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Tahiti et ce model (Equilibrism) vont ensemble parfaitement.
Ca m’étonne qu’il n’existe toujours pas.
En fait, il existait il y a 200 ans –
et puis les Européens sont venus pour construire des clôtures.
Mais ils retournent toujours – poussant au travers de l’asphalte comme des petites herbes.
Un seul coup et elles retournent – c’est fantastique.
Tahiti n’a aucun problème avec cette idée utopique.
Et a ce point là ça commence de nouveau à devenir réaliste.
Ils dépendent des produits importés.
Grace à la dépendance de la France et les « besoins » qui ont été crées –
ils n’ont plus des besoins naturels, mais la pression pour la consommation effrénée alors,
les Tahitiens ont besoin de tout importer.
L’abrogation de ça (la « culture de consommation ») est plus comme la guérison
car ils sont criblés de dettes.
Seulement la moitié de la population (sinistrée) reçoit des réparations de la France
pour les essais nucléaires (en Polynésie Française) – l’autre moitié vit dans la pauvreté.
Il semble que rien ne va bien là-bas – ils ont des problèmes faramineux des déchets,
problèmes de transport,…
Si la Polynésie serait rénové, utilisant un concept utopique,
mais amovible, comme présenté dans le roman, 5 à 7 ans – ce n’est pas beaucoup de temps.
La seule chose qui est nécessaire, c’est un déblaiement –
et on va avoir la volonté des cœurs dans la poche.
La chose la plus fascinante avec ce roman, c’est qu’il représente
une étape intermédiaire entre l’ouvrage pratique (dans lequel les concepts sont introduits en utilisant des faits)
et l’essai de convaincre le gouvernement tahitien d’ouvrir l’île pour cette expérience –
pour installer un « eco-laboratoire » pour le monde.
Nous avons parlé aux membres du gouvernement –
ils sont à bout de souffle et il y a un sentiment fort,
la volonté d’ouvrir l’île pour ce chemin nouveau, certainement dans 5 ans.
Toutes les autres options vont juste s’aggraver.