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échoFab est au Mini-Maker Faire pour faire des liens entre les différents “ makers ” de Montréal et de l’extérieur qui sont venus présenter.
Notre but, c’est vraiment de faire connaître nos activités, nos projets et de stimuler l’intérêt pour le lab.
Nous, FabLab Québec, notre intention, c’est vraiment de faciliter l’apparition des FabLab au Québec.
FabLab est un atelier communautaire équipé avec des machines à commandes numériques.
En ouvrant échoFab, ça nous faisait un prototype pour voir ce que ça va donner.
échoRap, c’est une imprimante de conception québécoise que j’ai conçue en collaboration avec échoFab.
C’est une imprimante 3D qui va permettre aux gens d’imprimer des pièces qu’ils dessinent eux-mêmes ou qu’ils vont télécharger sur Internet.
C’est donc les gens qui viennent explorer par simple curiosité, parce qu’ils ont une idée derrière la tête d’un projet.
Hier, j’ai rencontré un gars qui est super intéressé par les technologies vertes et qui aimerait mettre au point des systèmes de filtration nouveau genre.
La première fois, quand je suis allé, j’ai commencé à utiliser la technologie.
Je suis arrivé avec une idée de concept qui était de faire des couverts pour faire de la germination de graines sur des pots Masson.
Ainsi, je suis arrivé au Lab et ils m’ont introduit à la technologie et, en dedans d’une journée, je suis parti de l’idée à un produit.
On a la chance d’avoir Baptiste, du FabLab de Rennes, qui est avec nous pour montrer ses projets à base d’arduino, des projets vraiment intéressants sur la consommation d’énergie, que lui a développé dans son FabLab.
On travaille fort justement pour documenter et avoir des bons liens avec les FabLab francophones partout autour de la planète.
Comme on fait de la documentation en français, on les a rencontré, on a fait des liens et tout ça.
Et comme il y avait le Maker Faire, ici à Montréal, on s'est dit que c'est l'occasion d'aller visiter.
Le LabFab, c'est quelque chose de très récent.
En parlant avec les gars de FabLab Québec, on voit que ça commence à prendre.
Le « faites-le vous-mêmes », ça intéresse les gens, et ça, c'est vraiment commun.
Partout, il y a ce besoin d'apprendre à faire les choses, à s'approprier la technologie.
Ce qui est impressionnant, c'est de voir des gens qui arrivent et se disent « on peut faire ça »!
Ça marche vraiment très bien.
Les gens ont beaucoup d'intérêt pour un lieu de fabrication numérique qui est ouvert, qui est communautaire aussi, et dans lequel le partage est vraiment une valeur importante.
On voit vraiment naître une propriété intellectuelle partagée qui nous amène à pouvoir réaliser des choses que l'on avait même pas imaginé, beaucoup plus facilement qu'on le croit.