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Bienvenue dans les meilleurs replays de la semaine ! Ici Luke Kneller, qui va encore vous parler de nos petits camarades russes.
Vous pourrez bientôt m’envoyer vos replays, mais pour le moment, profitez du spectacle.
C’est parti !
Le tour de chauffe du jour commence à Malinovka, où se produisent parfois des choses peu banales.
Notre héros pilote un T71.
Pendant le compte à rebours, il analyse les lieux et envisage toutes les actions possibles de l’ennemi.
Il échafaude un plan précis, se prépare,
puis maintient la touche Z enfoncée pour débouler sur le champ de bataille ! L’opération « Je tourne en rond au pif » débute.
On sait tous comment ça se termine en général, mais notre fin stratège réussit à s’en tirer.
Il doit avoir un camouflage expérimental car l’ennemi ne parvient pas à le toucher !
Un tir dans le vide. On le laisse même tranquille un petit moment. Il se balade et fait feu.
Il aurait pu, ou plutôt aurait dû mourir une centaine de fois déjà,
mais il continue son repérage : ses alliés passent et l'ennemi trépasse, encore et encore.
Avec tous ses amis, il continue de rouler jusqu’à la fin de la bataille.
La défaite est totale, on se demande bien pourquoi, mais on vous prévient à tout hasard : ne faites pas ça chez vous.
Le tour de chauffe se poursuit sur Col de montagne, où des événements étranges ont eu lieu.
Le FCM 50t se bat quelque temps sur un point haut avant de descendre dans l’eau.
Là, il voit un T71 à qui il ne reste qu'un quart de ses points de structure.
« Je vais me le faire, » se dit le blindé français, mais le premier obus frappe la tourelle d’un IS-3 allié.
Tant pis, c’était de sa faute.
Visée, tir... manqué ? Vraiment pas de chance, mais cette fois, on va l’avoir.
Visée, tir.
Ouh là ! Sous la caisse ? Bon ça va, il nous reste du temps.
Visée... Mais le T71 finit par remarquer le char lourd et... y met le feu !
À propos, l’obus suivant du FCM n’a pas touché au but et l'incendie a endommagé son râtelier de munitions.
Pour finir ce tour de chauffe, je vous propose un T-54.
Ce joueur est un peu perdu car, après la première petite escarmouche, il essaie se faire une petite partie de World of Warships
avec son char.
Mais voilà de la visite : un T-54 adverse.
Il tourne sa tourelle par souci d’aérodynamisme, fonce tête baissée dans l'eau glacée de la rivière, mais se prend un obus dans le flanc et s’embrase.
Un autre 54 entre prudemment dans l’eau, mais notre vedette sait déjà comment tirer profit de l’humidité ambiante
et neutralise facilement cet adversaire en l’enfonçant sans vergogne dans la foulée.
Le pilote suivant préfère le trampoline, mais le résultat est évident.
Le quatrième nageur réussit à mouiller ses chenilles et son canon avant que l’incendie ne se propage, mais il subit de gros dégâts et est taillé en pièces par l’artillerie.
Le dernier participant à notre concours de natation est un IS-7.
Sans doute un marin expérimenté car il ne s'éloigne pas trop du rivage.
Il ne laisse pas l’ennemi le couler et maintient sa poudre à canon au sec.
Ce n'était pas nécessaire, cela dit, car les obus ennemis lui règlent son compte.
Laissant ses tracas derrière lui, notre héros regagne la rive. Venons-en aux nominations.
Le meilleur défenseur de la semaine s’appelle Cobra001.
Généralement, les joueurs nommés nous surprennent en fin de bataille,
mais notre héros a décidé de semer le trouble chez l'ennemi en agissant tout de suite de manière inattendue !
D’abord, sa position est inhabituelle.
Avec l’aide d’un T-62A ami,
il s’installe confortablement sur une colline d’où il peut arroser les unités ennemies du secteur.
La bataille est équilibrée, mais des intrus venus de l’autre côté commencent à capturer la base.
L’heure est venue de s'en remettre à ces obus explosifs qu'on aime tant.
Un Maus retourne au garage après une échauffourée, après quoi le 62 se trouve une nouvelle cible.
Un IS-7 à demi-mort, ce n'est pas un problème, mais l’obus d'un Object 268, c’est un vrai motif d'inquiétude pour un char moyen.
Mince ! Le tir est manqué et le chasseur de chars disparaît derrière une butte.
L’espoir s’amenuise pour le T-44 face aux nombreux et puissants canons ennemis.
Notre héros est désormais le seul survivant et il lui faut gagner seul.
Une rencontre inattendue avec un JagdPzE-100 manque de signer la fin précoce de notre histoire, mais la chance sait se montrer clémente.
Le premier tir à gros calibre de la machine de mort allemande atteint les chenilles et,
pour ne rien arranger, le chasseur de chars essuie un tir précis dans le moteur.
Prenant conscience que l’issue de la bataille se règlera dans le cercle de la base, notre héros se retrousse les manches.
Il commence par tirer un obus HEAT sur le 268, puis lui tourne autour avant de le finir par un tir de riposte aussi calme que précis.
Il commence par tirer un obus HEAT sur le 268, puis lui tourne autour avant de le finir par un tir de riposte aussi calme que précis.
Ne reste plus alors que l’Américain.
Repéré ! Touché ! Il a le temps de réagir, mais plus question de foncer tête baissée, cette fois...
Le T-62A a déjà bien souffert et doit manœuvrer pour trouver un chemin de traverse.
Ici ? Non. Là ? Oui ! C’est l’écoutille qui trinque ! Mais pas assez pour s'imposer.
Un autre tir ! Victoire... Oh, mais ? Plus qu’un point de structure sur le T-95 ! Plus que quelques secondes avant la fin de la bataille.
Vite, T-62A, ça passe ou ça casse.
Le choix est évident, il joue son va-tout et notre héros s’apprête à livrer le duel final.
Voilà ! Perdre ou gagner.
L’Américain défonce une barrière en tirant dessus ! Du calme, tu ne peux plus le rater... Oui !
Deuxième fois que l’écoutille ne peut rien contre la puissance du 62.
C’est le bout du chemin pour les T-95 et la fin de l’histoire pour Cobra001,
qui a réussi à réduire la capture de 339 points en tout pour s’adjuger la victoire,
le titre de « défenseur de la semaine », ainsi que l'or, la notoriété et la fortune qui vont avec !
Le guerrier de la semaine s'appelle Dan-issi-mus et il pilote un IS-7.
La bataille commence et le peloton des IS-7 contourne le phare pour aller aider les alliés sur le flanc.
Le plan semble bon, à un détail près : il n’y a plus personne à secourir !
Après 2 minutes 30 de jeu, le score est déjà de 0-7.
C'est le moment de passer au plan B : gagner la bataille tout seuls.
Un Américain distrait est neutralisé par leur tir concentré ; il est suivi au paradis des chars par un AMX 13 75,
tandis qu'un allié détruit un M103..
Notre héros n’est pas contrarié par cette aide et vise l’E-75 qui se cache derrière un rocher.
Malheureusement pour Dan-issi-mus, cette perte n’a pas brisé pas le moral de l’ennemi, qui n’a cessé de tirer.
Notre brave se retrouve bientôt sans soutien, mais l’heure n’est pas au désespoir.
Leur position avantageuse permet aux 7 de se débarrasser promptement de deux autres adversaires,
et bien qu’un Object 268 réussisse à mettre le grappin sur notre héros, il leur faudra plus qu'un ricochet pour l'emporter !
Peu après, ses alliés sont moins vernis et Dan-issi-mus se retrouve bien seul face à huit rivaux.
Décidant de ne pas prendre de risque pour son blindage anguleux, l'IS traque le chasseur de chars soviétique et réussit à l'avoir lors d'un rechargement.
Ne laissant aucune chance à l’artillerie de le prendre dans son viseur, l’IS-7 descend la colline et offre au Maus un aller-simple pour le garage.
S’arrêter en terrain découvert serait suicidaire. Notre héros se précipite donc droit devant, infligeant à l’ISU plus de 400 points de dégâts.
Ébranlé par le feu ennemi et les explosions de l’artillerie autour de lui, l’IS se cache derrière un rocher.
L’ennemi débarque de tous côtés, mais la main de Dan-issi-mus reste ferme.
Plein de sang-froid, il expédie des obus à quiconque se présente devant lui.
L’ISU prend peur.
Le Jagdtiger rend son dernier soupir.
Au tour du Lorrain avec, de nouveau, la protection du rocher.
Ça sent l'impasse.
Personne ne veut faire le premier geste.
Ambiance glaciale. L’IS-7 recule lentement.
À une confrontation inattendue qui se solde par un tir non pénétrant succède une longue attente.
Jugeant que sa position n’est plus sûre, notre héros jette un œil aux fourrés alentour, au cas où, puis emprunte un détour.
Le sixième sens du commandant s’éveille au moment même où une explosion secoue le char et fait sauter une chenille.
Pas le temps de viser et d’engager l’artillerie de front. Il doit réparer et s’enfoncer plus loin en territoire ennemi.
Il grimpe la colline... enfin ! Un problème de poids se pose : le SU-14-2.
Il s’en occupe, mais sa chenille gauche essuie un nouveau tir.
Un second canon automoteur est repéré, mais aucune chance de l’avoir à présent car l’ennemi estime que cet IS-7 est de trop
et qu’il faut capturer la base ! On demande notre héros chez lui.
Une reconnaissance minutieuse est suivie par un tir précis dans l’angle de l’ISU.
Ouf, plus que deux canons automoteurs, mais pas de réjouissances intempestives.
Le 212 fait une deuxième tentative pour prendre la base et l’engin français ne doit pas être loin.
Le voilà ! L’AMX-13F3 n’a toutefois pas le temps de se retourner et de tirer car l’IS-7 recharge plus vite.
Le temps passe et l’ennemi restant essaie toujours de capturer la base ! Tentons une observation du haut de la colline...
On ne voit rien. C’est bientôt fini. Vite, il faut redescendre. Non ! La base est tombée, fin de la partie.
Attendez ! L’artillerie, qui a le culot de tirer sur notre héros, dévoile sa position.
Les secondes s’égrènent... C'est le tir de la dernière chance... FEU ! La frappe touche au but et la victoire lui revient.
Mon Dieu.
Ça, c’est un guerrier : 11 victimes, plein de médailles, des nerfs d’acier et il ne lâche jamais rien, même quand ça tourne mal.
Félicitations ! Vous méritez le titre de guerrier de la semaine.
Concernant le tireur de précision de la semaine, nous avons décidé de vous montrer dans cet épisode les trois plus beaux tirs plutôt qu’un long replay.
La 3e place revient à ce TD SU-152 soviétique.
Oui, ce monstre de canon peut tirer avec précision à tout moment, mais il faut d’abord choisir une bonne position, bien viser,
prier le dieu de la chance et ouvrir le feu en retenant son souffle ! Bonnes stats et râtelier de munitions transformé en feu d’artifice garantis !
Mais cela ne suffit pas pour faire valoir ses talents de tireur de loin.
Il faut aussi prévoir les actions ennemies pour frapper avec la précision d’un ninja.
Au fond de la vallée sacrée, l’Object 261 décide de profiter de son expérience et de l'instinct des artilleurs
sans attendre le rapport de la reco alliée.
Il vise un itinéraire très emprunté par les chars lourds, aperçoit une cabane en ruine, essaie de deviner où le convoi ennemi va passer
et se décide à expédier un obus sur sa cible potentielle avec force détermination ! Ses calculs étaient bons.
Un ennemi est renvoyé au garage alors qu’il a combattu moins d’une minute.
Cela prouve qu’on peut brider une bonne pièce d’artillerie, mais pas un bon artilleur.
Enfin, la première place du tireur de précision de la semaine revient à un joueur nommé « Damager130mm », aux commandes de l’Object 268.
Nous avons déjà exposé les qualités requises pour être un bon tireur,
mais pour devenir « tireur de précision de la semaine », le niveau est hallucinant.
L’IS-7 ennemi est bien caché derrière des carcasses de véhicules.
Difficile d'acquérir l'ennemi de derrière.
Quant à percer ses protections et tourelles blindées, cela semble impossible à cette distance !
Mais notre héros sait s’y prendre pour tuer.
Il charge un obus explosif, vise sous la carcasse du T110E5 et fait feu. Même pas besoin de toucher l’IS.
L’impact de l’explosion lui coûte plus de 300 points de structure
et expédie le char lourd au garage ! Il faut savoir se servir de sa tête. Bien joué !
Le meilleur pour la fin avec notre plus belle récompense : le meilleur replay de la semaine ! Plusieurs gagnants, cette-fois-ci.
Non à cause d’une égalité, mais parce que nos deux vainqueurs, un E-50 et un T-54, ont parfaitement collaboré.
Les chars moyens rejoignant la bataille de la Rivière des perles, il n’y a pas bien le choix quant à la destination et notre duo s’engage dans les collines.
Ils y trouvent leurs premières victimes... Enfin, leurs premiers ennemis.
Un excès de confiance scelle le sort d'un T71.
Impossible de pénétrer un T-54 de face. Il est donc mort pour rien.
Le SU-101 et le SU-122-44 nous cherchent des noises, mais ne sont pas en mesure d’occuper notre peloton très longtemps.
Les chars moyens progressent et achèvent un chasseur de chars endommagé en chemin.
Comment ça se présente dans le défilé, au fait ?
Compris.
Pendant ce temps, nous tombons sur notre premier gros morceau : un T-54 ennemi !
Une mauvaise position et une chenille démise permettent de transformer cette menace en tas de ferraille.
Comme pour le précédent char, un IS-8 perd rapidement de sa durabilité, mais réussit à fuir.
Pendant ce temps, un AMX 13-90 et un T25/2 ont piteusement regagné le garage.
Tirant profit de son énorme poids, l’E-50 décide d’utiliser le bon vieux coup du bélier et manque de peu de transpercer le blindé lourd.
Une autre poussée et voilà le char moyen qui se cache derrière des épaves masquant sa plaque basse, vulnérable.
Même un T-30 ne peut détruire le véhicule allemand retranché et là, pas de seconde chance.
Comment ça se passe dans le défilé ? Intéressant...
Pendant ce temps, notre peloton compte déjà 8 victimes à son tableau et a presque atteint la base ennemie !
L’E-50 laisse le KV-4 à son coéquipier et commence à pilonner l’adversaire, qui essaie de défendre le pont.
Le T29 prend une première frappe avant qu'un autre blindé morde la poussière.
Tandis que l’engin allemand s’exerce au tir de loin, le T54 réussit à faire 3 victimes de plus !
Ça va tellement vite que je n’ai pas le temps de donner le nom de toutes les victimes.
L’issue de la bataille ne fait plus aucun doute.
Il ne reste qu'un canon automoteur à l’ennemi.
Mais qui va s’en occuper ? Tout le monde se rue sur l’Américain, pétrifié.
Le GW Tiger P tire un obus dans l’espoir de faire mouche tandis qu'un chasseur de chars français rapide cherche à tirer avantage de la colline.
Parviendront-ils à l’emporter ? L’E-50 tire, mais le M40 survit ! Il ne réussit pas à monter seul, mais son coéquipier vient l’aider.
Le lourd char allemand parvient finalement sur son perchoir et tue le dernier ennemi.
Victoire ! Ils ont tué toute l’équipe ennemie.
Ils se sont fait aider, mais 15 victimes à 2 joueurs, c’est pas mal du tout.
Avec une seule victime de différence, seulement grâce à son camarade par le T-54, je dirais qu’il y a eu partage des points.
Une grande bataille qui prouve que l’union fait la force. Sans conteste le meilleur replay de la semaine.
Félicitations !
Merci d'avoir regardé cette vidéo ! N’oubliez pas que le reste du monde pourra bientôt nous rejoindre. Nous y travaillons et espérons que cela se fera vite.
À la prochaine !