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Si tu crois que cette nuit,
Je vais te laisser tranquille ;
A demie endormie, faut que tu te déshabilles.
Moi mon plaisir à moi, c'est de te rendre fébrile ;
Que tu innondes les draps avec ta sueur divine.
CEtte nuit dans tes bras, je vais oublier l'usine ;
Mon patron qui m'aime pas,
Et ses secrétaires mesquines.
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi,
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois,
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux.
Si tu crois que cette nuit je vais te laisser tranquille ;
A ? l'envie, de goûter à ta vanille.
Moi mon plaisir à moi c'est de te rendre fébrile,
Rouler par dessus toi, jusqu'à ce que tu me supplies
De descendre plus bas, et de pousser les machines
De ton corps aux aboies, jusqu'à ce que tu t'illumines.
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi,
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois,
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux.
Une vie avec toi, pour éviter les abîmes,
De ma vie de forçat, et en ? avec la routine.
Un coup toi un coup moi, une langue si facile;
Pas besoin de vocabulaire pour se mettre à l'envers...
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi,
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois,
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux.