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Ilssavent que je priebeaucoup et je puis-vousexpliquer que vousavez à faire
Je leurdis, vousallezmettre une cigaretteouvousmettez un verre de miel
Parce que lepetitanimal vienta cherchercela
Beaucoup de gens necroientpas à les choses, ilscroientquandles chosesarrivent à eux
C'est un endroit/quartier calme, pasgrand-chosequi se passe. Pratiquement la mêmechosetous les jours
Les portes se ferment, se ouvert, les lumièress’allument. Je nesaispassi nouspouvonscroireounepascroire
Ici, dans le quartier, la plupart des gens est le fondateur du quartier et nousnousconnaissonstous
Je leurdis ce que j'aivu, des chosesquisontarrivées
Quandnoussommesseuls à côté du poêle, par exemple, Je leurdis et ilsontparfoispeur
Je necrois en rien, je suisle plus incrédule. Dansma vie, beaucoup de choses se sontpassées. Parce que les choses , pourceuxquiveulent savoir, sont du quartier.
Si tu parspour la voie, et tucroises le terrain vague, montes à lavoieil y a un pontquicroise le ruisseau
disentque làvousecoutezles bruits du vieuxchemin de fer
Etcenséments’ecoutent des voix et des bruits.
Quandnousallionsavec mes cousines sur le vélo,il se parlait du pomperitoqui
tenias que correr y no te tenia que ver por que sino te iba a pasar algo
bueno la historia del pomperito se cuenta o se dice que te pide cigarrillos, que cuando te Silva temes que alejarte o bueno que si te vio...
le temes que dar cigarrillos
Mes fillessonthabituées à nepas dormir par les jambes ouvertes parce que masoeurquandilvenait à les soigner...
leurdisait que tu nedorspasavec les jambes ouvertes parce que le lobizón leurpasse par en bas
Alors elles ontétéélevéavec cela de nepas dormir avec les jambes ouvertes que c'était une crainteque a étépassésans le vouloirpour la tantequiestmasoeur
Et c'estquelquechose que je l'aitransmis à masoeuraussisans le vouloir par quelquechose va d'unebouchedans une bouche
Je suissortidehors un jourd'été, les chiensontcommencé à aboyer et je suissortipourvoirqu'ilétait
Et quand je suissorti, j'aivu ungrandchien, un milieucourbépourderrière et les yeuxrouges
Et je l'appelle à mon papa et lui dis, "Papa, regarde, il y a un rarechienlà"
Etil me dit “non, cela n’estpas un chien, c’est un lobizón” “Non, ilnepeutpasêtre” je lui dis
“Oui, ouic'est un lobizón, mets-toipourdedans”
L’histoire du pombero…
Quandilest irrité, ils'écoutecomme un oiseauv
Ilpleurecomme un oiseau, fait un rarebruit
Je n'aipas de peur, nesaispas. Maisd'avoir, il y a
Je nepeuxpasparler de cela
Icidans le quartieril y a toujours des fantômes
Fantôme, pombero, lobizón, tout parce que je l'aivuiciaufond
Il se transformaitdans la rue la croix, oùil y a une croixdans la rue, làil se transforme
Ilétait à côté du fourassiscomme un chiend'yeuxrouges
C'est le pompero
Ilétaitassislà et en me regardantainsi
“monDieu” j'aidit, et on a disparu
Ici en facepersonnenevitlà, parce qu'il y a des fantômesdedans. Mais une chosenoire
Parfoisnous le voyonsassisdans la porte maisildisparaîttout de suite
La grande Otilia, Tousvonttoujours à elle, Elle estcomme une mèrepourtous
Si tu es malade tu recours à elle, ilesttoujours à Otilia
Iciils me racontentouils me raconteront, maisilsespèrent que le les raconte
Parce que personnenesait ce que je pourrais savoir maisilsnesaventpas non plus expliquer. Alorslà je les leur explique
Pourqu'ilsaient une connaissance de puorquoi cela leurpasse
Dieu et la vierge te portent chance
Onnom du père, du fils, du saint- ésprit, Quiestpourtoujours, par les siècles des siècles, Ainsisoit-il
Cettepetitebougie je vais te la livrer en nom de la vierge
Onnom du père, du fils, du saint- ésprit, Quiestpourtoujours, par les siècles des siècles, Ainsisoit-il
Personneneveutcettemaison parce qu'il y a des fantômesdédans. Ilsdisent que les fillesdans une pleineluneont à dormir avec les jambes fermeés
L'unquandilpleut se léve et ferme les rideaux. En réalité je nesaitpas si seraquelquechose de normal maispournousc'est normal
Quandil te sifflebasc'est parce qu'ilestloin. Et s'il te sifflefort, c'est parce qu'ilesttoutprès le tien