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Qui possède le gant de l'infini ? - Thanos.
Quel est le nom du père de Thor? . - Odin. Désolée, Moss, je dois vraiment y aller..
Juste encore un peu, juste encore un peu...
Non, non, je suis désolé, tu en as eu plus qu'assez.
Ok d'accord, chérie, à plus ***. Au revoir. - Wahou ! - Alors ?
C'est une impressionnante connaissance de l'univers Marvel. - Je sais.
Et bien, tu l'as fait.
Tu as finalement trouvé une femme avec laquelle je peux avoir un rapport.
Ne dis pas ce genre de choses.
Désolé, je suis tellement heureux pour nous deux. - Non...
Si tu ne rentres pas complètement, ça ne compte pas vraiment.
Hé, la rouquine ! Reculez, reculez ! Celle-ci est pour moi.
Je vais tout faire pour toi, très bon.
Reculez, reculez, elle est toute à moi.
- C'est serré. - Vous êtes si fort...
Ça mousse fort.
C'est la maison qui offre... pour toi.
- Oh, mon dieu ! - Tu m'inspires. Passe une excellente journée ! - Oui, vous aussi.
- Merci. - Ciao !
Moss, tu as vu la video du bébé qui parle français ?
Ca a fait le buzz à 10:30, Roy, évidemment que je l'ai vue.
Je devais être aux toilettes.
Ah, Jen, grande nouvelle ! Je viens de publier le second épisode
de mon émission sur les jeux de société.
Ça te dit d'y jeter un oeil ?
Ça a été rapide.
J'ai l'impression que la dernière date seulement d'hier.
- C'était il y a trois mois, Jen. - Vraiment ?
C'est comme si c'était hier. Roy, tu as entendu ça ?
Moss a sorti une nouvelle émission sur les jeux de société. - Je ne veux pas la regarder.
Je refuse de voir ça à nouveau.
Mon Dieu, on n'est pas forcés de la voir, pas vrai ?
On vient à peine de regarder le dernier.
C'était il y a 3 mois. - Mon dieu ! On croirait que c'était hier.
C'était assommant !
À en devenir fou et ennuyeux à mourir !
Roy n'est pas fan, mais tu as dit que tu avais aimé !
T'as pris ton café où ? - Un nouveau bar. - C'est bien ? - Vraiment bien.
Tu as dit exactement, je cite:
"Tu dois me montrer le prochain, Moss." - J'ai dit ça ?
J'ai vraiment dit ça ? Mon Dieu !
Oh, si vous voulez bien m'excuser,
c'est sûrement ma bien-aimée du 7ème étage.
Ça se passe bien ? Oh oui ! Il est fier comme un paon avec cette Sheila.
Ok, ça sera bientôt fini alors.
Et bien sachez qu'Alice est folle de moi.
Elle pense que je suis un artistique des sentiments.
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
Heu, elle a dit qu'émotionnellement, j'étais une sorte d'artiste.
Je pense que ça veut dire que je suis créatif avec mes sentiments, tu vois,
plus en phase avec ses désirs et ses besoins que la plupart des hommes.
Oh, elle a raccroché ... Ça arrive tout le temps.
Très bien, si j'ai dit que je le regarderai,
et bien, je suppose que je dois le faire.
Bien parlé, Jen. - Allez, finissons-en.
Alors, garde l'esprit ouvert.
Je sais que le premier épisode était un peu "dépouillé" mais je pense que
tu apprécieras ce nouvel épisode, ou "webisode", si tu préfères.
Je n'aime pas ça, personne n'aime.
Allez, allez, plus vite on commence, plus vite ça sera fini.
Jeux de sociétés.
Bonjour et bienvenue dans Games Board. Aujourd'hui, nous avons ...
Alors... j'ai joué à...
De quoi va-t-on parler dans l'épisode...
...les gars ? J'ai... - J'ai joué à Ports of Essen.
Un jeu de cartes de stratégie, où chaque joueur joue le rôle
d'un marchand dans un port de pêche danois au 16ème siècle.
Et, pour me relaxer, je me suis intéressé à l'extension de
marchand de tissus, des éditions Norfolk.
Deux jeux de Reiner Kiniksi ? Tenez-vous bien,
ça va être mouvementé...
Parlons des accessoires.
On devrait pas énoncer les règles avant de parler des accessoires ?
Ça n'aura aucun sens si on en parle avant les règles.
N'oublie pas de couper ça au montage.
Quoi ? - Oui, ne laisse pas le programme...
Ça dure longtemps ? - Rien que de l'écouter c'est horrible. Faut que j’arrête d'écouter.
Désolée, Moss, je peux pas, c'est insupportable. Où tu vas ?
Je suis jaloux de ton café. - Tu ne peux vraiment pas le regarder ?
Je ne peux vraiment pas le regarder.
Alors, qu'est-ce qu'on peut faire pour l'améliorer ?
Heu, je ne veux pas dire quoi que ce soit qui puisse te blesser.
Tout va bien, je peux le supporter, Jen. Je suis un grand garçon.
Écoute, comme je le disais, c'est lent, beaucoup trop lent.
Ok, c'est un peu lent, on peut travailler là dessus.
Et je suppose que l'autre problème c'est que c'est nul.
C'est lent et nul.
Si je devais en parler à un ami, je dirais que c'est mou,
horrible et que je n'ai tenu qu'une minute.
Est-ce que ça t'aide ?
Mon Dieu, oui ! Lent, nul, qu'on ne peut regarder qu'une minute.
Super, on a de quoi s'occuper.
Ok, voyons voir si je peux t'aider avec autre chose.
Hum, aucun d'entre vous n'est bon devant une caméra.
Aucun d'entre nous, d'accord... - Vous avez des voix très ennuyeuses.
Les voix sont insupportables, oui.
Et je suppose que c'est parce que vous n'avez aucune confiance en vous.
Aucune confiance. - Je veux dire, si vous avez besoin d'une seule chose, c'est de la confiance.
Confiance. Absolument.
Jen, je ne peux que te remercier, encore une fois ... Et, autre chose ...
Ça suffit comme ça !
Douglas, tu es incorrigible. - Je suis incorrigible ?
Tu es Raymond Peterfellow,
propriétaire des meilleurs bars à strip-tease de Soho,
si quelqu'un est incorrigible, c'est toi, espèce de ***-vampire parfumé.
Un ***-vampire parfumé. Ça me plaît.
Alors, tu envisages d'en avoir 500 comme ça, partout à travers Londres ?
C'est ce que j'ai dit. Sexy et chic.
Et c'est un but difficile à atteindre.
Ça va faire causer les gens.
Alors je serai un actionnaire satisfait.
Très bien. Oh, on fait une grosse fête jeudi soir, tu en es ?
Merde, je dois participer à Secret Millionaire.
Et m*rde, je vais annuler. Je vais le dire à mon assistante.
Salut Joan. - C'est Jen. Je ne suis pas votre secrétaire, M. Reynholm.
Je veux que vous annuliez Secret Millionaire pour moi.
Je ne suis pas votre assistante, je ne saurais qui appeler.
Trouvez quelque chose, faites des miracles. - Je ne suis pas votre assistante.
Je ne suis pas votre...
Oh, je suis désolé, je croyais que c'était les toilettes.
Les toilettes étaient bien ici avant ?
Oui, j'ai déplacé mon bureau ici pour être plus près des toilettes des femmes.
Je dois faire enlever cet écriteau.
Qu'est ce qui ne va pas, Ross ?
Un mocha court, s'il vous plait. Un mocha court, s'il vous plait. Oki-doki.
Ou moyen...
Vous savez quoi ? J'ai changé d'avis, je veux un moyen.
Donc, vous ne voulez pas un court ?
Court c'est bien, court, c'est tout aussi bon ... je vais juste ...
Oui, c'est ce que je vais prendre. Donne-moi un mocha court, mon petit gars.
Mon brave homme.
Ok, ça arrive.
C'est bon ?
Ok.
Putain de merde.
Merci pour le *** gin & tonic.
Je suppose que vous pouvez juste l’appeler tonic. Oui.
Alors, Ross, comment ça va dans le monde des ordinateurs ?
Ou le monde des PC si vous préférez.
On est tous très heureux, merci M. Reynholm.
Très heureux, bien sûr. Oubliez le "on". Je vous parle à vous, Ross.
Êtes-vous heureux ? - Très heureux, merci, M. Reynholm.
Écoutez, je ne suis pas votre patron.
Nous sommes juste deux gars, deux gars
qui taillent le bout de gras, alors dites-moi la vérité.
Et bien, je suppose que parfois, je ressens un petit manque de confiance.
Je sais, c'est idiot.
Non, je viens juste de remarquer que votre voix est marrante.
Maintenant Ross, je vais vous dire quelque chose.
La confiance est une escroquerie. Regardez moi, qu'est ce que vous voyez ?
Un homme qui a hérité de l'entreprise florissante de son père.
Ce n'était pas aussi florissant. - Les affaires marchaient bien.
Bien mieux qu'elles ne vont aujourd'hui en tout cas.
Très bien, très bien, dites juste ce qu'il faut.
Dites ce que je veux que vous disiez.
Dites, "Un homme sûr de soi", dites "Un homme sûr de soi". - Un homme sûr de soi.
Ça n'a pas toujours été comme ça. Il y a eu une époque où j'étais comme vous.
Mais j'ai découvert le secret.
Et, Ross, je vais vous dire quel est ce secret
mais vous devez le garder pour vous.
J'emporterai mes oreilles dans ma tombe.
Trois mots. Pantalon pour femme.
Pardon ?
Pantalon pour femme.
Un pantalon pour femmes ? - Oui. Je porte un pantalon de femme.
Vous portez un pantalon pour femme ? - Oui.
Ce n'est pas du tout ce que je pensais que vous alliez dire. - N'est ce pas ?
Pas du tout.
Je pensais que je vous alliez recommander un livre ou quelque chose comme ça.
Un livre ? Je sais pas lire.
Non, je ne sais pas pourquoi mais les pantalons pour femmes me donnent
la confiance nécessaire pour survivre dans le dur monde de affaires.
Ils sont plus légers, aérés et moins resserrés que les pantalons pour hommes
et je suis quasiment sûr que ça ne fait pas de moi un travesti.
Regarde ce truc, regarde le. Je peux pas ... Comment je peux ...
On dirait qu'il a trait une vache dedans. - Tu es si pointilleux sur le café.
C'est vraiment agaçant. C'est gâché. Il a gâché mon café.
Ne le balance pas comme ça.
- Ce gars ne devrait pas être autorisé à être barman. - Pourquoi pas ?
Parce qu'il est trop petit, Jen. Il est trop petit pour être barman.
Quoi ?
- Tu es un peu raciste envers les petites personnes, Roy.
Raciste envers les petites personnes ? Ça n'existe pas.
Il ne peut y avoir de tout petits barmen, Jen.
Pour l'amour de Dieu, cet homme travaille avec de la vapeur !
Je vais lui en toucher un mot.
- Lui parler ? - C’est ça. - A propos de sa taille ?
- Je pense qu'il appréciera le retour. - Á propos de sa taille ?
Les gens ne font pas ça, Roy.
Bien, je ne suis pas comme les gens, Jen, et je pense que c'est une bonne chose.
Je n'ai pas peur d'arrêter le pipeau.
Je parie que c'est de ça qu'Alison parlait.
- Autiste !
Elle a dit "autiste". C'est ça.
Non, je ne pense pas. - Rien à voir avec de l'artistique.
Mais elle est tellement...
Elle aurait pas dit ça pendant une dispute, par hasard ?
Elle a dit ça pendant une... Elle a dit ça...
C'est ce qui était bizarre, on avait une grosse dispute
et là soudain, sorti de nulle part, elle me fait ce joli compliment.
Hé, bébé
Oh, oh, bien, bien, oui.
Bien sûr, ouais, j'adorerais.
Oui, ok, on se voit là-bas.
Quoi ? Pourquoi ? Non !
Allo ? Alice ?
C'était bizarre ... Qu'est-ce qui s'est passé là ?
Elle me dit que son grand-père est mort, elle veut que j'aille aux funérailles.
J'ai dit que j'en serais ravi, et elle me raccroche au nez.
- L'enterrement de son grand-père ? - Ouais
- Tu parlais de ça à l'instant ? - Oui.
On aurait dit que tu avais été invité à un festival.
- Oh, les enterrements, c'est triste. - Tu n'avais pas du tout l'air triste.
J'étais pas concentré !
Émotionnellement artistique ? Tu es émotionnellement daltonien,
voilà ce que tu es. - Peut-être que je suis émotionnellement daltonien.
- J'étais sur le point d'aller voir ce petit gars. - Je sais.
D'aller l’embêter sur sa taille.
Heureuse que tu ais réalisé combien ça aurait été déplacé.
Je vais juste lui laisser un mot.
- Je ne me suis pas trompé. - Oh, bien.
- Je cherche des pantalons pour femmes. - Je vois.
Je voudrais ... Désolé. Oreille rouge.
Je voudrais acheter une paire de pantalons pour femmes.
Pour moi, pas pour une femme.
Oh, oui, et bien, ça ne devrait pas être un problème.
- Je n'essaye pas de ressembler à une femme. - Je comprends.
Je ne suis pas un homme confiant.
En effet. Et bien, voyons ce qu'on peut faire.
- Je ne suis pas sûre ... - Oh, demande-leur Jen.
Entre Juan et moi il y a un truc.
Je ne veux pas un autre café clapotant de ce tout petit
garçon de café. - Pauvre femme.
Non, non, non, ne lui donne pas d'argent. Tu n'es pas censée faire ça.
Je suis une personne Roy, avec des sentiments.
Je suis désolée, j'ai cru que vous étiez ...
Je ne sais pas quoi faire. Voici £5. Vous voulez 5£ ?
Je croyais que vous demandiez la charité. Je suis désolée. Je suis désolée.
- Qu'est ce qui se passe ? - Laisse tomber, allons-y.
- Qu'en pensez-vous ?
- Je pense ...
que vous venez de faire un heureux.
- A l'aide, à l'aide, lâchez-moi ! - Lâche ça. - Sale brute.
Je dois sauver cette vieille dame, mais je n'ai aucune confiance en moi.
Hey !
Merci.
Hé, venez, venez, passez devant. Venez.
- Hello Juan. - Je suis avec elle.
- Te revoilà déjà, ce doit être mon jour de chance . - Oui me revoilà.
La même chose que d'habitude, s'il vous plait.
Est-ce que je peux vous demander la faveur
de faire le café de Roy aussi ?
- J’arrête pas de lui parler de vous. - Et j'aime ce que j'ai entendu.
C'est d'accord ? Ça ne vous dérange pas ?
Bien sûr, tout ce que vous voulez, ma belle. OK.
Doigts qui glissent.
- Tout va bien. - Ça ne va pas du tout. On dirait que j'ai une barbe.
- J'en veux pas. C'est horrible.
Oh, mon Dieu ! Je ne voulais pas. Je n'ai rien contre vous.
Rien de tout ça n'est voulu.
Qu'est ce que je peux faire ? Laissez moi vous donner un peu d'argent.
Voila £10. Oh, mon Dieu !
Je ne suis pas avec elle.
- Hé! Avez-vous écrit ce commentaire ? - Quoi ? Non.
Vous avez un problème avec les gens de petite taille ?
Je n'ai aucun problème avec les gens de petite taille, ok ? Aucun.
Je ne veux juste pas que vous fassiez mon café.
Parce que vous êtes nul pour ça. Vous ne savez pas faire du café.
Vous êtes trop petit. Vous êtes trop petit pour faire un bon café.
- Vous savez quoi ? Allez vous faire ... - Non !
Petit homme, attention !
On l'appelle la vidéo virale de l'année.
Une femme jette son café sur une clocharde
et ensuite, un homme se dispute avec un petit garçon de café.
Vous êtes juste trop petit.
Le barman traverse la route et est percuté par un van avec des seins.
La femme que beaucoup désignent désormais comme
la garce qui jette son café sur les SDF, n'a pas été identifiée,
alors que l'homme connu comme le raciste anti petits est aussi ...
Les petites personnes ne sont pas une race. On est pas dans Game of Thrones.
Ils me traitent de salope dans les infos.
- Qu'est ce qui a bien pu se passer ? - Comment avez vous su que c'est nous ?
Tout est là, dans le rapport de surveillance hebdomadaire.
Qu'est-ce qui vous arrive, Joan ? J'attends plus de la part de mon assistante.
Je ne suis pas votre assistante. Mon nom n'est pas Joan.
- C'est quoi le problème avec les sans-abri ? - Je n'ai aucun problème avec les sans-abri ?
Ah, c'est donc les femmes qui vous haïssez. Ça, je peux le comprendre.
Houlà, houlà, vous enregistrez nos mails et nos appels téléphoniques ?
Arrête de pleurnicher Bono.
Si vous n'avez rien à cacher, vous n'avez rien à craindre.
Ce n'est pas ma faute M. Reynholm. Je n'ai jamais voulu jeter mon café
sur une femme sans-abri.
Je ne m'en prendrai jamais à une petite personne,
et sûrement pas pour qu'un van avec des seins le percute.
Néanmoins, je suppose que je l'ai fait. - D'une certaine manière je l'ai fait aussi.
C'est frustrant qu'on ait fait chacun notre chose. - Oui ça l'est.
Très bien, laissez tomber.
J'ai été jeune moi aussi, mais si ça se sait, cela pourrait profondément nuire
à la capacité de Reynholm Industry à fabriquer le produit que nous fabriquons.
Qu'attendez-vous de nous, M Renholm ?
Ne faites rien. Evitez les ennuis et souvenez vous:
Il y a des endroits plus bas que le sous-sol.
Ne t'inquiète pas Jen, personne ne peut nous reconnaître sur la vidéo.
Ça ressemble aux premières vidéos de baston postées sur Internet. Relax.
Je ne peux pas me calmer. Tout va bien pour toi. J'ai un plan.
Je veux monter là-haut. Je ne veux pas finir comme une pestiférée.
- Une quoi ?
Jen, jette un œil à ça. - C'est quoi ? - C'est le nouveau Game board.
200 000 vues ? Je sais. C'est un peu différent.
Mate un peu. Game board. Ferme ton clapet, c'est...
Game board. P*tain de game board.
T'en dis quoi ?
Wahou ! C'est comme si vous aviez changé quelque chose.
Oui, nous portons tous des pantalons pour femme.
Ah d'accord.
Hé, qu'est-ce qui se passe ? C'est parti pour game board.
Voici... Newton Sinclair.
Ce mec c'est... Roger Booth.
Et je suppose que je suis toujours Maurice Moss.
Portes-tu encore ton pantalon ?
Je ne peux pas le porte en permanence, Jen, j'en aurais une crise cardiaque.
Non, je l'ai mis en sécurité dans mon château de solitude.
C'est marrant. Quand je les portes, Je suis comme une pile électrique.
Un jeune Leonard Kravitz, les gens suspendus à chacun de mes mots.
Et dès que je les enlève, Je redeviens le même ...
Elle est partie, n'est ce pas ? Elle est partie. Depuis un bout de temps, ouais.
Oh, mais c'est Michael Bublé. - Non, c'est pour un enterrement, Moss.
Je dois aller à l'enterrement du grand-père d'Alice
et je n'en ai pas très envie.
Les enterrements ça casse les pieds.
Même dans le meilleur des cas, il n'y a pas de pique-nique.
Et maintenant Alice ne me lâche plus, à la façon de la police des émotions.
Je vais devoir avoir l'air triste d'une manière convaincante
pendant la majeure partie de la journée.
Elle ne s'attend pas à ce que je pleure, non ? - Non. - Que faire si elle pleure ?
Je ne peux pas pleurer sur demande. Qu'est-ce que je peux faire ?
Fais ce que je fais quand j'ai besoin de pleurer. Utilise un léger spray au poivre.
Voilà qui me parle ! Tu vois ?
C'est beaucoup plus sensé que de devoir éprouver des émotions.
Est-ce que tu en as ici ?
Pourquoi crois-tu qu'on a un frigo ?
Bonsoir.
Tu en as un peu beaucoup.
J'en ai peut-être préparé un peu trop.
C'est à base de quoi ? - Rien que tabac, wasabi et lacrymo.
Donc rien de très bon pour les yeux. - C'est très léger.
C'est à base d'eau. - OK j'en prends en dernier recours. - En dernier recours.
Si je manque d'empathie. - Et voilà !
D'accord. Merci Moss. - Salut.
Oh, n'oublie pas d'ajouter de l'eau.
Oh, pauvre Pip Pop.
Excuse-moi, quoi ?
Pip Pop...
On l'appelait toujours Pip Pop parce qu'il était si petit.
Tous les membres de ma famille de ce côté sont vraiment petits.
C'est vrai ?
Oh, Alice.
Oh !
Roy, tu vas bien ? - Bon sang... !
Oui, ça fait vraiment mal.
Oh, mon chéri.
Oh, ce que ça fait mal. - Je sais, je sais.
Oh mon dieu, pourquoi ?
Découvrira-t-on un jour qui était-ce ?
Malheureusement la technologie actuelle ne permet pas de dépixeliser
l'image, il est donc peu probable qu'on perce
l'identité de cette horrible rousse.
Oh, tu pleures encore ? - Je n'arrive pas à m'arrêter.
Un des porteurs du cercueil n'a pas pu venir. - Oh...
Écoute, je sais que c'est un peu bizarre.
Aurais-tu la gentillesse de les aider ?
J'en serai ravi. Je veux dire, j'en serai heureux. Oui, sans problème.
C'est bon.
Salut, merci beaucoup de nous donner la main. - Pas de problème.
Salut !
Bonjour ! Oh, en voilà un autre.
Salut ! As-tu vu les porteurs ? - Oui.
Alors vous et moi, on va porter le cercueil ensemble ?
- Oui.
Nous allons porter la bière sur nos épaules
et marcher en ligne droite ?
Non, ça n'a pas été, Jen. Ça n'a pas été du tout.
C'est gentil de demander, mais non, ça n'a pas été une réussite.
Ce fut un enterrement raté.
Ça manquait du minimum de dignité.
De la dignité ? Non, non.
Ça n'avait rien de digne. Vraiment rien de digne, Jen.
Si je devais choisir un mot pour définir le dernier voyage de Pip Pop
jusqu'à sa tombe, ce serait "marrant".
C'était tellement drôle, Jen. Bien-sûr, j'ai essayé de ne pas rire
et j'ai essayé de penser à autre chose,
mais chaque pas supplémentaire ne faisait que souligner
ce que la scène était comique !
Tu n'as pas ri au moins ? Je me suis marré à en crever.
Je n'arrive pas à croire qu'elle soit encore avec toi.
Je crois bien que mon sort ne tient qu'à un fil, Jen.
Je pense que je m'en sortirai si je ne fais pas d'autre faux pas.
Et maintenant ça sonne.
Une nouvelle source a permis d'identifier le couple,
Jen Barber et Roy Trennema, tous les deux employés de Reynholm Industries.
Mais bon sang à quoi pensiez-vous ?
Je vous avais dit de faire profil bas
et vous recommencez !
Non, non, non, c'est une nouvelle source, M. Reynholm.
Torchez-vous avec vos excuses !
Reynholm Industries a une réputation à maintenir.
Nous ne sommes pas Voici, pour l'amour de dieu !
Je vais devoir me taper cette connerie de Secret Millionaire maintenant
pour rattraper les dégâts !
Et vous me faites manquer une grosse soirée.
Tu n'es plus mon assistante.
Je suis furieux.
Et je vais vous dire quelque chose,
dès que j'en ai fini avec ce reality-show, je m'occupe...
...de vous.
Bonjour, salut bébé.
Oh oui, bien-sûr.
Non, évidemment.
D'accord. OK. Au revoir.
Elle t'a quitté ? - C'est ça, oui.
Comme l'identité de la garce qui jète son café sur les sans-abri
et de celui qui hait les personnes de petite taille ont été révélées,
nous, membres du journal de channel 4, nous nous demandons,
"Qu'est-ce qui déconne chez ces gens ?"
J'ai de nombreux nouveaux followers sur Chitter.
Une foule de followers, en fait.
Ils sont tous très grossiers.
Ils veulent notre mort.
Attend.
Quoi ? Chitter.
On peux utiliser Chitter pour s'expliquer.
Oui.
Chitter est le site idéal pour expliquer une situation compliquée.
Je sais.
"Je ne voulais pas jeter mon café sur cette femme.
J'ignorais qu'elle était là.
Je suis revenu en arrière pour..."
Oh... Trop de caractères. Trop de caractères.
Ça y est.
"Détester les sans-abri.
Et j'imagine que je dé*** les femmes aussi ?
LOL."
Envoyé.
Houlà ! Tu n'as pas envoyé ça, pas vrai ? - Si.
Ça ne promet rien de bon.
Les gens vont saisir l'idée, c'est l'avantage de Chitter.
Ça passe mieux si c'est à brûle-pourpoint, sans chichi.
Et voilà.
Oh... Tu as écrit la première phrase de manière affirmative.
Pas la peine de respecter la grammaire à la lettre sur Chitter.
Jen, ce que tu as Chitté c'est:
"Je dé*** les sans-abri et je crois que je dé*** les femmes aussi. LOL"
Pfiou, je suis contente que ce soit fini.
Après le chat mis à la poubelle, deux méchants anglais font le buzz.
Roy Trenneman, un raciste des petites personnes attaque un petit barman
Et le lance dans une fourgonette avec des seins.
Jen Barber, une femme mysogine, attaque une sans-abri
Puis attaque le sexe féminin tout entier...
Qui sera le prochain ?
Qui pourra l'arrêter ?
Ce que vous êtes sur le point de voir
Dépasse l'entendement.
Une femme mysogine lance un café sur une clocharde.
"Je hais les sans-abri et je suppose que Je dé*** les femmes aussi. LOL."
Et son ami crie des injures racistes sur un petit barman.
Tu es trop petit, tu es vraiment trop petit !
Tu es trop petit, trop petit, trop petit...
À cause de ça, il a été percuté par une fourgonnette avec des seins.
Nous n'oublions pas.
Nous ne pardonnons pas.
Nous sommes Anonymous.
Désormais Anonymous s'en prend à nous.
C'est le bonheur total.
Bof, que peuvent faire des binoclards cachés derrière leurs PCs ?
On a fait chier Internet, Jen. Internet va nous tomber dessus !
Bon, alors attaquons-nous à LUI avant qu'IL ne s'en prenne à nous.
Qu'est-ce que tu... ?
Je ne veux pas qu'Anonymous me traque.
Je fais parti d'Anonymous.
Je crois.
Cachons le.
Quoi ?
L'internet.
Parce qu'on t'avait dit que c'était l'Internet ?
Oui.
On ne t'a jamais dit que ce n'est pas l'Internet ?
Non.
Et bien, en fait, Jen...
ce n'est pas l'Internet.
Qu'est ce que Jen fait avec l'Internet ?
On arrête.
Flûte !
Allez, n'ayez pas peur, d'accord.
Nous ne vous voulons pas de mal.
Racontez votre histoire à Dougie. Ok, mais qui est-ce ?
Je suis seulement votre assistant social.
Oui, je ne faisais que passer dans le coin.
Faites comme si je n'étais pas ici.
Avez-vous jamais reçu de l'aide de quelqu'un ?
Mon grand père de temps en temps. Mais il est rarement dans le coin.
Et votre père ? - Il vit loin d'ici,...
Désolé mon ami, je dois vous interrompre. Je dois répondre.
Reynholm...
Quoi ? Et bien, augmente l'enchère.
Je me moque de la limite que je t'avais donnée.
Je veux cette œuvre de Madonna.
Désormais, 22 millions c'est le minimum tu peux aller jusqu'à 50 sans souci.
D'ailleurs 50 millions c'est le nouveau minimum. Oui, oui.
Je ne peux pas parler là.
Je suis en train de faire Secret Millionaire.
C'est très triste.
Vous voulez bien la fermer, on tourne Secret Millionaire.
Un peu de tenue.
Mon ressenti jusqu'à présent ?
Pour être honnête, ce n'est pas aussi atroce que je ne l'aurais cru.
Les gens ont été vraiment gentils. En fait ils sont presque propres.
J'ai été invité à une fête ce soir.
Ma dernière fête c'était pour la mise bas du chien d'Elton John.
J'ai menti. Ma dernière fête c'était suite à l'arrestation
de Robert Hersant.
Robert Hersant, c'est qui ?
Oh, personne, un vieil ami. Retournons là-dedans.
D'accord.
Alors j'ai pensé qu'avec la hausse d'audience de Jeux de société,
ce serait peut-être le bon endroit pour donner ma version de l'histoire et
montrer au monde que je ne suis pas le monstre que l'on dépeint.
Cesse de me huer, s'il te plaît.
C'est un tee-shirt horrible.
La question que tout le monde se pose, Jen Barber, 'Haïssez-vous les femmes ?'
Merci, Jen Barber.
À suivre: à quoi ressemblait la vie d'un négociant en céréales au XIVe ?
Attends, j'ignore si j'ai été assez claire. - Désolé, la faute au pantalon.
Il veut me faire enchaîner. Ça passe mieux à la télé et mon fute le sait !
À suivre. - Arrête de dire "À suivre". - À venir.. - Ils ne vont pas comprendre.
Oh mon dieu !
Mon dieu.
Richmond, travailles-tu ici ou pas ?
On ne me paie pas, mais j'aime venir ici.
Donc ce truc gothique n'a pas marché ?
D'après toi ça a marché ?
Peu importe. Comment allez-vous ?
Tout le monde pense que je suis misogyne.
La copine de Roy a rompu parce qu'il est insensible
et Moss porte un pantalon qui l'aide à passer à la télé.
Pas un petit ragot ?
Mais toi, que deviens-tu ?
Oh j'essaie de bosser un peu, je fais surtout des voix off.
Vraiment ? Comment est ce arrivé ?
On a remarqué que j'ai une belle voix.
Oh, Richmond.
Les choses ne vont pas bien du tout.
Reviens là-bas.
Ce n'est plus pareil quand vous n'êtes plus ensemble.
De toute façon, si tu à besoin de moi, tu sais où je suis.
En fait je ne sais pas Richmond.
Ne disparais pas !
Où est-il allé ?
Où est allé qui ?
Tu n'as pas l’impression que tout ce qui nous arrive
est un peu ...
bizarre ?
Comment ça, Roy ?
Et bien...
tu te souviens quand je me suis fait passer pour un handicapé
et j'ai fini à Manchester ?
Ce n'étais pas normal, non ?
Ou quand tu as passé toute ta nuit dans cette machine d'arcade.
C'était étrange.
Je suppose que c'étaient des événements peu communs.
Et c'est étrange.
Ce qui nous arrive là est étrange, pas vrai ?
Bon, au moins on en aura bientôt fini.
Douglas a prévu de nous virer dès qu'il reviendra.
Allez, ça ne nous ressemble pas.
Va-t-on rester assis et ne rien faire ?
Que fait-on d'ordinaire quand nous sommes dans le pétrin ?
D'habitude on ne fait qu'empirer les choses puis ça s'arrête.
Pas du tout. On se serre les coudes. - Ça ne nous ressemble pas.
Ok, ça suffit... Allez, qui sommes nous ?
Qui sommes-nous ? Je veux vous l'entendre dire !
Nous sommes le service informatique...
Vous avez bougrement raison !
Tu portes des pantalons pour femmes. Oui.
C'est exactement ce dont je parle.
Braquons une caisse et partons en vadrouille.
Comment entrer dans un voiture ? Casser un carreau. Super idée.
Celle là.
Je suis idiot. J'ai une main robotique.
Attendez. C'est MA voiture.
Merde. Wow-wow-wow. Tout va bien, tout le monde reste cool.
Je m'en charge. Prends-ça.
C'est bon M. le policier, nous tournons Secret Millionaire.
Allez, allez, allez. Qu'est-ce que ça donne ?
Allez, allez, allez les gars.
Depuis combien de temps porte-t-il ce pantalon ? - Il ne va pas l'enlever.
Ok, allez, allez, allez...
Qu'est-ce qu'il y a, ça donne quoi ? - Nous ne savons pas ce qui se passe.
OK, allez. À chaque problème, il y a une solution.
Quel est notre problème ici ? Quel est notre problème ?
Les gens pensent que je suis une vache qui hais les femmes. Tu es une vache.
Une garce. Les femmes, OK. Roy, épate-moi.
Heu, la femme que j'aime pense que je hais les gens de petite taille.
Les petites personnes, Merci Roy.
Je vais sûrement mourir seul devant de la pornographie informatique ?
Je vais juste faire un smiley triste.
Ok, qu'est ce que les femmes et les petits hommes aiment ?
Ce qu'ils aiment ? Les chaises. Les films. Je ne sais vraiment pas.
Je vais vous le dire. C'est juste qu'ils semblent êtres des groupes très différents.
Deux groupes très différents. Ne pas être attaqués.
Ils aiment tous ne pas être attaqués.
Et bien, je ne peux pas parler pour les petits mais, en tant que femme,
j'apprécie de pas être agressée. À quoi ça rime Moss ?
Je vais te dire à quoi ça rime Roy.
Je suggère que nous mettions à profit l'absence de Douglas,
pour produire une lacrymo d'autodéfense à l'attention des petites femmes,
en utilisant ce que j'avais donné à Roy.
Ça a vraiment l'air bizarre.
Finie Jen Barber la misogyne, elle deviendrait leur recours, leur appui.
Là ça me parle.
Et je peux faire une présentation publique.
Un gaz d'autodéfense destinée à de petites femmes m'aiderait aussi.
Alice réalisera que je m'implique et comme ils sont petit dans sa famille,
elle viendra forcément voir la présentation de Jen.
Vous savez, quand j'ai préparé ce stock de lacrymo dans le frigo,
je me suis dit que j'en avais trop préparé... mais là je réalise
que j'en avais préparé en quantité suffisante pour répondre à nos besoins.
C'est comme si l'idée était trop bonne.
Vous voyez ce qu'on peut faire réunis ? Avec mon sens des affaires...
Mon savoir-faire scientifique... -Et je suis aussi présent...
Rien ne nous résiste ! - Oui !!
Il faut que je quitte un moment le pantalon.
Tu viens Roy ?
Je n'arrive pas à trouver les mots justes à écrire à Alice.
Tu écris un discours ?
Oui, il faut que je lui montre que je ne suis pas totalement insensible.
En fait je suis une personne très sensible, il faut qu'elle le sache.
Oh, trouve un mot plus romantique pour 'nichons' ?
Un mot PLUS romantique ?
Allez les gars. Allons protéger les femmes ! - J'arrive. - Bonne chance.
Merci.
Pare-chocs !
Bien, est-ce que tout est prêt ?
Oui, les affiches sont en place
et j'ai mis un sac avec le spray au poivre à chaque place.
C'est vraiment une brillante idée d'avoir mis le spray
dans ces beaux flacons.
Pourquoi ne pas rester élégante même en cas d'auto-défense ?
Quelque chose me dérange, cependant.
Aurions-nous oublié d'envisager un aspect très négatif avec cette idée ?
Je ne pense pas. Oh, regarde, tout le monde arrive.
Bonjour, et bienvenue à cette présentation très
spéciale pour les femmes, par une femme, moi une femme, qui aime les femmes.
À côté de vos sièges vous trouverez un sac cadeau, dans lequel
vous trouverez notre formidable nouveau produit.
Non, ne faîtes pas ça.
Non, vous n'êtes pas supposées...
Oui ! J'ai quelque chose que je dois absolument te dire !
Non, je dois sortir. Non, tu n'iras nulle part.
Je sais que dans le passé tu m'as accusé
d'être une personne insensible.
Tais-toi et écoute. Mais maintenant j'ai changé: tout est clair.
Maintenant je comprends où était l'erreur.
Avec tes douces lèvres et, bien-sûr, tes ravissants obus,
je sais que tu m'es destinée.
Je souffre terriblement.
Moi aussi Alice, moi aussi, mais c'est fini. On en est venus à bout.
Ça n'aurait pas pu mieux se passer.
Oh, non Roy, ça ne s'est pas bien passé du tout .
Ah oui, parce qu'on va tous perdre notre boulot.
M. Reynholm...
Alors, voilà le truc. J'ai donné une bière à un gamin,
donc techniquement je suis coupable de détournement de mineur.
C'est pour cette raison que j'ai acheté les habits d'un sans-abri
et que j'ai dû m'éclipser.
Alors vous avez besoin d'une planque ? - Oui, un endroit hors du monde.
Quelque part auquel personne ne pensera. - Le bout du monde.
Vous pouvez vous cacher ici. - Ohlà.
Mais j'ai besoin de quelqu'un pour s'occuper des affaires là-haut.
Nous on ne fait rien.
Et bien, c'est parfait.
Ma superbe assistante, Joan, et ses deux amis, Ross.
Je vais aller perdre mon temps sur internet
mais en fait j'ai besoin de manger.
J'ai déjà bouffé un des jouets ici.
Ai-je bien compris ce qu'il a dit ? - Je n'écoutais pas vraiment.
Est-ce... Est-ce une bonne nouvelle ? C'est bien ?
Oui, c'est une très bonne nouvelle. Oh mon dieu !
On grimpe là-haut. Je n'en reviens pas.
On monte là-haut.
Jen Barber.
Oh, je l'avais oublié. - Bon sang c'est impressionnant.
Ils nous regardent. Hé mon gars, suis-je dans Anonymous ?
Silence, mauvaises gens !
Félicitations Jen Barber. Voici votre condamnation.
Vous avez été reconnu coupable du plus affligeant manque de
gentillesse et décence humaines.
Entrez.
Tais-toi. - Peter, qu'est-ce que tu fais là-dedans ? - Tais-toi !
Tu es ici depuis des heures. Je suis entrain de faire quelque chose. Allez-vous en !
Peter, ta mère et moi on s'inquiète. Sors maintenant.
Tu dois arrêter l'ordinateur. Qui est ce ? C'est tes amis ?
Je suis désolé. Peter ne peux plus jouer. Il va sortir dehors.
'Vous avez dit que je pouvais rester ici aussi longtemps que je voulais.'
Nous avons dit que tu devais aller dehors.
'..faire mes devoirs...
'J'ai fait mes devoirs...'
'Je connais mes droits...'
L'Internet ne fonctionne pas. Je n'arrive pas à me connecter.
Essayez juste de le redémarrer.
Merci, Ross.
Reynholm Industries change.
De nouvelles opportunités, de nouvelles têtes, une nouvelle direction.
Un meilleur environnement de travail.
De nouveaux produits passionnant.
Une politique d'embauche ouverte ... Je semble heureux ?
Pourrais tu être un peu plus ... Oui, c'est juste moi étant heureux.
Juste un peu plus, je ne sais pas ... Je suis optimiste.
Non, je veux juste que tu parles ... Ah, laisse tomber, on a qu'à arrêter.