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[La foule crie.]
[Mitt Romney] Et merci à Monseigneur l'Evêque Graves pour son introduction généreuse
et merci aussi au président Ben Jealous et à la présidente de séance Roslyn Brock
pour l'opportunité d'être ici ce matin, et pour votre hospitalité.
Vous parler est un honneur auquel je ne m'attendais pas, et que j'apprécie beaucoup.
J'apprécie l'opportunité d'être le premier à parler - même avant le vice-présdient.
Bon, le vice-présdient Biden aura son tour demain.
J'espère simplement que la campagne de Obama ne pense pas que vous me favorisez.
[Rires]
[la vidéo ne marche pas d'ici à 0:47]
... républicains. Il faut essayer de persuader chaque électeur.
Nous n'excluons personne, et nous n'avons pas certainement pas l'habitude de présumer le soutien de quiconque.
Il faut demander et mériter le soutien - et c'est pourquoi je suis ici aujour'hui.
Alors, s'il y a 90% d'électeurs afro-americains qui votent d'habitude pour les démocrates, peut-être vous demandez-vous, ou quelque-uns se demandent peut-être,
pourquoi un rêpublicain ferait l'effort de faire campagne dans la communauté afro-americaine, et de parler au NAACP.
Une raison bien sûr, est que j'espère représenter tous les Américains, de chaque ethnicité, religion et orientation sexuelle,
[Applaudissements]
du plus pauvre au plus riche et tout ceux qui sont entre-deux.
Mais il y a une autre raison.
Je crois que si vous compreniez que je suis réellement dans mon coeur,
et si il était possible de communiquer complètement ce que je crois est le meilleur intérêt
réel et durable des familles américaines-africaines américaines - vous voteriez pour moi.
Je veux que vous sachiez que si je ne croyais pas que mes programmes et ma direction aideraient les familles de couleur
- et les familles de n'importe quelle couleur - que les programmes et la direction du président Obama,
Je ne serais pas candidat à la présidence.
Alors, bien sûr, vous savez que l'opposition m'accuse,
moi et les gens de mon parti, de faire acte de candidature pour aider les riches.
C'est absurde. Les riches se débrouilleront très bien, que je sois élu ou non.
Le président veut que le thème de cette campagne soit de blâmer les riches.
Je veux que ce thème soit l'aide à la classe moyenne.
Je suis candidat à la présidence parce que je sais que mes programmes et ma vision aideront des centaines de millions f'Américains de la clase moyenne, de toutes les races,
et sortiront les gens de la pauvreté, et empêcheront les gens de devenir pauvre.
Ma campagne traite d'aider les gens qui ont besoin d'aide.
La voie choisie par le président n'a pas fait et ne fera pas cela. La mienne, oui.
Quand le président Obama m'a appelé pour me féliciter d'être devenu le candidat républicain présomptif
il a dit qu'il "se réjouissait d'un débat important et saint sur l'avenir de l'Amérique."
Mais pour le moment, je crains que sa campagne ait suivi une voie difféente.
Mais, quand les campagnes sont au mieux, les électeurs peuvent compter sur un choix clair, et les candidats peuvent compter qu'ils seront écoutés
surtout par une organisation vénérable comme celle ci.
C'est donc ce débat sain sur l’avenir du pays que je veux discuter avec vous aujourd'hui.
Si quelqu'un nous avait dit dans les années 1950-60 qu'un citoyen noir serait le quarante-quatrième présidents des Etats-Unis
nous aurions été fiers et beaucoup auraient été surpris.
En imaginant ce jour, peut-être aurions-nous présumé que la présidence américaine serait la dernière porte a s'ouvrir.
Avant que cela advienne, toutes les autres barrières sur le chemin vers l'égalité des chances auraient surement dû tomber.
Évidemment, ça ne s'est pas passé tout-à-fait ainsi.
Il reste beaucoup de barrières. D'anciennes inéquités persistent.
Par certains aspects, les défis sont encore plus compliqués qu'autrefois.
Et partout en Amérique - et même parmi vos propres membres - il y a des débats sérieux et honnêtes sur comment progresser,
Si l'égalité des chances était un fait accompli en Amérique, alors une économie chroniquement mauvaise serait également mauvaise pour tous.
Or elle est plus mauvaise pour les Afro-américains dans presque tous les sens.
Le taux de chômage, la durée du chômage, les revenus moyens, et le patrimoine moyen des familles sont tous plus mauvais pour la communauté noire.
En juin, quand le taux de chômage pour tout le pays restait fixé à 8,2%, le taux pour les Afro-américains a en fait augmenté, passant de 13,6%t à 14,4%.
Les Américains de de toute origine demandent quand cette économie va en fin se remettre - et vous, en particulier, avez droit à une réponse.
Si l'égalité des chances était un fait accompli en Amérique, les familles noires pourraient envoyer leurs enfants dans des écoles publiques qui offrent réellement l'espoir d'une meilleure vie.
Or depuis des générations, la communauté Afro-américaine attend et attend que cette promesse soit respectée.
Aujourd'hui, les enfants noirs représentent 17% des étudiants du pays - mais 42% des étudiants des écoles les moins performantes.
Notre societé les envoie dans des écoles médiocres et attend d'eux des performances excellentes, et ce n'est pas juste.
Frederick Douglass a remarqué que, "Il est plus facile de bâtir des enfants forts que de réparer des hommes brisés"
Mais, au lieu de préparer ces enfants à la vie, trop d'écoles les préparent à l'échec.
Tout le monde dans cette salle sait que nous leur devons mieux que ça.
La voie de l'inégalité mène souvent à des chances perdues.
L'université, les écoles post-licence, les premiers emplois doivent marquer les étapes du passage de l'enfance à l'âge adulte.
Mais pour trop de jeunes défavorisés, ces buts apparaissent inaccessibles - et leurs vies prennent un tournant tragique.
Beaucoup vivent dans des quartiers peins de violence et de la peur, et vides d'opportunités.
On peut comprendre leur impatience de voir un changement réel..
Ils ont le droit de sentir que la vie en Amérique devrait être meilleure que ça.
On leur dit même maintenant d'attendre des améliorations de l'économie et de nos écoles, mais il me semble que ces Américains ont attendu assez longtemps.
Ce qui compte, c'est que quand plusieurs décennies des mêmes promesses produisent toujours les mêmes échecs, il est raisonnable de repenser notre approche - et de penser à un nouveau plan.
J'ai l'espoir qu'ensemble, nous pouvons réorienter les politiques fédérales, en commençant là où commencent beaucoup de nos problèmes - avec la famille.
Un rapport de la Brookings Institution a montré que pour ceux qui finissent le lycée,
obtiennent un emploi à plein temps, et attendent jusqu'à l'âge de 21 avant de se marier pour avoir ensuite leur premier enfant,
la probabilité d'être pauvre est de deux pour cent.
Et si ces facteurs sont absents, la probabilité d'être pauvre est de 76%.
Ici à la NAACP, vous comprenez la différence profonde et durable créée par la famille.
Votre directeur exécutif précédent, le Dr. Benjamin Hooks, l'avait exprimé parfaitement.
"La famille," a-t-il dit, "reste le rempart et l'étai principal de la communauté noire.
Il ne faut pas négliger cette grande vérité."
Tout programme qui rehausse et honore la famille sera bon pour le pays, et doit être notre but.
Comme président, je promouvrai des familles fortes - et je défendrai le mariage traditionnel.
Comme vous avez peut-être entendu mon opposant le dire, je crois aussi en un système de libre entreprise.
Je crois qu'il peut amener le changement là où tant de programmes gouvernementaux de bonne volonté ont échoué.
Je n'ai jamais entendu personne dire, après avoir observé un quartier appauvri,
"Vous savez, il y a trop de libre entreprise par ici. Trop de magasins, trop d'emplois, trop de gens qui mettent de l'argent à la banque."
Ce que vous entendez, bien sûr, c'est: comment amener des emplois?
Comment convaincre de bons employeurs honnêtes à venir ici et à y rester?
Et avec l'état actuel de l'économie, nous le demandons plus que jamais.
La libre entreprise reste la plus grande force de mobilité ascendante, de sécurité économique et d'expansion de la classe moyenne.
Ces dernières années, nous avons vu comment c'est d'avoir moins de libre entreprise.
Comme Président, je vous monterai les bonnes choses qui peuvent se produire quand nous plus - plus d'activité commerciale, plus d'emplois,
plus d'opportunités, plus de salaires, plus de comptes épargne.
Dès le premier jour, je commencerai à retourner cette économie avec un plan pour la classe moyenne.
Et je n'entends pas seulement ceux qui appartiennent maintenant à la classe moyenne. J'entends aussi ceux qui attendent depuis si longtemps une chance de s'unir à la classe moyenne.
Je sais ce qu'il faudra pour remettre les gens au travail, pour créer plus d'emplois et de meilleurs salaires.
Mon programme d'emploi se base sur 25 ans de succès dans les affaires. C'est un plan de restauration de l'emploi en cinq étapes principales.
D'abord, je tirerai plein avantage de nos ressource énergétiques et j'approuverai un pipeline Keystone depuis le Canada: Beaucoup de charbon, de gaz naturel, de pétrole et d'énergies renouvelables à bas pris ramèneront un million d'emplois en usine aux Etats-Unis.
Deuxièmement, j'ouvrirai de nouveaux marchés pour les produits américains.
Nous sommes l’économie la plus productive du monde, donc le commerce signifie de bons emplois pour les Américains.
Mais le commerce doit être libre et juste, alors je combattrai les tricheurs comme la Chine
et je m'assurerai qu'ils jouent enfin selon les règles et ne volent pas nos emplois. [applaudissements].
Et troisièmement, je réduirai les dépenses du gouvernement.
J'espère que tout le monde comprend qu'un fort endettement ralentit le taux de croissance du PIB, de l'économie.
Et cela signifie que moins d'emplois sont créés.
Si notre but est l'emploi,nous devons cesser de dépenser plus d'un trillion dollars de plus que nos recettes par année.
Et donc [applaudissements] Et pour faire cela, j'abolirai tout programme non essentiel coûteux que je peux trouver;
et cela comprend l'Obamacare, et je travaillerai à réformer et économiser ... [huées]
vous savez, il y a eu un sondage, il y a eut un sondage fait par la chambre de commerce.
Ils ont fait un sondage de leurs membres, interpellant à peu près 1500 personnes,
et ils leur ont demandé quel effet Obamacare aurait sur leurs plans
et les trois quarts ont dit qu'Obamacare ferait qu'ils engageraient probablement moins de gens.
Je le répète: si notre priorité est l'emploi, et c'est ma priorité, c'est quelque chose que je changerais,
et je le remplacerais par quelque chose qui donne aux gens ce dont ils ont besoin dans le domaine de la santé:
des prix plus bas, une bonne qualité, la capacité de servir les gens qui ont des conditions médicales pré-existantes, et je l'implémenterais.
Et je travaillerai aussi à réformer et sauver Medicare et la Sécurité sociale
On continue à discuter le fait que ces programmes sont sur la voie de l'insolvabilité, mais on ne fait rien pour y remédier.
Je les corrigerai et m'assurerai qu'ils soient durables et surs pour nos aînés d'aujourd'hui et pour les aînés de demain.
Et je le ferai en partie par une corrélation revenus-prestations, c'est-à-dire des prestations plus élevées pour les bas revenus, et des prestations moins élevées pour les hauts revenus.
[Applaudissements]
Quatrièmement, j'ai l'intention de me concentrer sur la formation et le développement des ouvriers qualifiés dont notre économie a tant besoin aujourd'hui, et qui seront une nécessité à l'avenir.
C'est le capital humain avec lequel le futur radieux de demain sera bâti.
En passant, trop de foyers et trop d'écoles échouent à fournir à nos enfants
les qualifications et l'éducation qui sont essentielles pour tout autre travail qu'un emploi au salaire minimum.
Et enfin - et c'est peut-être ce qui est le plus important, je restaurerai la liberté économique.
L'économie de ce pays fonctionne sur la liberté, les opportunités, les entrepreneurs, les rêveurs qui innovent et construisent des entreprises.
Ces entrepreneurs sont actuellement écrasés par une forte imposition, une pesanteur sans nécessité de la réglementation, des régulateurs hostiles,
des coûts excessifs de santé, et des politiques de travail destructrices.
Je vais travaillerai à faire de Amérique le meilleur lieu du monde pour les innovateurs, les entrepreneurs et les grandes et petites entreprises.
Faisons ces cinq choses
- ouvrir le marché de l'énergie, augmenter le commerce, couper le croissance du gouvernement, nous concentrer aujourd'hui sur mieux former les ouvriers de demain, et restaurer la liberté économique -
et les emplois reviendront en Amérique, et les salaires augmenteront de nouveau. Il faut le faire. [Applaudissements]
Et je sais que le président dira qu'il va faire ces choses, mais il ne les a pas faites, il ne les fera pas, il ne peut pas les faire. [huées]
et ses quatre années passées à la Maison Blanche le prouvent définitivement. [des huées]
Si je suis président, ma tâche n° 1i sera la création d'emplois.
Laissez-moi le répéter: mon programme n'est pas de mettre en place une série de politiques qui me donnera beaucoup d'attention et d'applaudissements,
mon programme sera, n°1: créer des emplois pour le peuple américain. Je n'ai pas de but caché. [Applaudissements]
Et je vous soumets ceci: si vous désirez un président qui améliore la situation de la communauté afro-américaine,
il est devant vous [Huées et applaudissements]
Finalement, je vais parler de l'inégalité institutionnalisée dans notre système éducatif.
Et j'en sais quelque chose pour avoir été gouverneur.
Dans les années qui ont précédé mon entrée en fonction, les chefs de notre Etat ont se réunis
pour décréter des mesures bipartites qui ont fait une différence.
En lecture et en arithmétique, nos étudiants se trouvaient déjà parmi les meilleurs du pays - et pendant mon terme, ils sont devenus les premiers.
Ces résultats ont montré ce que de bons enseignants peuvent faire si le système les y autorise.
Le problème était que ce succès n'était pas partagé.
Il y avait toujours un grand fossé entre les résultats des étudiants de différentes races. Alors nous avons travaillé à l'éliminer.
J'ai conseillé des interventions accélérées aux écoles qui échouaient, et le financement nécessaire.
J'ai promu l'excellence en mathématique et en sciences dans nos écoles, et j'ai proposé qu'on paie des primes à nos meilleurs enseignants.
J'ai refusé d'abaisser les barèmes des examens, et qu contraire, je les ai haussés.
Pour obtenir leur diplôme de fin de lycée, les étudiants devaient réussir les examens mathématiques et anglais, et j'ai aussi ajouté une obligation concernant les sciences.
Et j'ai mis en place des bourses fondées sur le mérite pour tous les étudiants qui excellaient:
les étudiants dans le 25% des meilleurs de chaque lycée du Massachusetts recevait une bourse John et Abigail Adams:
quatre ans sans taxe d'écolage dnas n'importe quelle institution publique d'études supérieures du Massachusetts. [Applaudissements]
Et quand j’étais gouverneur, les résultats aux examens ne se sont pas seulement améliorés, nous avons aussi réduit le fossé dans la réussite.
Plusieurs de ces réformes ont mécontenté les syndicats d'enseignants.
Ils étaient particulièrement mécontents de notre insistance sur le choix à travers les "charter schools" (écoles privées financées par l'Etat)
qui sont un grand avantage pour les enfants des centres urbains, contraints à des écoles inefficaces.
Par conséquent, le législatif a voté un moratoire sur la création de nouvelles "charter schools".
Comme vous le savez, à Boston, Harlem, Los Angeles et dans tout le pays,
les charter schools offrent une chance à des enfants qui seraient autrement bloqués dans des écoles inefficaces.
Il y a quelques semaines à peine, j'ai été inspiré par les étudiants d'une des charter schools de Kenny Gamble à Philadelphie.
Et ici même, à Houston, il y a une autre histoire de réussite: le programme Knowledge Is Power (la connaissance est le pouvoir),
qui a fixé la norme, grâce au travail de pionnière de feu Harriet Ball.
Ces charter schools font bien plus que refermer le fossé entre les résultats.
Elles amènent l'espoir et des opportunités dans des lieux où il n'y en a pas eu pendant des années.
Les charter schools sont une telle réussite que presque tous les politiciens peuvent trouver quelque chose de positif à en dire.
Mais, comme nous l'avons vu dans le Massachusetts, les mots ne suffisent pas à une vraie réforme.
Comme Gouverneur, j'ai opposé mon véto au projet de loi bloquant les charter schools.
Mais mon législatif était à 87% démocrate, et mon véto aurait facilement pu être contourné.
Alors je me suis allié avec le groupe des législateurs noirs, et leurs votes ont contribuer à préserver mon véto.
Par conséquent, de nouvelles charter schools, y compris certaines dans des quartiers urbains, seraient ouvertes [Applaudissements]
Quand il s'agit de réformer l'éducation, les candidats ne peuvent pas jouer sur les deux tableaux
- promouvoir la réforme de l'éducation et en même temps complaire les groupes mêmes qui bloquent la réforme.
Vous pouvez être la voix des étudiants défavorisés de l'école publique
ou vous pouvez protéger les intérêts particuliers, comme ceux des syndicats d'enseignants,
mais vous ne pouvez pas faire les deux.
J'ai fait mon choix:
Comme président, je me ferai le champion d'une véritable réforme de l'éducation en Amérique,
et je ne permettrai à aucun intérêt particulier de me barrer la route. (Applaudissements).
Je donnerai aux parents de chaque étudiant qui est sans-richess ou handicapé
l'opportunité à choisir l'école à laquelle leur enfant va assister.
Pour la première fois dans notre histoire, si je deviens président, les fonds fédéraux éducatifs seront liés a l'étudiant,
alors que les parents puissent enregistrer leur enfant à n'importe quelle école publique ou "charter school" qu'ils choissisent.
Et j'en ferrais une choix vraie, parce que je vais assurer qu'il y a bonnes alternatives disponsibles à chaque enfent.
Soit élu président, je dirigerai comme je l'en ai fait quand j'etais gouverneur.
Je suis content aujourd'hui être accompagné aujourd'hui par Reverend Jeffrey Brown
qui était membre de mon "kitchen cabinet" [cabinet cuisine - un groupe informal de conseillers]
Ce cabinet a fait partie de guider mes politiques et mes actions qui avaient l'impact en particulier sur la communauté afro-americaine.
Je chercherai le soutien quoi qui trouve le bonheur et les convictions partagées.
Et je travaillerai avec vous en aidant nos enfants à assister aux meilleures écoles
et en aidant notre économie à faire naitre des bons emplois avec des meilleures salaires.
Je ne peut pas promettre que je serais d'accord sur tout enjeu.
Mais je promet que votre hospitalité envers moi aujourd'hui sera remboursée.
Nous nous connaisserons l'un à l'autre [Applaudissements] et nous allons traivailler ensemble aux objectifs partagés,
Je vais chercher votre conseil.
Et si je suis élu président, et vous m'invitez à la réunion de la prochaine année,
Je me déclarerai priviliégié, et ma réponse sera oui. [Applaudissements]
Vous savez, l'histoire du parti républicain, au mesures que vous apposez avec raison, n'est pas parfaite.
Tout parti qui proclame avoir une histoire parfaite ne connais pas l'histoire comme vous le connaissez. [Applaudissements]
Néamoins toujours, aux deux partis, il y avait des hommes et des femmes a l'intégrité, à la décence, et à l'humilité
qui ont appelé l'injustice par son propre non.
Pour chaqu'un parmi nous, il y a un gen en particulier qui vient à l'esprit,
quelqu'un qui a établi des barèmes sur la conduite et nous a fait meilleurs par leur exemple.
A moi, cet homme est mon père, George Romney, [Applaudissements]
Il n'est pas simplement que mon père a aidé écrire la provision aux droits de l'homme pour Massachussetts - pardonnez-moi - pour la constitution de Michigan, quoi qu'il l'a fait.
Il n'est pas simplement qu'il a aidé créer la première commission de Michigan aux droits de l'homme
ou que quand il était gouvernour il marchait dans les rues de Detroit en soutenant les droits de l'homme - bien qu'il a fait ces choses aussi.
Plus que ces actions publiques, c'était telle sorte d'homme il était, et la façon dont il se comportait avec chaque personne, noire ou blanche.
C'était un homme avec les plus justes instincts, et un homme fidèle qui savait que chaque personne est enfant de dieu. [Applaudissements]
Je le remercie pour tellement de choses, et surtout pour la connaissance de dieu,
dont les méthodes ne sont pas tourjours les nôtres, mais dont la justice est assurée et dont la miséricorde endure pour toujours. [Applaudissements]
Chaque bonne cause sur terre dépend en fin d'un plan plus grand que le nôtre.
"San dépendre sur dieu," Dr. King a écrit, "nos efforts deviennent des cendres et nos levers de soleil se transforment en nuits profondes."
Sauf que son esprit remplit nos vies, nous ne trouvons que ce que G.K. Chesterton a appelé
"des rémédies qui ne rémédient pas, des bienfaits qui ne font pas bien, et des solutions qui ne résoudent pas." Fin de citation.
Parmi tous que vous ammenez au travail d'aujourd'hui sur les droits de l'homme,
il n'y a nul avantage qui conte plus que la confiance éternelle au nom plus haut que tous les autres,
Contre le cruauté, l'arrogance, et tous les bêtises humains,
cet esprit a porté le NAACP à plusieures victoires.
Il y a plus sur la route, tellement de triomphes avant nous, et a cause de chaqu'un, nous serons meilleur pays.
Merci tellement, que dieu bénisse chaqu'un parmi vous. Merci. Merci. [Applaudissements]