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Précédemment...
À notre dernier, et meilleur coup.
- Tu m'as presque tué.
- Tu veux quoi ?
Dernière chance de me
donner une part.
J'ai été gentil. Je vais te forcer
à me donner ce que je veux.
Neal, il est temps de faire un choix.
- Tu veux partir ?
- Non.
Tu te mens à toi-même, si tu crois
que tu es vraiment cette personne.
J'ai vu le trésor.
Ton petit Caffrey l'a.
Et tu le veux.
- Tu vas m'aider ?
- Pourquoi je ferais ça ?
Pourquoi pas rentrer, relaxer,
et y réfléchir ?
Peter.
Il a enlevé ma femme.
Peter...
Le SWAT a été déployé dans New York
et la HRT est en alerte.
On a de la surveillance aérienne, maritime,
terrestre et électronique.
- Il y a des barrages partout.
- On la trouvera, Peter.
Qu'est-ce que Keller veut ?
Neal.
Tu as le trésor.
- Je ne l'ai pas volé.
- Salaud. Je m'en fous.
Tu l'as. Keller le sait.
Tu vas le lui donner pour sauver
ma femme.
Oui. Tout ce que tu veux.
C'est lui.
Agent Burke, si vous êtes intelligent,
et je sais que vous l'êtes,
- le FBI ne saura rien de cet appel.
- Je suis du FBI.
Non. Là, vous êtes un homme
qui veut revoir sa femme.
Laissez-moi lui parler.
Et pourquoi je ferais ça ?
Je veux entendre sa voix.
Attention, Mme Burke.
Pas de messages, O.K. ?
Salut, chéri.
Salut, chérie. Tu vas bien ?
Oui, ça va. Ils ne m'ont pas fait de mal.
Tu me manques.
Tu me manques aussi.
Assure-toi que Satchmo va bien, O.K. ?
Assure-toi qu'il mange.
Bon, c'est fini.
Je vais tout régler, El.
El ?
C'est à fendre le cœur.
C'est bien de voir l'amour d'un couple
même après tout ce temps.
Je ne veux pas m'interposer.
- Relâchez-la.
- Je vais le faire.
Dès que vous faites votre part.
J'ai le trésor de Caffrey, elle est à vous.
Vous avez 12 heures.
Qu'a-t-elle dit ?
Elle aurait pu dire n'importe quoi
et elle m'a parlé de Satchmo.
Il a l'air correct. C'était un code ?
Voilà.
- Oh, j'adore ma femme.
- Du sang.
Bon chien, Satchmo.
Jones ?
Oui ?
Satchmo a mordu un des kidnappeurs.
Il a du sang sous la gueule.
On va faire un test d'ADN.
On passe le mot aux pharmacies et aux
hôpitaux à propos d'une morsure.
Merci.
Viens, pitou.
Amène-moi au trésor.
Tu ne parles pas de Keller au bureau ?
Pas encore.
Il connaît nos méthodes mieux que nous.
Laissons Jones et Diana chercher Elizabeth.
On s'occupera de Keller.
Je passe ici chaque matin.
Le trésor est là-dedans ?
- Je ne l'ai pas cherché.
- Tu aurais pu le laisser là.
C'est vrai, j'aurais pu.
Je ne l'ai pas fait.
Je devrais payer pour, pas Elizabeth.
Tu vas payer pour. Dès maintenant.
- Où est-il ?
- Il était là.
- Peter, tout était là.
- Oh, mon Dieu.
Il l'a déjà bougé.
Il ? Qui ? Mozzie ?
Mozzie, bien sûr. Appelle-le.
J'ai essayé. Il ne me parle pas.
On est en froid.
Quoi, pas d'accord sur l'île à acheter ?
Je ne pensais pas
qu'il le bougerait aussi vite.
- Où l'a-t-il emporté ?
- Je ne sais pas.
Je ne sais pas. C'est Elizabeth.
C'est vrai. Aucune idée.
Maudit, Neal !
Mozzie pourrait être n'importe où.
- On a moins de 12 heures.
- Peter.
On va la retrouver.
En commençant par trouver Mozzie.
- Une piste pour retrouver Mozzie ?
- Non.
Il s'est bien caché. Il a annulé ses courriels,
ses cellulaires.
- Trouvé quelque chose ?
- Non. Ses planques sont vides.
- Lundi à dimanche ?
- Vides.
Il a dû quitter la ville.
La dispute était à propos de quoi ?
Mozzie voulait quitter New York.
Moi, non.
Pourquoi pas ?
Toi,
Elizabeth,
Sara.
La vue de cette fenêtre.
Sortir de l'ascenseur le lundi matin.
Tout ça.
J'ai une vie, ici.
Et Mozzie ?
Il n'a pas aimé l'admettre,
mais c'est chez lui, ici.
J'ai passé les pseudos que tu m'as donnés.
Il n'a pas pris l'avion ni le bateau.
- Ça veut dire qu'il y réfléchit.
- Où ?
Il cherche la solitude.
- Il doit y avoir moyen de le joindre.
- Bien sûr.
Il y en a un.
Je cherche Estelle.
Drôle de place pour trouver une femme,
non ?
C'est pas une femme.
- Mais vous savez déjà ça.
- Bon.
Qui êtes-vous ?
Un ami de Mozzie. J'ai besoin de lui
passer un message.
Yeux bleus, costume sur mesure.
Il m'a dit que vous viendriez peut-être.
Il m'a dit de vous renvoyer.
Cher Ami.
Durant la Première Guerre,
le Bataillon perdu était entouré
par des Allemands dans
la bataille de l'Argonne.
Chaque pigeon voyageur envoyé à l'aide
a été tué. Cher Ami était leur dernier.
Le Bataillon l'a vu se faire abattre.
Tout espoir était perdu.
Pourtant, il a repris vol et
atteint sa destination.
Il a sauvé 200 vies
et a reçu la Croix de guerre.
"Cher ami" est très à propos.
Le cher ami de Mozzie a besoin de lui.
Il ne le sait pas,
mais une autre vie doit être sauvée.
Salut, Estelle.
Ça fait longtemps.
Je n'ai jamais su où tu volais,
mais je crois savoir, là.
Mozzie a toujours dit que tu étais le
meilleur pigeon en ville.
On a besoin de toi.
Bonjour.
- Un réchaud ?
- Merci.
Voici les résultats de l'ADN du sang
sur Satchmo.
Ce n'était pas Keller.
Leonard Grant.
Un passé de violence imprévisible.
Il a tout un dossier,
y compris des enlèvements.
Le genre que Keller adorerait.
On fouille dans ses contacts,
ses dossiers financiers.
Bien.
Patron, il y a quelque chose que
je peux faire pour vous ?
Exactement ce que tu fais au moment.
Il n'y a personne à qui je fasse plus
confiance que Jones et toi pour ceci.
Et Caffrey ?
Il a le trésor, non ?
C'est ce que Keller veut.
Vous y travaillez.
Moins tu en sais,
mieux c'est, pour le moment.
- Merci, Diana.
- O.K.
Oh, Estelle. Tu arrives plus tôt que prévu.
Ne me faites pas de mal.
Ils vous donneront ce que vous voulez.
J'espère bien.
Parce que j'ai beaucoup de dettes à payer.
Aux Russes, surtout.
Alors, j'espère que ça
va tout régler d'un coup.
Les œuvres n'appartiennent pas à
Neal non plus.
C'est juste le plus récent voleur.
C'est bien
que vous les preniez.
Ah oui ?
Pourquoi dire ça ?
Neal a trahi mon mari, lui a menti.
Il ne le mérite pas.
Vous êtes bonne, Mme B.
Je vous le concède.
Pas de contact visuel,
d'identification avec le ravisseur.
Vous n'avez pas dit mon nom.
Vous jouez la totale
du livret kidnapping du FBI, hein ?
Sauf que votre mari sait déjà qui je suis.
C'est vrai.
Et Neal et lui vous botteront le cul.
Vous essayez sûrement de trouver un
moyen de vous évader,
alors, je vais vous faciliter la tâche.
Cette porte est votre seule issue.
Neal ne pourrait pas
forcer la serrure.
À votre place, mon deuxième choix serait
cette issue de secours.
À moins d'avoir une perceuse
dans votre blouse,
vous resterez ici.
Juste pour être sûr...
Hé, Grant.
Vous avez déjà fait connaissance, non ?
Je vous serrerais la main, mais...
Pendant que j'irai voir votre mari,
Grant vous surveillera.
- Ça prendra combien de temps ?
- Quoi ?
- Ma main fait vraiment mal.
- C'est une égratignure.
Au revoir, Elizabeth Burke.
Tire-lui dans le pied si elle essaie
quelque chose.
Je veux être prêt au cas où on ne
trouverait pas Mozzie.
Si on disait la vérité à Keller ?
- Il pensera qu'on bluffe.
- Il s'en prendra à Elizabeth.
On devrait peut-être dire au FBI
ce qu'il veut.
Ils ne négocient pas avec des kidnappeurs
et ils doivent plutôt retrouver El.
On n'a pas à s'en faire pour
retrouver Mozzie.
Amenons-le ici.
Pour une fois, les mots me manquent.
Impossible de dire à quel point
je suis désolé.
L'acte de Keller.
J'aurais dû voir venir.
- Tu as le trésor ?
- Oui.
- Bien.
- Attendez.
Ne le lui donnez pas.
Dès qu'il l'aura, il n'a aucune raison...
Aucune raison de la garder vivante.
- Il a tué Hale sans hésiter.
- Il a raison, O.K. ?
On a le trésor pour marchander.
La seule chance d'El, ma seule garantie
qu'elle soit sauve, est que le FBI la trouve.
- On manque de temps.
- Il faut s'en procurer.
Oui, mais Keller sait lire un délai.
À trois, on doit être plus brillants que lui.
On joue selon ses règles depuis le début.
Changeons de jeu.
Je te croyais sur une plage
avec des mai tai.
Après tout ce qui est arrivé,
il fallait réfléchir.
J'ai décidé de faire comme Thoreau.
Trouvé un petit étang et mis à vivre
de la terre ?
Avoue. La ville est difficile à abandonner.
C'est une maîtresse têtue.
Fouillez les dossiers de Grant, trouvez
ce qui pourrait être une planque.
- C'est de ma faute.
- Non, c'est de ma faute.
J'ai pris le trésor.
Keller a enlevé Elizabeth, pas toi.
N'oublie pas ça.
Qu'a dit le FBI ?
Ils ont une piste,
mais il leur faut du temps.
On ne peut retarder l'échange.
Peter, si on le fait, qui sait ce que
Keller fera à Elizabeth ?
Où gardes-tu le trésor ?
Dans un lieu sécurisé
établi avec des associés.
Si on retardait Keller sans en avoir l'air ?
Une chose hors de notre pouvoir.
Keller est vif d'esprit.
Oui, il faudrait qu'il nous
croie de bonne foi.
On va devoir lui montrer le trésor.
J'ai une idée.
Ça prendra un appel
à point nommé à la police
et un criminel sans lien concret avec nous.
Quelqu'un que tu ne regretterais
pas de vendre.
J'ai le vendu en question.
Mozzie, après ce qui s'est passé à Atlanta,
je suis surpris de te voir.
Aux grands maux les grands remèdes.
- Je peux te parler sans ton ombre ?
- Simon.
J'ai un travail pour deux
à faire aujourd'hui.
J'ai de la sécurité haut de gamme à percer.
C'est quoi le travail ?
Une cible choisie par le commanditaire.
Je viens de prendre le paquet.
Tu ne l'as pas encore ouvert ?
- Non, j'étais en retard...
- Tu ne connais pas les détails ?
Tout doit être là.
J'ai déjà travaillé pour lui.
Il est en règle.
Je te crois.
Allez, Rufus. On a une chance de faire
tous les deux plein d'argent.
Vu que tu ne sais rien du travail,
on dirait que je vais être celui
à faire l'argent.
Et Simon aussi.
Merci de ton aide, vieux.
Va chier, Rufus.
Ton rythme cardiaque va bien ?
Quoi ?
Si c'est infecté,
ton rythme cardiaque va augmenter.
C'est une égratignure.
Tu as raison.
Tu dois être correct.
À moins de commencer à suer.
Et si c'était le cas ?
Ce serait probablement
un empoisonnement sanguin.
Courant avec les morsures.
Tu n'es pas obligé de me croire.
Tu peux vérifier sur ton portable.
Tu t'imagines tirer Keller, là ?
Je ne veux pas le tirer. Je veux lui
enfoncer la gueule à répétition.
Là, j'insère du bambou sous ses ongles.
Tu as des goûts classiques.
Vous parlez de moi ?
Mes oreilles sifflent.
Ma femme est mieux
d'aller bien.
J'aime cette passion.
Ça prouve que vous êtes motivés.
Elle va bien.
Tant que j'appelle chaque demi-heure,
ça continue.
Votre chien est en laisse ?
Pas de bracelet électronique.
Bon chien.
Le trésor est ici ? On dirait pas.
C'est le but.
C'est quoi, cet endroit ?
Un entreposage pour voleurs honorables.
Ceux qui ne voleraient pas
d'autres voleurs.
Ça n'existe pas, mon chéri.
Ça a dû être dur, hein, Caffrey ?
Mentir à ton ami à propos
d'avoir le trésor ?
On peut se passer du commentaire.
Tu as toujours été bon pour mentir
à tes proches.
Pas vrai, Mozz ?
Bienvenue au conteneur 10, mon cher.
Et voilà.
Le coup du siècle.
Qu'est-ce qu'on a ici ?
Napoléon a rapporté ça d'Égypte.
C'était dans sa collection privée.
Ah oui ? Et là, c'est dans la mienne.
Tu n'as jamais pu le voir en personne
et là, tu vas devoir me regarder l'emporter.
La police ? Sérieux ?
Vous pensez que je bluffe ?
Non.
Votre femme meurt dans cinq minutes
si je n'appelle pas.
Je ne pourrais pas faire ça
avec des menottes.
Ce n'était pas nous.
On ne peut pas se faire prendre. Partons.
- Police !
- Allez, passe en premier.
Il devrait y en avoir deux en arrière !
En arrière.
Vous deux, arrêtez !
Hé, allez. Lâchez-moi.
Ils étaient en train de forcer le conteneur.
- M. l'agent, on ne forçait rien.
- Pas du tout. C'est à nous.
La presse à imprimer et les faux 20 $
sont à vous ?
À lui. Je ne les ai jamais vus.
- Tu m'as mêlé à ça.
- Vos gueules !
Vérifiez les autres conteneurs.
Tu vas me payer ça.
Vous avez arrangé ça.
Tu penses que je jouerais avec
la vie de ma femme ?
Ce n'était pas nous.
Il s'agit juste d'une malencontreuse
coïncidence ?
On a une entente, Keller.
Tu as le trésor, rends-moi ma femme.
Je n'ai rien, Burke. La police l'a.
Ils montent un périmètre,
ils vont ouvrir tous les conteneurs.
La police aura besoin de mandats
pour les ouvrir.
Ça nous donnera du temps.
Pour quoi faire ?
Pour faire ce que vous faites le mieux,
vous trois : le voler.
Pas nous trois.
Nous quatre.
Je suis un agent du FBI.
Aujourd'hui, tu es l'un de nous.
Les gars, on va voler de nouveau
votre trésor volé.
Pas de bière ?
Caffrey, tu es un hôte lamentable.
C'est parce que tu n'es
pas le bienvenu ici.
Je sais. Avant de partir avec vos biens
mal acquis,
je voulais voir où tu vivais.
- La misère, quoi.
- On peut se concentrer ?
- Le trésor est dans le conteneur 10.
- Le 10 ?
Le X sur la carte. Tu comprends, hein ?
- L'arrestation a eu lieu ici.
- Ce conteneur était ouvert.
Ils ont pu le fouiller.
Ils attendent des mandats
pour les autres.
Ça devrait prendre une journée.
Alors, on doit vite déplacer ce trésor, hein ?
Pour le bien de sa femme.
Voici le périmètre policier.
Il y a un garde devant pour contrôler
les accès.
La relève a lieu à midi.
Chaque demi-heure,
la police sera seulement à l'extérieur
du bâtiment.
C'est le moment.
La procédure est de vérifier
chaque heure, à l'heure pile.
On maîtrise les gardiens,
on entre en camion.
Comment maîtriser les policiers ?
Une balle dans la tête.
Non. Pas de morts.
Pas d'armes du tout.
Peter, Peter. Je peux t'appeler
Peter ? On travaille ensemble, non ?
Les agents auront vu nos visages, Peter.
Les morts ne parlent pas.
Personne ne meurt. C'est non négociable.
D'accord, relaxe. Pas de fusils.
C'est l'idéal, non ? Le petit a déjà
essayé de me tuer une fois.
Il y a quelqu'un que tu n'as
pas tenté de tué ?
Toi. Pour l'instant.
Mais je commence à y penser, Mozzie.
Comment suggères-tu qu'on entre ?
Le FBI a reçu ça il y a une heure.
La police veut emprunter des camions
des autres paliers du gouvernement.
C'est notre entrée.
On peut entrer dans le périmètre avec ça,
mais on ne nous laissera pas sans
supervision.
Ils laisseront passer ce qui aura l'air
d'un camion vide.
Barcelone 2001, hein ?
- C'est à ça que tu penses ?
- C'était Madrid, mais, oui.
Caffrey était incroyable, non ?
- On dupait ce collec...
- Concentre-toi.
Mozz et toi ferez passer le camion.
Une fois le camion seul, Peter et moi,
on va sortir récupérer le trésor.
Peter et toi ? Bien essayé, le jeune.
Ce sera toi et moi cachés dans le camion.
Comme dans le temps.
C'est non négociable.
Écoutez, j'ai déplacé le trésor, deux fois.
Ça prend un gros camion.
Comme ceux de la Garde nationale.
Je peux nous en procurer un.
Ça va être amusant, hein ?
Qui est excité ? Toi ?
Quelqu'un ?
Pourquoi tu n'es pas parti ?
Je sais que je te l'ai déjà demandé,
mais tu avais le trésor,
pourquoi rester à New York ?
Tu as vu ce que j'ai ici.
Pourquoi je partirais ?
Parce que tout le monde s'est aperçu
que tu les as trahis.
Il y a une raison pour laquelle on
est toujours en mouvement, Caffrey.
Tromper est dans notre nature.
Tu vis en fuite.
Comment ça va pour toi ?
C'est stressant. C'est vrai.
Tu sais quoi ?
Avec ce trésor, je peux rembourser
les Russes.
Fuir dans un bel endroit.
Tu vas souhaiter ne jamais l'avoir eu.
Ça n'apporte que du malheur.
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Le trésor est maudit ?
Une patte de singe, hein ?
Qu'est-ce qui est arrivé
à ceux qui l'ont voulu ?
Tu fais peut-être les mauvais souhaits.
On a 48 heures, pendant que le
camion est à l'entretien.
Je nous ai trouvé des uniformes.
Tu vas avoir l'air adorable avec ça,
hein, Mozzie ?
Dommage que j'aie retiré le prix
sur ta tête.
Remets-le. Tu seras un superbe
bouclier humain.
Il est temps d'appeler Madame.
- Du nouveau ?
- Jones essaie quelque chose.
C'est incertain, mais chaque heure qu'on
gagne les rapproche d'Elizabeth.
On ne pourra plus retarder.
- S'ils ne la trouvent pas...
- On défonce.
traces de pollen de cerisier
dans une des empreintes.
une variété appelée Fugenzo.
en un seul endroit
La planque était un leurre.
Keller joue avec nous.
- Quoi ?
- Des fleurs de cerisier.
Dégagez la table.
Écoutez. L'ERT a trouvé des traces
de pollen de cerisier
dans une des empreintes de chaussures.
Le pollen est d'une variété appelée Fugenzo.
Selon Parks et Rec, on trouve ça
en un seul endroit.
Il y a une maudite bonne chance
qu'Elizabeth soit par ici.
Allez sur le terrain, faites du porte-à-porte,
le nécessaire. Allez.
- Je pourrais vous l'écrire, si vous voulez.
- Ça va.
Si Keller tarde, vous pourriez
toujours devenir gaucher.
Vous pourriez apprendre à
marcher sur un pied.
Écoutez, on est à New York.
Il y a une pharmacie à chaque coin de rue.
Mais sans antibiotiques...
Je reviens. Ne bougez pas.
J'irais où ?
Ça va ?
Correct.
La première chose que j'ai
apprise sur l'escroquerie,
c'est que pour survivre, il faut
s'occuper de soi-même.
- Pourquoi tu es ici ?
- La survie, c'est surfait.
Je me dis qu'une vie qui n'est pas partagée,
ce n'est pas une vie.
Tu me dis que tu t'en fais ?
Pour Mme Chef.
Et...
Ça te rappelle le bon vieux temps, hein ?
Tu brûles tout l'oxygène.
La dernière fois, on s'évadait de
quelque part
parce que tu as été pris au lit
avec cette princesse.
Je n'ai pas été pris au lit avec elle.
On m'a trouvé sur la corniche près
de sa fenêtre.
Je me souviens te voir là
avec rien qu'un plateau en or massif
pour te couvrir les parties.
Je t'ai sorti de là avant qu'ils
ne te tirent dessus.
Oui.
Tu me soutenais,
à l'époque.
- Le bon vieux temps, j'ai dit.
- En effet.
Qu'est-ce qui t'es arrivé ?
Je pourrais te demander la même chose,
Neal.
Je pourrais te demander la même chose.
Faites demi-tour. Cette zone est interdite.
C'est pour ça qu'on est ici.
- Tu as les papiers ?
- Oui.
Voilà. Vous avez demandé des camions,
alors en voici un.
J'ai pas vu ça. Tant que ça n'arrive pas
en règle, vous attendez.
Tu as les ordres en main.
Désolé, l'ami. Fais demi-tour.
D'accord. Mais ce camion devient
votre responsabilité.
Donne-moi les plans.
- Pourquoi ?
- Donne-moi les plans.
Vous voyez ce X ?
Ce camion doit être stationné là.
- Burke lui montre notre plan ?
- Il gère la situation.
Ce camion est votre problème.
Il est fou. Je respecte ça.
Oui, c'est ça. Ce X.
Stationnez le camion dessus maintenant.
Et sinon ?
Oh, c'est ton cul, pas le nôtre.
Merci de ton aide.
O.K., alors là, ils ont notre camion et
notre plan d'action ?
Oui.
Et s'ils ne font pas entrer le camion ?
Ils vont le faire.
Allez. Faites-le entrer.
Bien joué, chef.
Allons au point de rencontre.
On doit y être, le camion n'a pas bougé
depuis quelque temps.
Il est et cinq. Ils doivent être en lunch.
- On a 55 minutes pour tout charger.
- Oui.
Qu'est-ce qu'il y a ?
On dirait qu'ils ont sauté le dîner.
On a des policiers en civil qui patrouillent,
des intercepteurs de portable
et des agents sur les toits.
- Bon travail.
- Passe-le-moi.
Peter, vous savez l'entrepôt que vous
m'avez fait inspecter ?
- Oui ?
- Ce qu'ils ont trouvé
fait que le poste 22 fait du temps double.
- Ils travaillent pendant le dîner ?
- J'imagine.
Jones, on doit la trouver immédiatement.
Chaque second compte.
On a un problème.
- Si c'est un coup double...
- Tout n'est pas un coup monté, Keller.
- On aurait dû avoir des armes.
- Ça aurait super bien fini.
Comme au bon vieux temps.
Excusez-moi.
Êtes-vous le sergent responsable ?
- Oui.
- Parfait. Vous êtes les bienvenus.
Il faut charger le conteneur 10
dans le camion.
Nos ordres sont d'attendre le mandat
pour le conteneur 2.
- Vous êtes le poste 22, c'est ça ?
- C'est exact.
Vous êtes ici pour aider
à charger le 10.
Le mandat pour ça ne sera pas
ici avant ce soir.
- Il est arrivé depuis 20 minutes.
- On va vous montrer.
Il y a 17 boîtes en bois à déplacer.
- À se demander ce qu'il y a dedans.
- Pas vrai ?
On m'a dit que si je regardais,
je ferais du bureau pendant un an.
Vous êtes sûrs
que c'est correct ?
- Sinon, pourquoi j'aurais la clé ?
- Oui.
- Des néonazis ?
- Ça dépasse mes fonctions.
- Ça a l'air de combien de boîtes ?
- On dirait bien 17.
Les gars. Changement de plan.
On vide ce conteneur-ci.
- Allons-y.
- Ils sont à vous.
Mais j'ai besoin de voir le mandat.
On vous le donne dans un instant.
Je dois le voir là.
C'est la procédure et tout, vous savez.
Bien sûr.
Venez avec moi.
Les plus lourdes à l'arrière, si vous pouvez.
C'est la procédure,
j'espère que vous comprenez.
La règle, c'est la règle. Je comprends.
Où allons-nous ?
Sergent.
Non, non, aucun problème.
Il est juste ici.
C'est le bureau du procureur. Ils veulent
une mise à jour.
Sergent Brubaker.
Sergent, ici l'assistant du procureur général.
Comment puis-je clarifier les choses ?
Qu'est-ce que tu comprends pas
dans "pas de morts" ?
Trouver un cadavre prend des heures ;
ce mensonge peut tomber n'importe quand.
- Peter va s'en occuper.
- J'aime pas ça.
Tu as vraiment pris racine, hein ?
Compris.
- Tout est beau, Messieurs.
- Merci.
- Merci, monsieur.
- Bonne journée.
Tu marches devant moi.
Le compte du complice a été utilisé.
Une pharmacie à trois rues.
Alcool à friction, antibactérien, pansements.
Un gars inquiet
d'une morsure de chien.
Dispersez-vous. Il est dans les parages.
- Parfait.
- C'est bien.
- Merci.
- J'apprécie l'aide.
Je paye la bière, O.K. ?
- Prêt ?
- Prêt à partir.
Merci, chéri.
Advienne que pourra.
J'ai aucune idée comment
vous êtes sortie, mais...
Ma main !
- Vas-y.
- Lâche ton arme !
Beau coup.
Neal ne répond pas.
Quelque chose a dû mal tourner.
- Neal ?
- Déçu ?
- El.
- Elle va bien ?
- Je suis sauve.
- Oh, Dieu merci.
Ils ont le gars qui me retenait. Ça va ?
Là, oui. Tu es où ?
Au coin 33e et 3e.
Ils m'amènent à la maison.
- Où est Keller ?
- Avec Neal.
Je ne peux pas les joindre.
- Va le chercher.
- El.
Va. Ensuite reviens-moi.
Il faut trouver où va Keller.
Déjà fait, chef.
J'ai déjà les chemins de fuite potentiels.
De là, il y a 4 km jusqu'aux docks
et 26 km jusqu'à Teterboro.
Bon. Tu prends l'air, je prends la mer et
le bureau nous soutiendra aux deux.
- Je vais devoir utiliser une de ces voitures.
- Déjà réglé.
Sérieusement ?
Caffrey.
Allez, je sais que tu es là.
Il n'y a pas d'issue, mon vieux.
Toi et moi. Jusqu'au bout, hein ?
D'accord.
Pas un Raphael.
Tu ne le ferais pas.
Première règle d'un combat :
frapper le point faible.
Tout doux, Burke, O.K. ?
- J'ai la femme, n'oublie pas.
- Plus maintenant.
Plus maintenant ? Quoi, tu bluffes ?
Appelle ton gars. Dis-lui que la pizza
au coin de la 33e et de la 3e est super.
Peu importe.
Je vais la reprendre. Encore et encore.
Hé. Hé.
Allez.
On a vraiment Elizabeth ?
Vraiment.
Comment as-tu réussi ce tir ?
Longue histoire.
- Tu vas bien ?
- Oui. Toi ?
Et maintenant ?
Keller doit disparaître à jamais.
Je dois tout avouer.
C'est de la prison, pour longtemps.
Je sais.
Je vais me rendre demain matin.
Ça te donnera 12 heures d'avance.
Il n'y a plus de trésor.
Tu penses pouvoir survivre sans ça ?
J'ai toujours un plan de secours.
Si tu veux une fin heureuse,
ça dépend d'où tu arrêtes l'histoire.
Je pense que la nôtre finit ici.
Et finit bien.
Jusqu'au prochain chapitre.
Jusqu'au prochain chapitre.
- Bonjour, Neal.
- Bonjour.
Comment va Elizabeth ?
Bien, compte tenu des circonstances.
Je sais ce que j'ai fait.
Je sais ce que je dois faire pour abattre
Keller. Je suis prêt à tout avouer.
Tu sais ce que ça veut dire.
Je sais.
Tu es certain ?
Tu es prêt à tout abandonner ?
Oui.
Heureux de l'entendre.
Avant que tu en dises plus,
je veux te montrer ça.
Peter, s'il te plaît.
Il faut le faire maintenant.
Regarde.
- C'est quoi ?
- L'interrogatoire de Keller, hier soir.
J'ai volé le trésor.
J'ai brûlé l'entrepôt et je l'ai
pris de Vincent Adler.
Adler ne le méritait pas.
Ça appartient au peuple russe.
J'en prends l'entière responsabilité.
Moi seul ai récupéré ces objets d'art
inestimables
qui allaient disparaître
du regard de l'Histoire.
Il se l'attribue.
Oui.
- Pourquoi ?
- Il a dit qu'il avouerait tout
tant que c'était devant les autorités russes.
Le trésor provient du pillage
de musées russes.
Et là, Keller dit l'avoir volé pour le
retourner à la mère patrie.
La mafia russe le voulait mort.
Là, ils paient ses frais d'avocat.
Enfant de chienne.
Pour autant qu'on sache,
c'est lui qui a récupéré un trésor
d'une valeur inestimable.
Pas toi, pas Mozzie.
Ça te dérange ?
Non.
Pas du tout.
Je sais ce que tu étais prêt à faire.
Ça en dit long que tu aies décidé de le faire.
Et maintenant ?
- Peter, regardez ça.
- Diana.
Faites-moi confiance.
C'est quoi ?
Une lettre du Bureau de probation.
"Pour vous informer
qu'une audience a été fixée
concernant votre probation.
En raison de votre aide exceptionnelle,
dont la récupération du trésor
et la capture de Keller,
le Bureau des probations
tient une audience
pour discuter de la commutation
de votre peine."
Qu'est-ce que ça veut dire ?
Ça veut dire pas de bracelet électronique.
Rien.
Dans trois mois, tu pourrais être
un homme libre.
Traduction :
Christian Lachance
[French - Canadian]