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Pourquoi se bat-on ?
Qu'y a-t-il au fond de nous
qui nous pousse
à régler nos différends avec nos poings ?
Peu importe ce que c'est,
c'est en nous depuis toujours.
- Ça va, ça va. Cessez de vous battre.
- Pourquoi ?
- Parce que c'est stupide et immature.
- On a 6 ans. On est stupides et immatures.
Ça va, ça va.
Les enfants, je me suis battu une seule fois
dans ma vie, et voici ce qui s'est passé.
Comme vous le savez,
on venait de me quitter devant l'autel.
Et le pire dans tout ça,
à part m'être fait quitter devant l'autel,
c'est ce qui est venu ensuite :
un flot régulier,
continuel et insoutenable de pitié.
Un gin-tonic aux canneberges.
Un scotch-soda.
Merci.
- Je peux voir le menu ?
- Ted, je vais te chercher un menu,
mais je te promets de revenir.
Il faut trouver un autre bar.
Ici, je serai toujours
le gars qui s'est fait quitter devant l'autel.
- C'est nul !
- Les jours heureux.
- On a perdu Barney.
- Comment ça ?
Une fille là-bas porte
un chandail rouge moulant.
Il n'écoute pas un mot de ce qu'on dit.
Pas vrai, Barney ?
Pause café !
Il a découvert
qu'il pouvait simuler une conversation
avec des titres de séries télévisées
des années 70 et 80.
- Quoi de neuf docteur ?
- Barney,
veux-tu monter et me faire des choses
que j'interdis de faire même à Marshall ?
Voisin, voisine.
C'est quoi, ça, bon sang ?
Je vous ai déjà parlé de Doug ?
Non ? Ah bon.
Doug Martin était barman au MacLaren.
Il était toujours dans les parages.
Connaissez-vous Ted ?
Non. On ne joue pas à ça.
- Est-ce que je suis mort ?
- Salut.
Ce soir, je couche avec une lesbienne.
Il y a trois choses à savoir
au sujet de Doug.
La première, c'est qu'il était plutôt violent.
... et là, il s'effondre.
Et on se met à lui donner
des coups de pied,
tandis qu'il fait cet air en tremblant.
En tout cas, ce qu'on a fait,
c'est qu'on l'a laissé là.
Je remplis vos verres ?
La deuxième, c'est qu'il était susceptible
au sujet de ses cheveux.
- Quoi ?
- Quoi ?
- C'est mes cheveux que tu regardes ?
- Non, monsieur. Je ne les regardais pas.
C'est un postiche.
C'est drôle ?
Ça te fait rire ? Tu trouves ça drôle ?
Pourquoi ne pas me l'arracher ?
- Pardon ?
- Vas-y, arrache-le.
Arrache-le de sur ma tête. Vas-y.
Tu ne veux pas ? Allez.
Allez, arrache-le. Veux-tu me l'arracher ?
Arrache mon postiche de sur ma tête.
Je vous adore !
Mais aussi, il était très loyal
envers ses clients réguliers.
- Hé ! Vous voilà !
- Salut, vieux.
Voulez-vous votre table ?
- Non. Là-bas, ça va.
- Oui ? Oui ? Oui.
Peut-être un peu trop loyal.
- Non.
- Non, pas de problème.
Allez manger ailleurs, les amoureux.
Cette table est réservée.
Allez ! Vite ! Bougez-vous !
Un peu de nerf, mon père. Debout.
Bon, votre table est prête.
Ça, c'est Doug.
Que se passe-t-il, bon sang ?
Des gars sont assis à notre table.
Mais on est bien ici.
- Ça va, je m'en occupe.
- Oh non, c'est reparti.
- Ce n'est pas...
- Pourquoi nous cries-tu après ?
- D'accord, on y va.
- D'accord, d'accord.
Mesdames, vous pouvez regagner
votre table habituelle.
Messieurs, j'ai besoin de votre aide dehors.
Pour quoi faire ?
Pour aller se battre
contre ces gars-là dans la ruelle.
Quoi de neuf docteur ?
Pardon, mais as-tu dit que...
Ces gars-là manquent d'égards.
On va donc aller dehors leur taper dessus.
On va bien s'amuser !
Il veut qu'on se batte ? Avec nos mains ?
Et avec nos pieds, peut-être ?
J'ignore les règles.
- Une bagarre ! Devrait-on y aller ?
- Allez, Ted.
Je ne me bats que contre trois choses :
l'agrafe tenace d'un soutien-gorge,
les accusations de harcèlement sexuel,
neuf en neuf,
et l'envie de vomir devant des chaussures
brunes avec un complet noir.
- Marshall ?
- La bagarre, c'est pour les perdants.
On est des hommes civilisés.
On ne se bat pas.
Sauf avec des sabres laser.
Mais ce ne sera que dans trois à cinq ans.
- Ce n'est pas vrai.
- Robin, je vais sur les forums chaque jour.
Dans trois à cinq Actions de grâce,
je découperai la dinde à coups de laser.
Non, je dis qu'il existe
bien des raisons légitimes de se battre.
Ce n'est peut-être pas joli à voir,
mais dans certains cas, on n'a pas le choix.
J'avais oublié.
Elle trouve que la bagarre, c'est sexy.
Non, c'est faux. Très sexy.
Je viens d'une culture axée sur le hockey.
Si un gars sait se battre,
c'est très excitant.
Et les cicatrices !
Si quelqu'un en a une, il aura Robin.
Et s'il lui manque des dents,
il me manquera ma petite culotte.
Il me manque mes dents de sagesse.
Consultation externe, anesthésie locale...
Voyons, ce n'est rien du tout.
On devrait peut-être y aller.
Je n'arrive pas à croire qu'on en discute.
Ted, tu as 30 ans. Tu es trop vieux pour ça.
Oui, j'avais 30 ans, et en 30 ans,
j'avais reçu un seul coup de poing.
Il y a une explication toute simp...
Et il y a eu le truc au camp.
Aujourd'hui, on va porter
des bracelets d'amitié.
À l'université, j'ai étudié le kung-fu.
Il s'est passé d'autres choses, aussi.
Allez.
Le truc de la chèvre est survenu plus ***.
En tout cas, je ne m'étais jamais bagarré.
- J'y vais.
- Non !
Écoute, fais-moi confiance.
Je me suis bagarré souvent.
Il n'y a vraiment
aucune raison d'en être fier.
- Avec qui t'es-tu battu ?
- Mes frères.
Il devait se livrer tout un combat
dans la salle de jeu des Eriksen.
J'adore jouer au cheval entre frères !
- Voici le monstre des chatouilles !
- Grattage de tête !
Attendez, attendez ! Temps mort !
Pause chocolat chaud.
Pause chocolat chaud.
- Bon, c'est l'heure de se battre.
- Ted, ne fais pas ça. Tu es gentil.
- C'est ta plus grande qualité.
- Vraiment ?
Je me rappelle
que le gars gentil s'est fait quitter
pour un prof de taekwondo.
Ça peut paraître absurde,
mais je pense que j'ai besoin de ça.
Je dois vivre cette expérience.
J'y vais.
Moi aussi !
Les amis, regardez bien ce visage,
car la prochaine fois que vous le verrez,
il sera défiguré
de la façon la plus séduisante possible.
Car c'est ce que je suis : un homme.
J'aime me battre,
tabasser des gens et être tout sale.
Pourrais-tu accrocher ça
sur un cintre de bois ?
- Qu'est-il arrivé ?
- Pas mal, hein ?
Vous ne regardez plus mon postiche, là ?
Regardez ce qu'on leur a fait.
- "On" ?
- Oui, "on".
On forme une bonne équipe.
Bravo, les gars, on a réussi !
Non, tu as fait ça tout seul. On n'a rien fait.
Oui, c'est ça.
J'ai pété la gueule de trois gars tout seul.
Vous êtes drôles.
Toi et toi, consommations gratuites à vie.
- Il croit qu'on a pris part à la bagarre.
- On a bel et bien pris part à la bagarre.
Et maintenant,
on va raconter à tout le monde
le récit légendaire
de notre combat victorieux.
Tout le monde trouvera ça super
et tout le monde voudra
recoucher avec moi.
Hé ! Personne ne croira qu'on s'est battus.
Regarde-nous.
C'est un bon...
- Que fais-tu ?
- Ce que j'aurais dû faire depuis longtemps.
- Quoi ?
- Je viens de me frapper sur l'œil !
Je ne sais même pas ce que je dis !
J'ai tout un crochet du droit, en passant.
- Es-tu prêt ?
- À rentrer ?
Non, pour ça.
Tu viens de me frapper sur le nez !
- Tu pleures ?
- Oui, je pleure.
Tu viens de me frapper sur le nez.
Ça va enfler. Tu auras l'air d'Owen Wilson.
Bon, rentrons.
D'accord, mais n'en mets pas trop.
- Je ne veux pas en faire toute une histoire.
- D'accord.
Ted enlève sa chaussure
et le frappe sur la bouche...
Hé ! Les voilà ! Ceux qui m'ont défendu !
Vous vous êtes battus. Vraiment ?
Non, Barney nous a tous deux
frappés au visage
pour qu'on ait l'air de s'être battus.
Franchement, Marshall !
Ouah ! Ton œil.
Tu as l'air d'un dur.
Je suis surprise de voir que tu avais ça
en moi. En toi. Que tu avais ça en toi.
Veux-tu y toucher ?
Mon Dieu, c'est chaud.
Buvons à la victoire.
Gratuit ! Gratuit ! Gratuit !
Gratuit ! 7,50 $.
- Pourquoi dois-je payer ?
- Tu ne m'as pas défendu.
- Ces gars-là, oui.
- Sais-tu quoi, Doug ?
Je paierai avec plaisir,
car c'est ce que font les adultes.
Ils paient pour leurs consommations
et ne se bagarrent pas.
Pendant que vous jouiez
les ados immatures,
- je vais vous dire ce que je faisais.
- Tes ongles ?
Non, je faisais...
Le jeu-questionnaire sur son couple
dans le Cosmo ?
Non. Je faisais...
Tout pour retenir tes larmes
quand Big est revenu
- auprès de Carrie dans Sexe à New York ?
- Non. Ne raconte pas le punch ! Non.
Voici ce que je faisais...
Le capitaine de l'équipe de football
t'a offert
une bague de fiançailles, et tu faisais
la belle pour lui dans ta jolie robe ?
Désolée.
Je les dé***.
Ils se croient les gars
les plus virils de l'univers,
comme s'ils étaient
Crocodile Dundee et David Hasselhoff.
C'est les gars les plus virils de l'univers ?
Je ne vois pas
pourquoi ils ont autant d'attention.
- Le vrai héros, c'est moi.
- Oui, c'est toi.
Je suis sérieux. Rengaine ta libido.
Marshall, tu es l'homme
que tous les garçons devraient devenir
et que toutes les filles devraient épouser.
Tu sais, deux garçons dans ma classe
se chamaillent constamment.
Si tu venais à l'école demain
pour leur raconter
comment tu as choisi la voie pacifique,
tu pourrais leur faire entendre raison.
Et je n'aurais pas à me lever tôt
pour préparer l'horaire de la journée.
D'accord. Je leur ferai entendre raison.
- Tu es une mauviette.
- Quoi ? Non.
Mahatma Panda et Martin Luther Koala
vous racontent cette histoire
- pour illustrer...
- Le fait que tu es une mauviette ?
Pourquoi ne t'es-tu pas battu ?
- Avais-tu peur ?
- Quoi ?
Non. Je n'avais pas peur.
- J'ai été mêlé à bien des bagarres.
- Tu es énorme.
Tu dois bien peser une tonne.
D'abord, je porte un chandail ample
qui a des lignes horizontales.
Et aussi... J'ai mangé un dîner salé...
Je retiens...
- Sais-tu quoi ? Ferme-la !
- Mauviette ! Mauviette !
Ouah ! Vous les avez
simplement tabassés ?
"Simplement" ?
Amanda, ce n'est pas si simple.
Le combat à mains nues,
c'est bien plus que de frapper
l'adversaire de toute sa force.
- Pas vrai, B. ?
- Bien dit !
C'est une science.
Toute une science, même.
Attendez, je ne comprends pas.
Qu'ont fait ces gars pour mériter ça ?
Ça peut sembler banal :
- ils se sont assis à notre table.
- À notre table.
- Et personne...
- Personne.
... ne s'assoit à notre table.
Elle est réservée.
Allez-vous tabasser ces gars-là ?
Oui, on va tabasser ces gars-là. Viens, Ted.
Vous deux, c'est notre table.
Partez tout de suite !
- Que fais-tu ?
- Relaxe, on a Doug.
- Le gros Doug nous protégera.
- Doug n'est pas ici ce soir.
Je peux vous offrir quelque chose ?
Un verre ? De l'argent ? Ces deux filles ?
Es-tu Ted Mosby ?
- Oui, c'est moi.
- Et es-tu Barney Stinson ?
Ils ont entendu parler de nous.
Ça va, les gars.
On va vous laisser partir la gueule intacte.
Cette fois-ci. D'accord ?
- C'est quoi ?
- Une assignation.
On vous poursuit pour voies de fait.
Profitez de votre table.
Il s'en est fallu de peu.
Voies de fait !
Ils nous poursuivent pour voies de fait !
Qu'est-ce qu'on risque, comme peine ?
Devrai-je payer une amende ?
Ramasser des ordures sur l'autoroute ?
Ça, je l'ai déjà fait, vous voyez.
Je ne sais pas.
En fait, il savait que le pire qu'on risquait,
c'était un règlement à l'amiable,
sans accusations criminelles.
Mais il était très fâché contre nous.
Vous risquez de croupir
longtemps en prison.
- La prison ?
- Je ne peux pas aller en prison.
Quoique là-bas, je pourrais lire beaucoup,
écrire enfin des nouvelles
et m'entraîner constamment.
Si je ne sors pas de là tout musclé...
Ted, on ne peut pas aller en prison.
On risque de s'y faire poignarder.
En plus, les repas là-bas sont
pleins de féculents.
Vous auriez dû penser à ça
avant de tabasser ces gars-là.
Et si on ne l'avait pas fait ?
- Pas fait quoi ?
- Pas tabassé ces gars.
Et si Doug les avait tabassés tout seul,
sans notre aide ?
Je le savais ! Je le savais ! Je le savais !
- Vous n'avez donné aucun coup de poing.
- J'ai tout de même frappé Ted et moi...
Qui est la mauviette, maintenant ?
Réponse : vous deux.
- Peux-tu nous sortir de là ?
- Vous connaissez l'expression :
"Si la peine vous rebute,
ne vous prenez pas pour des brutes,
"ne riez pas en buvant des verres gratuits
et ne vous moquez pas de votre ami
"qui, par ailleurs, a été mêlé
à bien des bagarres avec ses frères."
Tu dois nous aider, Marshall.
- On est les Trois Mousquetaires.
- Oui.
Si je dénonce Ted, quelle peine je risque ?
- Salut, les gars.
- Salut.
Salut.
Salut, Barney. Je te cherchais.
J'ai des billets pour le match de hockey
de ce soir. C'est stupide. Veux-tu y aller ?
Ça risque de finir ***.
On pourrait prendre un verre après ?
Robin, écoute ça. Tu sais, cette bagarre ?
Ils ont fait semblant de se battre.
J'ai oublié ! Ce soir, ça ne marchera pas.
Je ne peux pas aller au match. J'ai...
Un... Un...
Un...
Un... Un...
Bonne nouvelle : j'ai parlé aux gars.
- Quels gars ?
- Ceux que vous n'avez pas tabassés.
Ils renoncent à la poursuite.
- Remerciez l'avocat.
- Quoi ? Ils y renoncent ?
Oui, je leur ai expliqué
que vous étiez deux mauviettes.
On a bien ri. Et longtemps.
Je leur ai dit que tu te payais
manucure et pédicure chaque mois.
Chaque semaine, Wolverine.
On n'est pas tous malpropres.
Et je leur ai dit que tu jouais du tympanon
au sein de la Société de danse
pré-réformiste de Wesleyan.
Leur as-tu au moins dit
qu'on était un des meilleurs groupes
universitaires de musique médiévale ?
Je leur ai dit.
On en a conclu qu'un gars
les avait sûrement tabassés seul
et que vous n'aviez rien à voir là-dedans.
- Donc, ils ne poursuivent que Doug ?
- Affirmatif.
Doug le colérique, l'impulsif et le violent,
qui sait maintenant qu'on l'a trahi.
Ils ont quoi ?
- Doug, on peut t'expliquer...
- Expliquer quoi ?
Que vous m'avez poignardé
dans le dos en pleine face ?
- Robin, j'ai peur.
- Oui. Doug fréquente-t-il quelqu'un ?
Toi, consultes-tu quelqu'un ?
Tu devrais le faire.
Doug, tu ne comprends pas.
Tu as tabassé ces gars-là tout seul.
C'est vrai. Ils n'ont rien à voir là-dedans.
Regarde-les.
C'est la faute de Ted !
- Regarde-le.
- Oui, regarde-moi.
- Il ne tiendrait pas le coup cinq minutes.
- Quand même, je pense que...
Il est aussi musclé qu'un linguini.
Avec des boulettes de viande,
peut-être. Regarde.
Ted. Ted.
- Regarde !
- Ne fais pas ça.
Vous savez,
peut-être bien qu'il n'y avait que moi.
En fait, c'est plein de bon sens.
Je perds souvent le fil des événements.
En tout cas, je suis toujours là pour vous.
Et je vous demande juste d'être aussi là
pour moi. Mais vous ne l'êtes pas.
On ne peut pas compter sur vous.
Pas étonnant que ta fiancée t'ait quitté.
Et c'est là que c'est arrivé, les enfants :
la seule bagarre de ma vie.
Que dire de cette expérience ?
Disons d'abord que donner un coup
de poing sur la gueule de quelqu'un,
ça fait mal à la main. Très mal.
Mais qu'est-ce qui fait plus mal encore ?
Ceci.
Je me rappelle ensuite
avoir repris connaissance.
Bon, je me suis réchauffé. Je suis prêt.
Et j'ai compris que me battre était
une très mauvaise idée.
- Voilà mon histoire.
- Et qu'as-tu appris ?
J'ai appris que la bagarre, c'est mal,
- et qu'il ne faut jamais se battre.
- Des questions ?
Oui.
- Où trouves-tu ces gars-là ?
- Oui !
Y avait-il des soldes
au magasin de mauviettes ?
- Mauviette ! Mauviette !
- Mauviette ! Mauviette !
Bien sûr, je ne leur ai pas dit
ce qui était arrivé.
Bon, je me suis réchauffé. Je suis prêt.
- Qu'est-il arrivé ?
- Ceci.
Bon sang !
Il semble que l'oncle Marshall et ses frères
ne faisaient pas que se chamailler.
Pause chocolat chaud !
- Marshall a fière allure. A-t-il maigri ?
- Sale garce, n'y pense même pas.
Les enfants, j'aimerais vous dire
que se battre est mal
et qu'il ne faut pas le faire,
mais je sais que ça ne sert à rien.
Donc, je vous laisse sur ces mots :
ne vous battez pas avec l'oncle Marshall.
C'est un vrai fou furieux.
C'est bon de rentrer chez soi.
Action de grâce
trois à cinq ans plus ***
Maman, Lily, bravo.
Bonne bouffe, bonne viande,
bon Dieu, mangeons, d'accord ?
Bon, je commence. Mettez vos lunettes.
Passez-moi vos assiettes.
- Lily, viande blanche ou brune ?
- Brune !
Sois prudent, chéri.