Et vous me collez un PV ?
Je vous l'ai dit,
des débris sont tombés chez moi.
Vous avez la moindre idée
de ce que ça signifie ?
- Calmez-vous.
- Le feu a jailli au-dessus de chez moi,
là où mes enfants dorment.
Des restes humains dans le jardin !
- C'est mon dernier avertissement.
- Vous rigolez !
J'ai une bombe lacrymogène.
Une bombe lacrymo ?
Génial !
Vraiment génial !
Utiliser une bombe lacrymo sur celui
qui donne son avis
en vertu du Premier amendement !
Sous-titres :
Breys, Kevin, Tyno
www.sous-titres.eu
www.seriessub.com
Et enfin, un petit quelque chose
qui nous vient d'El Paso.
La police aux frontières
est tombée sur plusieurs homicides
de ce côté de la frontière.
Le camion transportait des clandestins
de Juarez et Laredo.
La police joue à cache-cache
avec ces polleros depuis deux ans.
Là, à peine ils ont franchi la frontière
qu'ils se sont fait buter
et pas qu'un peu.
Un chauffeur et neuf clandestins.
Aucun signe des tueurs.
Il devait transporter autre chose,
mais quoi ?
Herbe, cocaïne ou amphéts ?
Apparemment,
il ne transportait pas de drogues.
Alors, pourquoi on en parle ?
C'est moi qui ai déniché ça.
À mon avis,
c'est le travail d'un cartel.
Los Zetas, peut-être.
Il faut se demander pourquoi
on a un massacre mexicain
de notre côté de la frontière ?
Ils envoient un message ?
Ils dégagent le chemin ?
Ou alors, ils voulaient arrêter
un clandestin en particulier ?
Peut-être que l'un de ces calcinés
en savait trop.
Bref, gardez les yeux ouverts.
Voilà, c'est tout.
Journée tranquille.
Ça en fait une de plus au compteur.
Comment ça, Gomie ?
On attend toujours l'amphét bleue.
Plus rien depuis 29 jours.
Elle tourne encore, crois-moi.
Le commissariat.
Faut que je réponde.
Gomie, va taper sur ta piñata.
Et c'est bien trop calme ici,
bande de plaisantins.
Allez attraper les méchants.
Quoi de neuf, Paul ?
Salut, papa.
- Tu rénoves la maison ?
- On fait quelques travaux, oui.
Je me casse, pas de souci.
Tu vas bien ?
Oui, ça va.
J'étais dans le quartier
et j'ai vu la pancarte.
Donc, vous vendez la maison.
Avec la crise.
T'arrives à y croire ?
T'as déplacé le garage.
Fallait oser.
C'est une idée de ta mère.
C'est un sacré travail.
On a refait le crépi
et la grande chambre,
on a sablé et fumigé le sous-sol...
Super.
Rénover,
ça augmente la valeur à la revente.
J'ai lu ça dans un truc du genre...
Time Magazine.
Et la salle de bains d'en haut,
elle devient quoi ?
Refaite à neuf. Nouveaux carreaux
dans les salles de bains, cuisines,
comptoir en granit, électroménager neuf.
Du haut de gamme.
Putain.
C'est génial, papa.
Tu me fais visiter ?
Les ouvriers finissent leur travail.
On devrait les laisser tranquilles.
Il y a des photos sur le site web,
si tu veux.
T'as l'air en forme.
Je le dirai à ta mère.
Ça lui fera plaisir.
Merci.
Tu sais, je pourrais passer
pour dîner avec vous,
un de ces jours.
Un de ces jours.
À plus, papa.
Bon, écoutez,
il est prof au lycée Wynne.
Il n'a jamais eu d'ennui de sa vie.
Il a appris qu'il avait un cancer,
et maintenant,
sa femme le fout dehors.
Les gars, s'il faut être indulgent
avec quelqu'un,
c'est bien lui.
Tu te souviens
de l'agent Cavanaugh ?
Monsieur l'agent, je suis navré
d'avoir perdu mon sang froid.
Mon comportement est inexcusable.
Je vous ai manqué de respect.
Elle veut le divorce.
Je sais pas quoi te dire, mon vieux.
C'est comme ça.
Elle refuse que je voie les enfants.
Elle a dit ça ?
Même pas une lettre
ou un coup de fil ?
C'est un désastre.
C'est pas un désastre.
C'est pas un désastre, compris ?
Elle ira pas voir les flics.
Elle le dira à personne.
Et vous savez pourquoi ?
C'est simple :
les retombées.
Si elle cafarde,
là, ça sera un désastre,
mais pour elle.
Son beau-frère, l'agent des Stups ?
Il sera baisé.
Vous étiez sous son nez.
Au mieux, il arrêtera ceux qui sniffent
de la colle au magasin de bricolage.
Et les enfants ?
Je leur envoie Dr Phil.
Mon papa est dealer de drogue
et ma maman l'a dénoncé.
Et la maison ? Au revoir.
La police va tout prendre
et mettre votre famille à la rue.
Bonne chance pour les en empêcher.
Ça n'arrivera jamais.
Elle bluffe
et elle le sait.
Qu'elle me dénonce,
ce n'est pas le plus important.
Elle a disparu de ma vie.
Vous comprenez ?
J'ai perdu ma famille,
tout ce à quoi je tiens.
Mon vieux,
c'est dur.
C'est une catastrophe,
mais ce qui ne nous tue pas
nous rend plus fort.
Et après un certain temps,
vous verrez,
une de perdue,
c'est dix de retrouvées.
Vous êtes plus dans le coup
depuis un moment.
Vous seriez surpris de voir
ce qu'on peut choper.
La Thaïlande,
la République tchèque...
Ces femmes sont reconnaissantes
rien que d'être là.
Mais en attendant,
la paresse est mère
de tous les vices.
Donc, il faut vous remettre en selle
et faire ce que vous faites le mieux.
D'abord, parlez à notre ami
et mettez-vous au boulot.
Je veux pas être
le méchant de l'histoire.
Je veux pas être
le méchant de l'histoire.
Vous savez, on va se revoir.
Promettez-moi de pas vous pendre
dans le placard.
Le marchand de glaces !
Ne le dis pas à maman.
C'est moi.
On a un problème avec la femme.
Je dois surveiller ça de près.
Une adresse ?
LES DONS S'ÉLÈVENT À...
On mangera un peu plus ***.
Oncle Hank et tante Marie
passent prendre le repas.
Mais si tu as faim,
je peux te préparer un truc.
Passe-moi le ketchup, s'il te plaît.
J'ai absorbé assez d'acides gras
pour toute une vie.
Une virée au bord de l'océan
et voilà, tu manges du poisson cru.
Je dis juste...
Ça fait un bail que le frétillant
a pas nagé, pas vrai ?
Au fait,
Flynn cherche un petit boulot,
donc, je sais pas...
- si vous avez un bon plan...
- Je m'appelle Walter Junior.
Quoi, tu peux même pas
prononcer son nom ?
Si tu ne veux plus
qu'on t'appelle Flynn,
il te suffit de me dire
que tu ne veux plus.
Papa est arrivé vachement en retard
et il avait les yeux tout rouges,
comme s'il avait pleuré.
Mais toi,
tu t'en fiches.
Maintenant,
il me ramène même plus à la maison.
Il dit pas pourquoi,
mais je suis sûr
que tu lui as interdit de le faire.
- Chéri, je...
- Quoi ?
Je le connais pas, ton problème.
Tu l'aimes peut-être plus,
mais moi, si.
C'est vrai, pourquoi...
pourquoi tu dois agir comme...
une salope ?
Parle pas à ta mère comme ça.
C'est pas grave.
Skyler, je sais
que tu dois avoir tes raisons...
pour tout ça.
Ce ne sont pas mes affaires,
je sais, mais...
Tu empêches Walt
de voir les enfants...
Tu as raison, Hank.
Ce ne sont pas tes affaires.
C'est pas vrai !
Après tout ça,
me dis pas que t'es pas curieux.
- Pas de quoi être curieux.
- Je t'en prie.
Depuis le coup du deuxième téléphone,
j'ai compris.
Je l'ai vu des centaines de fois.
Et donc ?
Ne tourne pas autour du pot.
Qu'est-ce que tu as vu
des centaines de fois ?
Vas-y, éclaire-moi.
Un type comme Walt...
Un bon type, gentil et intelligent.
Soyons francs. Il a un boulot pourri,
il n'a plus aucune perspective.
Il a un cancer. Le temps lui manque.
Avec la crise de la cinquantaine.
Il part en vrille.
Il va voir ailleurs.
Et puis, la femme le surprend.
Une histoire vieille comme le monde.
Réfléchis-y un peu, Marie.
Ça paraît logique.
Connaissant Walt,
il se sentait tellement coupable
qu'il a dû lui dire lui-même.
Je sais pas trop.
À mon avis,
s'il l'avait trompée,
elle me l'aurait déjà dit.
J'ai l'impression...
que c'est plus grave.
Tu la lâches jamais, c'est pas clair ?
Combien ça va me coûter ?
Bordel, je me suis gouré de métier.
Je te rappelle.
Voilà le fils prodigue.
- Content de te revoir. Ça va ?
- Ouais.
Et c'est normal.
Le monde est à tes pieds, pas vrai ?
Un jeune homme libre qui a...
tout un tas de fric.
Je suis jaloux.
Je te jure, je suis jaloux.
D'ailleurs, en parlant de fric,
tu sais ce qui me stresse ?
Ton ex-équipier. Ce mec...
Il bosse comme un malade,
monte son affaire tout seul.
Et quand ça paie bien, il fait quoi ?
Il arrête tout.
Bourré de talent,
et il fout tout en l'air comme ça.
Comme si Michel-Ange peignait pas.
Je sais que t'es plus
dans l'histoire, mais...
tu voudrais pas lui parler ?
Pour qu'il se réveille ?
Laisse tomber.
S'il m'écoute pas,
il t'écoutera pas non plus,
sans vouloir te vexer.
Vous voulez du boulot ?
Du boulot ?
Qui en a pour moi ?
Moi, j'en ai.
Je voulais passer te voir,
si ça te dérange pas.
Bien sûr que non. T'as...
- T'as besoin de la pièce ?
- Non.
J'avais besoin d'espace
pour m'étaler.
Je voulais dire bonjour à Holly.
Coucou, ma jolie.
Elle est magnifique. Regarde-la.
Merci d'être aussi flexible
pour mes horaires.
Ce serait mieux
de t'avoir à plein temps.
T'es un vrai rayon de soleil.
Écoute.
Crois-moi, c'est...
Je veux pas soulever ce problème,
mais je peux pas...
valider ces documents, désolée.
Je peux pas.
Vraiment ?
Si tu veux le faire,
ça peut pas être aussi flagrant.
Flagrant.
C'est pas bon signe.
Montre-moi ce qui te gêne.
Keller.
Encore une fois.
Je suis vraiment désolé.
Je sais ce que t'en penses.
Des produits sans contrepartie.
Ici, ici et ici.
Je ne sais pas quoi dire.
Ça peut se corriger, non ?
Si je mettais, disons, 28 800...
de ce trimestre dans le suivant ?
Tu validerais les documents ?
Je dis simplement
que je ne peux pas le faire
dans l'état actuel des choses.
Je comprends.
Je vais m'en occuper.
Merci de m'avoir prévenu.
Ça ne se reproduira pas, juré.
Et si tes enfants l'apprennent ?
S'ils apprennent quoi ?
Tout ça.
Ce que tu fais.
Un jour, ils seront assez grands.
Comment tu leur expliquerais ?
Si tu voulais me poser une colle,
c'est réussi.
J'imagine que...
je dirais que j'ai mes faiblesses,
mais que j'ai fait tout ça pour eux.
Tu comprends ?
Pour subvenir à leurs besoins.
Et je leur demanderais
de prendre le temps de comprendre...
Tu sais quoi ? En vérité,
je vois pas aussi loin.
J'essaie de garder la tête
hors de l'eau, alors...
Je ferais mieux de m'y remettre.
Salut, Walt.
Je peux pas te parler.
Je suis au boulot, là.
Louis l'a déposé.
Il était là quand je suis rentré.
Non, bien sûr.
Non, il ne va pas rester.
Il le sait très bien.
Je le ramènerai où tu veux.
Papa...
À cette heure, il y a des bouchons,
mais je peux le ramener à Beneke.
Enfin, ce serait pas
plus simple de...
D'accord, très bien.
On se retrouve à la maison.
Pourquoi tu fais ça ?
Elle veut t'empêcher de me voir,
et tu rentres dans son jeu.
Non, fiston.
Ta mère...
a ses raisons.
Lesquelles ?
Elles...
Elles sont un peu
difficiles à expliquer, mais...
C'est vrai,
une histoire a toujours
deux versions, mais...
elle...
Les choses doivent
se passer comme ça.
Pour l'instant.
Ta maison, c'est chez toi,
et c'est là que tu dois être.
Toi aussi, c'est là que tu dois être.
C'est ta maison, papa.
Oncle Hank, tante Marie...
tout le monde sait
que t'as rien fait de mal.
Tout le monde est de ton côté.
Le but, c'est pas de prendre parti.
Comment tu peux la laisser
te traiter comme ça ?
Calme-toi.
- Comment tu fais pour supporter ça ?
- Écoute-moi.
Quoi qu'il arrive,
ça n'a rien à voir
avec ce qu'on ressent pour toi.
On t'aime tous les deux
vraiment très, très fort.
Ta soeur et toi
passerez toujours en premier.
T'en fais pas.
Il faut qu'on voie
les choses du bon côté.
Tous les deux.
On se secoue un peu.
Après, je te ramène.
Je dois juste
passer par la salle de bains.
Bonjour, enchanté.
Saul Goodman, enchanté.
Vous êtes l'avocat
qui passe *** à la télé, non ?
Appelez donc Saul !
On me le dit tout le temps.
Nous sommes ici pour la vente
de la maison au 9809, rue Margo.
Vous êtes pas payé à l'heure,
je me trompe ?
Aujourd'hui,
c'est votre jour de chance.
Je représente un client
qui souhaite rester anonyme.
Mais, dans notre cas,
vous pouvez très bien
vous imaginer
un gros sac plein d'argent.
Cette personne veut acheter
votre maison aujourd'hui.
Au comptant.
- Au comptant ?
- Je sais, c'est la crise.
Mon client a cet argent
et veut le dépenser au plus vite.
Demandez à M. Gardiner.
Il a vu les documents nécessaires.
On ne serait pas assis là, sinon.
Très bien.
On signe quelques papiers,
on passe devant le notaire,
et ce sera fini.
Je peux même vous virer l'argent
dès cet après-midi.
Il y a juste un très léger hic...
le prix.
875 000 est un prix
qui nous semble très raisonnable.
Mais j'imagine qu'on peut
toujours le changer.
On le change à 400 000,
et c'est d'accord.
400 000 ?
C'est une blague ?
Non, c'est ma proposition.
C'est moins de la moitié du prix.
C'est quasiment
le prix des rénovations.
Et si on arrêtait les pitreries
et que vous nous indiquiez
votre prix maximal ?
400 000. C'est mon dernier mot.
C'est une perte de temps.
Comment avez-vous pu penser
qu'on accepterait ça ?
Je pensais que le prix allait baisser
quand j'ai su qu'un labo d'amphéts...
était au sous-sol.
J'ai parcouru
les différents documents,
et je n'y vois aucune mention
d'un labo d'amphéts.
Vous avez été inspectés
pour les termites.
C'est bien. Mais aucun...
labo d'amphéts.
Certains prennent ça pour de la fraude.
Vous dissimulez un acte illégal.
Moi, je suis plutôt ouvert d'esprit.
Mais c'est délicat.
Comprenez-moi bien.
J'applaudis vos cojones.
C'est vrai,
vous avez failli revendre discrètement
une maison contaminée aux amphéts.
Ça aurait pu vous réussir.
Dommage.
Maintenant, je pourrais...
vous poursuivre
et rendre toute vente impossible,
ou bien lancer une procédure pénale.
Mais personne ne veut ça,
n'est-ce pas ?
Alors, maître ?
Vous êtes d'accord ?
Tiens.
Arrête, c'est pas l'enfer.
- J'ai une pizza.
- Je prépare le dîner.
Je vais la mettre dans le frigo.
C'est encore meilleur réchauffé.
Salut, chéri.
Désolé.
Chérie, quel...
Quel exemple on veut donner ?
On pourrait au moins s'asseoir
et manger une pizza ensemble ?
Et discuter de ça entre adultes ?
On s'est...
déjà tout dit.
Il n'y a rien à rajouter.
Je croyais avoir été très claire.
J'ai des gâteaux apéritif.
Vous êtes au numéro provisoire de Walt.
Laissez un message.
Quand je suis sortie
ramasser le journal,
j'ai vu une pizza sur le toit.
Tu saurais d'où elle vient ?
Écoute-moi, Walt.
Tu dois te contrôler.
Calme-toi, accepte la situation,
et garde tes distances.
Si tu n'en es pas capable,
je demanderai
une interdiction d'approcher.
Je me la fous là, ton interdiction !
Mes couilles, oui !
Rentrer dans ses frais,
c'est pas mal.
Avec la crise,
beaucoup tueraient pour ça.
Pauvre Jake,
il était tellement content
d'aller en colo d'astronomie.
Il tombe bien, celui-là.
Salut, maman, papa.
Comment ça va ?
Tu tombes très mal.
Jesse, la maison a été vendue.
Les acheteurs ne vont pas tarder.
- Où est-ce que tu vas ?
- À l'intérieur.
J'ai acheté la baraque.
Sois rentré pour 19 h.
Je t'aime.
Bisous.
C'est moi. Il y a un problème.
Reste en ligne.