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Quand vous avez un gouvernement qui opère sans limites,
qui se proclame le droit d'arrêter, de torturer, et de tuer n'importe qui,
n'importe où, sans mandat,
sans jugement, ni de procédure légale.
Quand vous avez un gouvernement qui militarise la police
et donne à l'armée le pouvoir d'opérer dans une totale impunité
à l'intérieur de leurs propres frontières et au-delà,
un gouvernement qui vous considère, vous le peuple, comme l'ennemi
et vous traite en tant que tel!
Quand vous avez un gouvernement qui ment pour vous conduire dans des guerres d'agression,
renversant pays après pays, tuant d'innombrables civils innocents,
vous renvoyant vos fils et vos filles, vos pères et vos frêres dans des cercueils recouverts du drapeau,
qui sont défigurés et brisés, dans le corps comme dans l'âme,
leurs vies détruites par des guerres ne servant qu'à remplir les poches d'un cartel de banquiers et de firmes non élus.
Quand vous avez tout ça juste devant vous, si flagrant, si clair,
et tous ces présidents qui continuent de poursuivre le même agenda,
on ne devrait pas avoir à vous convaincre que les deux partis majoritaires, dans ce show de marionnettes,
appartiennent et sont exploités dans le même intérêt.
On ne devrait pas avoir à vous convaincre que ces concours de popularité
sponsorisés que certains appellent "élections", ne sont que des distractions qui ne mènent à rien.
Et si vous voyez vers où ça dirige, on ne devrait pas avoir à vous convaincre que ce système dans lequel vous vivez
doit être stoppé définitivement.
Ce sont des conclusions évidentes pour ceux qui sont attentifs,
nous n'essayerons donc pas de vous convaincre ici.
Cette vidéo se concentre uniquement sur la façon de mettre fin à ce système.
Voyez ceci comme un manuel d'instruction pour une Révolution.
Il y a ceux qui seront déconcertés lorsque vous utiliserez le mot "révolution".
La Révolution, le fait de se révolter
et de renverser le pouvoir actuel est une mesure extrême
qui doit être maniée avec une extrême précaution
et être évitée dans la plupart des cas.
Les Révolutions sont dangereuses, dans tous les sens du terme,
et il est difficile, voire impossible, de prédire leur issue;
mais il est des moments, où autoriser ceux qui ont le pouvoir à le garder, est encore plus dangereux.
Maintenant, la question qu'il faut vous poser est la suivante:
En sommes-nous là ? Le système actuel peut-il être réformé ?
Les Révolutions commencent avec un NON et finissent par un OUI.
Les Révolutions commencent lorsque vous dites NON à ceux qui prétendent avoir le pouvoir sur vous
et les révolutions s'achèvent quand vous acceptez une nouvelle norme,
que cette norme soit une avancée ou pas.
Les causes des révolutions,
sont multiples dans leur forme, mais elles ont une racine commune : le mécontentement.
Le mécontentement est l'émotion qui se forme et se renforce progressivement sous la surface.
C'est une tempête qui se prépare dans la conscience du peuple, et qui n'attend qu'à se déchaîner.
Le problème est qu'il est bien plus simple de déclencher cette tempête que de mettre les gens d'accord
sur les événements à venir.
Il n'est pas facile de s'accorder sur ce qu'il doit se passer après la chute du système en place.
C'est donc souvent remis à plus ***
ou complètement évité. Et c'est une grave erreur!
Sans objectifs clairs, le chaos s'installe souvent peu après la chute de l'ancien régime,
et ainsi, dans le vide de pouvoir occasionné, un tyran se lève pour apporter l'ordre.
Par conséquent, les systèmes qui suivent les révolutions sont souvent autant, voire plus totalitaires
que ceux qu'ils remplacent.
Il devrait donc être tout à fait clair
que le mécontentement n'est pas une force motrice suffisante pour une révolution,
surtout si votre but est de laisser un monde meilleur pour vos enfants et petits-enfants.
Pour qu'un bouleversement ait des résultats positifs,
il doit être conduit par une vision claire et réaliste,
une vision tenant compte de la situation où le monde et les gens sont actuellement,
et non de l'état où nous voudrions qu'ils soient,
ou de ce que nous espérons qu'ils seront,
et il faut différencier ce qui peut,
et ce qui ne peut pas, être accompli à court terme.
Il n'y a rien de plus dangereux que des hommes armés ayant des rêves utopiques.
Donc soyons réalistes si vous le voulez bien.
Nous, le peuple, sommes divisés.
Nous sommes divisés en classes et sous-classes:
libéraux, conservateurs, libéralistes, anarchistes,
socialistes, anarcho-socialistes, monarchistes, capitalistes militant pour un marché libre,
arnarcho-capitalistes, défenseurs d'une économie basée sur les ressources, etc.
Il n'y a absolument aucune chance que l'un d'entre vous
puisse convaincre tous les autres que son modèle est le bon,
à moins, bien sûr, que l'un de vous prenne le pouvoir politique dans la mêlée
et impose ses croyances par le canon du fusil.
C'est souvent de cette façon que l'histoire s'est déroulée
et c'est ce que nous devons éviter de répéter.
Un mouvement est victorieux seulement s'il nait d'une idée suffisamment forte
pour prendre racine dans l'esprit de la population, et qu'il inspire et motive les gens à le propager.
Il est possible pour un peuple varié et divisé de former une coalition dans les moments critiques,
et de s'unifier autour d'une idée,
mais cela marche seulement si cette idée comporte les trois conditions suivantes:
1. Elle doit définir un intérêt commun et précis qui permettra aux gens de travailler ensemble.
La nécessité d'une union, même si elle n'est que temporaire,
doit être évidente pour tous les intervenants
et elle doit être accompagnée par un sentiment d'urgence, incitant les gens à la transmettre à leur communauté
et à répandre l'idée.
2. Une vision claire de ce vers quoi vous travaillez.
Avec quoi allez-vous remplacer le système actuel?
Affiner les détails n'est pas réellement productif.
Ce dont on a besoin est une vision générale basée sur des principes.
Dans les sociétés humaines, les changements extrêmes et abrupts sont souvent destructeurs.
Tous les efforts doivent être faits pour maintenir la stabilité sociale,
et cela signifie éviter toute sorte de fantaisie utopiste.
Les périodes de crises ne servent pas à réformer les liens humains.
Historiquement, ces tentatives se terminent souvent en tragédies.
3. Un plan d'action, et une compréhension claire des règles d'engagement.
Nous qualifierons ces trois éléments par un seul terme: "le paradigme de la révolution consciente".
Pas besoin de pensée mystique à ce sujet, cela signifie simplement réfléchir avant d'agir.
Commençons par l'intérêt commun.
Etablir l'intérêt commun est facile si on est informé,
et si les gens autour de vous ne le sont pas,
alors votre tâche est claire : informez-les!
Que vous vous considériez libéral ou conservateur, ou aucun des deux,
les banques et les corporations, qui tirent les ficelles de l'Etat-marionnette, nous ont tous placés
sur un chemin qui mène au chaos complet et total.
Notre intérêt commun est le monde que nous laisserons à nos enfants.
La vision claire de ce vers quoi nous allons est bien plus difficile à définir.
Encore une fois, rien n'est plus dangereux que des hommes armés aux rêves utopistes,
et rien n'est plus utopique que l'illusion
de pouvoir convaincre le monde entier d'accepter un système de pensée unique.
Et pourtant, tous les grands mouvements sont conduits par une idée, une vision.
Comment résoudre cette apparente contradiction?
Comment trouver une vision commune, sans tomber dans la fantaisie naïve que nous pouvons unifier toutes les visions du monde?
La réponse est en fait assez simple,
ce qui est une bonne chose,
car seules les idées très simples peuvent être transmises entre les personnes sans se désagréger.
Notre vision doit commencer par la compréhension fondamentale
qu'il n'y a pas qu'une seule manière de vivre sur cette planète
et qu'il est inacceptable d'entraîner les autres dans un système sans leur accord
ou d'utiliser la violence ou la contrainte, pour qu'ils obéissent à des règles qu'ils n'ont jamais acceptées.
Cela devrait être une question de bon sens, mais ce n'est pas le cas pour la plupart des gens.
La plupart des gens acceptent des voyous au gouvernement pour faire valoir leurs bonnes intentions.
Mais ils n'aiment pas que ça leur cause problème et que le canon soit pointé vers leur eux.
Si le système actuel tombe, on ne pourra pas rétablir
son ancienne forme, ni sa taille sans violence et contrainte,
et même cela ne fonctionnerait probablement pas.
Ainsi, la seule réelle option morale est d'accepter que l'ancien système ne pourra pas être restauré.
Quand il sera temps de reconstruire, on n'aura pas besoin d'un seul système sous lequel tous les gens vivront,
mais plutôt de trouver une approche facilitant plusieurs systèmes indépendants.
A quoi cela ressemblerait-il?
Imaginez un réseau de petites communautés formées volontairement,
liées par différentes fédérations qui coopéreraient pour une défense mutuelle et un échange des ressources nécessaires
avec une prise de décisions se faisant au niveau local.
C'est un concept simple, qui a été appliqué très souvent à travers l'Histoire.
L'exemple le plus concret est celui de la Fédération des Iroquois,
qui a unifié 6 tribus, chacune avec leur propre culture et traditions.
La Fédération des Iroquois existait avant l'arrivée de Christophe Colomb
et se termina en 1779 suite à la conquête militaire par les EU.
De nombreux historiens croient que la Fédération des Iroquois était a l'origine des Etats-Unis.
La différence la plus frappante étant que la Fédération des Iroquois n'a jamais eu de gouvernement central.
Personne n'avait le pouvoir de forcer les tribus membres à faire quoi que ce soit
et ce système a bien fonctionné, et pendant très longtemps.
Donc ce n'est clairement pas une fantaisie utopique,
c'est une option viable, et c'est la seule qui puisse être adoptée à titre volontaire.
L'élément final du paradigme de la révolution consciente
est le plan d'action,
la stratégie et les tactiques,
les buts à court et long teme
et la structure du mouvement.
Commençons par la stratégie la plus importante et continuons par les tactiques.
Certains pensent à la révolution en termes d'armes et de bombes, mais c'est une idée fausse.
Les révolutions consistent à arracher les piliers du pouvoir un par un jusqu'à ce que l'état s'écroule.
L'état est soutenu par 3 piliers majeurs du pouvoir :
1. Le contrôle de la pensée, des idées et des croyances.
2. Le contrôle de l'argent, de la finance, et par extension de l'activité humaine.
3. Le monopole de la violence et l'usage de l'intimidation pour forcer l'obéissance par la peur.
Il y a trois étapes de la révolution, qui sont séquentielles, et en rapport direct avec les trois piliers du pouvoir.
La première est la révolution idéologique.
C'est quand on détruit les systèmes de croyance qui soutiennent leur contrôle,
c'est quand on affaiblit constamment leur illusion de légitimité,
leur aura de pouvoir.
Nous montrons ces criminels comme les crapules qu'ils sont!
Et nous créons du mécontentement chez ceux sans qui l'Etat ne fonctionnerait pas.
Si tout ceci est nouveau pour vous, bienvenue à la fête!
Elle est déjà en plein élan, et devinez quoi, nous gagnons.
Les pouvoirs actuels ont perdu le contrôle du dialogue et ils le savent.
ZBIEGNIEW BRZEZINSKI: "Au cours des dernières décennies, le changement social dans le monde
a connu une accélération historique sans précédent
notamment parce que les communications de masse instantanées,
comme la radio,
la télévision,
et internet,
cumulativement, elles ont stimulé
un réveil général de la conscience politique de masse.
La hausse généralisée qui en résulte dans l'activisme populiste du monde s'avère défavorable
à la domination extérieure du genre qui prévalait à l'ère du colonialisme et de l'impérialisme.
Une résistance persistante et hautement motivée du peuple,
politiquement éveillé et historiquement
opposé au contrôle externe,
s'est avérée de plus en plus difficile à supprimer."
La deuxième phase de la révolution est la désobéissance stratégique
ou plus précisément, la résistance.
Cela peut prendre plusieurs formes et diverses approches peuvent être utilisées simultanément.
Le but de la désobéissance stratégique est d'interrompre la chaîne de l'obéissance aussi longtemps que possible
et autant de fois que possible,
de la promouvoir à la plus grande échelle possible,
de documenter la brutalité policière et militaire qui s'ensuit
en distribuant largement les images de cette brutalité.
Cela sert à casser l'image du parti au pouvoir,
car le pouvoir est avant tout une question d'image.
Il n'est que fumée et miroirs.
Une fois que l'image commence à se décomposer cela inspire les autres à désobéir.
"Le singe voit, le singe fait".
Et quand cela s'enchaine et la contagion s'installe, ça devient une force de la nature, comme un raz de marée.
Le tout est d'atteindre une masse critique.
Ce qui est crucial de comprendre ici est que les révolutions sont presque entièrement psychologiques de nature.
Dans ce contexte, renforcer la confiance est l'élément le plus important.
Il est donc préférable de mener de petites opérations réussies et de construire à partir de là,
que de commencer par de grands événements avec de gros enjeux.
La troisième phase de la révolution vient quand le peuple a construit l'élan nécessaire
pour prendre des mains du régime en place le monopole de la violence.
Dans les meilleurs cas, une telle transition peut être relativement paisible,
mais c'est seulement possible quand une partie importante de la police et des militaires ont rejoint le côté de la population.
La police et l'armée sont le bras armé de l'Etat et sans eux
les puissants n'ont aucun pouvoir du tout.
Les gouvernements bancals ont presque toujours recours à la répression brutale pour tenter de rester au pouvoir,
mais il s'agit souvent d'une erreur fatale.
Un seul refus de suivre un ordre immoral peut déclencher une réaction en chaîne,
détruisant l'illusion de pouvoir qu'ils avaient cultivée avec soin.
Quand cela se produit, c'est GAME OVER.
En Allemagne de l'Est, le 7 novembre 1989,
le parti communiste ordonna aux militaires de stopper les manifestations qui s'étaient amplifiées tout au long de l'année.
Le commandant de l'armée refusa et ordonna à ses hommes de se retirer.
Cela envoya le message clair que le parti communiste n'avait plus le contrôle.
Cette prise de conscience se répandit rapidement à travers la population... et le communisme s'effondra.
Cet élément de l'équation est si crucial qu'il ne faut pas laisser le hasard en décider :
le plus grand effort doit être déployé dès maintenant pour atteindre la police et l'armée,
pour les aider à ouvrir les yeux sur ce qu'il se passe
et pour leur faire savoir que le peuple les soutiendra
s'ils cassent la chaîne du commandement.
Maintenant que nous avons dressé un tableau d'ensemble, regardons deux autres éléments clés :
le leadership et la structure de l'organisation.
Notre système actuel repose sur une chaîne de commandement hiérarchique,
une pyramide sociale qui permet à une petite poignée de personnes de contrôler tout le monde.
En sociologie on appelle ça : le collectivisme vertical.
Si notre vision à long terme n'est pas compatible avec une telle structure,
il serait absurde de construire un mouvement de résistance qui la copie.
La fin ne justifie pas les moyens, les moyens détermineront le résultat final.
Donc, si nous voulons une fédération
décentralisée et non-hiérarchique de communautés autonomes
pour remplacer le système actuel, le mouvement doit lui aussi être décentralisé et non-hiérarchique.
Cela ne signifie pas qu'il y a pas de place pour des leaders.
Au contraire, ce leadership est essentiel.
Il faut distinguer leaders et chefs.
Les leaders se placent DEVANT la foule.
Les chefs se placent AU-DESSUS d'elle.
Ce dont nous avons besoin est d'un vaste réseau de leaders,
indépendamment motivés et capables de penser par eux-mêmes
travaillant à organiser des groupes localement aussi bien dans le monde réel que sur internet.
Des groupes unifiés non pas par l'obéissance à un même leader, mais par une idée commune.
Bien que cette structure présente certains défis d'ordre logistique,
elle a l'avantage de rendre pratiquement impossible la destruction de l'organisation
simplement en se débarrassant d'un ou deux leaders.
Une organisation décentralisée est beaucoup plus résistante.
Alors, où sont ces leaders ?
Eh bien, n'attendez pas qu'ils apparaissent!
Nous avons besoin de vous pour être l'un de ces leaders.
Si vous ne savez pas comment être un leader, apprenez !
Traiter avec des foules est une compétence que vous pouvez affiner par l'étude et la pratique.
Tous ceux qui veulent apprendre la psychologie de base des soulèvements,
et comment travailler avec le public, devraient étudier les livres suivants intensément,
les lire tous plusieurs fois, prendre des notes et réfléchir sur ce qu'ils disent.
3 livres:
« La psychologie des foules » et « La Révolution Française et la psychologie des révolutions » par Gustave Le Bon
et "De la Dictature à la Démocratie" par Gene Sharp.
Ces livres sont tous disponibles en ligne à lire et à télécharger gratuitement.
Vous trouverez des liens vers ces livres dans le descriptif de cette vidéo.
Avertissement cependant : ces livres contiennent certaines opinions et préjugés que je ne partage pas.
Comme tout livre, ils doivent être lus avec un esprit critique en s'interrogeant sur ce qui y est dit.
Ils offrent cependant beaucoup de perspicacité quant à la façon de prendre le pouvoir des mains d'un tyran.
Le leadership peut revêtir plusieurs formes et signifier différentes choses selon la situation.
Cependant, la tâche principale des leaders est d'inciter les gens à agir,
d'organiser les gens en groupes afin qu'ils puissent être plus efficaces que des individus isolés,
et à pousser les autres à faire de même.
Le dernier élément nécessaire pour démarrer votre révolution est la tactique.
En matière de violence, les forces de l'Etat ont définitivement l'avantage,
et il serait insensé de les provoquer là où elles sont les plus fortes.
Au lieu de cela, nous devrions utiliser des tactiques qui les amènent là où elles sont les plus faibles.
Heureusement, les tactiques non-violentes efficaces dans le renversement des dictatures ne manquent pas.
Le livre de Gene Sharp « De la dictature à la démocratie » en répertorie 198,
mais celles-ci ne sont en aucun cas les seules pouvant être utilisées.
Les tactiques utilisées par chaque groupe dépendront de la mission et des objectifs spécifiques du groupe.
Les militaires se divisent entre l'armée de terre, l'armée de l'air et la marine,
afin qu'ils soient tous spécialistes dans les tactiques du terrain où ils se battent.
De même, un mouvement non-violent doit avoir des groupes spécialisés pour des problèmes spécifiques.
C'est déjà en développement.
Aux Etats-Unis, nous avons P.A.N.D.A. contre le N.D.A.A.
P.A.N.D.A. est une organisation nationale qui s'emploie à lutter contre la N.D.A.A.
à l'échelle locale et régionale, et ils ont du succès.
Le plus impressionnant, c'est que le fondateur, Daniel Johnson a créé cette organisation à l'âge de 17ans.
Il y a aussi les OathKeepers fondés par Stewart Rhodes,
qui s'adresse à la police et à l'armée, en leur rappelant leur serment
et les préparant psychologiquement à désobéir lorsque des ordres inconstitutionnels sont donnés.
Les OathKeepers se sont publiquement prononcés contre la N.D.A.A. et ils gagnent du terrain dans leurs rangs.
D'autres organisent les équipes de médias sociaux pour recueillir et diffuser des informations.
D'autres encore organisent un activisme de rue, comme écrire des messages à la craie sur les trottoirs,
accrocher des affiches, ou insérer des tracts dans les livres et magazines dans les librairies.
Les possibilités sont infinies.
Que vous commenciez votre propre groupe,
rejoigniez un groupe existant,
ou agissiez individuellement dépend de vous.
Personne ne peut décider pour vous.
La chose la plus importante est de faire le premier pas et de commencer à faire quelque chose.
Agir et briser l'inertie de la passivité, voici comment reprendre votre pouvoir, un millimètre après l'autre.
Maintenant, juste ici, pendant ces 15 minutes, il vous a été donné suffisamment d'informations pour lancer une révolution.
Vous pourriez avoir besoin de regarder cette vidéo encore une fois et vous aurez besoin de lire ces livres.
Maintenant, vous avez un mode d'emploi, quelque chose que vous pouvez remettre aux gens et les aider à apprendre.
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