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En ville, nous baissons les yeux.
On n’entre pas facilement en contact avec ceux qui nous entourent parce qu'il y a foule.
On a du mal à s’ouvrir aux autres.
Nous construisons une espèce de carapace, nous devenons imperméables. Il y a trop d’informations.
Pourquoi promouvoir l’utilisation du vélo?
Parce que le vélo est un outil important pour que nous soyons réellement autonomes.
Le vélo rapproche les personnes et rend la ville plus agréable.
Je suis Ze Lobo. L’organisation Transporte Ativo est une organisation locale, de Rio de Janeiro.
Ce qui nous motive, c’est notre désir de voir plus de monde se déplacer à vélo, profitant ainsi de Rio de Janeiro.
Le vélo est un outil efficace pour la ville.
Voici le défi: une personne typique “aime sa voiture, aime les engins motorisés, aime le traffic”.
Je m’appelle Vinicius, je fait partie des “Bike Anjo” ici à Florianopolis.
Nous sommes un groupe de cyclistes expérimentés.
Quelqu’un d’expérimenté guide le cycliste débutant en le prenant "par la main".
Cette année nous avons déjà enseigné à de nombreuses personnes comment circuler.
C’est super de les voir terminer: “mon Dieu, le centre-ville, on est arrivé!”.
Oui, c’est simple, il suffit de monter sur son vélo et de pédaler!
Dans le but d’améliorer la sécurité des cyclistes, l’administration municipale a décidé,
dès les années 1970, de construire la première piste cyclable du Brésil.
Cette piste fait le tour de la ville et elle est encore utilisée aujourd’hui.
Nous faisons la promotion du cyclisme à Montevideo et dans tout l’Uruguay.
Si l’on parle des conditions actuelles, on peut dire qu’on est encore à l’âge de pierre, à la préhistoire !
Aucun plan sérieux n’est prévu pour s’occuper des 100 000 cyclistes qui circulent en ville tous les jours.
Je dirige l’organisation BikeStorming.
Nous souhaitons que le vélo devienne le principal moyen de transport en ville.
Notre objectif d'ici 2030 : atteindre 51% de déplacements à vélo dans les villes du monde.
Actuellement j'identifie ce qui empêche les habitants de choisir le vélo comme leur moyen de transport.
De plus en plus souvent, les entreprises et la ville dans son ensemble
commencent à voir "le vélo" comme une solution efficace dans de nombreux contextes.
Salut, je suis Thiago Gomez. Nous nous trouvons à Pavão-Pavãozinho, entre Ipanema et de Copacabana.
J'organise une course de VTT appelée "Circuit VTT des favelas"
Ici au Brésil, nous avons une loi appelée « loi pour encourager le sport".
Aussi bien pendant la construction de la piste, que le jour de la course, nous donnons du travail à beaucoup de monde.
Nous avons également organisé deux ateliers de mécanique du vélo.
Ces jeunes, ces adolescents terminent cet atelier avec un emploi presque garanti.
Beaucoup travaillent toujours dans les magasins de vélo de la zone la plus riche de Rio, dans les quartiers sud.
Notre premier projet s’appelle « la loi du vélo ».
Malgré le fait que le code de la route du Brésil reconnaisse le vélo comme moyen de transport, les villes ne le respectent pas.
Le but de cette loi est de faire que 5% des rues de Curitiba soient dotées d'infrastructures, dont des pistes cyclables.
La plus grande innovation, c’est que ce processus soit appelé «démocratie directe numérique».
C'est une vraie nouveauté : pour la première fois les gens votent pour une idée et non pas pour une personne.
Je suis Cadu Carvalho. Je suis de São Paulo et j'habite à Porto Alegre depuis 5 ans.
Dans un contexte délicat, ces personnes, les cyclistes de Porto Alegre, ont pu organiser le premier Forum Mondial du Vélo.
Dès lors, les médias ont commencé à être "bike friendly".
Les élections municipales ont lieu cette année, et la thématique du vélo en ville
a été l'une des plus débattue, ce qui n'avait jamais été le cas auparavant.
Oui, il y a une Vélorution qui se tient le deuxième dimanche de chaque mois.
Nous célébrons la culture cycliste, nous demandons plus de sécurité et des pistes cyclables.
"Plus de vélos, moins de voitures! Plus de vélos, moins de voitures!"
Quand une personne fait du vélo une seule fois, le week-end ou autre, cette personne rentre dans la peau d’un cycliste.
C'est le début d'un grand changement, parce qu’une personne qui conduit sa voiture tous les jours
et qui fait du vélo une seule fois, prend déjà conscience de ce qui est dangereux quand elle pédale.
Je pense donc que nous sommes en train de vivre un changement important.
"La possibilité de réaliser un rêve, c’est ce qui rend la vie intéressante"
"L’heure est arrivée, c'est l'heure...!"
"On y va?"