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Je m’appelle Alžběta Filipová
et je suis doctorante à l’université de Lausanne et à l’université Masaryk de Brno.
Bien que je ne participe pas au projet «Historiens de l’art migrateurs » physiquement
je vais contribuer à ce dernier depuis le cadre de l’université.
Je vais être impliquée d’au moins trois manières.
Premièrement, pour permettre aux étudiants (qui sont sur la route)
d’écrire leurs mémoires de master,
il est nécessaire d’être en collaboration avec d’autres étudiants au sein des universités
pour leur faire parvenir du matériel d’études –
– mon rôle sera de maintenir cette coopération fonctionnelle.
De même, je vais mener les cours en e-learning,
parallèlement à l’intégralité du projet.
Au sein des cours, il sera possible d’accéder
aux conférences d’historiens de l’art mondialement reconnus,
qui vont rencontrer nos étudiants durant leurs séjours dans les monastères ;
pour discuter leurs expériences et réévaluer les informations obtenues tout au long de leur voyage.
Parmi ces experts il y a, par exemple,
Hans Belting, Herbert Kessler, Tanja Michalsky et Michele Bacci,
ce qui me fait croire que cela sera véritablement remarquable.
Comme cela est probablement évident,
ce projet n’est pas une reconstitution du passé,
une reconstruction d’expériences ou de réalités médiévales,
mais bien au contraire un projet scientifique
qui vise à connecter le passé et le présent
de la manière la plus proche et la plus plausible.
Enfin, je vais participer au processus de création de douze court-métrages,
qui vont tâcher de transmettre la vie de nos étudiants,
nos marcheurs, nos courageux historiens de l’art migrateurs.
C’est grâce à ces films que vous aussi pourrez assister à cette aventure.