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Lizzie: Oui! Nous sommes TOUJOURS à Netherfield. Non. Je ne le crois pas non plus.
Jane est guérie et tout le monde ici s'entend super bien!
Mon dieu, Charlotte je deviens tarée.
Bing dé*** le conflit encore plus que Jane.
Quand ils sont tous les deux ensembles c'est comme dans un livre.
Ils sont tellement charmants. J'ai envie de me crever les yeux.
Je pensais que Caroline était de mon côté, mais elle sourit juste avec tout le monde.
Je pensais qu'elle serait plus dans la confrontation.
Mais, il y a au moins une personne sur laquelle je peux compter pour ne pas être heureux à propos de tout.
Mon nom est Lizzie Bennet et j'ai découvert à quoi William Darcy est bon.
Episode 31, Ecrit par Margaret Dunlap
Ne vous méprenez pas, Darcy est toujours aussi déplaisant, désagréable et imbus de lui-même,
mais au moins il n'a pas peur d'avoir une opinion.
C'est généralement une opinion très désagréable, mais c'est sympa d'avoir quelque chose à se raccrocher.
Ce mec trouve un moyen de critiquer tout et tout le monde.
[Frappe à la porte]
Caroline: Est-ce que tu parle de Darcy?
Lizzie: Qui d'autre?
Caroline: Je peux aider?
Lizzie: Bien sur! Viens.
Caroline: Oh, tant que je ne dois pas porter un chapeau idiot. J'ai de super cheveux aujourd'hui.
Lizzie: Pas de chapeau, promis.
Caroline: Super! Allons-y.
Caroline: Tu es tellement dédié à ton entreprise, je n'arrive pas à me concentrer dès que je sors du boulot.
Lizzie: Bonne chose que tu n'aies pas mon boulot alors.
Caroline: Tu écris un mail à Gigi? Tu lui as dit que j'adore son nouveau Twitter? C'est trop mignon ce qu'elle a fait avec le fond.
Lizzie: Je lui dirais de t'appeler. Je suis sure que je ne pourrais pas rendre justice à ton enthousiasme.
Caroline: Darcy, pose l'ordi, personne ne travaille, c'est bizarre mec.
Lizzie: C'est pour ça que je travaillais dans ma chambre. Jusqu'à ce que tu insiste pour que je descende. La seule chose étrange c'est que tu aies pensé que ce ne serait pas bizarre.
Caroline: Je pensais que tu pourrais avoir besoin d'une pause.
Lizzie: Tu pensais mal.
Lizzie: Ce sont de vrais conversations. Je n'exagère pas. Aide-moi, Caroline.
Caroline: C'est tellement un chapeau.
Lizzie: Pas techniquement.
Caroline: Tu réalises que les docteurs ne portent plus ça aujourd'hui, pas vrai?
Lizzie: Pourquoi Darcy est si grossier avec ton frère? Je pensais qu'ils étaient meilleurs amis?
Caroline: Je pensais que William Darcy serait plus indulgent pour quelque chose d'aussi insignifiant que l'amitié.
Lizzie: C'est pas un homme qui a beaucoup d'amis, pas vrai?
Caroline: Pas vraiment.
[Frappe à la porte]
Bing: Salut, Lizzie. Oh salut, Caroline. Les filles, heu, vous filmez un autre message vidéo pour Charlotte?
Salut, Charlotte.
Caroline: Exactement. Qui a dit qu'écrire des lettres était un art perdu? Pas Lizzie Bennet.
Lizzie: Si tu cherche Jane, elle n'est pas là.
Bing: Je sais. Elle attend en bas dans la berline avec Darcy.
Dégustation de vin… Conduire un scénic… Est ce que ça te rappelle quelque chose?
Désolé, Charlotte. Ces deux-là vont devoir couper.
Lizzie: Uh non, Je me rappelle, mais j'ai déjà dit à Jane que je ne- Caroline: Attend, la berline? Bing, on prend la voiture de location de Darcy.
Bing: Quand Jane était trop malade pour y aller. Cinq personnes, un convertible… Tu es volontaire pour aller dans le coffre?
Caroline: Tu ne peux pas descendre le toit dans la berline.
Bing: Mais, on peut toujours s'amuser entre amis.
Lizzie: Uh non, j'ai déjà dit à Jane que je n'y allais pas.
Bing: Mais on va prendre la berline, c'est bon, Darcy l'a dit.
Caroline: Bing, elle a dit qu'elle préférait rester. Tu pourrais au moins avoir la politesse de la croire.
Bing: Et bien, si tu es sure.
Lizzie: Tu sais ce qu'on dit,
Quater c'est sympa. Cinq c'est bizarre.
Bing: Je pensais qu'on disait plus on est de fous plus on rit. Caroline: Bye, Lizzie!
Lizzie: Amusez-vous bien.
C'était quoi ce truc de dernière minute où tout le monde sortait avec la berline?
Est ce que Darcy a peur de n'avoir rien à faire si je ne suis pas là à critiquer?
Jane dit que j'ai trop d'imagination, mais je jure que à chaque fois que je suis dans une pièce avec ce type, il me fixe, tout le temps.
C'est comme si j'étais un accident de voiture et qu'il ne pouvait juste pas détourner les yeux.
Au moins je peux compter la dessus.
William Darcy, bon à quelque chose.
Transcribed by Sarah Glen, Edited by Taylor Brogan/ Traduit par Lucie Moulin