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Bonjour, ici Joe Quinn pour le communiqué SOTT.
Aujourd'hui, je vais vous parler de deux sujets « chauds » :
les fouilles et scanners corporels de la TSA,
et la crise bancaire en Irlande.
Commençons par l'Irlande et le plan de sauvetage massif.
Je n'irai pas dans les détails économiques
pour expliquer comment le système bancaire fonctionne.
C'est tout simplement beaucoup trop compliqué
– à dessein, d'ailleurs.
Mais le résultat final est facile à voir.
C'est d'ailleurs le résultat qui était voulu au départ.
Pour utiliser un slogan typique de la « guerre contre le terrorisme »,
on pourrait dire que les banques sont comme des « cellules dormantes ».
Leur objectif a toujours été d'amasser la richesse publique,
de l'entreposer et de faire de l'argent avec, n'est-ce pas ?
Mais surtout, les banques accordent des prêts.
Elles sont, à la base,
le poids mort que la plupart des gens portent autour du cou
durant la plus grande partie de leur vie.
Mais au cours des dernières années, un plan a été mis en œuvre
visant à se servir des banques pour appauvrir
la population de tel ou tel pays donné.
C'est ce qui se produit actuellement en Irlande.
Et l'Irlande, en tant que petite nation,
est une cible-test parfaite pour la « thérapie de choc »
qui sera administrée plus *** à d'autres nations.
Ce que nous disons ici, c'est
que depuis toujours sévit
une guerre silencieuse entre l'élite
et les gens ordinaires de ce monde.
Au cours des 10 dernières années,
les banques étasuniennes et européennes
ont encouragé les gens à emprunter
même s'ils ne pouvaient se le permettre.
En Irlande, je sais par expérience personnelle
qu'en l'espace de dix ans,
les banques sont passées d'une approche consistant à passer au peigne fin les finances des demandeurs de prêts
à une attitude agressive où elles obligeaient quasiment les gens à emprunter.
Le résultat fut que des millions de gens
ont accepté de gros prêts
ou un nouveau prêt hypothécaire sur leur maison.
En Irlande, c'était facile
parce que l'économie était en plein essor
et les prix des maisons outrageusement élevés.
Les couples d'âge moyen qui depuis des années vivaient dans des maisons
qu'ils avaient fini de payer depuis longtemps
furent encouragés à faire un nouvel emprunt
à cause de la prétendue haute valeur de leur propriété.
C'est ce qu'ont fait beaucoup de gens. Ils ont pris l'argent et l'ont dépensé.
Et maintenant, ils sont aux prises avec cette dette bancaire
et leur maison vaut le tiers de la valeur déclarée par la banque cinq ans auparavant.
Mais qu'ont donc fait les banques de tous ces prêts qu'elles ont accordés ?
Voici comment les choses fonctionnent :
telle banque amasse tous les prêts qu'elle a accordés
puis elle les vend à une autre banque,
en prévoyant de se les faire rembourser avec intérêts.
Ensuite, la 2e banque ajoute ses propres prêts à ce paquet
et le vend à une autre banque à un prix plus élevé
pour avoir sa part de profit.
Et le processus continue de banque en banque,
ad vitam.
En faisant le tour du monde,
ces paquets de prêts et d'actions surgonflés
ont pris une grosse valeur spéculative.
Pour vous donner une idée,
en 2009, la valeur monétaire spéculative
de ces « dérivés », comme on les appelle,
était de 863 BILLIONS de dollars.
C'est plusieurs fois la valeur réelle
de l'activité économique DE TOUTE LA PLANÈTE !
Les banques et les institutions financières les ont combinés ensemble
et les ont échangés avec d'autres banques du monde entier
tandis que ces autres banques du monde entier
faisaient la même chose avec LEURS propres prêts louches.
Mais à mesure que le temps passait
et que ces paquets de prêts passaient de main en main
il est devenu de plus en plus évident que nombre de ces prêts
étaient vraiment risqués et ne valaient pas du tout
le montant pour lequel il avaient été vendus.
Alors les banques, éperdues, ont tenté de s'en débarrasser
jusqu'à ce qu'inévitablement, tout s'effondre
lors de la crise des subprimes il y a quelques années.
Les banques sont alors allées crier famine auprès du gouvernement
et le gouvernement les a renflouées
avec les fonds publics.
Dans le cas de l'Irlande
le problème est particulièrement grave
parce que les Irlandais, encouragés par les banques et le gouvernement,
ont passé les 15 dernières années
à accepter des prêts, en se fondant sur les affirmations des banques
selon lesquelles les Irlandais « pétaient dans la soie ».
En bref, les banques et le gouvernement ont menti.
Quelle surprise !
Ils ont manipulé le peuple irlandais afin qu'il soit criblé de dettes
tout en SACHANT qu'il n'y avait aucune richesse pour supporter tout ça
EXCEPTÉE, bien entendu, la richesse que représentent votre maison, votre voiture
votre système de protection sociale, etc
Ainsi, les banques détenaient tous ces mauvais prêts
et le gouvernement irlandais a récemment dû assumer cette dette
et renflouer les banques
d'un montant de 54 milliards d'euros.
Mais ce n'était pas assez pour tout couvrir
et il n'y a plus assez d'argent pour terminer le travail.
Alors, la banque centrale de l'UE et le FMI ont été sollicités pour un prêt,
lequel a été accordé à la condition
que l'UE et le FMI aient désormais le pouvoir de définir la politique de taxation irlandaise
et, en bref, de gérer l'économie
et donc les emplois et les dépenses gouvernementales
dans à peu près tous les domaines.
En gros, la « facture » a été envoyée
au contribuable irlandais.
Mais le hic,
c'est qu'IL N'Y A PAS DE FACTURE !
Ce n'était que de la FAUSSE MONNAIE, pour commencer ! Vous vous souvenez ?
863 BILLIONS ?!
Donc il n'y a rien à payer en termes monétaires.
Ce que veut le FMI, c'est que le peuple irlandais paie avec
sa qualité de vie, ses emplois,
sa protection sociale, ses écoles, ses hôpitaux et tout le reste.
C'est « l'austérité »,
qui veut tout simplement dire pressurer la population
et la faire souffrir afin de mieux la contrôler.
CECI est le but principal de cette « crise économique » montée de toutes pièces.
Mais pour dire la chose en termes plus simples
et faciles à retenir :
alors voilà :
le gouvernement irlandais a renfloué les banques
pour tous les mauvais prêts qu'elles ont faits
et dont elles ont profité, AVEC DE L'ARGENT PUBLIC !
Les citoyens irlandais ont par conséquent REMBOURSÉ leurs dettes aux banques !
Si le FMI et l'UE
doivent prendre le contrôle de l'économie irlandaise
et la pressurer encore plus,
alors le peuple irlandais devrait considérer
que ses dettes personnelles sont nulles et non avenues
et devrait collectivement REFUSER
de rembourser tout prêt impayé contracté auprès des banques irlandaises !
Pourquoi ? Parce qu'il l'a déjà REMBOURSÉ !
54 milliards !
Cela représente 13 000 euros par Irlandais – homme, femme et enfant !
De plus, il y a un autre prêt de 90 milliards accordé par l'UE et le FMI
qui va aussi devoir être remboursé par le PEUPLE IRLANDAIS !!
À défaut, il nous faudra des manifs de masse
et le remplacement du gouvernement en place
par des individus qui en ont quelque chose à faire du peuple.
On appelle ça « tripotage de la liberté »
et « viol par scanner », entre autres,
et la population étasunienne est naturellement indignée
que dans le prétendu pays de de la liberté et de la démocratie
des citoyens ordinaires soient physiquement agressés
et subissent des radiations potentiellement dangereuses
tout ça pour pouvoir monter dans un avion.
Mais d'abord, vous allez aimer le terme qu'ils utilisent :
« fouille au corps ».
AVANT, c'était de la fouille au corps
mais tout cela a changé
suite à l'épisode du « terroriste en slip » de l'an dernier.
J'ai écrit un article là-dessus
qui résume assez bien les choses.
Le titre est : « Le terroriste aux sous-vêtements piégés, ou la destruction des libertés grâce au faux terrorisme islamique ».
Faites une recherche sur Google avec les mots
« terroriste aux sous-vêtements piégés ».
Ainsi, ce qui était autrefois une fouille corporelle
tient désormais plus du « pelotage » abusif.
Vous trouvez que ÇA ressemble à une fouille au corps ?
Du coup, on n'est pas étonnés de voir
un nombre croissant d'histoires horribles
rapportées au cours des dernières semaines et mois
par des voyageurs qui tentaient de prendre l'avion.
On a retiré des enfants à leurs mères afin
de faire une « fouille en privé ».
Des femmes enceintes se sont vu palper la poitrine
tandis que d'autres personnes ont été arrêtées et poursuivies en justice
au premier signe de protestation ou de dissidence
lors de ces « fouilles » humiliantes
qui ont lieu à la vue de tous.
Mais que cache cette procédure ?
Comment en sommes-nous arrivés là, et de façon si rapide ?
Est-ce vraiment une question de sécurité ?
La réponse est manifestement et catégoriquement NON.
Ce qui est en cause ici,
c’est la Sécurité intérieure, l'argent
et le désir d'amener la population
à un niveau de contrôle encore plus élevé.
Ce que je dis ne relève pas d'une sorte de théorie du complot
Je dis ça parce que C'EST CE QUI EST EN TRAIN DE SE PRODUIRE.
C'EST LE RÉSULTAT !
Tout le monde sait qu'à la suite du 11/9
le gouvernement Bush et le Congrès
ont passé une série de lois draconiennes
qui vont du droit à détenir et emprisonner
quiconque est considéré comme un « combattant ennemi » ou un « terroriste interne »
à la mise sur écoute des Étasuniens
et à l'accès à des information privées
portant sur n'importe quel aspect de la vie d'un citoyen étasunien.
Chargé de l'imposition
de ce qui relève tout bonnement de l'infrastructure d'un État policier,
nous avons Michael Chertoff,
ancien secrétaire à la Sécurité intérieure
et actuellement président du Groupe privé Chertoff.
Lorsqu'il était sous-Procureur général,
Chertoff a supervisé la première enquête de dissimulation sur le 11/9.
C'est Chertoff qui a approuvé
et ensuite défendu la détention
de centaines de
« témions essentiels » d'origine arabe
même si, plus ***, il sera déterminé
qu'aucune des personnes détenues
avaient quoi que ce soit à voir avec le terrorisme
et qu'elles n'étaient en fait coupables que
d'infractions mineures liées à l'immigration.
C'est Chertoff qui a supervisé
les négligences criminelles du département de la Sécurité intérieure
dans le dossier de l'ouragan Katrina.
Et c'est le groupe Chertoff qui aujourd'hui
fait affaire
avec le principal constructeur
de scanners corporels destinés aux aéroports.
On les appelle les « Rapiscan » (scanners qui violent)
quoique je ne sois pas sûr si ça se prononce
« Rapiscan » ou « ***-i-scam ».
Au fait,
quand Chertoff s'est discrètement reconverti dans le privé
il a emmené avec lui ses compagnons
de la NSA, de la CIA et du département de la Sécurité intérieure.
Selon ses propres mots,
il fait « la même chose qu'il faisait au gouvernement,
mais dans le privé ».
Ce qui veut dire qu'il n'a pas à rendre de comptes.
Ainsi, grâce à Chertoff
et bien que, de toute évidence, il ne fasse rien
qui ne soit approuvé par son ex-employeur,
les scanners corporels nouvelle version
ont commencé à apparaître progressivement dans les aéroports étasuniens
au cours des dernières années.
Mais comme je l'ai déjà dit,
c'est l'incident du terroriste en slip
qui a donné au gouvernement étasunien et à Chertoff
l'oocasion de les promouvoir à grande échelle.
Chertoff a accordé des dizaines d'entrevues aux médias
dans lesquelles il soulignait la nécessité pour le gouvernement fédéral
d'acheter plus de scanners corporels intégraux pour les aéroports.
Ce sont VOS impôts qui servent à acheter ces scanners
et à payer plus d'agents de la TSA
pour qu'ils vous pelotent agressivement dans les aéroports.
Pensez-y !
Plus récemment, nous avons eu la potentielle
attaque de la « cartouche d'encre » terroriste.
NOMBRE d'éléments dans cet incident
indiquent fortement un coup monté du gouvernement.
Mais la preuve la plus évidente
est peut-être le fait que l'incident est survenu seulement TROIS JOURS
après que des membres éminents de l'industrie aéronautique britannique
dont le président de British Airways
ont déclaré que la Grande-Bretagne devait arrêter de se plier
aux exigences excessives de la sécurité aérienne étasunienne,
ajoutant qu'elles étaient « complétement superflues ».
En réponse à ce non-événement,
le département de la Sécurité intérieure a déclaré que les étasuniens
– je cite :
« devraient s'attendre à encore plus de sécurité au niveau du trafic aérien.
En prévention,
le DSI a pris plusieurs mesures pour améliorer la sécurité.
Certaines de ces mesures
seraont visibles, d'autres non. »
Franchement,
je n'invente rien…
bien qu'apparemment, quelqu'un s'amuse à le faire.
Avant l'attaque de la cartouche meurtrière
il y a eu ume multitude « d'alertes terroristes » lancées par Washington
concernant une « attaque terroriste coordonnée »
contre la Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne.
En réponse,
les services secrets européens ont qualifié ces alertes d'« absurdes »
et le haut-commissaire du Pakistan en Grande-Bretagne,
un proche du président pakistanais,
a déclaré que les Étasuniens
« exagéraient délibéremment ces menaces dans un but politique ».
Dans ce cas-ci, le but politique
était le prétexte
pour intensifier le bombardement des civils pakistanais.
Alors la question est la suivante :
s'ils peuvent le voir
et le publier dans la presse,
pourquoi chaque citoyen étasunien ne peut-il le voir lui aussi ?
Au fait,
l'invasion, la colonisation et le bombardement
du Pakistan/Afghanistan :
une seule et unique raison :
[Washington a « découvert » des réserves de minerai en Afghanistan d'une valeur d'1 billion de dollars].
Le temps qui nous est imparti touche à sa fin – à bien des égards.
Mais avant de vous quitter,
je voudrais demander à chaque Étasunien qui regarde cette vidéo
mais aussi à tout autre citoyen n'importe où dans le monde
de réfléchir un instant
à la façon dont vous imagineriez un État policier
concrètement parlant.
Je veux que vous imaginiez
à quoi pourrait ressembler la perte de vos libertés,
concrètement parlant.
Est-ce que votre gouvernement prétendrait
qu'il a le droit de mettre vos téléphones sur écoute
et de suivre vos activités sur votre ordinateur ?
Est-ce que votre gouvernement
lencerait de façon continue de fausses « alertes terroristes »
afin de vous faire peur et de vous rendre dociles ?
Est-ce que votre gouvernement
réprimerait votre liberté de mouvement
et traiterait chaque citoyen comme un criminel en puissance ?
Est-ce que ça impliquerait la suppression du droit de protester
contre ce qui relève clairement d'abus gouvernementaux ?
Regardez autour de vous.
Vos libertés sont en train de vous être enlevées à l'instant où je vous parle.
La seule chose qui vous empêche de voir nettement
les choses pour ce qu'elles sont
c'est le « mensonge crédible » que l'on vous raconte
pour vous expliquer POURQUOI la suppression de vos libertés est nécessaire.
Le mensonge crédible que l'on vous sert,
c'est la « menace terroriste ».
Mais si vous analysez cette menace en détails
vous réaliserez qu'elle est fabriquée de toutes pièces,
que c'est un moyen pour une fin,
et que cette fin, c'est la fin de la véritable justice
et de la véritable liberté,
et la fin d'un monde fait pour les gens normaux.
C'est la fin d'un monde
que le plus grand président de l'histoire des États--Unis,
John F. Kennedy, tenta de créer.
C'est le monde pour lequel il s'est battu ;
à cause de ses efforts,
il fut sauvagement assassiné à l’âge de 47 ans.
« Quelle sorte de paix veux-je évoquer ?
Quelle sorte de paix recherchons-nous ?
Non une Pax Americana
imposée au monde
par les armes de guerre américaines ;
non la paix du tombeau
ou la sécurité de l’esclave.
Je parle de la paix authentique,
le genre de paix qui fait que la vie sur terre vaut la peine d’être vécue ;
le genre de paix qui permet aux hommes et aux nations de croître,
d'espérer
et d’édifier une vie meilleure pour leurs enfants ;
non seulement la paix pour les Américains
mais la paix pour tous les hommes et les femmes ;
non seulement la paix dans notre temps,
mais la paix dans tous les temps. »
Nombre de ceux qui ont assassiné Kennedy
sont morts aujourd'hui.
Mais ne vous y trompez pas.
Leur idéologie tordue d'un monde noir
fait de totalitarisme et d'esclavage véritable
pour chacun d'entre nous vit encore.
Prenez position maintenant.
Il n'y aura peut-être pas d'autre opportunité.
C’était notre communiqué SOTT.
Nous serons de retour la semaine prochaine.
[chanson] Nous nous reverrons
Je ne sais pas où Ni quand
Mais je sais que nous nous reverrons
Par un jour ensoleillé !