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Nous, Salvatoriens, nous pouvons être reconnaissants
d’abord parce que nous célébrons le centenaire
de la mort de notre fondateur
et nous travaillons avec la tête et les pieds et les mains
pour le charisme
que le Seigneur a donné à l'Eglise
par notre fondateur.
Je vois que ce charisme
enthousiasme beaucoup de gens
et nous fait grandir en tant que société.
En tant que secrétaire général des missions,
j'ai la possibilité de suivre
de très près cette croissance.
Bien sûr, ce n'est pas le mérite d'une personne,
ce sont ces Salvatoriens qui veulent vraiement s'impliquer,
qui veulent contribuer à la croissance de la société.
Cette croissance se produit à différents niveaux, dans différentes régions.
Par exemple, en Asie, où, à la fin des années 90
– il y a environ 25 ans – nous n'étions que dans un pays.
Et maintenant, nous sommes dans six pays. Tout indique
que nous servirons plus de pays en Asie à l'avenir.
Pour que nous puissions servir là-bas en tant que Salvatoriens,
nous devons former d’abord les jeunes.
Les jeunes ont besoin d'une éducation solide
pour pouvoir proclamer demain le Divin Sauveur.
Il est de notre devoir d’aider l’Eglise à faire connaître Dieu
et son Fils Jésus Christ
de la manière la mieux comprise dans l'environnement dans lequel travaillent les Salvatoriens.
Et ça me fait vraiment plaisir, si je constate que,
dans les années 90, en Asie, ils ne travaillaient qu’environ 15 salvatoriens.
Aujourd'hui nous y sommes, si nous prenons tous les étudiants,
tous les jeunes, au total, je pense à 350.
Cela donne une joie immense, car on voit combien le Seigneur est miséricordieux,
malgré nous les humains. Ou plus précisément à travers nous.
Les pays où nous sommes maintenant
et où il y a beaucoup de croissance sont bien sûr l'Inde
mais aussi les Philippines,
où nous avons une place pour les candidats d'autres pays:
le Vietnam, la Chine, l'Indonésie, le Timor oriental, etc.
Là, nous sommes vraiment heureux de la croissance.
Mais nous ne pouvons pas oublier que
si nous voulons être fidèles à notre fondateur,
il n'y a pas de mission, il n'y a pas d'expansion
sans formation et consolidation.
Et nous devons préparer nos jeunes pour l'avenir
afin qu'ils puissent travailler ensemble au niveau international.
Peu importe d’où viennent les gens,
ce qui importe est que tous,
main dans la main veulent servir une cause,
que nous sommes appelés en tant que Salvatoriens
pour encourager les autres et à les servir au nom du divin Sauveur.
Il y a eu de grands développements positifs ces dernières années.
En Afrique, par exemple, le potentiel est énorme. C'est ce que je vois.
il y a 60 ans, les Salvatoriens ont commencé les premières missions là-bas.
Je parle de la République démocratique du Congo et de la Tanzanie.
Ces missions se sont développées d’une manière très solide, lentement.
Je suis très heureux que la formation et la consolidation des branches
aient entamé un processus qui a conduit à la préparation de ses propres missionnaires dans ces pays.
C'est très intéressant: nos confrères du Congo se sont engagés
à la demande de la Congrégation de la Propaganda Fide aux Comores.
La même province a commencé une mission au Cameroun.
Au niveau international, la province du Congo et la Tanzanie,
ils ont pu démarrer une nouvelle mission au Kenya,
qui évolue rapidement.
Nous y avons déjà les premiers candidats, des gens enthousiastes
qui veulent proclamer Dieu comme Salvatoriens.