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[Marco Rubio] Merci. Merci, Sénateur Martínez, et merci beaucoup de cette possibilité
d'être avec vous aujourd'hui. Je vous en suis reconnaissant.
Merci beaucoup au Sénateur pour la promotion du livre.
Merci, Sénateur Martínez, d'avoir montré mon livre,
qui est disponible sur Amazon à $16.99.
Merci: je l'apprécie beaucoup
Je veux dire quelques mots en espagnol, rapidement, avant d'entamer mon discours,
d'abord pour vous remercier d'être venus en Floride
et de tenir ici votre conférence de NALEO.
Il y a cinq ans que NALEO est venu au Floride central, je pense sur ce même site.
Et nous avons réuni pour parler des enjeus à l'époch.
Apres quelque minutes je vais parler d'où nous nous trouvons aujourd'hui.
Et il me surprends, mais malheureusement nous trouvons que la plupart des enjeus
qui etaient importants à l'époch restent importants aujourd'hui,
qu'aucun de ces enjeus qui existait pendant ce conference ont étaient rémédiés au niveau fédéral
Et nous allons parler de ça tout de suite, mais je voudrais remarquer à vous tous
que je vous remercie d'avoir choisi la Floride pour cette conférence.
[Applaudissements]
Je m'excuse à ceux qui ne parlent pas l'espagnol.
J'étais en train de leur dire que j'ai beaucoup épargné sur l'assurance pour ma voiture [rires]
Merci.
Alors, je voulais vous parler aujourd'hui, et j'ai pensé, eh bien quoi -
une des choses qui me fait frustré parfois c'est que quand on parle aux hispanics et aux latinos,
on ne veut parler que de l'immigration.
Et le cas que j'avance c'est que l'immigration c'est enjeu tres important pour la communauté hispanic,
mais la grande majorité parmi nous ne se levent pas le matin pour penser a l'immigration toute la journée.
Nous pensons - nous nous levons le matin en ayant les mêmes soucis, les mêmes espoirs et les mêmes craintes
que tout le monde dans ce pays.
Nous nous inquiétons concernant le devoir de payer les employés le vendredi.
Nous nous inquiétons concernant notre budget de famille au fin du mois.
Nous nous inquiétons concernant les écoles auxquelles nos enfant assistent.
Nous nous inquiétons concernant si demain marchera meilleur pour eux qu'il faisait pour nous.
Et c'est ça sur lequel je voulais concentrer aujourd'hui que je suis y venu parler avec vous.
Mais je ne vais pas nécessairement me limiter a ces choses parce que je pense que
ma tête et mon coeur, tous les deux, me disent qu'aujourd'hui, is se peut que nous soyons aussi proche que jamais
au bord d'un point tournant décisif dans le débat concernant l'immigration.
Ed donc, j'ai abandoné l'espoir de parler seulement au sujet de l'écomonmie et les boulots,
tant important que se soit, pour un moment, pour un jour,
en esperant vous parler franchement au sujet de l'immigration,
ce que j'ai appris pendant mon an et demi au sénat, et ce que j'espere va se passer en avançant.
Le premiere chose que j'ai appris qu'en je suis arrivé au sénat c'est, personne ne voulat m'en parler.
Il y avait trop de cicatrices, trop de peine.
Trop de gens ont été battu par ce qui s'est passé il y a 4 ou 5 ans.
J'essayai à parler de l'enjeu et on disait:
"Tiens, je ne veux pas y aller encore une fois.
Je l'ai essayé il y a 5 ans, je l'ai essayé il y a 3 ans, et tous ce que j'ai achevé c'etais la douleur.
Ca c'est limpression que j'ai sentit quand j'ai entré au sénat
et je veux que vous sachiez, ce n'etait pas seulement les républicains.
I'l s'agissait des sénateur qui ont été brulés par la façon dont on a discuté et approché cet enjeu
et vraiment simplement ne voulait en parler plus.
C'est ce que j'ai appris d'abord.
La seconde chose que j'ai arrivé à connaitre c'est combien cet enjeu est devenue compliqué.
Ce n'est pas enjeu simple.
L'immigration - nous - les deux cotés aiment en parler comme si la bonne réponse etait facilement oui ou non.
Il est beaucoup plus compliqué que ça.
Et ceux de nous qui s'engagent dans le débat doivent le reconnaitre franchement,
que tous les deux cotés avancent des points valables,
Les gens qui sont contre l'immigration illégale et mettent ceci à la fondation de leur proposition
le regarde comme enjeu seulement de la loi et de l'ordre. Mais nous savons que c'est beaucoup plus.
Oui, c'est enjeu de la loi et de l'ordre, mais cet aussi enjeu d'humanité.
Ce sont de vrais gens, des êtres humains avec des enfants et des espoirs et des rêves.
Ce sont des gens qui font ce que quasiment chaque un parmi nous fasse.
Si nous enfant avaient faim, si leurs pays etaient dangereux, s'ils n'avaient point d'espoir concernant leur avenir. [Applaudissements]
Et trop souvent, dans notre conversation concernant l'immigration, cette perspective disparrait.
Qui parmi nous ne ferait pas tous possible en nourrissant nos enfants et pour leur donner meilleur avenir?
Et quand même l'autre coté du débat est également coupable de le simplifier trop.
L'immigration illégale c'est vrai problème. Ce n'est pas problème illégitime, il est véritable.
Il a des consequences.
Unes des grandes histoires inconnues en Amerique aujourd'hui c'est que nul communauté le comprend mieux que la notre.
Ce cont les latinos, les hispaniques qui sentent l'impact de l'immigration illégal personnellement.
Je veux dire, l'aspect humain, mais aussi ses taux et les fardeaux qu'elle place au dos de la société.
dans les endroits où elle est mal reglée.
Nous devons aussi commencer à découvrir que nous sommes pays tres généreux,
Un million gens par année font l'immigration aux Etats-Unis légalement.
Il n'y a aucun pays dans le monde qui y approche.
Il faut nous reconnatire qu'il y a probablement 50 million de gens, en comprenant beacoup dans l'Amerique Latin,
peut-être les membres de votre famille, qui attendant y venir légalement.
Chaque journée dans mes bureaus ici et au sénat, je trouve des gens qui entrent et disent:
"Ma mère est en train d'attendre, ma soeur est en train d'attendre il y a 15 ans.
Ils ont payé les frais, ils ont attendu leur tour."
Quel est notre message à celles-la? Venez d'une façon illégale, c'est moins chèr et plus vite?
Ce n'est pas réponse non plus.
En dernier mais pas le moins important, j'ai cet idéee que parfois il me semble que les gens demandent leurs droits.
La vérité c'est il n'y a aucun droit d'immigrer d'une façon illégale aux Etats-Unis.
Et quand nous parlons de l'immigration illégale, ce n'agit pas de demander des droits.
Il s'agit d'appeler à la compassion du pays le plus compassionant dans l'histoire du monde.
Pourquoi cet enjeu est-il simplifié Je vais cous dire tout de suite: parce que cà fait politiques puissants.
C'est enjeu politique puissant.
J'ai vu que les gens l'utilise en gagnant l'argent.
J'ai vue que les gens prennent les soucis légitimes concernant l'immigration illégale
et en font de la panquie, ils dirigent cette panique vers le peur et la colère, et font de cette colère des votes et de l'argent.
J'ai aussi vu des gens qui marchent en sens envers: chaqu'un qui n'est pas d'accord
avec leurs idèes concernant l'immigration illègale est contre les immagrants et contre les hispanique.
Ca c'est ridicule. C'est ridicule.
Toute chose s'agit des politiques: je l'ai vu sur place.
Il y a trois mois, je me suis levé, et je commencais à travailler avec certains de mes collègues sur une concept:
comment est-ce que nous pouvons servirs les enfants que se trouvent dans ce pays, sans faute, sans papiers?
Et comment pouvons-nous y arriver d'une façon qui nous réunit et ne nous sépare pas?
Comment pouvon-sous l'accomplir d'une façon qui fait honneur a notre histoire d'un pays d'immégrés, mais aussi un pays des lois?
Et j'ai proposé des idées spécifiques et j'en ai parlé au publique.
La réaction de beaucoups de la gauche c'était le refus instant.
J'ai vu des gens de la gauche qui disaient que je proposais nouveau compromis de trois cinquièmes,
rapellant l'époch dont un esclave n'était que trois cinquièmes d'être humain.
J'êtais accusé de soutenir l'arartheid.
J'étais accusé de soutenir, "le DREAM ACT sans rêve."
Bien sur, quelque mois apres, le Président prend idée pareille et la fait marcher
d'une manière executive et soudainement c'est la plus formidable idée au monde.
Il ne me fait rien à qui s'attribue le mérite. Rien.
Mais on a exposé le fait que cet enjeu s'agit tout-a-fait des politiques pour quelques uns.
Pas seulement les démocrats, les républicains aussi.
La probité c'est qu'apres cette action la semaine passée, tout les questions s'occupaient de quelle tactique brillainte c'etais
pas posées par vous, mais par les gens qui font le réportage des politiques.
Tout ce on veut discuter c'est, "Eh bien, qu'est-ce que ça signifie pour l'élection?"
"Qu'est-ce que ça signifie aux politiques?" "C'etait tactique politique brilliante, n'est-ce pas?"
Je suppose que, si ça c'est de quoi cet enjeu s'agit pour vous, peut-être elle en êtait.
Mais moi, je ne cherchais pas parole,
Je ne cherchais pas façon d'influencer l'élection le novembre.
Je cherchais façon aider ces jeunes gens que j'ai rencontré.
Ce ne sont pas des gens dont j'ai lu dans les journeaux, ce sont des gens dont j'ai fait la connaissance,
qui sont y venu quand ils avaient 5 ans, que ne savaient même pas qu'ils étaient sans papiers
jusqu'ils ont se posé candidat à l'université, qui sont les plus valeureux de leurs écoles,
qui veulent devenir biologiste moléculaire, qui ont été acceptés par école Ivy League,
Et nous allons les déporter, en pays qui a besoin de plus de biologistes moléculaires.
C'est de ça qu'il 'sagissait pour moi, c'est toujours de ça qu'il s'agit pour moi.
Et seulement s'il s'agisse de ça le problème serait elle jamais rèmèdièe.
Pendant que cet enjeu de l'immigration reste ping-pong politique
que chaque coté utilize en gagnant les élections et influencer les votes, je vous dis: il se sera pas rémédié.
Parce qu'il y a trop de gens qui ont conclu que cet enjeu, irrésolu, il est plus puissant.
On veut qu'il reste irréssolu. Il est plus facile d'influencer les élections.
Il est plus facile augmenter les coffres.
La seule façon de le rémédier c'est l'approche en bilan qui reconnait que c'est compliqué.
Et je pense que le chemin qu'on doit adopter c'est de l'approcher
numéro un, en comprenant qu'il nous faut regagner le confiance du peuple american.
Le confiance qu'on est sérieux au sujet de discourager l'immigration illégale au futur.
C'est pourquoi les procès d'enforcement sont importants comme partie de toute réforme.
Mais je pense auusi qu'il faut réformer notre système d'immigration lègale.
Je dis aux gen toujours: l'unique plus grant contributeur à l'immigration illégale
c'est le procès actuel qui est bureaucratique, compliqué et plein de fardeaux.
Il ya des millions de gen dans ce pays qui voyagerait chez eux
s'il pensaient qu'ils puissent revenir travailler lears emplois saisonniers.
Et je n'ai entendu parler de personne qui ne voudrait immigrer légalement, soit possible, soit abordable.
Il y a quelques uns qui se trouvent sans papiers suivant être coupables de rien.
Quelqu'un leur a dit qu'on êtait avocat d'immagration et ils lui a donnê un chèque de $5,000
et le gar est disparu. Et maintenant ils sont sans papiers.
Il est compliquè.
Si nous pouvons réformer et modernizer notre régime d'immigrations,
si nous pouvons regagner le confiance du peuple Americain,
nous allons travailler sur l'enjeu des millions de gens qui sont toujours sans papeirs.
Et la grande réponse - la grande question donc est: eh bien, que ferrons-nous avec eux?
Et j'ai parler de ce quil faut faire concernant les enfants. Quoi de tous les autres?
Voici la verité, si nous sommes honnêtes avec nous mêmes: nous ne savons pas encore. parce qu'il n'est pas simple.
Je sais que nous n'allons pas déporter, rassembler et deporter douze millions gens.
Je sais que nous n'allons pas donner l'amnistie à douze millions gens.
Et quelque place entre ces deux idées se trouve la solution qui ne sera jamais simple,
mais je vous promets qu'elle deviendra plus facile à trouver si nous ayons régime d'immigration légale qui marche
et le confiance du peuple Americain que nous somme déterminés conernant l'enforcement de nos lois.
Quelques un peut dire, c'est trop a demander, cet approche en bilan
Eh bien c'est vrai, s'il continue a être politicisé,
J'étais tenté a y venir aujourd'hui et déchirer les politiques de l'administration.
Je sais que tout de suite, on va écouter le président.
J'étais tenté a y venir et vous dire: "Il n'etait pas venue ici il yu a trois ans.
Quelle coincidence: c'est année d'élection.
J'étais tenté à cous dire: "N'a-t-il pas - pourquoi n'a-t-il pas donné a cet enjeu la priorité?" (Applaudissements]
J'étais - eh bien, je suppose que je viens de vous le dire. (Applaudissements]
Mais ce n'est pas le sens que je désire, parce que - car si je le voulais,
se je serais venu ici pour parler de ça
je ferriais exactement la même chose que je viens de critiquer:
exactement la même chose que je viens de critiquer,
Alors, est-ce possible que nous arrivions à ce point?
Laissez-moi terminer en vous disant pourquoi je pense qu'il nous faut et que nous devons.
Je vais tenir sur une histoire de laquelle j'ai entendu parler récemment. Je ne connaissait pas l'histoire auparavant: j'en ai appris récemment.
Il est l'histoire d'un homme ancien qui est venue aux Etats-Unis légalement
et puis il a décidé a se rendre à son pays parce qu'il était un peu découragé
concernant les conditions ici et il a décidé a se rendre à son propre pays.
Et puis, apres quelques an là, les conditions n'etaient pas bonnes et il a décidé revenir.
Tiens, je n'en suis pas certain, mais quand il est revenu aux Etats-Unis,
Je pense que parce qu'il est arrivé légalement une fois, il pouvait toujours rentrer.
Mais il avait tort.
Je pense qu'il ne réalisait pas - je ne sais certainement - mais je pense
qu'il ne réalisait pas que si on habite ici pendant un an, son visa d'immigrant arrive à terme
et il faut le renouveler.
Il était homme ancien, il était handicapé, il ne parlait pas l'anglais,
Et il arrive aux Etats-Unis, et immédiatement, il est detenu et questioné.
Et on lui dit qu'il doit se présenter au tribunal ou on l'ordonne déporté.
Je pense simplement: vous êtes vieux, handicapé, vous ne parlez pas la langue,
accoster la justice Americain? Il devait sentir la panique.
Mais je ne sais comment, sur le chemin, à cause des conditions dans ce pays,
et beaucoup d'autres facteurs à l'époch, les Etats-Unis ont dit,
"Vou savez, vous n'avez pas le droit légal de rester ici, mais nous allons vous permettre de rester,
parce que votre cas, votre histoire, nous touche au coeur et touche notre héritage comme pays d'immigrés.
Cette histoire me signifie beacoup, car quelques ans plus ***, cet homme était si plein de remerciements vers son pays
qu'il passait beacoup d'heures avec son petit-fils en parlant, parlant du grandeur de l'Amerique,
quel pays spécial l"Amerique elle était.
Et aujourd'hui son petit-fils sert dans le sénat des Etats-Unis et se présente avant vous aujourd'hui. [Applaudissements]
en sachant [applaudissements] sachant qu'à lépoch nous étions pays
qui pouvait faire le bilan entre nos lois et notre compassion,
notre désire d'habiter un pays de lois mais aussi d'avoir un pays d'immigrés.
Et donc je termine en demandant à vous: comment sommes-nous jamais arrivés à cette place?
Comment l'immigration peut elle être controversée et divisive dans un pays d'immigrés?
Comment est-ce possible qu'un pays bâti par des gens qui vennaient de toute autre endroit
soit tellement divisé concernant qui peut y venir maintenant?
Et peut-être que la meilleure façon de commencer à confronter cet enjeu est de rappeler qui nous sommes,
et comment c'est forcément serré dans l'essentiel de notre grandeur.
La statue de la liberté elle est souvent regardée comme symbole de l'immigration.
Ce n'est pas pourquoi on l'a construit.
La statue de la liberté n'était pas bâti être symbole de l'immigration.
Elle était bâti comme poème au républicain - le républicanisme, pas le parti républicain
quoique quelques-uns proclament - mais, je blague.
Mais la raison qu'elle est devenue symbole de l'immigration c'est parce que les immigrants de d'Europe
quand ils approchaient Ellis Island, ils sillonaient juste à côté d'elle,
Et la premiere chose quils voyeraient auprés de l"Amérique c'était cette statue.
Et au commencement du siècle passé, il y avait une poéme écrite et inscrivite
sur un placard qui se trouve là, que je pense nous rappelle la loi, des choses qui nous font différents,
et qui il nous faut rester.
Et quand je lis ces paroles, les mots me rappelle au voyage que mes propre parents ont fait,
des gens désesperés à donner à leurs enfants la vie meilleure que la leur,
d'assurer que toute opportunité qu'ils n'ont pas eu trouverait place dans les vies de leurs enfants et leurs petits-enfants.
Cette émotion se trouve parmi tout les peuples du monde entier.
Mais il n'y a qu'ici dans ce pays que cette rêve est devenue réalité une fois, plusieurs fois.
Et alors, laissons-nous nous souvenir des paroles de cette poème, qui nous appelle et dit -
et répondre à cette question simple de qu'est-ce que nous aimons mieux?
Aimons-nous nos partis plus que notre pays?
Occupons-nous plus de l'élection prochaine que de l'avenir?
Somme-nous toujours ce phare de l'espoir au monde?
Sommes-nous toujours le pays nos parents ont trouvé quand ils sont venu ici,
ou est-ce que nos enfants vont hériter un pays different, pays plus semblable au reste du monde?
Sommes-nous toujours le pays qui croyait autrefois en ces mots:
"Garder, vous terrains anciens, votre grande pompe célébrée!" elle crie.
Avec ses lèvres silentes. "Donnez-moi vos fatigués, vos pauvres,
Vos mondes blottis qui aspirent à respirer libre,
Les déchets souffrants de vos littoraux abondants
Envoyez les, les sans-abri, les bouleversés-tempête, me les envoyez,
Je lève ma lampe à côté de la porte dorée!"
Merci. (Applaudissements}