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Histoire de Jules César par Jacob Abbott CHAPITRE III.
AVANCEMENT au consulat.
Dès cette époque, qui était d'environ soixante-sept ans avant la naissance du Christ, César
est resté pendant neuf ans en général à Rome, engagée il ya une lutte constante pour
alimentation.
Il a été un succès dans ces efforts, la hausse tout le temps d'une position d'influence
et d'honorer à l'autre, jusqu'à ce qu'il devienne tout à fait le plus important et puissant
l'homme dans la ville.
A incidents grand nombre sont enregistrés, comme la participation à ces concours, qui illustrent
d'une manière très frappante le mélange étrange de violence grossière et juridique
formalité par laquelle Rome était à l'époque régies.
La plupart des bureaux les plus importants de l'Etat dépendait des votes de la
peuple, et que les gens avaient très peu l'occasion de se familiariser avec le
mérites réels de l'affaire en ce qui concerne
questions de gouvernement, ils ont donné leur voix beaucoup selon le personnel
popularité du candidat.
Les hommes publics ont très peu de principe moral en ces jours, et ils le feraient en conséquence
recourir à tout moyen que ce soit à se procurer cette popularité personnelle.
Ceux qui voulaient bureau ont l'habitude de soudoyer des hommes influents parmi les personnes à
les soutenir, parfois en leur promettant des bureaux subordonnés, et parfois par le
don direct de sommes d'argent, et ils
serait s'il vous plaît essayer de la masse du peuple, qui étaient trop nombreux pour être payé avec
bureaux ou avec de l'or, par des spectacles et des spectacles, divertissements et de tous les
nature qui leur permettrait de leur amusement.
Cette pratique nous semble très absurde, et nous nous demandons que le peuple romain devrait
le tolérer, car il est évident que les moyens pour subvenir à ces dépenses doivent
viennent, en définitive, d'une façon ou d'autre part, de leur part.
Et pourtant, il semble absurde que, ce genre de politique n'est pas entièrement désaffectée, même dans notre
jour.
Les opéras et les théâtres, et autres établissements similaires en France, sont
soutenue, en partie, par le gouvernement, et la libéralité et l'efficacité avec laquelle
cela est fait, les formes, dans une certaine mesure, le
fonction de la popularité de chaque administration réussir.
Le plan est mieux systématisée et réglementée de nos jours, mais il est, dans son
la nature, sensiblement la même.
En fait, les amusements d'ameublement pour les personnes, et fournit également des fournitures pour
leurs besoins, ainsi que leur accordant une protection, ont été considérés comme la légitime
objets de gouvernement à l'époque.
Il est très différente à l'heure actuelle, et surtout dans ce pays.
La communauté dans son ensemble sont maintenant unis dans le désir de limiter les fonctions de
gouvernement dans les plus étroites limites possibles, comme pour inclure uniquement le
la préservation de l'ordre public et la sécurité publique.
Les gens préfèrent subvenir à leurs besoins propres et à fournir à leurs jouissances propres, plutôt
que d'investir le gouvernement avec le pouvoir de le faire pour eux, sachant très bien que, sur
le plan de celui-ci, les charges qu'ils auront
à supporter, mais caché pour un temps, doit être doublé à la fin.
Il ne faut pas oublier, cependant, qu'il y avait quelques raisons dans les jours qui suivent la
Romains pour fournir des divertissements publics pour les personnes sur une échelle élargie qui ne
pas le cas actuellement.
Ils ont eu très peu d'installations, puis pour les jouissances privées et séparées de la maison, de sorte
qu'ils étaient beaucoup plus enclins que les gens de ce pays sont désormais à rechercher
plaisir à l'étranger et en public.
Le climat, lui aussi, doux et agréable presque toute l'année, en faveur de cette.
Alors qu'ils n'étaient pas intéressés, que les hommes sont maintenant, dans les activités et occupations de
l'industrie privée.
Le peuple de Rome ne sont pas une communauté de marchands, les fabricants, et les citoyens,
s'enrichir, et en ajoutant au confort et les plaisirs du reste de
l'humanité par les produits de leur travail.
Ils ont été pris en charge, dans une grande mesure, par le produit de l'hommage à l'étranger
provinces, et par le pillage prises par les généraux au nom de l'Etat dans
guerres à l'étranger.
De la même source, trop - la conquête étrangère - captifs ont été amenés à domicile, d'être
formés comme des gladiateurs pour les amuser avec leurs combats, et des statues et des peintures à
ornent les bâtiments publics de la ville.
De la même manière, de grandes quantités de maïs, qui avait été prise dans le
provinces, ont souvent été distribués à Rome.
Et parfois même terre elle-même, dans de grandes étendues, qui avaient été confisqués par le
Etat, ou autrement prises par les possesseurs d'origine, a été réparti entre les personnes.
Les lois promulguées de temps à autre à cet effet ont été appelées lois agraires, et la
phrase après passa dans une sorte de proverbe, dans la mesure où les plans proposés dans
les temps modernes pour se concilier la faveur de
la population en partageant entre eux des biens appartenant à l'Etat ou pour les riches, sont
désigné par le nom de agrarisme.
Ainsi, Rome était une ville prise en charge, dans une grande mesure, par les fruits de ses conquêtes,
qui est, en un certain sens, par le pillage.
Il était une vaste communauté plus efficacement et admirablement organisée à cet effet;
et pourtant il ne serait pas parfaitement juste pour désigner les gens n'ont tout simplement comme une bande de
voleurs.
Ils ont rendu, dans un certain sens, un équivalent pour ce qu'ils ont pris, dans l'établissement et
l'application d'une certaine organisation de la société à travers le monde, et en préservant une
sorte d'ordre public et la paix.
Ils ont construit des villes, ils ont construit des aqueducs et les routes; ils ont formé des ports,
et à les protéger par des piliers et de châteaux, ils protégés du commerce, et cultiva la
arts, la littérature et encouragée, et
a imposé un calme général et la paix parmi les hommes, ce qui permet de non-violence ou la guerre
sauf ce qu'ils se sont créée.
Ainsi ils ont gouverné le monde, et ils se sentaient, comme tous les gouverneurs de l'humanité toujours
faire, de plein droit de se fournir les commodités et le confort de la vie,
en contrepartie du service dont ils sont ainsi rendus.
Bien sûr, il fallait s'attendre à ce que parfois ils se quereller entre eux
sur les dépouilles.
Les hommes ont toujours été ambitieux résultant, désireux d'obtenir des occasions de faire frais
conquêtes, et d'apporter des fournitures de maisons neuves, et ceux qui ont le mieux réussi dans
rendre les résultats de leurs conquêtes
disponible en ajoutant à la richesse et les plaisirs publics de la ville, serait,
bien sûr, être le plus populaire auprès des électeurs.
Ainsi l'extorsion de fonds dans les provinces, et la dépense la plus abondante et généreuse dans le
ville, est devenu la politique où chaque grand homme doit mettre en œuvre pour accéder au pouvoir.
César entra dans cette politique de toute son âme, de fonder tous ses espoirs de
succès sur la faveur de la populace.
Bien sûr, il avait des rivaux et des adversaires nombreux dans les rangs patriciennes, et dans le
Sénat, et ils ont souvent entravé et contrecarré ses plans et mesures pour un temps, mais
il a toujours triomphé à la fin.
L'un des premiers bureaux d'importance à laquelle il atteint était celui de questeur, comme
il a été appelé, dont le siège a appelé loin de Rome dans la province de l'Espagne,
faisant de lui le commandant en second il.
Le premier officier en commande dans la province était, dans ce cas, un préteur.
Pendant son absence, en Espagne, César reconstituées dans une certaine mesure son épuisement
les finances, mais il est vite devenu très mécontent de manière subordonnée une
la position.
Son mécontentement a été considérablement augmentée par sa venue de manière inattendue, un jour, dans une ville
alors appelé Hadès - Cadiz présente - sur une statue d'Alexandre, qui ornait l'un des
le public édifices là.
Alexandre est mort quand il n'était que d'environ trente ans, ayant avant cette
période se rendit maître du monde.
César était lui-même maintenant environ trente-cinq ans, et il le rendait très triste pour
refléter le fait que, s'il avait vécu cinq ans de plus que Alexander, il n'avait pas encore
accompli si peu.
Il était donc présent, seule la seconde dans une province, alors qu'il a brûlé avec un
insatiable ambition d'être le premier à Rome.
La réflexion lui fit si inquiet qu'il a quitté son poste avant son temps expiré, et
retourna à Rome, de formation, sur le chemin, des projets désespérés pour obtenir le pouvoir.
Ses rivaux et ennemis l'ont accusé de divers régimes, plus ou moins violente et
trahison dans leur nature, mais comment justement il n'est pas maintenant possible de vérifier.
Ils ont allégué que l'un de ses plans était de participer à certaines des colonies voisines,
dont les habitants voulaient être admis à la liberté de la ville, et, faisant commune
provoquer avec eux, à lever une force armée et de prendre possession de Rome.
Il a été dit que, pour empêcher l'accomplissement de cette conception, une armée
dont ils avaient soulevé pour la fin d'une expédition contre les pirates de Cilicie était
détenu à partir de son mois de mars, et que César,
voyant que le gouvernement étaient sur leurs gardes contre lui, a abandonné le régime.
Ils lui ont également accusés d'avoir formé, après cela, un plan au sein de la ville pour
assassiner les sénateurs dans le sénat, puis usurper, avec son compagnon de
conspirateurs, le pouvoir suprême.
Crassus, qui était un homme de grande richesse et un grand ami de César, a été associée
avec lui dans ce complot, et aurait dû être faite dictateur si elle avait réussi.
Mais, malgré le prix brillante avec laquelle César a tenté de séduire
Crassus à l'entreprise, le courage lui manqua lorsque le temps de l'action
arrivée.
Courage et de l'entreprise, en fait, ne doit pas être attendue de la riche, ils sont les
vertus de la pauvreté.
Bien que le Sénat étaient donc jaloux et soupçonneux de César, et ont été l'accusant
continuellement avec ces desseins criminels, les gens étaient de son côté, et le plus
il était haï par le grand, le plus
fortement, il est devenu retranchés dans la faveur populaire.
Ils ont choisi l'édile.
L'édile avait la charge des édifices publics de la ville, et des jeux
lunettes, et des spectacles qui ont été exposées en eux.
César entra avec un grand zèle dans la décharge des fonctions de ce bureau.
Il a pris des dispositions pour le divertissement du peuple sur le plus magnifique
échelle, et a fait d'excellents ajouts et des améliorations aux bâtiments publics,
la construction de portiques et les places autour de
les zones où ses spectacles de gladiateurs et les combats avec les bêtes sauvages devaient être
exposées.
Il a fourni des gladiateurs en si grand nombre, et organisé et les rangea dans un tel
Ainsi, sous prétexte de leur formation, que ses ennemis parmi la noblesse prétendait
croire qu'il avait l'intention de les utiliser
comme une force armée contre le gouvernement de la ville.
En conséquence, ils firent des lois limitant et en restreignant le nombre des gladiateurs
être occupée.
César, puis expose ses spectacles à l'échelle réduite qui les nouvelles lois nécessaires,
en prenant soin que les gens devraient comprendre à qui la responsabilité de
cette réduction de l'ampleur de leurs plaisirs appartenait.
Ils ont, bien sûr, murmuraient contre le Sénat, et César se plus élevé dans leur
favoriser que jamais.
Il devenait cependant, par ces moyens, très fortement impliqué dans la dette, et, dans le but
partie pour récupérer sa fortune à cet égard, il a fait une tentative de l'Egypte
qui lui est assigné en tant que province.
L'Egypte était alors un pays immensément riche et fertile.
Il avait, cependant, jamais été une province romaine.
Il était un royaume indépendant, en alliance avec les Romains, et la proposition de César qui
il devrait lui être assignée en tant que province est apparu tout à fait extraordinaire.
Son prétexte était que le peuple d'Egypte a récemment déposé et expulsé de leur
roi, et que, par conséquent, les Romains pourraient bien prendre possession de celui-ci.
Le Sénat, toutefois, résisté à ce plan, que ce soit de la jalousie de César ou d'un
sens de la justice en Egypte, et, après un concours violente, César lui-même trouvé
contraint de renoncer à la conception.
Il se sentait, cependant, un fort degré de ressentiment contre le parti patricien qui
avait ainsi déjoué ses plans.
En conséquence, afin de se venger d'eux, il a remplacé une nuit certaine
des statues et des trophées de Marius dans le Capitole, qui avaient été prises par arrêté
de Sylla, quand il revint au pouvoir.
Marius, comme on se le rappelle, avait été le grand champion du parti populaire,
et l'ennemi des patriciens, et, au moment de sa chute vers le bas, tous les
monuments de sa puissance et sa grandeur avait
été partout enlevé à Rome, et parmi eux ces statues et des trophées,
qui avait été érigé dans le Capitole, en commémoration de certains anciennes victoires, et
y était resté jusqu'à ce triomphe de Sylla, quand elles ont été prises et détruites.
César ordonna alors de nouvelles à faire, beaucoup plus magnifique que jamais.
Ils ont été faites en secret, et de mettre en place dans la nuit.
Son bureau comme édile lui a donné l'autorité nécessaire.
Le lendemain matin, lorsque les gens ont vu ces splendides monuments de leur grand favori
restaurée, la ville entière était animée avec l'excitation et la joie.
Les patriciens, d'autre part, ont été remplis de chagrin et de rage.
"Voici un seul officier," disaient-ils, "qui tente de rétablir, par sa personne
l'autorité, ce qui a été officiellement abolie par un décret du Sénat.
Il essaie de voir combien nous porterons.
S'il constate que nous allons soumettre à cela, il va tenter des mesures plus audacieuses encore. "
En conséquence, ils commencé un mouvement d'avoir des statues et des trophées pris par
nouveau, mais les gens se sont rassemblés en grand nombre dans la défense d'entre eux.
Ils ont fait l'anneau Capitol avec leurs cris d'applaudissements, et le Sénat, de trouver
leur puissance insuffisante pour faire face à une si grande vigueur, a donné le point, et
César l'emporta.
César avait épousé une autre femme après la mort de Cornelia.
Son nom était Pompeia, Il a divorcé de Pompeia à cette époque, dans des conditions très extraordinaire
circonstances.
Parmi les autres étranges cérémonies religieuses et les célébrations qui étaient
observée dans ces jours-là, a été celui qui est appelé la célébration des mystères de la Bonne
Déesse.
Cette célébration a eu lieu par des femmes seules, tout masculin étant le plus grand soin
exclus.
Même les images d'hommes, s'il y avait des sur les murs de la maison où le
assemblée a eu lieu, ont été couverts.
Les personnes qui se livrent passé la nuit ensemble dans la musique et la danse et divers
cérémonies secrètes, le plaisir, le culte moitié moitié, selon les idées et les coutumes
du temps.
Les mystères de la Bonne Déesse devait être célébré une nuit à la maison de César,
il lui-même ayant, bien sûr, retiré.
Dans le milieu de la nuit, toute la compagnie dans l'un des appartements étaient
jeté dans la consternation en voyant que l'un d'eux était un homme.
Il avait un visage lisse et d'apparence jeune, et j'ai été très parfaitement déguisé dans le
robe d'une femme.
Il s'est avéré être un certain Clodius, un homme très de base et dissolue jeune, si des
une grande richesse et des connexions haut.
Il avait été admis par une femme esclave de Pompéia, à qui il avait réussi à
corruption. Il était soupçonné que c'était avec Pompeia de
assentiment.
En tout cas, César immédiatement divorcé de sa femme.
Le Sénat a ordonné une enquête sur l'affaire, et, après les autres membres de la
des ménages avaient donné leur témoignage, César lui-même a été appelé, mais il n'avait rien
à dire.
Il ne savait rien à ce sujet.
Ils lui ont demandé, alors, pourquoi il avait divorcé Pompeia, à moins d'avoir des preuves de
croire à sa culpabilité, il a répondu, que la femme de César ne doit pas seulement être sans
la criminalité, mais sans suspicion.
Clodius était un personnage très désespéré et sans foi ni loi, et son histoire ultérieure
montre, en un point de vue remarquable, le degré de violence et le désordre qui
régnait à cette époque.
Il s'est impliqué dans un conflit amer avec un autre citoyen dont le nom était Milo,
et chacun, gagne autant d'adhérents qu'il pouvait, à la longueur a attiré presque toute la ville
dans leur querelle.
Chaque fois qu'ils étaient sortis, ils ont participé avec des bandes armées, qui étaient sans cesse dans
danger de l'entrée en collision. La collision au dernier venu, une véritable bataille
a été menée, et Clodius a été tué.
Cela a rendu la pire difficulté à ce qu'il était avant.
Les Parties ont été formés, et les conflits violents se pose sur la question de la mise à Milo
procès pour l'assassiner présumé.
Il a été jugé à la fin, mais si grande était l'excitation du public, que le
consuls pour l'instant entouré et rempli l'ensemble du Forum avec des hommes armés alors que le
procès était en cours, pour assurer la sécurité de la cour.
En fait, la violence se mêlait sans cesse, dans ces temps, avec près de
toutes les instances publiques, chaque fois que n'importe quelle combinaison de circonstances particulières
a eu lieu pour éveiller l'excitation inhabituelle.
À un moment donné, quand César était dans le bureau, une conspiration très dangereuse a été porté à
la lumière, qui a été dirigée par le tristement célèbre Catilina.
Il a été dirigées principalement contre le Sénat et les départements plus élevés de la
gouvernement, il envisage, en effet, leur destruction totale, et la création de
un gouvernement entièrement nouveau sur les ruines de la Constitution actuelle.
César lui-même accusé d'une participation à ce complot.
Quand il a été découvert, Catilina lui-même s'enfuit; quelques-uns des autres conspirateurs étaient,
Il a été arrêté, et il y avait un débat long et très excité au Sénat sur la
question de leur peine.
Certains étaient à la mort.
César, cependant, très sincèrement opposé à ce plan, en recommandant, au lieu, le
confiscation des biens des conspirateurs, et leur emprisonnement dans
quelques-unes des villes éloignées de l'Italie.
Le différend a grandi très chaud, César exhortant son point avec beaucoup de persévérance et de
détermination, et avec un degré de violence qui menaçait sérieusement à
entraver la procédure, quand un corps de
des hommes armés, une sorte de haie d'honneur stationnés là-bas, rassemblés autour de lui, et
l'a menacé avec leurs épées. Tout une scène de désordre et de terreur
s'ensuivit.
Certains des sénateurs se leva à la hâte et s'enfuit de la proximité du siège de César pour éviter
le danger.
D'autres, plus courageux, ou plus dévoué dans leur attachement pour lui, se sont réunis autour de
lui pour le protéger, autant qu'ils pouvaient, en interposant leurs corps entre son
personne et les armes de ses agresseurs.
César quitta bientôt le Sénat, et depuis longtemps y reviendra plus.
Bien que César était tout ce temps, dans l'ensemble, la hausse de l'influence et la puissance, il
étaient encore les fluctuations de sa fortune, et la marée, parfois, pour une courte période,
a fortement contre lui.
Il était à un moment donné, quand fortement impliqué dans la dette, et embarrassé dans toute sa
affaires, un candidat à un poste très élevé, celui de Pontifex Maximus, ou
souverain pontife.
Le bureau du souverain pontife était à l'origine celui de la construction et assurer la garde du
ponts de la ville, le nom est dérivé du mot latin pons, ce qui signifie
pont.
Pour cela, cependant, avait ensuite été ajoutée la prise en charge des temples, et enfin la
réglementation et le contrôle des cérémonies de la religion, de sorte qu'il est venu à la fin d'être
un bureau de la plus haute dignité et l'honneur.
César a fait les efforts les plus désespérés pour assurer son élection, le recours à un tel
mesures, dépensant ces sommes, et en s'impliquant dans la dette à une telle
extrême, que, s'il échouait, il serait irrémédiablement ruinée.
Sa mère, sympathiser avec lui dans son anxiété, l'embrassa quand il est allé loin de
la maison le matin de l'élection, et fait ses adieux à la base avec des larmes.
Il lui a dit qu'il devrait revenir à la maison cette nuit-là le pontife, ou il ne doit jamais entrer
tout à la maison. Il réussit à gagner l'élection.
À une certaine époque de César a été effectivement déposé à partir d'un poste élevé qu'il occupait, par un
décret du Sénat.
Il a décidé de ne pas tenir compte de ce décret, et aller dans l'exercice de ses fonctions en tant que
d'habitude.
Mais le Sénat, dont les ascendant était maintenant, pour une raison quelconque, une fois de plus mis en place,
prêt à l'empêcher par la force des armes.
César, voyant qu'il n'a pas été soutenue, abandonna la partie, mis hors de ses robes
bureau, et rentra chez lui. Deux jours après, une réaction s'est produite.
Une masse de la population se sont réunis pour sa maison, et ont offert leur assistance aux
rétablir dans ses droits et défendre son honneur.
César, mais, contrairement à ce que chacun aurait attendu de lui, a exercé son
d'influence pour calmer et apaiser la foule, puis il les renvoya, restant lui-même dans
privé comme avant.
Le Sénat avait été alarmé par la première éclosion du tumulte, et une réunion a eu
été brusquement convoqué pour examiner quelles sont les mesures à adopter dans une telle crise.
Lorsque, cependant, ils ont constaté que César s'était interposé, et par son personnel
influence avait sauvé la ville du danger qui le menaçait, ils étaient si
fortement impressionné par le sens de sa
la patience et la générosité, qu'ils ont envoyé pour lui de venir à la maison du sénat, et,
après avoir formellement exprimé leurs remerciements, ils ont annulé leur vote précédent, et
lui rendit à son bureau à nouveau.
Ce changement dans l'action du Sénat n'a pas, cependant, nécessairement si
grand changement de sentiment individuel que l'on pourrait imaginer au premier abord.
Il y avait, sans aucun doute, une importante minorité qui étaient opposés à ce qu'il soit déposé dans le
première instance, mais, être mis en minorité, le décret de déchéance a été adoptée.
D'autres étaient peut-être, plus ou moins douteux.
Abstention de la réglementation généreuse de César en refusant l'aide offerte de la population effectué
sur un certain nombre de ces suffisante pour déplacer la majorité, et donc l'action de la
corps a été inversée.
C'est dans ce sens que les changements brusques et apparemment totale dans l'action de
assemblées délibérantes qui ont souvent lieu, et qui auraient été autrement, dans certains
cas, est presque incroyable, doivent être expliquées.
Après cela, César devint impliqué dans une autre difficulté, à la suite de l'
apparence de certains éléments de preuve précis et positif qu'il a été lié à
Catilina dans son fameuse conspiration.
Un des sénateurs a déclaré que lui-même Catilina lui avait appris que César était
l'un des complices de l'intrigue.
Un autre témoin, nommé Vettius, a déposé une dénonciation contre César devant un Romain
magistrat, et a offert de produire l'écriture de César dans la preuve de sa participation
dans les conceptions du conspirateur César était
beaucoup irrité, et sa manière de se disculper de ces graves
charges était aussi singulière que beaucoup de ses autres actes.
Il a arrêté Vettius, et l'a condamné à payer une lourde amende, et d'être emprisonné, et
il parvint aussi à l'exposer, dans le cadre de la procédure, à la foule en
le Forum, qui étaient toujours prêts à épouser
La cause de César, et qui, à cette occasion, battre Vettius si cruellement, qu'il
a échappé de justesse de sa vie.
Le magistrat, lui aussi, a été jeté en prison pour avoir osé prendre une information
contre un officier supérieur.
Enfin César devint tellement impliqué dans la dette, à travers l'extravagance sans bornes de
ses dépenses, que quelque chose doit être fait pour reconstituer ses finances épuisées.
Il avait, cependant, à cette époque, monté si haut dans l'influence et le pouvoir officiel, que les
il réussit à faire en Espagne qui lui est assigné comme sa province, et il a commencé à faire
Préparations de procéder à l'.
Ses créanciers, cependant, interposé, ne voulant pas le laisser partir sans leur donner
sécurité.
Dans ce dilemme, César a réussi à faire un arrangement avec Crassus, qui a
déjà parlé comme d'un homme de la richesse sans bornes et une grande ambition, mais
pas en possession d'un degré considérable de la puissance intellectuelle.
Crassus consenti à donner la sécurité nécessaire, étant entendu que César
était pour lui rembourser en exerçant son influence politique en sa faveur.
Donc, dès que cet arrangement a été fait, César partit dans une soudaine et privé
manière, comme s'il s'attendait à qui, autrement, une certaine difficulté nouveau intervenir.
Il est allé en Espagne par voie terrestre, en passant par la Suisse sur le chemin.
Il s'arrêta avec ses préposés une nuit dans un village très insignifiante des bergers "
huttes au milieu des montagnes.
Frappé de la pauvreté et de dévalorisation de tout ce qu'ils voyaient dans ce hameau misérable,
Amis de César se demandaient si la jalousie, la rivalité et l'ambition qui
régnait parmi les hommes partout ailleurs dans le
monde pourrait trouver un pied là-bas, quand César leur a dit que, pour sa part, il
devrait plutôt choisir d'être le premier dans un tel village que celui que le second à Rome.
L'histoire a été répété mille fois, et dit à tous les successives
génération maintenant depuis près de vingt siècles, comme une illustration du type particulier et
caractère de l'ambition qui contrôle une telle âme comme celle de César.
César était un grand succès dans l'administration de sa province; c'est-à-
dire, il est retourné dans un court laps de temps de gloire militaire considérable, et avec de l'argent
suffisant pour payer toutes ses dettes, et lui avec des moyens pour affamer électorale frais.
Il se sentait maintenant assez fort pour aspirer à la fonction de consul, qui était le plus élevé
bureau de l'état romain.
Lorsque la lignée des rois avait été déposé, les Romains avaient investi la Cour suprême
magistrature dans les mains de deux consuls, qui ont été choisis chaque année dans une élection générale,
les formalités qui étaient tous très soigneusement arrangé.
Le courant de l'opinion populaire était, bien sûr, en faveur de César, mais il avait de nombreux
puissants rivaux et ennemis parmi les grands, qui, cependant, haï et opposées l'une à
ainsi que d'autres lui.
Il y avait à ce moment-là une querelle très amer entre Pompée et Crassus, chacun d'entre eux
luttant pour le pouvoir contre les efforts de l'autre.
Pompée possédait une grande influence à travers ses capacités militaires et sa splendide
renommée. Crassus, comme cela a déjà été indiqué, était
puissant par sa richesse.
César, qui avait une certaine influence à la fois avec eux, maintenant conçu le projet hardi de
les concilier, puis de se prévaloir de leur aide-Unis en
l'accomplissement de ses propres fins particulières.
Il a réussi parfaitement bien dans cette gestion.
Il leur représenta que, en soutenant les uns contre les autres, ils ne épuisé
leurs pouvoirs propres, et renforcé les bras de leurs ennemis communs.
Il a proposé de les unir les uns aux autres et avec lui, et donc mettre en commun
faire la promotion de leur intérêt commun et d'avancement.
Ils volontiers adhéré à ce plan, et une triple alliance a été formée en conséquence, en
laquelle ils se sont chacun tenus de promouvoir, par tous les moyens en son pouvoir, le
élévation politique des autres, et non pas
de prendre toute mesure publique ou adopter des mesures sans l'assentiment de la
trois.
César fidèlement observé les obligations de cette ligue, tant qu'il pouvait utiliser son
deux associés pour promouvoir ses propres fins, et puis il l'abandonna.
Ayant, toutefois, complété cet arrangement, il est maintenant disposé à pousser
vigoureusement ses prétentions à être élu consul.
Il s'associe avec son propre nom celui de Lucceius, qui était un homme d'une grande richesse,
et qui a accepté de défrayer les dépenses de l'élection pour le bien de l'honneur de
étant consul avec César.
Les ennemis de César, mais, sachant qu'ils ne pourraient probablement pas empêcher son
élection, déterminé à concentrer leur force dans l'effort pour l'empêcher de
ayant le collègue qu'il désirait.
Ils ont fait le choix, donc, d'une certaine Bibulus comme leur candidat.
Bibulus avait toujours été un adversaire politique de César, et ils ont pensé
que, en l'associant à César dans la magistrature suprême, l'orgueil et l'ambition
de leur grand adversaire pourrait avoir lieu un peu en échec.
En conséquence, ils apporté une contribution entre eux pour permettre de dépenser comme Bibulus
beaucoup d'argent dans la corruption comme Lucceius, et la toile s'est passé.
Il en est résulté dans l'élection de César et de Bibulus.
Ils sont entrés sur les devoirs de leur charge, mais César, presque entièrement
sans tenir compte de son collègue, a commencé à prendre tout le pouvoir, et a proposé et réalisé
mesure après mesure de la plupart de la
caractère extraordinaire, qui visent tous à la satisfaction de la population.
Il a été d'abord opposé violemment à la fois par Bibulus et par de nombreux membres éminents de la
Sénat, en particulier par Caton, un patriote dur et inflexible, que ni la crainte de
danger, ni espoir de la récompense pourrait passer de ce qu'il considérait de son devoir.
Mais César a été maintenant obtenir assez fort pour mettre bas l'opposition dont il
rencontrés avec les grand scrupule quant aux moyens.
Il a ordonné Caton en une seule occasion d'être arrêté dans le Sénat et envoyé en prison.
Un autre membre influent du Sénat se leva et allait sortir avec lui.
César lui demanda où il allait.
Il a dit qu'il allait à Caton. Il serait plutôt, dit-il, être avec Caton
prison, que dans le Sénat avec César.
César traités Bibulus aussi avec tant de négligence, et a assumé si entièrement l'ensemble
contrôle de la puissance consulaire, à l'exclusion absolue de son collègue, que Bibulus à
dernière, complètement découragé et dépité,
abandonné toute prétention à l'autorité publique, se retira dans sa maison, et ferma
lui-même dans la retraite, laissant un César à sa manière.
Il était d'usage chez les Romains, dans leurs écrits historiques et le récit, à
désigner les années successives, non pas par une date numérique comme chez nous, mais par les noms
des consuls qui étaient en poste en eux.
Ainsi, à l'époque de consulat de César, la phrase aurait été: «Dans l'année de
César et Bibulus, les consuls, «selon l'usage ordinaire, mais les plaisantins de la
ville, dans le but de faire du sport de l'
hypothèses de César et de l'insignifiance de Bibulus, utilisés pour dire: «Dans
l'année de Jules et de César, les consuls, "rejetant le nom de Bibulus tout à fait,
et en prenant les deux noms de César pour faire sortir de la dualité nécessaire.