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(Chögyam Trungpa Rinpoche) La spiritualité
est un terme particulier qui signifie, en réalité,
l'expérience de l'intuition.
Dans la tradition théiste,
il y a une notion d'attachement à un mot.
Une certaine action est perçue
comme déplaisante vis-à-vis de nos principes divins.
Une certaine action est vue comme plaisante pour le divin.
Dans la tradition du non-théisme, en revanche,
il est évident
que les antécédents ne sont pas particulièrement importants.
L'essentiel est ici et maintenant.
Maintenant est absolument maintenant.
Nous essayons de faire l'expérience de ce qui est disponible là, tout de suite.
Il est inutile de penser qu'un passé, que nous pourrions avoir maintenant,
ait existé.
Ceci est maintenant.
Ce moment même.
Rien de mystique, juste "maintenant" ; très simple, direct.
Malgré tout, de cette immédiateté
surgit toujours un sens d'intelligence
que vous êtes constamment en interaction avec la réalité,
une chose à la fois. Point par point. Constamment.
Nous faisons l'expérience d'une fantastique précision, toujours.
Mais nous sommes menacés par le maintenant,
alors nous sautons vers le passé ou le futur.
En faisant attention aux éléments qui existent dans notre vie,
tous ces choix surviennent en permanence,
mais aucun d'entre eux n'est perçu comme intrinsèquement mauvais ou bon.
Toutes nos expériences sont des expériences inconditionnelles.
Elles ne sont pas accompagnées d'une étiquette qui dit :
"ceci est considéré comme mauvais" ou "ceci est bien".
Nous en faisons l'expérience, mais n'y prêtons pas convenablement attention.
Nous ne considérons pas réellement que nous allons quelque part.
Nous considérons cela comme une contrainte.
En attendant d'être morts.
[Echo : en attendant d'être morts.]
C'est un problème. C'est ne pas faire convenablement confiance au maintenant.
Le fait que notre expérience immédiate
est emplie de choses puissantes.
C'est tellement puissant
que nous ne pouvons pas l'affronter.
Nous devons donc emprunter au passé, et inviter systématiquement le futur.
C'est peut-être la raison pour laquelle nous recherchons la religion
ou que nous manifestons dans les rues.
C'est peut-être la raison pour laquelle nous nous plaignons à la société,
ou que nous votons pour les présidents.
C'est assez ironique et très amusant, en effet.
ZEITGEIST
(J. Maxwell) Plus nous commençons à enquêter
au sujet de ce que nous pensons comprendre, d'où nous venons,
ce que nous avons l'impression de faire,
plus nous commençons à voir que l'on nous a menti.
Chaque institution nous a menti. Qu'est-ce qui vous fait penser
un seul instant que l'institution religieuse
est la seule qui n'ait jamais été touchée ?
Les institutions religieuses de ce monde sont tout en bas de la pile.
Les institutions religieuses de ce monde sont placées là
par les mêmes personnes qui vous ont donné votre gouvernement, votre éducation corrompue,
qui ont mis en place vos cartels bancaires internationaux.
Nous avons été détournés de la véritable et divine présence dans l'univers
que les hommes ont appelée Dieu.
Je ne sais pas ce qu'est Dieu, mais je sais ce qu'Il n'est pas.
À moins d'être prêt à regarder la vérité dans sa totalité,
où qu'elle mène, quelle que soit la personne vers qui elle mène,
plus vous vous éduquez, plus vous comprenez
d'où viennent les choses, plus les choses deviennent évidentes
et vous commencez à voir le mensonge partout. Vous devez connaître la vérité.
Cherchez la vérité et la vérité vous libèrera.
Ils doivent trouver cela difficile...
Ceux qui ont accepté l'autorité en tant que vérité,
au lieu de la vérité en tant qu'autorité.
G. Massey, egyptologiste.
(G. Carlin) Je dois vous dire la vérité, mes amis.
Quand il s'agit de foutaises,
d'énormes foutaises de première division,
on ne peut qu'être béat face au plus grand champion des fausses promesses
et d'affirmations excentriques : la religion !
Pensez-y. La religion a en effet convaincu le peuple
qu'il existe un homme invisible vivant dans les cieux,
observant tout ce que vous faites, à chaque instant.
Et l'homme invisible a une liste spéciale de 10 choses
qu'il ne veut pas que vous fassiez.
Si vous faites l'une d'entre elles, quelle qu'elle soit, il a un endroit spécial,
plein de feu, de fumée, de torture et d'agonie
où il vous enverra vivre, souffrir, brûler, étouffer,
hurler et pleurer encore et toujours, pour l'éternité !
Mais il vous aime.
[Rires et applaudissements]
Il vous aime.
Il vous aime et il a besoin d'argent !
Il a toujours besoin d'argent !
Il est tout-puissant, la perfection absolue, omniscient et infiniment sage,
mais il n'arrive pas à gérer son argent !
La religion encaisse des milliards de dollars,
ils ne paient pas de taxes, et en ont toujours besoin d'un peu plus.
C'est une histoire à dormir debout.
Nom de dieu !
1ERE PARTIE :
La plus belle histoire jamais contée
(P. Joseph) Ceci est le soleil.
L'histoire abonde de gravures
et d'écritures remontant jusqu'à 10 000 ans av. J.-C., reflétant le respect
et l'adoration des peuples pour cet objet.
Il est aisé d'en comprendre les raisons, car chaque matin
le soleil se lève, apportant visibilité, chaleur, et sécurité,
sauvant l'homme des ténèbres de la nuit froide, sombre et emplie de prédateurs.
Sans lui, les civilisations comprirent qu'il n'y aurait pas de récoltes,
et que la vie sur la planète ne durerait pas.
Ces réalités firent du soleil l'objet le plus admiré de tous les temps.
De la même manière, on fut également très conscient des étoiles.
Le suivi du mouvement des étoiles leur permettait d'anticiper des évènements
qui se reproduisaient sur de longues périodes
comme les éclipses et les pleines lunes.
Ils cataloguèrent les groupes célestes
en ce que nous appelons aujourd'hui des constellations.
Ceci est la croix du Zodiaque,
l'une des images conceptuelles les plus anciennes de l'histoire de l'humanité.
Elle représente le soleil passant figurativement
au travers des 12 constellations principales au cours d'une année.
Elle représente aussi les 12 mois de l'année, les 4 saisons
ainsi que les solstices et équinoxes.
Le terme Zodiaque fait référence au fait que les constellations
étaient anthropomorphes ou personnifiées sous forme d'individus ou d'animaux.
Les premières civilisations ne suivaient pas seulement le soleil et les étoiles,
elles les personnifiaient avec des mythes élaborés
incorporant leurs mouvements et leurs relations.
Le soleil et ses qualités de donneur et de sauveur de vie
fut personnifié comme un représentant du créateur invisible, ou Dieu.
"Le Soleil de Dieu", "La Lumière du Monde", "Le Sauveur de l'espèce humaine".
De même, les 12 constellations représentèrent des sites de voyage pour Le Soleil de Dieu
et furent habituellement identifiées selon les évènements naturels
observés durant cette période.
Par exemple, le Verseau, le porteur d'eau, qui apporte les pluies du printemps.
Ceci est Horus. Il est le Dieu Soleil, en Égypte, aux alentours de 3000 av. J.-C.
Il est la représentation anthropomorphe du soleil,
et sa vie est une série de mythes allégoriques impliquant le mouvement du soleil dans le ciel.
Grâce aux anciens hiéroglyphes d’Égypte,
nous connaissons bien ce messie solaire.
Par exemple, étant le soleil ou la lumière,
Horus avait un ennemi nommé Set, la personnification
des ténèbres ou de la nuit.
Métaphoriquement parlant, chaque matin,
Horus gagnait la bataille contre Set, alors qu'à la nuit tombante,
Set terrassait Horus et l'envoyait en enfer.
Note importante : la notion de 'ténèbres contre lumière' ou de 'bien contre mal'
est l'une des dualités mythologiques les plus omniprésentes ;
et elle est toujours d'actualité à de nombreux niveaux.
Dans les grandes lignes, l'histoire d'Horus est la suivante :
Horus naquit le 25 décembre, fils de la vierge Isis (Marie).
Sa naissance fut accompagnée par une étoile à l'est,
et à sa naissance, il fut adoré par 3 rois.
À l'âge de 12 ans, il était un enfant prodige et enseignant.
À l'âge de 30 ans, il fut baptisé par un personnage nommé Anup
et commença alors son ministère. Horus voyageait avec 12 disciples,
accomplissant des miracles tels que guérir les malades et marcher sur l'eau.
Horus était connu sous de nombreux noms symboliques comme 'La Vérité',
'La Lumière', 'Le Fils oint de Dieu', 'Le Bon Berger',
'L'Agneau de Dieu' et bien d'autres encore.
Après avoir été trahi par Typhon, Horus fut crucifié,
enterré durant 3 jours, puis il ressuscita.
Ces attributs d'Horus, qu'ils soient originaux ou non,
semblent s'être diffusés dans de nombreuses cultures, car d'autres dieux
présentent cette même structure mythologique.
Attis, de Phrygie, né de la vierge Nana un 25 décembre,
fut crucifié, placé dans une tombe et après 3 jours, fut ressuscité.
Krishna, d'Inde, né de la vierge Devaki
avec une étoile à l'est annonçant son arrivée,
accomplit des miracles avec ses disciples, et après sa mort,
fut ressuscité.
Dionysos, de Grèce, né d'une vierge un 25 décembre,
fut un enseignant itinérant accomplissant des miracles tels que changer l'eau en vin.
On l'appelait 'Le Roi des Rois', 'L'Unique Fils de Dieu',
'L'Alpha et l'Oméga' et par de nombreux autres noms.
Après sa mort, il fut ressuscité.
Mithra, de Perse, né d'une vierge un 25 décembre,
avait 12 disciples, accomplissait des miracles
et fut enterré après sa mort durant 3 jours, avant de ressusciter.
On l'appelait également 'La Vérité', 'La Lumière', entre autres.
Il est intéressant de noter que le jour sacré de Mithra était le dimanche.
Le fait est que de nombreux sauveurs,
originaires de périodes historiques et de régions diverses,
correspondent à ces caractéristiques générales.
La question demeure : pourquoi ces attributs,
pourquoi la naissance virginale un 25 décembre,
pourquoi la mort de 3 jours avant l'inévitable résurrection,
pourquoi 12 disciples ou adeptes ?
Pour y répondre, étudions le messie solaire le plus récent.
Jésus-Christ naquit de la vierge Marie le 25 décembre à Bethléem.
Sa naissance fut annoncée par une étoile à l'est que 3 rois suivirent
pour trouver et adorer le nouveau sauveur.
Il enseignait déjà à l'âge de 12 ans. À l'âge de 30 ans,
il fut baptisé par Jean-Baptiste et commença alors son ministère.
Jésus voyageait avec 12 disciples, accomplissant des miracles
tels que guérir les malades, marcher sur l'eau ou ressusciter les morts.
Il était connu comme 'Le Roi des Rois', 'Le Fils de Dieu', 'La Lumière du Monde',
'L'Alpha et l'Omega', 'L'Agneau de Dieu', etc.
Après avoir été trahi par son disciple Judas et vendu
pour 30 pièces d'argent, il fut crucifié et placé dans une tombe.
Après 3 jours, il fut ressuscité et monta au ciel.
Tout d'abord, la séquence natale est entièrement astrologique.
L'étoile à l'est est Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel, qui,
le 24 décembre, s'aligne avec les 3 étoiles les plus brillantes de la ceinture d'Orion.
Ces 3 étoiles brillantes sont appelées de nos jours
de la même façon que dans les temps anciens : 'les Trois Rois'
Les Trois Rois et l'étoile la plus brillante, Sirius,
pointent toutes dans la direction du lever de soleil le 25 décembre.
C'est pourquoi les Trois Rois suivent l'étoile à l'est,
pour localiser le lever du soleil : la naissance du Soleil.
La Vierge Marie est la constellation de la Vierge, connue sous le nom de Virgo.
Virgo en latin signifie vierge.
Virgo était également appelée la Maison du Pain,
et sa représentation est une vierge portant une gerbe de blé.
Cette Maison du Pain et son symbole du blé
représentent août et septembre, la saison des récoltes.
À son tour, Bethléem se traduit littéralement par 'maison du pain'.
Bethléem fait donc référence à la constellation de la Vierge,
un endroit dans le ciel, et non sur terre.
Il existe un autre phénomène intéressant
se déroulant autour du 25 décembre, ou du solstice d'hiver.
À partir du solstice d'été jusqu'au solstice d'hiver,
les jours s'écourtent et se refroidissent.
Vu de l'hémisphère nord,
le soleil semble s'éloigner vers le sud et devenir plus petit et faible.
Le raccourcissement des jours et l'expiration des récoltes
à l'approche du solstice d'hiver symbolisaient pour les anciens
le processus de mort. C'était la mort du soleil.
Au 22 décembre, le déclin du soleil était complet,
car le soleil, ayant voyagé vers le sud continuellement pendant 6 mois,
arrive à son point le plus bas dans le ciel.
Un phénomène étrange se produit alors :
le soleil semble cesser sa descente vers le sud pendant 3 jours.
Durant cette pause de 3 jours, le soleil se situe à proximité
de la constellation de la Croix du Sud, ou constellation de la Croix.
Ensuite, le 25 décembre,
le soleil se décale d'un degré, cette fois-ci vers le nord,
présageant les jours plus longs, la chaleur, et le printemps.
Ainsi fut-il dit : le Fils mourut sur la croix.
Mort durant 3 jours, il ressuscita ou renaquit.
C'est pourquoi Jésus et de nombreux autres dieux du Soleil
partagent le concept de la crucifixion, des 3 jours de mort et de la résurrection.
C'est la transition du soleil juste avant son changement de direction
pour retourner dans l'hémisphère nord et amener le printemps, donc le salut.
Cependant, ils ne célébraient pas la résurrection du soleil
avant l'équinoxe de printemps, soit Pâques,
parce qu'au moment de l'équinoxe de printemps, le soleil vainc officiellement
les ténèbres maléfiques, puisqu'alors les journées deviennent plus longues
que les nuits, et les conditions revitalisantes du printemps émergent.
Parmi tous les symboles astrologiques concernant Jésus,
le plus évident de tous est celui des 12 disciples.
Ils représentent simplement les 12 constellations du Zodiaque,
avec qui Jésus, étant le Soleil, voyage.
En fait, le nombre 12 est omniprésent dans la Bible.
Pour en revenir à la croix du Zodiaque, la vie figurative du soleil,
celle-ci n'était pas seulement une expression artistique,
ou un outil pour suivre les mouvements du soleil.
C'était aussi un symbole spirituel païen,
dont la représentation ressemblerait à ceci.
Ceci n'est pas un symbole du Christianisme.
C'est une adaptation païenne de la croix du Zodiaque.
C'est pourquoi Jésus est toujours dépeint
dans l'art occulte primitif avec la tête sur la croix, car Jésus est le Soleil.
'Le Fils de Dieu', 'La Lumière du Monde', 'Le Sauveur Ressuscité'
qui va revenir, ainsi qu'il le fait chaque matin ;
'La Gloire de Dieu', le rempart contre les méfaits des ténèbres,
car il va renaître chaque matin.
Il peut être vu venant des nuages,
du haut des cieux,
avec sa couronne d'épines, ou rayons de soleil.
Parmi les nombreuses métaphores astrologico-astronomiques de la Bible,
l'une des plus importantes d'entre elles concerne les ères.
À travers les écritures, il y a une multitude de références à l'Ère.
Afin de comprendre cela, il est nécessaire de se familiariser avec le phénomène
appelé précession des équinoxes.
Les Égyptiens, ainsi que des civilisations bien plus anciennes,
reconnaissaient qu'environ tous les 2150 ans,
le lever du soleil au matin de l'équinoxe du printemps
se déroulait en un signe différent du Zodiaque.
Ceci s'explique par un léger déplacement angulaire
que la Terre maintient lors de sa rotation sur son axe.
On le qualifie de précession, car les constellations reculent
au lieu d'avancer comme lors de leur cycle annuel normal.
Le temps nécessaire à la précession pour traverser les 12 signes
est d'environ 25 765 ans.
Cette durée s'appelle aussi la grande année,
et les civilisations anciennes en étaient très conscientes.
Elles faisaient référence à chaque période de 2150 ans comme à une ère.
De 4300 av. J.-C. à 2150 av. J.-C., c'était l’Ère du Taureau.
De 2150 av. J.-C. à l'an 1 apr. J.-C., c'était l’Ère du Bélier,
et de l'an 1 à 2150, c'est l’Ère des Poissons,
ère dans laquelle nous nous trouvons encore à ce jour.
Vers l'an 2150, nous entrerons dans la nouvelle ère,
l’Ère du Verseau.
Généralement parlant, la Bible révèle un mouvement symbolique
à travers trois ères, tout en en laissant entrevoir une quatrième.
Dans l'Ancien Testament, quand Moïse descend du mont Sinaï
avec les Dix Commandements, il est très contrarié
de voir son peuple vénérer un veau d'or.
En effet, il brisa les tablettes de pierre et instruit son peuple
de s'entretuer pour se purifier.
La plupart des spécialistes bibliques attribueraient cette colère au fait que les Israélites
étaient en adoration devant ce qui devait être une fausse idole.
En réalité, le veau d'or représente l'Ère du Taureau (Taurus),
et Moïse représente la nouvelle ère, l’Ère du Bélier.
C'est pourquoi, de nos jours encore, les Juifs soufflent dans des cornes de bélier.
Moïse représente la nouvelle ère, celle du Bélier,
et à l'arrivée d'une nouvelle ère, chacun doit abandonner l'ancienne.
D'autres divinités marquent également ces transitions, comme Mithra,
un dieu pré-Christianisme qui tue un taureau, dans le même symbolisme.
Jésus est le personnage qui inaugure l'ère suivant celle du Bélier,
l’Ère des Poissons, représentée par 2 poissons.
Le symbolisme du poisson abonde dans le Nouveau Testament.
Jésus nourrit 5 000 personnes avec du pain et deux poissons.
Quand il commence son ministère en Galilée,
il se lie d'amitié avec 2 pêcheurs qui le suivent.
Nous avons probablement noté l'autocollant "Jésus-poisson" à l'arrière de certaines voitures.
Ils n'ont pas la moindre idée de sa véritable signification.
C'est un symbole astrologique païen
pour le Royaume du Soleil durant l’Ère des Poissons.
Aussi, la date de naissance supposée de Jésus marque le commencement de cette ère.
Dans Luc 22:10, quand Jésus est interrogé par ses disciples
à propos du lieu de la prochaine Pâque,
Jésus répond : "Voici, quand vous serez entrés dans la ville,
vous rencontrerez un homme portant une cruche d'eau ;
suivez-le dans la maison où il entrera".
Ce passage est de loin l'un des plus révélateurs
de toutes les références astrologiques.
L'homme portant une cruche d'eau est le Verseau,
le porteur d'eau, toujours représenté comme un homme
versant de l'eau de sa cruche.
Il personnifie l'ère suivant celle des Poissons.
Quand le soleil (Le Soleil de Dieu) quittera l’Ère des Poissons (Jésus),
il ira dans la Maison du Verseau, puisque le Verseau suit les Poissons
dans la précession des équinoxes.
Tout ce que Jésus dit, c'est qu'après l'Ère des Poissons
viendra l’Ère du Verseau.
Nous avons tous entendu parler de la fin des temps et de la fin du monde.
Mis à part les caricatures du Livre des Révélations,
la source principale de cette idée vient de Matthieu 28:20,
où Jésus dit : "Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde".
Cependant, dans la version du Roi Jacques, "monde" est une erreur de traduction
parmi tant d'autres.
En fait, le mot employé est "aeon", qui veut dire "âge", ou "ère".
"Je serai avec vous jusqu'à la fin de l'ère".
Ce qui est vrai, puisque la personnification solaire de Jésus, relative aux poissons,
cessera lorsque le soleil entrera dans l’Ère du Verseau.
Le concept entier de la fin des temps ou de la fin du monde
est une allégorie astrologique mal interprétée.
Allons raconter cela aux quelque 100 millions d'Américains
qui croient que la fin du monde est proche.
De plus, le personnage de Jésus,
un hybride littéraire et astrologique, est de toute évidence un plagiat
du Dieu Soleil égyptien Horus.
Par exemple, gravées depuis environ 3500 ans
sur les murs du Temple de Louxor en Égypte,
on peut voir des images de l'annonciation,
de la conception immaculée, de la naissance
et de l'adoration d'Horus.
Ces images commencent avec Thot prévenant la vierge Isis
qu'elle donnera naissance à Horus,
Kneph le Saint-Esprit fécondant la vierge,
puis la naissance virginale et l'adoration.
C'est précisément l'histoire de la conception miraculeuse de Jésus.
Les similarités littéraires entre la religion égyptienne
et la religion chrétienne sont stupéfiantes.
Le plagiat est omniprésent.
L'histoire de Noé et de l'Arche de Noé est extraite directement de la tradition.
Le concept de déluge est très répandu dans le monde antique,
avec plus de 200 citations à travers différentes époques.
Cependant, pour trouver une source pré-Christianisme,
il suffit de lire l’Épopée de Gilgamesh, écrite en 2600 av. J.-C.
Ce récit traite d'un déluge commandé par Dieu,
d'une arche accueillant des animaux sauvés, et même du lâcher
et du retour d'une colombe ; tous ces faits et beaucoup d'autres encore
sont communs avec le récit biblique.
Puis il y a le plagiat de l'histoire de Moïse.
À la naissance de Moïse, il est dit qu'il fut placé dans une corbeille en roseau
et laissé à la dérive dans une rivière afin d'échapper à l'infanticide.
Plus ***, il fut sauvé par une princesse qui l'éleva en tant que prince.
Cette thématique d'un bébé dans un panier a été directement reprise
du mythe de Sargon d'Akkad vers l'an 2250 av. J.-C.
Sargon naquit, fut placé dans une corbeille en roseau afin d'échapper à l'infanticide
et laissé à la dérive dans une rivière.
Il fut ensuite sauvé et élevé par Akki, une sage-femme royale.
De plus, Moïse est connu comme 'Le Porteur des Lois',
'Le porteur des Dix Commandements', ou 'Loi de Moïse'.
Toutefois, l'idée de la transmission des lois par Dieu à un prophète
sur une montagne est aussi un thème très ancien.
Moïse est un porteur de loi parmi une longue lignée de porteurs de loi
dans l'Histoire mythologique.
En Inde, Manu était le grand porteur de loi.
En Crète, Minos descendit du mont Dicté,
où Zeus lui avait donné les lois sacrées ;
alors qu'en Égypte il y avait Mises, qui portait des tablettes de pierre
sur lesquelles les lois de Dieu étaient inscrites.
Manu, Minos, Mises, Moïse.
Quant aux Dix Commandements, ils ont été directement extraits
de la formule 125 du Livre des Morts égyptien.
La formulation "Je n'ai pas volé" du Livre des Morts est devenue "Tu ne voleras point".
"Je n'ai pas tué" est devenu "Tu ne tueras point".
"Je n'ai pas menti" est devenu "Tu ne porteras point de faux témoignage",
et ainsi de suite.
En fait, il est probable que la religion égyptienne constitue le socle fondateur
de la théologie judéo-chrétienne.
Le baptême, la vie après la mort, le jugement final, la naissance virginale,
la mort et la résurrection, la crucifixion, l'Arche d'Alliance,
la circoncision, les sauveurs, la sainte communion,
le déluge, Pâques, Noël, la Pâque,
et bien d'autres éléments sont des attributs de concepts égyptiens
largement antérieurs au Christianisme et au Judaïsme.
Justin le Martyr, l'un des premiers historiens et défenseurs du Christianisme, écrivit :
"Lorsque nous disons que lui, Jésus-Christ, notre maître,
fut engendré sans union sexuelle, fut crucifié, mourut,
ressuscita et monta au ciel,
nous n'avançons rien de différent de ce que vous croyez
quant à ceux que vous appelez Fils de Jupiter".
Dans un autre texte, Justin le Martyr déclara :
"Il est né d'une vierge, acceptez cela en commun
avec vos croyances au sujet de Persée".
Il est évident que Justin ainsi que d'autres chrétiens antiques
savaient à quel point le Christianisme était similaire aux religions païennes.
Toutefois, Justin avait une solution.
En ce qui le concernait, c'était l’œuvre du Diable.
Le Diable eut la clairvoyance d'arriver avant le Christ
et de créer ses caractéristiques dans le monde païen.
(Bill Hicks) Fascinants, les chrétiens fondamentalistes !
Ces personnes croient réellement que le monde a 12 000 ans.
J'ai demandé à l'un d'entre eux : "OK, et les fossiles de dinosaures ?"
Il répond : "Les fossiles de dinosaures ?
Dieu les a mis là pour tester notre foi !"
[Rires]
"Je pense que Dieu t'a mis là pour tester la mienne, mec !"
(P. Joseph) La Bible n'est rien d'autre qu'un hybride littéraire astro-théologique,
tout comme la quasi-totalité des mythes religieux la précédant.
En fait, le transfert d'attributs d'un personnage à un autre
peut être retrouvé dans la Bible elle-même.
Dans l'Ancien Testament, il y a l'histoire de Joseph.
Joseph était un prototype de Jésus.
Joseph naquit miraculeusement, Jésus naquit miraculeusement.
Joseph avait 12 frères. Jésus eut 12 disciples.
Joseph fut vendu pour 20 pièces d'argent,
Jésus fut vendu pour 30 pièces d'argent.
Son frère Juda suggéra de vendre Joseph,
son disciple Judas suggéra de vendre Jésus.
Joseph entreprit son œuvre à l'âge de 30 ans,
Jésus entreprit son œuvre à l'âge de 30 ans.
Les analogies n'en finissent pas.
De plus, existe-t-il une preuve historique non biblique d'une personne
ayant vécu et portant le nom de Jésus, fils de Marie,
qui voyageait avec 12 disciples, guérissant les malades, etc. ?
De nombreux historiens vivaient autour de la Méditerranée soit pendant
soit juste après la vie présumée de Jésus.
Combien de ces historiens ont documenté ce personnage ? Pas un seul.
Toutefois, cela ne veut pas dire que les défenseurs
du Jésus historique n'ont pas clamé le contraire.
Quatre historiens sont généralement cités pour justifier l'existence de Jésus.
Pline le Jeune, Suétone, et Tacite sont les trois premiers.
Chacune de leurs citations n'est constituée que de quelques phrases au plus
et ne fait référence qu'à Christus, ou le Christ, qui n'est en fait pas un nom,
mais un titre. Il signifie 'L'Oint'.
La quatrième source est Josèphe ;
or celle-ci s'est avérée être un faux depuis des centaines d'années.
Malheureusement, elle est toujours citée comme vérité.
On pourrait penser qu'un homme qui revint d'entres les morts,
qui monta au ciel à la vue de tous
et qui accomplissait les miracles qui lui ont été attribués
aurait réussi à figurer dans les écrits historiques.
Ce ne fut pas le cas, car une fois les preuves examinées,
il y a une très grande probabilité que le personnage nommé Jésus
n'ait même pas existé.
"La religion chrétienne est une parodie consacrée à l'adoration du soleil,
dans laquelle ils ont remplacé le soleil par un homme appelé le Christ
et lui ont porté l'adoration originellement portée au soleil."
Thomas Paine (1737-1809)
(J. Maxwell) Nous ne voulons pas être cruels, nous voulons être factuels.
Nous ne voulons blesser personne,
nous voulons être académiquement corrects
dans ce que nous reconnaissons comme étant la vérité.
Le Christianisme n'est simplement pas basé sur la vérité.
Nous découvrons en fait que le Christianisme n'est autre qu'une histoire romaine,
développée à des fins politiques.
(P. Joseph) En réalité, Jésus était la divinité solaire
de la secte chrétienne gnostique.
Tout comme les autres dieux païens, il était une figure mythique.
Ce fut l'establishment politique qui chercha à faire entrer Jésus dans l'Histoire
dans le but d'obtenir un contrôle social.
En 325 av. J.-C., à Rome, l'Empereur Constantine convoqua le Conseil de Nicea.
C'est durant cette réunion que les doctrines chrétiennes,
inspirées politiquement, furent établies.
Ainsi commença une longue histoire de massacres religieux et de fraude spirituelle.
Durant les 1000 années suivantes,
le Vatican conserva un étau politique serré sur toute l'Europe,
menant à des périodes joyeuses comme le Moyen-Age,
en passant par de brillants évènements tels que les Croisades et l'Inquisition.
La chrétienté, comme toutes les autres théologies
est une fraude historique.
Ces religions servent désormais à dissocier les êtres vivants du monde naturel
et à les désunir.
Elles facilitent une soumission aveugle à l'autorité.
Elles réduisent la responsabilité humaine
si bien que "Dieu" contrôle tout et d'horribles crimes
peuvent ainsi être justifiés au nom de la quête divine.
Surtout, la religion donne du pouvoir à un establishment politique
qui utilise le mythe pour manipuler et pour contrôler les sociétés.
Le mythe religieux est l'instrument le plus puissant jamais créé.
Il sert de terreau psychologique sur lequel d'autres mythes peuvent fleurir.
(D. Griffin) Un mythe est une idée qui, quoique communément admise, est fausse.
Dans un sens plus profond, dans le sens religieux,
un mythe est une histoire qui sert à orienter et à mobiliser le peuple.
L'accent ne porte pas sur le rapport entre l'histoire et la réalité, mais sur sa fonction.
Une histoire ne peut pas fonctionner à moins d'être supposée vraie
par la communauté ou par la nation.
Il n'y a pas de débat lorsque certaines personnes ont le mauvais goût
de remettre en cause l'authenticité de l'histoire sacrée.
Les gardiens de la foi n'entrent pas dans le débat avec ces dernières.
Ils les ignorent ou les accusent de blasphème.
C'est mauvais ou blasphématoire, c'est un péché que de suggérer, d'insinuer
ou d'aider d'autres personnes à arriver à la conclusion
que le gouvernement américain a tué 3000 de ses citoyens.
2e Partie :
Le Monde est une Scène
(Homme au téléphone) Comme si une équipe de démolition avait déclenché des explosifs,
quand vous voyez les démolitions d'anciens immeubles.
(Série de 3 journalistes) Cela ressemble à ces scènes
d'un vieil immeuble se faisant délibérément dynamiter.
N'importe qui ayant vu un immeuble être démoli intentionnellement
sait que pour ce faire,
vous devez toucher les fondations de l'immeuble et les abattre.
La façon dont cette structure s'effondre était le résultat
de quelque chose de prémédité. Ce n'est pas accidentel
que la première tour s’effondre, puis qu'il se trouve que la 2e tour
s'effondre exactement de la même manière.
Comment ont-elles accompli cela, on ne sait pas.
(M. Casaliggi, pompier) L'immeuble est tombé en poussière.
On ne trouve pas une table, pas une chaise.
On ne trouve pas un téléphone ni un ordinateur.
La plus grande partie d'un téléphone que j'ai trouvée
est la moitié d'une touche ; elle était à peu près grosse comme ça.
- Qu'est-il arrivé au béton ? - Le béton a été pulvérisé.
D'une rivière à l'autre, on trouvait cette poussière fine, entre 5 et 8 cm d'épaisseur.
Le béton a simplement été pulvérisé !
(Homme au téléphone) ...souvenir d'images que nous avons tous
trop vues à la télévision, un immeuble est détruit délibérément
par de la dynamite bien placée pour le faire s'écrouler.
- C'est comme s'ils avaient des détonateurs... - Oui, des détonateurs
- ... placés pour abattre l'immeuble...
J'ai entendu une 2e explosion.
Il y a eu une très forte explosion.
Il y a eu une explosion secondaire suivie d'un écroulement.
...Souffle de l'explosion et puis ça a renversé tout le monde.
D'après moi, c'était le bruit d'une explosion.
On aurait dit des coups de feu !
Puis tout d'un coup, 3 grosses explosions.
En descendant, nous avons entendu une grosse explosion.
et toute la partie supérieure de l'immeuble a explosé.
Nous avons vu une sorte d'explosion. - ...d'après la force des explosions... - ...grosse explosion...
Elle nous a projetés jusqu'au 8e étage. - ...puis dans le hall, il y a eu une grosse explosion.
On aurait dit qu'une bombe avait explosé dans le hall d'entrée.
(Série de 7 témoins) ... énorme explosion, puis une pluie de débris.
Il y a eu une énorme explosion !
Énorme explosion que nous avons tous entendue et sentie.
Nous avons été témoins d'une sorte d'explosion.
C'était très bruyant (ça a sauté !) explosion...
Fumée et explosion secondaire dans la tour n°1.
C'est une autre bombe qui explose. Il pense qu'il y avait en fait
des explosifs qui étaient dissimulés dans la tour.
Le mythe du 11 septembre
19 pirates de l'air, dirigés par Oussama Ben Laden, détournèrent 4 avions commerciaux
En échappant à la vigilance de la défense aérienne, ils ont atteint 75% de leurs cibles.
Puis, les tours n°1, 2 et 7 du World Trade Center s'effondrèrent
les étages s'empilant les uns sur les autres des suites d'une défaillance structurelle
liée à des incendies, alors que l'avion qui a atteint le Pentagone s'est vaporisé à l'impact,
tout comme l'avion qui s'est écrasé à Shanksville.
La "911 Commission" conclut qu'il n'y eut pas d'avertissements liés à cet acte terroriste,
tandis que de nombreux dysfonctionnements gouvernementaux empêchèrent une défense adéquate.
"Pas d'avertissements"
(C. Rice) Je pense que personne n'aurait pu prédire
qu'ils tenteraient d'utiliser un avion comme un missile,
un avion détourné comme un missile.
Personne, du moins dans notre gouvernement, et je ne pense pas
que le gouvernement précédent aurait pu imaginer des avions frappant des immeubles.
Pas de menaces spécifiques impliquant des activités domestiques,
impliquant les villes, les lignes aériennes, ainsi de suite.
Il n'y avait pas d'indices précurseurs dont j'étais au courant.
Le journal USA Today indique que durant les 2 années précédant les attaques du 11 septembre,
NORAD (commandement de la défense aérienne, NDT) a conduit des exercices utilisant des avions détournés
comme des armes, dont l'une des cibles était le World Trade Center.
Couverture du manuel de réponse de FEMA (Agence fédérale des situations d'urgence, NDT), 1997
Opération "Mascal", octobre 2000 : simulait un crash d'avion dans le Pentagone.
(Journaliste) Dans des documents confidentiels Philippins obtenus par CNN,
le plan était clair : il embarquerait dans n'importe quel avion commercial américain,
contrôlerait le cockpit et le ferait plonger dans le siège de la CIA.
Autres édifices ciblés : le Pentagone et le World Trade Center.
L'administration de l'aviation civile des États-Unis (FAA) a reçu 52 avertissements
au sujet d'Al-Qaida dans les 6 mois précédant le 11 sept.
et n'y a visiblement pas prêté attention.
(Journaliste) Le Pentagone ne souhaiterait pas que le public puisse écouter
le témoignage auprès du Sénat ayant trait à une ancienne unité secrète
de renseignement connue sous le nom d'Able Danger',
qui a identifié Mohammed Atta ainsi que trois autres terroristes du 11 sept.
en tant que membres d'une cellule d'Al-Qaida à Brooklyn (New York)
plus d'un an avant les attaques.
Nous avons trouvé 2 des trois cellules qui ont mené les attaques du 11 sept.
(Journaliste) Lieutenant Colonel Anthony Shaffer a été le 1er membre d''Able Danger'
à en parler en public. L'agence du Renseignement lui a signifié par écrit
qu'il ne peut pas s'adresser aux membres du Congrès ou a son personnel sans autorisation préalable.
Il s'agit d'empêcher la population américaine
de prendre connaissance des actions qui auraient pu contrecarrer les attaques.
Aujourd'hui, ces faits sont dissimulés.
(Journaliste) Les indicateurs de la sécurité et du contre-terrorisme étaient au rouge
selon George Tenet. Les signes avant-coureurs d'une attaque imminente
étaient si sévères, qu'une action drastique aurait dû être entreprise.
C'était sans précédent. Au lieu de cela, notre Président prit un mois de vacances.
19 pirates de l'air
(M. Meacher) Le chef des services secrets pakistanais (l'ISI), Mahmoud Ahmed,
ordonna à Omar Cheikh de virer 100 000 dollars
à Mohamed Atta, qui était le leader des pirates de l'air.
(2 journalistes) Le pirate de l'air Mohamed Atta a reçu des virements via le Pakistan.
On estime que l'homme qui a envoyé l'argent à Atta
est Ahmed Omar Saïd Cheikh.
Omar Cheikh a admis avoir été soutenu
par les services secrets du gouvernement pakistanais, l'ISI.
Aucune demande n'a jamais été formulée quant à la raison du virement de 100 000 dollars
à Mohamed Atta ordonné par le Général Ahmed.
Le matin du 11 septembre, des officiers gouvernementaux prenaient un petit-déjeuner
à Washington avec le Général Ahmed.
Dans son rapport officiel, la 911 Commission a jugé
que la question du financement des attaques était 'de peu d'importance'.
(Journaliste) Aussi difficile à croire que ce soit, deux des terroristes présumés
qui ont été impliqués dans les évènements de mardi
auraient suivi des cours dans des écoles supervisées par l'armée américaine.
Visiblement, des preuves ont également été fabriquées.
Le passeport de l'un des pirates de l'air du vol n°11
a prétendument été retrouvé dans les débris.
Ce passeport a été trouvé à quelques encablures
du World Trade Center, aussi bizarre que cela puisse paraître.
Ces pirates de l'air sont vivants et en bonne santé
selon le président du parti démocrate japonais,
qui déclare le 11 sept. est un canular.
Plusieurs de ces 19 hommes sont toujours vivants.
"Je ne pouvais pas le croire quand le FBI m'a mis sur leur liste.
Ils ont donné mon nom et ma date de naissance, mais je ne suis pas un kamikaze.
Je suis vivant. Je ne sais absolument pas piloter un avion."
Au moins 7 des pirates de l'air sont toujours en vie.
Le FBI n'a, à ce jour, pas modifié sa liste.
Au moins 5 des pirates de l'air seraient en lien avec les institutions militaires américaines.
Oussama Ben Laden
Bien sûr, nous recherchons Saddam Hussein, je veux dire, Ben Laden, il est...
(Journaliste) Au début des années 80, Ben Laden travaillait avec des agents
du renseignement américain, ainsi que l'armée pakistanaise et les États arabes.
Janvier 2001. L'administration Bush donne l'ordre au FBI
et aux services secrets de cesser toute enquête
relative à la famille Ben Laden,
y compris deux parents d'Oussama Ben Laden
qui vivaient, devinez où ? À Falls Church en Virginie,
juste à côté du siège de la CIA.
Lorsqu'il était déjà 'le criminel le plus recherché des États-Unis',
il aurait passé deux semaines dans un hôpital américain de Dubaï.
Il aurait été traité par un médecin américain et aurait reçu la visite de l'agent local de la CIA.
Nous n'avons pas vu une seule preuve liant directement Oussama Ben Laden
avec la préparation du 11 septembre.
(D. Griffin) Il fut annoncé plus *** qu'en apporter la preuve serait superflu,
car Ben Laden, dans une vidéo prétendument trouvée en Afghanistan,
admit sa responsabilité dans les attaques.
"J'ai soigneusement étudié la traduction du Pentagone,
qui est très problématique. Tous les passages prouvant
la culpabilité de Ben Laden ne correspondent pas au texte en arabe."
Dr. Abdel EIM Husseini, expert en langue arabe.
"Les traducteurs américains qui ont transcrit les enregistrements
ont visiblement lu entre les lignes et ont ajouté
des informations qui n'apparaissent pas dans les enregistrements."
Gernot Rotter, Professeur d'études islamiques à l'université de Hambourg.
En 1976, Salim Ben Laden, le frère ainé d'Oussama
a recruté un homme appelé Jim Bath
afin de gérer les investissements de la famille Ben Laden aux États-Unis.
Il se trouve que Jim Bath est aussi un ami personnel de longue date
de George W. Bush et qu'ils avaient été tous deux pilotes de la garde nationale.
Les connexions entre les Bush et les Ben Laden
deviennent de plus en plus claires lorsque l'on sait que Bush père
voyagea en Arabie Saoudite en 1998 et en 2000
pour rencontrer la famille Ben Laden au nom du Groupe Carlyle.
Le matin du 11 septembre, le Groupe Carlyle organisait une conférence
à Washington dont l"un des invités était Shafig Ben Laden, frère ainé d'Oussama.
Le Groupe Carlyle est lié aux groupes d'armement les plus importants du monde
qui continuent de récolter d'énormes profits de la "guerre contre le terrorisme" post-11 sept.
et des guerres d'Afghanistan et d'Irak.
Le Pentagone
(Journaliste) Comment quelqu'un aurait-il pu piloter un avion de 60 tonnes, 38 m de large
et de 13 mètres de haut au travers de cette course d'obstacles ?
(D. Griffin) Avant d'entrer en collision avec le Pentagone, l'avion aurait exécuté
une spirale en descente de 270 degrés.
Pourtant, Hani Hanjour passait pour un pilote médiocre,
incapable de piloter en sécurité le plus petit des avions.
"Cela lui était égal de ne pas finir le cours."
"À ce jour, je suis encore ébahi qu'il ait pu voler dans le Pentagone..."
Employé d'une école de pilotage dans l'Arizona. (Reportage du NY Times du 05/04/2002)
(Journaliste) Pas de sièges, pas de valises, pas de corps.
Rien que des briques et de la pierre.
(D. Avery) L'explication officielle consiste à dire que l'intense chaleur du kérosène
a vaporisé l'avion tout entier. Le vol n°77 était équipé de deux moteurs Rolls-Royce
fabriqués d'alliage d'acier et de titane, d'un poids de 6 tonnes chacun.
Il est scientifiquement impossible que 12 tonnes d'acier
et de titane aient été vaporisées par du kérosène.
On nous a aussi déclaré que les corps pouvaient être identifiés,
soit par leur empreinte digitale, soit par leur ADN.
Quelle sorte de feu peut vaporiser de l'aluminium et de l'acier trempé
et pourtant laisser intacts des corps humains ?
(Journaliste) D'après mon inspection minutieuse, il n'y a aucune preuve
de collision d'avion aux alentours du Pentagone.
Les seuls fragments restants que l'on peut voir
sont assez petits pour être pris avec la main.
(D. Griffin) Peu de temps après la frappe, les agents du gouvernement
ont ramassé les débris et les ont emportés.
Toute la pelouse fut recouverte de terre et de graviers
et toutes les preuves médico-légales restantes furent littéralement dissimulées.
Les vidéos des caméras de sécurité, qui auraient montré
ce qui avait vraiment touché le Pentagone furent immédiatement confisquées
par les agents du FBI.
Le département de la justice a, à ce jour, refusé de les rendre publiques.
Si ces vidéos prouvaient que le Pentagone fut réellement touché par un 757,
nous présumons que le gouvernement les aurait rendues publiques.
[Demande Rejetée]
Shanksville
- On dirait qu'il n'y a rien là, à part un trou dans le sol.
- C'est exact. La seule chose que l'on pouvait voir d'où nous étions,
c'était une grosse cavité dans les environs et quelques arbres cassés.
On pouvait voir quelques personnes travaillant, marchant dans les environs,
mais de là où nous pouvions voir, il ne restait pas grand-chose.
- Pas de grands morceaux de débris du tout ? - Non, il n'y avait rien.
Rien qui ne laisse penser qu'un avion s'était écrasé ici.
Crash d'un avion commercial au Niger
"Crash" du vol n°93 à Shanksville
Le FBI et la police locale ont confirmé qu'ils ont isolé
une 2e zone à environ 10 km du cratère trouvé ici.
Il s'agit apparemment d'un autre site contenant des débris.
Pourquoi les débris se situeraient-ils à 10 km de là ?
L'avion aurait-il pu exploser si loin ? Cela semble très improbable.
Les tours n°1, 2 et 7 du World Trade Center
(D. Griffin) La théorie de l'effondrement progressif selon laquelle les incendies,
tout en ne faisant pas fondre l'acier, l'ont suffisamment chauffé
pour permettre aux étages, affaiblis par la frappe des avions,
de se libérer des colonnes d'acier, ce qui aurait entraîné une réaction en chaîne.
- On s'attendrait donc, selon cette théorie, qui est la théorie officielle,
à voir un amoncellement entier d'étages empilés les uns sur les autres,
ainsi qu'un fuseau de colonnes structurelles toujours debout.
- La structure centrale de chacune des tours jumelles était constituée de 47 colonnes d'acier.
Si les étages s'en étaient libérés, ces colonnes
seraient encore debout, s'élevant à plus de 300 mètres dans les airs.
Les avions n'ont pas coupé toutes ces colonnes structurelles.
Nous avons conçu les tours pour qu'elles résistent à l'impact d'un Boeing 707,
où que soit le point d'impact sur l'immeuble.
L'immeuble pourrait subir de multiples impacts d'avions de ligne.
- ...que l'avion ait volé droit dans les tours. - Droit dedans, exactement.
- Vous dites que cet édifice était en fait conçu pour faire face
à un trou comme celui-là, et qu'il y survivrait ? - Oui, il l'était.
- Si vous laissiez tomber, disons, une balle de billard
du haut du World Trade Center, à 110 étages de haut,
elle mettrait, en ne rencontrant aucune résistance,
8 à 10 secondes pour atteindre le sol.
(D. Avery) La vitesse d'effondrement des tours est presque celle de la chute libre.
200 000 tonnes d'acier se fracassent et explosent dans un rayon de plus de 150 mètres.
- Cela veut dire que les étages se sont fracassés
à une vitesse moyenne de dix étages par seconde.
Il n'existe pas de cas de figure d'immeubles tombant progressivement
qui rendrait possible une chute libre.
Qu'est-ce qui peut produire cela ? Qu'est-ce qui peut écarter toute résistance ?
Des explosifs.
47 énormes colonnes d'acier interconnectées au centre de la structure.
Comment peut-on les amener à faillir simultanément et vaporiser la partie centrale ?
Il semble que ces colonnes structurelles furent coupées.
(Expert en démolition) On le fait
en coupant les poutres en diagonale.
Colonne structurelle du World Trade Center après l'effondrement.
Observez la forme 'sectionnée' et la fonte... ou le 'métal fondu'.
(S. Jones) J'ai commencé à observer le métal fondu.
Les trois immeubles : les débris des deux tours, aux alentours des sous-sols
et l'immeuble n°7. Ces flaques de métal fondu étaient présentes.
Plus de six semaines après l'effondrement,
des points ardents de 1100°C furent observés dans les débris.
C'est 260°C plus chaud que la température de combustion du kérosène
dans des conditions étroitement contrôlées.
On descend tout en bas et on voit de l'acier fondu.
De l'acier fondu qui coule le long des poutres.
Comme si on était dans une fonderie.
Comme la lave d'un volcan.
(D. Avery) L'acier fondu fut trouvé 3, 4, et 5 semaines plus ***
tandis que les débris étaient évacués.
Il a dit que de l'acier fondu avait aussi été retrouvé sous le World Trade Center n°7.
Je regarde donc dans les rapports officiels, que disent-ils
à propos du métal fondu ? Ils n'en disent rien.
Attendez une minute. C'est un indice important.
D'où est-il donc venu ?
(S. Jones) La thermite est si chaude qu'elle peut par exemple
couper l'acier de construction, comme un couteau dans du beurre.
Les produits de réaction sont du fer fondu et de l'oxyde d'aluminium
qui se dégagent principalement sous forme de poussière.
Vous savez, ces énormes nuages de poussière ?
Imaginez que l'on mélange ces produits chimiques à grande échelle.
- Professeur Niels Harrit, vous avez examiné les débris
originaires du World Trade Center. Qu'y avez-vous trouvé ?
- Nous y trouvons des traces
de ce que l'on qualifie de matériau thermitique.
Il s'agit de matériaux très énergétiques
qui peuvent être utilisés pour faire fondre du fer
ou qui peuvent être utilisés comme explosifs.
Les preuves témoignant d'une démolition contrôlée sont accablantes.
Je vous ai indiqué que la réaction thermitique produisait du fer fondu.
Il y avait des flaques de fer fondu dans les décombres
et la réaction thermitique était encore en cours.
C'était l'équivalent en chimie thermitique de la concoction de sorcière.
Des mares de métal fondu sous les deux tours, après leur effondrement,
et sous le bâtiment n°7, qui n'a pas été frappé par un avion.
(Journaliste) Une partie du problème est que la plupart des gens
ne savent simplement pas grand-chose de l'immeuble n°7,
du fait de l'extraordinaire discrétion entourant son effondrement.
(Journaliste) C'était un gratte-ciel de 46 étages.
Cet immeuble est tombé à 17h25.
(D. Griffin) Il n'a pas été frappé par un avion.
Il y avait des incendies sur seulement 2 ou 3 étages de cet immeuble.
- ... Et il a été abattu par ce que nous savons être une démolition contrôlée.
- Les démolitions ressemblent à cela, une courbure au milieu,
puis l'immeuble tombe verticalement pratiquement à la vitesse de la chute libre.
En 2005, l'Institut National des Standards et de la Technologie (NIST)
a publié son rapport au sujet des tours n°1 et 2.
Le rapport de 10 000 pages n'aborde pas le sujet de l'effondrement.
En 2008, ce même NIST a publié son rapport
au sujet de la tour n°7 du World Trade Center.
Ils n'ont pas examiné une seule portion d'acier
ni testé l'hypothèse de démolition contrôlée.
Ils ont plutôt construit un modèle infographique favorisant
la thèse de l’effondrement sous l'effet d'un incendie.
Les paramètres du modèle n'ont pas été publiés.
Malgré l'admission de l'existence d'une période de chute libre de 2.25s (8 étages),
aucune justification de leur part n'explique ce phénomène
puisque leur théorie d'effondrement progressif' repose
sur des conditions systémiques et des défaillances induites.
La loi de conservation de la quantité de mouvement ne peut tolérer
un mouvement 'progressif' avec résistance
à la vitesse de la 'chute libre'.
A-t-on examiné les explosions souterraines
qui se sont produites juste avant la collision du 1er avion ?
Notre bureau se trouvait au 1er sous-sol. Alors que je parlais à un supérieur à 8h46,
et tout à coup nous entendons, BOUM !
(William Rodriguez, employé au World Trade Center durant 20 ans)
Une explosion tellement forte qu'elle nous a propulsés en l'air.
Elle venait des sous-sols, entre le 2e et le 3e sous-sol.
Alors que j'allais rapporter l'évènement, nous entendons BOUM !
L'impact de l'avion tout en haut.
(Journaliste) Il semblerait qu'il y a plus de fumée provenant du sol...
J'étais au sous-sol, je descendais, quand tout à coup l'ascenseur a explosé.
En sortant, nous sommes passés devant le hall. Il n'y était plus.
Je pense que la bombe a frappé le hall en premier
puis après 2 s, le premier avion frappait.
Alors que je marchais près de l'ascenseur de service principal de l'immeuble,
j'ai subi une explosion.
Je veux dire, l'impact de l'explosion m'a jeté au sol
et c'est à ce moment que tout a commencé.
Tout d'un coup, un gros impact est de nouveau survenu,
et tous les faux plafonds tombaient, les lampes tombaient.
Vous devez traverser directement de la tour n°1 jusqu'à la tour n°2,
et tout d'un coup ça recommence.
Quelque chose d'autre nous a projetés au sol. On l'a ressenti jusque dans le sous-sol.
Les murs cédaient, avec tout ce qui se produisait...
Je connais des personnes qui sont mortes,
ou qui ont eu des jambes cassées dans les sous-sols.
Certaines personnes ont subi des chirurgies réparatrices, car les murs les avaient frappées au visage.
NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord)
D'après les procédures standard d'opération, si un aiguilleur du ciel FAA
remarque quoi que ce soit qui suggère un détournement d'avion potentiel,
l'aiguilleur se doit de contacter son supérieur. Si le problème ne peut être résolu
dans la minute, le supérieur doit demander à NORAD
de faire décoller immédiatement, en "scramble",
des avions de chasse pour découvrir ce qui se passe.
NORAD transmet alors l'ordre
à la base aérienne militaire la plus proche.
Bien qu'une interception survienne habituellement dans les 10 minutes,
dans ce cas, près de 80 minutes s'étaient écoulées
avant que les chasseurs ne décollent.
(Journaliste) C'est une anomalie effarante.
Pas un seul intercepteur de l'US Air Force ne réagit avant qu'il ne soit trop ***.
Il n'y a pas d'avions du tout.
Et s'ils étaient si déconcertés, et avaient délibérément été si déconcertés,
qu'ils ne pouvaient pas répondre ?
Ils ne savaient pas où aller parce que, dans le même temps, se déroulait
un certain nombre d'exercices de guerre contradictoires et superposés
qui impliquaient l'insertion de faux spots
sur les écrans des radars du secteur nord-est de la défense.
(FAA) "Bonjour, Centre Boston TMU, nous avons un problème.
Nous avons un avion détourné qui se dirige vers New York.
Nous avons besoin de faire décoller des F-16 ou quelque chose là-haut, aidez-nous."
(NORAD) "C'est réel ou est-ce un exercice ?"
Il y avait un autre exercice, 'Vigilant Warrior'
qui était en fait, d'après une source de NORAD,
un exercice de détournements d'avion mené en même temps.
Avec seulement 8 avions de chasse disponibles
qui doivent être déployés par paires,
ils avaient affaire à 22 détournements potentiels d'avions, le jour du 11 septembre.
Ils ne pouvaient pas différencier les exercices de guerre des véritables détournements.
En 2000, NORAD effectua 67 interceptions. 100% de réussite.
Le 11 septembre, ils échouèrent 4 fois en un jour.
Le scénario d'au moins un des nombreux exercices de guerre effectués au matin du 11 septembre
impliquait des avions s'écrasant dans des immeubles.
La 9/11 Commission
Page 172 : "Le Gouvernement des États-Unis n'a pas été en mesure de déterminer
l'origine du financement des attaques du 11 septembre.
Au final, l'importance pratique d'une telle question est marginale."
Les autorités américaines n'ont pas réussi à retracer
la source du financement. Vient ensuite la déclaration la plus inouïe
et sournoise : "au final, les conséquences sont faibles".
C'est très lourd de conséquences !
Le financement des attaques n'a-t-il pas d'importance ?
(D. Griffin) La difficulté à expliquer l'effondrement de l'immeuble n°7
a été reconnue.
Le rapport de la 9/11 Commission a implicitement admis qu'elle ne pouvait expliquer
l'effondrement de cet immeuble en ne le mentionnant même pas.
- M. le Président, pourquoi est-ce que le vice-président et vous-même insistez
pour apparaître ensemble devant la 911 Commission ?
- Parce que la 9/11 Commission veut nous poser des questions.
C'est le but de la réunion, je l'attends avec impatience
afin de répondre à leurs questions.
- Pourquoi apparaissez-vous ensemble et pas séparément,
comme ils l'avaient demandé ?
- Parce que cela nous donne à tous les deux une bonne chance
de répondre aux questions que la 9/11 Commission souhaite nous poser,
et j'ai hâte d'y répondre.
- Pensez-vous qu'ils devraient être libres de présenter ce qu'ils veulent ?
- Ils devraient témoigner sous serment. En public.
Lorsque Bush et Cheney ont rencontré la 9/11 Commission, ils l'ont fait
seulement selon leurs propres termes : ils se sont présentés ensemble,
ils n'étaient pas sous serment,
ni la Presse ni les familles des victimes n'avaient le droit d'y assister,
et aucun enregistrement n'était autorisé.
- Ne pensez-vous pas que les familles méritent d'avoir une transcription,
ou de pouvoir voir... ? - Adam, vous m'avez posé cette question hier,
et j'ai donné la même réponse.
- Le rapport final était unanime.
C'est-à-dire que si un seul membre de la commission avait une quelconque objection
sur un sujet donné, celui-ci fait serait retiré du rapport.
- Nous avons découvert qu'il avait non seulement fait partie
d'une équipe transitoire de l'administration Bush,
mais qu'il était l'auteur du mémo préliminaire
pour la mise en place du Conseil National de Sécurité de l'administration Bush,
qu'il avait rédigé la stratégie de guerre préventive
qui fut par la suite utilisée pour la guerre en Irak,
et qu'il est un ami proche de Condolezza Rice.
Nous voulons qu'il démissionne.
Il n'y a littéralement rien dans le rapport de la 9/11 Commission
que l'administration Bush n'ait pas approuvé.
(D. Griffin) Nous pouvons donc comprendre pourquoi la Commission,
sous la direction de Zelikow, aurait ignoré toutes les preuves
pointant vers la vérité,
à savoir que le 11 septembre était une opération "sous fausse bannière"
visant à valider les doctrines et les fonds requis
pour un nouveau degré de mobilisation générale.
Le terrorisme
Terrorisme : 1) Utilisation systématique de la terreur,
se manifestant par la violence ou l'intimidation, afin de générer la peur.
Armés avec des couteaux. Armés avec des armes chimiques, biologiques, et nucléaires.
Des fanatiques. Des terroristes. Le 11 septembre. Le 11 septembre. Des tueurs.
Le 11 septembre. Des terroristes. Al Qaeda. Des terroristes.
Des armes nucléaires. La terreur. Le 11 septembre. La terreur. Diabolique.
Le 11 septembre. Le 11 septembre. Les terroristes. Guerre et danger.
Le 11 septembre. Le terrorisme. Le terrorisme global. Le terrorisme. Terroriste.
Terroriste. (Répété 5 fois)
Des terroristes. Des terroristes. Le terrorisme. Le 11 septembre. Le terrorisme global.
Le terrorisme. Le terrorisme. Des terroristes. Le 11 septembre. Le terrorisme mondial.
Des terroristes. Le terrorisme. Le 11 septembre. Le terrorisme global.
Le 11 septembre. Terroriste. Terroriste. Terroriste. Terroriste.
Des armes de destruction massive. Le 11 septembre.
Le 11 septembre. Les terroristes diaboliques. Des terroristes. Les terroristes le savent !
(Journaliste) Le terrorisme. Les mots sont répétés de façon hypnotique :
Le terrorisme. Des terroristes. La menace terroriste.
Et bien sûr, "soupçonné d'être lié à Al-Qaida".
Mais c'est la soi-disant "Guerre contre le Terrorisme"
qui nous est rabâchée pratiquement 24h sur 24 et 7 jours sur 7
comme le centre d'intérêt inéluctable de notre existence.
(D. Rumsfeld) Un jour, nos petits-enfants examineront notre époque et se demanderont :
"Comment a été gagnée la guerre contre la terreur ?"
La totalité de la classe dirigeante américaine, l'élite dirigeante,
en vient à voir le terrorisme comme moyen privilégié,
en fait comme l'unique moyen d'assurer la cohésion sociale,
et de fournir l'image d'un ennemi à la société afin de la maintenir unie.
Selon la théorie néo-conservatrice de Carl Schmitt,
l'image d'un ennemi est nécessaire à l'existence de toute société.
C'est une chose très dangereuse, car l'ordre social dans son ensemble,
les partis politiques, la vie intellectuelle et la politique en général
reposent sur un énorme mythe.
[Echo : énorme mythe]
Terrorisme : 2) Technique employée par les gouvernements
pour manipuler l'opinion publique afin de justifier leurs projets.
Regardez ce que la CIA a fait à ce pays.
Ce qu'ils nous ont fait est incroyable.
Regardez les actes terroristes qui se sont produits.
La CIA est derrière la plupart d'entre eux, sinon tous.
Il y a eu la caserne de Marines et l'ambassade au Kenya.
Il y a eu l'attentat de Lockerbie, l'attaque sur l'USS Cole,
l'attentat d'Oklahoma City, puis celui sur le World Trade Center en 1993.
...qui ont aidé les terroristes à faire exploser le World Trade Center la première fois.
Ils ont fabriqué la bombe, ils ont procuré le permis de conduire.
L'informateur est Emad A. Salem, un ex-officier de l'armée égyptienne de 43 ans ;
on lui a confié la mission d'assembler la bombe.
Il est allé voir le superviseur du FBI
et lui dit : "On va placer une fausse bombe, n'est-ce pas ?",
le superviseur du FBI lui a répondu : "non, on va mettre une vraie bombe".
(Journaliste) Les agents du FBI auraient été en mesure d’empêcher
l'explosion meurtrière ayant eu lieu en février dernier au World Trade Center.
Ils ont discuté le remplacement en secret des explosifs par une poudre inoffensive,
ce qu'ils n'ont pas fait selon Emad Salem, l'informateur du FBI.
À l'insu du FBI, Salem a enregistré
une partie de ses conversations avec ses intermédiaires.
Malheureusement pour eux, 6 personnes seulement furent tuées,
pas assez pour faire passer la législation.
Deux ans plus ***,
en avril 1995, l'immeuble de Murrah
à Oklahoma City est abattu. 168 morts.
Un an plus ***, la législation anti-terrorisme, qui nous prive
de tant de droits constitutionnels et de libertés civiles, est entérinée.
Madrid, 2004
Londres, juillet 2005 : des bombes explosèrent dans 3 stations de métro et un bus, tuant 56 personnes.
Ce matin là, Il se trouve qu'un exercice "anti-terrorisme"
se déroulait également, ayant affaire avec...
LE MÊME SCÉNARIO D'ATTENTATS A LA BOMBE.
AUX MÊMES STATIONS DE MÉTRO.
À LA MÊME HEURE.
- Il était 9h30 ce matin-là. Nous conduisions en fait un exercice pour une entreprise
employant plus de 1000 personnes à Londres, portant sur l'explosion simultanée
de bombes dans les mêmes stations de métro où cela s'est passé ce matin-là,
j'en ai encore les cheveux qui se hérissent !
- Pour bien comprendre : vous conduisiez un exercice de réponse à un tel évènement,
qui s'est produit alors que vous conduisiez l'exercice ? - Exactement !
Bien sûr... Le même scénario d'explosion de bombes aux mêmes stations de métro
dans la même période de temps.
Nous sommes censés croire que c'était une sorte de coïncidence.
Il y avait aussi un exercice anti-terrorisme qui se déroulait le 7 juillet.
De nouveau, tout comme le 11 septembre,
il était question d'attaques sur les mêmes cibles,
les mêmes stations de métro, au même moment
que les attaques réelles,
offrant ainsi une sorte de couverture pour ce qui devait être
des opérations orchestrées indirectement par l’État.
(J. Maxwell) Je suis complètement consterné
par le nombre de personnes dans ce pays qui ne réfléchissent pas.
On nous fait comprendre
qu'un gars arabe là-haut dans les montagnes
a financé l'attaque la plus élaborée jamais menée contre ce pays.
(A. Jones) Pensez-vous que des hommes dans une grotte
auraient pu rendre NORAD inoffensif ?
Pensez-vous que des hommes dans une grotte
auraient pu organiser tout cela ?
(J. Maxwell) Quand je pense au nombre d'Américains
qui ont été tués à New York,
et étant convaincu que c'était un coup monté...
C'est une opération classique que les nazis utilisaient,
et ils l'ont utilisée encore et encore.
L'Amérique s'est fait avoir une fois de plus.
("Network", 1976) Je n'ai pas à vous dire que les temps sont durs,
tout le monde sait que les temps sont durs.
Le dollar ne vaut plus rien. Les banques font faillite.
Les commerçants gardent un pistolet sous leur comptoir.
Les voyous courent les rues. Personne nulle part
ne semble savoir que faire, et cela n'en finit pas.
Nous savons que notre air est irrespirable et que notre nourriture n'est pas saine.
Nous sommes assis devant la télé tandis que le téléjournal local nous annonce
que 15 homicides et 63 crimes violents ont été commis aujourd'hui,
comme si c'était censé être ainsi ! Nous savons que les temps sont durs.
Pires que mauvais. Ils sont fous.
C'est comme si tout, partout, partait à la dérive, alors nous ne sortons plus.
Petit à petit, le monde dans lequel nous vivons devient de plus en plus étroit.
Et nous disons : "S'il vous plait, au moins, laissez-nous tranquilles dans nos salons.
Laissez-moi garder mon grille-pain et ma télé, mes pneus radiaux,
et je ne dirai rien. Laissez-nous tranquilles !"
Eh bien, je ne vais pas vous laisser tranquilles. Je veux que vous vous révoltiez !
Je ne veux pas que vous protestiez, je ne veux pas que vous manifestiez.
Je ne veux pas que vous écriviez à votre député
parce que je ne sais pas quoi vous dire d'écrire. Je ne sais pas quoi faire
à propos de la dépression, de l'inflation, des Soviétiques et des crimes dans la rue.
Tout ce que je sais c'est qu'avant tout, vous devez vous révolter !
Il faut que vous disiez : "Je suis un être humain, Bon Dieu !
Ma vie a de la valeur !"
(Homme au téléphone) Il y a de la fumée, c'est très grave ! 105e étage, tour n°2.
C'est très grave, c'est noir, c'est sec.
Ma femme pense que je vais bien. Je l'ai appelée et lui ai dit que je quittais l'immeuble.
J'allais bien, et puis PAN !
Nous sommes trois, deux fenêtres cassées.
Oh mon dieu !
(Charles Lindbergh, 1941) "Lorsque les hostilités commencèrent en Europe en 1939,
il était entendu que le peuple américain n'avait aucune intention d'entrer en guerre,
mais ils estimaient que ce pays pourrait être entraîné dans la guerre,
pratiquement de la même manière qu'il fut entraîné dans la précédente.
D'abord, ils planifièrent de préparer les États-Unis à une guerre étrangère
sous le prétexte de la défense de l'Amérique.
Deuxièmement, de nous impliquer dans la guerre,
pas à pas, sans que nous en ayons conscience.
Troisièmement, de créer une série d'incidents
qui nous forceraient à entrer réellement dans le conflit.
Ces plans devaient, bien sûr, être camouflés et soutenus
par toute la puissance de leur propagande.
Nos théâtres furent bientôt remplis de pièces
décrivant la gloire de la guerre.
Les actualités cinématographiques perdirent tout semblant d'objectivité.
Ils utilisèrent la guerre
pour justifier la restriction du pouvoir du Congrès
et la mise en place de procédures dictatoriales
au profit du Président et de son personnel nommé.
Une campagne de peur fut lancée.
Nous ne pouvons pas permettre aux passions et aux préjugés
d'autres peuples de conduire notre pays à la destruction."
3e Partie :
Ne prêtez pas attention aux hommes dans les coulisses
"Derrière le gouvernement ostensible figure un gouvernement invisible
n'ayant pas porté d'allégeance et ne reconnaissant aucune responsabilité
vis-à-vis du peuple." - Theodore Roosevelt
"Le gouvernement invisible est la véritable menace pour notre république...
Les banquiers internationaux contrôlent pratiquement le gouvernement
pour leurs propres intérêts égoïstes" - John F. Hylan
"La vérité est qu'un élément financier, présent dans les grandes villes
est aux rênes du gouvernement depuis Andrew Jackson." - Franklin D. Roosevelt
(P. Joseph) La guerre d'indépendance des États-Unis commença en 1775,
alors que les colonies américaines voulaient se séparer de l'Angleterre
et de sa monarchie oppressante.
Bien que de nombreuses causes de la révolution soient citées,
l'une d'entre elles est particulièrement proéminente :
le fait que le roi George III d'Angleterre
interdit la monnaie indépendante et libre d'intérêt
que les colonies produisaient
les forçant alors à emprunter de l'argent à la Banque Centrale d'Angleterre,
ce qui provoqua immédiatement des difficultés économiques.
Selon Peter Cooper, ancien vice-président
du comité des devises de New York : "Après que Franklin ait expliqué
la véritable cause de la prospérité du gouvernement britannique,
ils ont promulgué des lois interdisant le paiement de taxes à l'aide de cette monnaie,
ce qui a provoqué une telle misère chez la population
que ce fut la cause principale de la révolution."
En 1783, l'Amérique gagna son indépendance vis-à-vis de l'Angleterre.
Toutefois, la bataille contre le concept de banque centrale
et contre les hommes avides et corrompus qui y sont associés
venait de commencer.
Qu'est-ce qu'une banque centrale ? C'est une institution
qui produit et règlemente la monnaie de toute une nation.
Étant donné les précédents historiques, deux pouvoirs spécifiques
s'exercent par une banque centrale : le contrôle des taux d'intérêt
et le contrôle de la masse monétaire par son expansion ou sa contraction.
Une banque centrale ne fait pas que fournir de l'argent à un gouvernement,
elle le lui prête, avec intérêts.
Ensuite, grâce à des mécanismes visant à contrôler la masse monétaire,
la banque centrale régule la valeur de la monnaie utilisée.
Il est crucial de comprendre que la structure entière de ce système
ne peut produire qu'une seule chose à long terme : de la dette.
Nul besoin d'être un génie pour démasquer cette arnaque.
Chaque dollar produit à la fois par la banque centrale
et les banques commerciales est prêté avec intérêts.
Cela veut dire que chaque dollar produit est en fait un dollar
plus un certain pourcentage de dette qui lui est rattachée.
Étant donné que le système bancaire détient le monopole
de la création monétaire et qu'ils prêtent chaque dollar
en y rattachant de la dette,
d'où vient l'argent pour payer la dette ?
Il ne peut que provenir à nouveau des banques,
ce qui implique que la banque doit perpétuellement augmenter
sa masse monétaire pour couvrir temporairement la dette à régler ainsi créée,
cette dernière engendrant plus de dettes, puisqu'elle est également remboursée
avec de l'argent emprunté avec intérêts !
Le résultat final de ce système est l'esclavage,
car il est impossible pour le gouvernement, et donc pour le peuple,
de se sortir de cette dette auto-générée.
"Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses
qu'une armée, et que le principe de la dette
acquittée par la postérité sous le prétexte de l'investissement
n'est qu'une escroquerie à grande échelle à l'encontre des générations futures."
Lettre de Thomas Jefferson à John Taylor (28 mai 1816).
"Le système bancaire fut conçu dans l'inégalité et naquit dans le péché.
Les banquiers possèdent la Terre... Si vous voulez demeurer des esclaves des banquiers
et payer le coût de votre propre esclavage, laissez-les créer l'argent."
Sir Josiah Stamp, discours à l'université du Texas, 1927.
Dès le début du 20e siècle, les États-Unis avaient déjà mis en place puis retiré
plusieurs systèmes de banque centrale, mis en place par les manigances
de banques impitoyables pour leurs intérêts.
À cette époque, les familles dominantes dans le monde de la banque et des affaires
étaient les Rockefeller, les Morgan, les Warburg, les Rothschild.
Au début des années 1900, elles cherchèrent encore une fois
à faire passer une loi visant à créer une autre banque centrale.
Cependant, elles savaient que le gouvernement
et le peuple étaient lassés d'une telle institution.
Ces familles devaient créer un incident qui affecterait l'opinion publique.
J.P. Morgan, publiquement considéré à l'époque comme un innovateur financier
exploita son influence sur les masses en créant la rumeur
que d'importantes banques new-yorkaises étaient insolvables ou en banqueroute.
Morgan savait que cela provoquerait une hystérie collective et une crise systémique,
ce qui fut le cas. De peur de perdre leurs dépôts, la population
effectua immédiatement des retraits en masse.
Les banques durent demander des remboursements anticipés,
ce qui obligea leurs bénéficiaires à vendre leurs biens
entraînant ainsi une spirale de banqueroutes, de saisies ; la tourmente s'ensuivit.
Quelques années plus ***, Charles Lindbergh, membre du Congrès, écrivit :
"En 1907, les rois banquiers ont amorcé un grand projet.
Ils avaient parié et spéculé sur Wall Street
jusqu'à ce que beaucoup d'actions et d'obligations vides soient émises.
Les rois banquiers étaient au courant du problème
et informèrent leurs amis de ce qui allait se produire.
Une panique se produirait à l'automne de l'année 1907, dont les causes
annoncées seraient nos mauvaises lois bancaires et monétaires."
La panique de 1907 entraîna une enquête du Congrès,
menée par le sénateur Nelson Aldrich
qui était étroitement lié aux cartels bancaires
et entra plus *** par alliance dans la famille des Rockefeller.
La commission menée par Aldrich recommanda qu'une banque centrale
soit instituée pour éviter une panique comme celle de 1907.
Ce fut l'étincelle qu'attendaient les banquiers pour initier leur plan.
En 1910, une réunion secrète fut tenue dans la résidence de J.P. Morgan
sur l'Ile de Jekyll au large des côtes de la Georgie.
C'est là que fut rédigé le projet de loi
de banque centrale appelée la Federal Reserve Act.
Cette loi fut écrite par des banquiers et non par des législateurs.
Cette réunion était tellement secrète, tellement dissimulée
aux yeux du gouvernement et du peuple, que la plupart des participants
maquillèrent leur nom avant de partir pour l'île.
Après que ce projet de loi fut élaboré, il fut transmis
à leur représentant politique, le sénateur Nelson Aldrich, pour qu'il soit passé devant le Congrès.
En 1913, grâce à d'abondants financements politiques provenant des banquiers,
Woodrow Wilson devint Président, tout en ayant déjà accepté de signer
la Loi de la Réserve Fédérale en échange du soutien de sa campagne.
Deux jours avant Noël, alors que la majorité des membres du Congrès
étaient chez eux en famille, le projet de Loi de la Réserve Fédérale fut adopté,
et Wilson la promulgua.
La veille de sa promulgation, Charles Lindbergh déclara :
"Cette loi établit le trust le plus gigantesque du monde.
Une fois que le président signe la loi, le gouvernement invisible
par le pouvoir monétaire sera légalisé."
On a annoncé à la population que le système de réserve fédérale
constituait un stabilisateur économique, et que l'inflation et les crises économiques
appartiendraient au passé.
Comme l'Histoire l'a démontré, rien n'est plus loin de la vérité.
Le fait est que les banquiers internationaux détenaient désormais
une machine efficace de manipulation économique.
('Frankenstein', 1931) C'est vivant !
Par exemple, de 1914 à 1919, la Réserve Fédérale (FED) augmenta sensiblement la masse monétaire ;
des sommes considérables furent ainsi prêtées aux petites banques et au public.
Ensuite, en 1920, la FED coupa les robinets du crédit de manière si extrême
que les banques durent réclamer le remboursement d'un grand nombre de prêts.
Tout comme en 1907, les retraits en masse, les banqueroutes et l’effondrement systémique s'ensuivirent.
De nombreuses banques non affiliées au système de la FED s'effondrèrent,
consolidant ainsi encore plus le monopole du cartel monétaire.
Conscient de ce crime, Charles Lindbergh déclara :
"Sous la Loi de la Réserve Fédérale, les paniques sont créées scientifiquement.
La présente panique est la première panique créée scientifiquement,
organisée comme on formule une équation mathématique."
Néanmoins, la panique de 1920 n'était qu'un échauffement.
De 1921 à 1929, la Réserve Fédérale augmenta encore la masse monétaire ;
conduisant de nouveau à de nombreux emprunts par le peuple et par les petites banques.
Il y avait aussi un type assez nouveau de prêt en bourse,
appelé "prêt en avance sur titres".
Ce type de prêt permettait à l'investisseur de ne payer qu'une fraction
du prix d'une action, les 90 % restants étant avancés par le courtier.
Cette méthode était très populaire pendant les années folles,
car il semblait que tout le monde gagnait de l'argent en bourse.
Cependant, il y avait un revers de la médaille.
Leur remboursement pouvait être exigé à tout moment et devait avoir lieu dans les 24 heures.
et le résultat typique est la vente des actions acquises avec ce prêt.
Quelques mois avant octobre 1929,
J.D. Rockefeller, Bernhard Baruch, et d'autres initiés
sortirent discrètement du marché, sachant que la bulle allait éclater.
Le 24 octobre 1929, les financiers qui avaient fourni les prêts sur avance
commencèrent à exiger leur remboursement, en masse.
Cela engendra instantanément des liquidations massives dans un marché boursier en ébullition
devant l'avalanche d'ordres de vente et d'appels de marge
qui causèrent des retraits massifs et l'effondrement de plusieurs milliers de banques,
permettant des rachats de banques à la dérive par les grandes banques, à moindres frais.
Mais cela ne s'arrêta pas là.
Au lieu d'accroître la masse monétaire
pour sortir de cet effondrement économique, la FED la réduisit,
contribuant ainsi à une des plus grandes dépressions de l'Histoire américaine.
Indigné, Louis McFadden, président de la Cour des comptes
à la chambre des représentants, a soumis une pétition d'impeachment
à l'encontre du comité directeur de la FED, déclarant :
"M. le Président, nous avons dans ce pays
l'une des institutions les plus corrompues que le monde n'ait jamais connues.
Je fais référence au comité directeur de la FED et de ses banques.
Cette institution malveillante a appauvri et ruiné le peuple
des États-Unis... et elle a pratiquement mis notre gouvernement en banqueroute.
Cela a été rendu possible à cause des défauts de la législation selon laquelle elle opère.
À travers la mauvaise administration de ces lois par le comité directeur de la FED
et grâce aux pratiques corrompues des riches vautours qui la contrôlent.
Après avoir réduit la société à néant,
on décida que le système monétaire de l'étalon-or devait être supprimé.
Pour ce faire, ils devaient acquérir l'or restant dans le système.
Ainsi survint la saisie d'or de 1933, sous le prétexte
de la lutte contre la dépression.
Sous la menace de 10 ans d'emprisonnement, tous les résidents américains
furent dans l'obligation de rendre tout lingot d'or au Trésor,
ce qui revenait essentiellement à démunir le peuple du peu qui lui restait.
À la fin de 1933, l'étalon-or fut aboli.
Sur un billet en dollars d'avant 1933, il y est écrit qu'il est échangeable contre de l'or.
Sur un billet en dollars de nos jours, il y est écrit qu'il a cours légal,
c'est-à-dire qu'il n'est avalisé par absolument rien.
La seule chose qui donne de la valeur à notre argent est la confiance du public
et sa quantité en circulation.
Par conséquent, le pouvoir de réguler la masse monétaire
est aussi le pouvoir de réguler sa valeur
ainsi que de mettre à genoux des économies et des sociétés entières.
"Quiconque contrôle la masse monétaire d'un pays
est le maître absolu de toute l'industrie et le commerce."
James A. Garfield, 20te président des États-Unis
Il est important de comprendre clairement
que la Réserve Fédérale est une entreprise privée.
Elle est à peu près aussi "fédérale" que "Federal Express".
Elle édicte ses propres règles, est peu réglementée
de la part du gouvernement. Il s'agit d'une banque privée
qui prête la devise au gouvernement avec intérêts,
ce qui correspond parfaitement avec le modèle de banque centrale
auquel le pays tenta d'échapper lorsqu'il déclara son indépendance
durant la Révolution Américaine.
Revenons à 1913, la Loi de la Réserve Fédérale n'est pas le seul projet de loi
qui fut passé par le Congrès au profit des intérêts financiers établis.
Ils passèrent aussi l'impôt fédéral sur le revenu.
Premièrement, l'impôt fédéral sur le revenu est complètement anticonstitutionnel,
puisque c'est un impôt direct et centralisé.
Le nombre requis d'états pour ratifier l'amendement
autorisant l'impôt sur le revenu n'a jamais été atteint,
et ce fait a même été cité dans des procès récents.
"Si vous examiniez attentivement le 16e amendement,
vous trouveriez qu'un nombre suffisant d’états
n'a jamais ratifié cet amendement." - James C. Fox, Juge à la cour de district fédérale, 2003
Deuxièmement, de nos jours, environ 25 % du revenu d'un travailleur moyen
lui est soutiré par cet impôt.
L'argent perçu pendant près de 3 mois de l'année
est destiné à remplir cette obligation, et où va cet argent ?
Selon le comité de contrôle des coûts des années 80 :
"100 % de l'argent collecté est réabsorbé par l'intérêt sur la dette fédérale
et par les contributions au gouvernement fédéral destinées
à transférer les paiements. Toutes les recettes de l'impôt sur le revenu
disparaissent avant même d'avoir été dépensées dans les services
que les contribuables attendent de leur gouvernement.
De nos jours, l'équivalent de trois mois de salaire d'un Américain
est quasi intégralement utilisé pour payer les intérêts
imposés par la monnaie fiduciaire basée sur la dette.
Le fait est que l'impôt sur le revenu existe dans le but de nourrir la FED,
la machine à argent du gouvernement fédéral,
qui s'assurent que les paiements d'intérêts sont effectués.
Troisièmement, malgré l'affirmation du gouvernement que l'impôt sur le revenu est légal
il n'existe pas de décret
ni de loi qui requière que vous payiez cet impôt.
(Ancien employé du Fisc américain) Je m'attendais vraiment
à ce qu'il y ait une loi qui nous oblige
à remplir une déclaration d'impôts. Bien sûr qu'il y en a une !
J'en étais au point où je ne pouvais pas trouver le statut
qui obligeait légalement une personne à le faire,
du moins ni moi, ni la plupart des gens que je connais,
et je n'ai pas eu dans mon esprit d'autres choix que de démissionner.
À partir de recherches que j'ai effectuées pendant l'année 2000
et que je poursuis aujourd'hui, je n'ai pas trouvé cette loi.
J'ai demandé au Congrès, aux assistants des membres
de la Commission de l'IRS (le Fisc américain, NDT), ils ne peuvent pas répondre,
parce que s'ils répondent, le peuple américain va savoir
que tout cela est une fraude.
Je n'ai pas rempli de déclaration d'impôts sur le revenu depuis mon départ.
Je n'ai pas rempli de déclaration d'impôts depuis 1999.
(Joseph) Le contrôle de l'économie et la manipulation de la société
au profit des intérêts financiers établis ne sont qu'une facette du jeu.
Parmi les autres facettes figure le commerce de la guerre.
Depuis l'établissement de la Réserve Fédérale en 1913,
un certain nombre de guerres ont commencé,
les plus marquantes étant la Première Guerre mondiale,
la Deuxième Guerre mondiale et la guerre du Viêtnam.
1e Guerre mondiale : en 1914, des guerres éclatèrent en Europe,
centrées autour de l'Angleterre et de l'Allemagne.
Le peuple américain ne voulait rien avoir à faire avec la guerre,
et le Président Wilson déclara alors la neutralité.
Cependant, sous la surface, les informations suggèrent
que les pouvoirs financiers derrière l'exécutif
cherchaient n'importe quelle excuse pour entrer en guerre.
Comprenons que la guerre est l'un des évènements les plus lucratifs
qui puissent se produire pour les banquiers internationaux
parce qu'elle force le pays à emprunter encore plus d'argent, avec intérêts,
sans mentionner les profits issus du financement des opérations militaires.
Selon Smedley D. Butler, double récipiant de la "Medal of Honor" :
"La guerre est une escroquerie. Ce fut toujours le cas.
C'est probablement la plus ancienne, la plus profitable
et certainement la plus vicieuse d'entre elles. C'est la seule escroquerie
de portée internationale, où les profits sont énumérés en dollars
et les pertes sont comptées en vies."'
Le principal conseiller et mentor de Woodrow Wilson était le Colonel Edward House,
un homme ayant des liens intimes
avec les banquiers internationaux de l'époque.
Dans un entretien entre le Colonel House, le conseiller de Wilson,
et Sir Edward Grey, le ministre des affaires étrangères anglais,
concernant les États-Unis et la guerre, Grey demanda :
"Que feraient les Américains si les Allemands coulaient
un paquebot avec des passagers américains à son bord ?" House répondit :
"Je pense qu'une vague d'indignation emporterait les États-Unis
et que cela serait suffisant pour nous entrainer dans la guerre."
Le 7 mai 1915, le paquebot 'Lusitania' fut envoyé dans des eaux
où il était connu que se trouvaient des vaisseaux militaires allemands.
Comme prévu, les sous-marins allemands torpillèrent le paquebot,
faisant exploser des dépôts de munitions, tuant 1200 personnes.
Pour comprendre davantage la nature délibérée de ce complot,
précisons que l'Ambassade d'Allemagne fit paraître des publicités dans le New York Times,
avertissant que les passagers du Lusitania monteraient à bord à leurs risques et périls,
puisqu'un tel paquebot naviguant vers l'Angleterre au travers de la zone de guerre
serait susceptible d'être détruit.
Ensuite, comme il avait été anticipé, le torpillage du Lusitania
suscita une vague d'indignation auprès de la population américaine
et les États-Unis entrèrent en guerre peu de temps après.
Le Major Général Smedley D. Butler résume
la réalité économique de la Première Guerre mondiale :
"Woodrow Wilson fut réélu en tant que Président en 1916 sur un programme
qui nous maintint 'hors de la guerre'". 5 mois plus ***, il demanda au Congrès
de déclarer la guerre à l'Allemagne. On n'a pas demandé
aux 4 millions d'hommes qui ont pris la mer
s'ils étaient volontaires pour souffrir et mourir.
Qu'est-ce qui a causé ce revirement d'opinion du gouvernement ? L'argent.
Le conseil des Alliés a vu le jour peu de temps après la déclaration de guerre
et en a fait appel au Président des États-Unis et son groupe de conseillers.
Voici ce que le chef de ce conseil a annoncé au président et à son groupe
si l'on filtre le langage diplomatique : "Il est désormais inutile
de se faire des illusions. La cause des Alliés est perdue.
Nous devons à vos banquiers, fabricants de munitions, industriels,
spéculateurs et exportateurs américains,
environ 5 milliards de dollars. Si nous sommes défaits, nous,
l'Angleterre, la France et l'Italie ne pourrons pas rembourser
cet argent, et l'Allemagne ne remboursera pas."
Selon les estimations d'experts, la guerre a rapporté un bénéfice
de 16 milliards de dollars. C'est ainsi que 21 000 milliardaires
ont vu le jour. Ces bénéfices non négligeables de 16 milliards
ont été empochés par une minorité."
La Deuxième Guerre mondiale
Le 7 décembre 1941, le Japon attaqua la flotte américaine de Pearl Harbor,
déclenchant notre entrée dans cette guerre.
Le Président Franklin D. Roosevelt déclara que le jour de l'attaque
était "un jour qui restera marqué par l'infamie". Un jour d'infamie certes,
mais pas à cause de la présumée attaque-surprise de Pearl Harbor.
Après 60 ans d'informations remontant à la surface, il est clair
que l'attaque était non seulement connue des semaines auparavant,
mais qu'elle avait été souhaitée et provoquée.
Dans une entrée de journal de Henry Stimson, secrétaire de la Guerre sous Roosevelt
datée du 25 novembre 1941, il rapporta l'une de ses conversations
avec Roosevelt : "Il s'agit de savoir la manière dont on peut les manipuler
de manière à ce qu'ils tirent en premier". Dans une déposition auprès du Congrès
il déclara par la suite : "Il était préférable de s'assurer
que les Japonais agissent en premier pour qu'il n'y ait aucun doute
sur l'identité des agresseurs."
Dans les mois précédant l'attaque de Pearl Harbor,
Roosevelt fit tout ce qui était en son pouvoir
pour attiser la colère des Japonais, en adoptant une posture agressive.
Il suspendit toute importation japonaise de pétrole américain.
Il gela tous les actifs japonais aux États-Unis.
Il fit des prêts publics à la Chine nationaliste et apporta une aide militaire
aux Anglais, tous deux étant des ennemis du Japon dans la guerre,
ce qui, au fait, était en violation complète des accords internationaux de guerre.
Grâce au déchiffrage à l'avance de communications japonaises
révélant le plan d'attaque le 7 décembre 1941,
on permit au Japon d'attaquer Pearl Harbor, tuant 2400 soldats.
Avant Pearl Harbor, 83 % du peuple américain ne voulait rien avoir à faire
avec la guerre. Après Pearl Harbor,
1 million d'hommes se portaient volontaires pour la guerre.
Il est important de noter que l'effort de guerre de l'Allemagne nazie était largement soutenu
par deux organisations ; l'une d'elles s'appelait IG Farben.
IG Farben produisait 84 % des explosifs allemands.
Un des partenaires discrets d'IG Farben
était la Standard Oil Company de J.D. Rockefeller.
En fait, les forces aériennes allemandes ne pouvaient pas opérer sans un additif spécial
breveté par la Standard Oil de Rockefeller.
Par exemple, le bombardement draconien de Londres par l'Allemagne nazie
fut rendu possible par la vente de 20 millions de dollars de carburant
de la Standard Oil Company de Rockefeller à IG Farben.
C'est simplement un aperçu de la manière dont le commerce américain
finança les deux camps de la Deuxième Guerre mondiale.
Une autre organisation traîtresse qui mérite d'être mentionnée
est l'Union Banking Corporation de New York.
Elle a non seulement financé de nombreux aspects de la montée au pouvoir d'Hitler,
ainsi que l'approvisionnement d'équipements pendant la guerre,
mais elle servait aussi à blanchir l'argent nazi. Elle fut finalement mise à nu
pour avoir des millions de dollars d'argent nazi dans ses coffres.
L'Union Banking Corporation de New York fut finalement saisie
pour violation de la 'Trading with the Ennemi Act'
Devinez qui était le directeur et vice-président de l'Union Banking Corporation ?
Prescott Bush, le grand-père de nos anciens Présidents
George W. Bush et George HW Bush.
Vietnam : La déclaration officielle de guerre des États-Unis au Vietnam
survint après un incident présumé impliquant deux destroyers américains
attaqués par des bateaux PT nord-vietnamiens dans le golfe du Tonkin.
Ce fut connu comme 'l'Incident du golfe du Tonkin'.
Ce fut le prétexte catalyseur pour un déploiement massif de troupes
et pour une guerre totale. Seulement voilà, il y a un problème.
L'attaque des destroyers américains par des bateaux PT...
n'a jamais eu lieu.
L'ancien ministre de la Défense Robert McNamara déclara des années plus ***
que l'Incident du golfe du Tonkin était une 'erreur',
tandis que des documents déclassifiés démontrèrent ensuite
que ce fut une farce, un mensonge pour des fins de guerre.
Une fois en guerre, c'était le business habituel.
En octobre 1966, le Président Lyndon Johnson leva les restrictions commerciales
sur le bloc soviétique, sachant pertinemment que les Soviétiques
fournissaient plus de 80 % des munitions de guerre aux Nord-Vietnamiens.
Par conséquent, les Rockefeller financèrent des usines
en Union Soviétique, que les Soviétiques utilisèrent pour fabriquer
des équipements militaires et les envoyer au Viêtnam du Nord.
Toutefois, le financement des deux camps de ce conflit
n'était qu'une facette de l'histoire.
En 1985, les règles d'engagement du Viêtnam furent déclassifiées.
Elles définissaient les devoirs des troupes américaines pendant la guerre
et comprenaient des absurdités telles que l'impossibilité de bombarder les systèmes de missiles
antiaériens nord-vietnamiens avant que ceux-ci entièrement opérationnels,
aucun ennemi ne pouvait être poursuivi
passée la frontière du Laos ou du Cambodge.
Encore plus révélateur : les attaques contre les cibles stratégiques
ne pouvaient être menées à moins d'avoir été initiées par de hauts gradés.
En plus de l'imposition de limitations, le Viêtnam du Nord était informé
de ces restrictions et pouvait donc créer des stratégies entières
autour des limitations des forces américaines.
C'est pourquoi la guerre dura aussi longtemps, et en fin de compte :
la Guerre du Vietnam ne devait pas être gagnée, mais entretenue.
Le résultat de cette guerre pour les profits fut la mort de 58 000 Américains
et de 3 millions de Vietnamiens.
Où en sommes-nous maintenant ?
Le 11 septembre était un tremplin pour des plans hégémoniques
permettant d'établir une situation de guerre permanente.
C'était un prétexte de guerre mis en scène, non différent du torpillage du Lusitania,
de la provocation de Pearl Harbor, et du mensonge du golfe du Tonkin.
Si le 11 septembre n'était pas un prétexte de guerre planifié,
ce serait une exception à la règle.
Le 11 septembre a été utilisé pour lancer deux guerres illégales et non provoquées.
L'une contre l'Irak, et l'autre contre l'Afghanistan.
Cependant, le 11 septembre était aussi un prétexte pour une autre guerre.
La guerre contre vous. Le 'Patriot Act'
'Homeland Security', 'Military Tribunal Act'
et autres législations qui sont entièrement conçues
pour détruire vos libertés civiles et pour protéger les puissants.
En ce moment aux États-Unis, à l'insu de la plupart des Américains,
votre maison peut être fouillée sans mandat et sans que vous n'y soyez,
vous pouvez être détenu indéfiniment sans charges retenues contre vous
sans pouvoir contacter un avocat, et d'être torturé légalement.
Tout cela, sur le seul soupçon d'être un 'terroriste'.
S'il faut peindre un portrait de la conjoncture,
voyons d'abord comment l'histoire se répète.
En février 1933, Hitler mit en scène une attaque sous fausse bannière
en incendiant le bâtiment de son propre Parlement allemand, le Reichstag,
et accusa les terroristes communistes.
En quelques semaines, il fit passer l'"Enabling Act",
qui éradiqua complètement la Constitution allemande,
détruisant les libertés du peuple.
Il mena alors une série de guerres préventives, toutes prétendues nécessaires
au maintien de la sécurité intérieure.
"Un mal existe qui menace chaque homme, femme et enfant
de cette grande nation. Nous devons prendre des mesures pour garantir
notre sécurité intérieure et protéger notre patrie."
George Bush ?
Adolf Hitler,
lors de l'annonce au peuple de la création de la Gestapo.
Le communisme et ses organisations-écrans
ne devraient pas obscurcir les problèmes !
Notre ennemi est un réseau radical de terroristes
et tous les gouvernements qui les soutiennent.
(P. Joseph) Il est temps de se réveiller.
Les personnes au pouvoir se démènent pour s'assurer
que vous soyez perpétuellement trompés et manipulés.
La perception de la réalité de la majorité,
en particulier dans l'arène politique, n'est pas la sienne.
Elle lui est imposée astucieusement, sans même qu'elle s'en rende compte.
Par exemple, le grand public croit réellement que les invasions de l'Irak
et du Moyen-Orient, ainsi que l'instabilité résultante
sont les conséquences d'erreurs politiques et militaires.
Le public ne perçoit pas que la déstabilisation du Moyen-Orient
est précisément ce que les pouvoirs occidentaux désirent.
Cette guerre doit être entretenue, pour que la région soit divisée,
pour maintenir la domination sur le pétrole pour ses profits continus
servent les entreprises d'armement, et évidemment
pour que leurs bases militaires puissent servir de base de lancement
contre d'autres pays pétroliers et non-conformistes tels que l'Iran.
La preuve que la guerre et la déstabilisation au Moyen-Orient
sont purement intentionnelles, en 2005, deux officiers d'élite SAS britanniques
déguisés en Arabes furent arrêtés par la police irakienne après avoir été surpris
au volant de leur voiture en train de tirer sur des civils.
Après avoir été arrêtés et conduits à une prison de Bassora,
l'armée britannique sollicita immédiatement la remise en liberté de ces hommes.
Quand le gouvernement de Bassora refusa, des tanks britanniques pénétrèrent
dans la prison par la force et en sortirent les deux hommes.
(L. LaRouche) Si vous souhaitez détruire une région, comment faites-vous ?
Il y a deux méthodes. Vous pouvez y aller et la bombarder,
mais ce n'est pas très efficace.
Vous essayez plutôt de pousser le peuple de cette région à s'entretuer
et à détruire son propre territoire, ses propres fermes.
Et c'est ce qui a été fait dans cette région.
La façon de détruire un opposant est de le pousser à s'autodétruire
en montant ses rangs les uns contre les autres.
Alors, vous alimentez les deux camps avec vos agents
attisant les deux camps. Et ils s'entretuent.
Il est temps que certains d'entre nous comprennent
que des personnes essaient de créer puis de maintenir des empires
en manipulant les peuples qu'elles tentent de conquérir.
(P. Joseph) Vous devriez vous demander
pourquoi toute la culture est saturée de divertissement
tandis que le système d'éducation américain
continue sa chute vertigineuse
depuis que le gouvernement a décidé de prendre en charge
et de subventionner le système d'éducation publique.
(J. Maxwell) Votre gouvernement obtient ce pour quoi il a payé.
Une fois cela compris, nous regardons les institutions éducatives
financées par le gouvernement et nous voyons le genre d'étudiants
et d'éducation qui sont engendrés
par ces écoles à financement gouvernemental.
La logique vous dira alors que si les résultats de ces écoles
n'étaient pas conformes aux attentes de l'état et du gouvernement fédéral,
ils changeraient le système.
En fin de compte, le gouvernement obtient ce qu'il a commandé.
Ils ne veulent pas que vos enfants soient éduqués.
Ils ne veulent pas que vous réfléchissiez trop.
C'est pourquoi notre pays et notre monde
sont victimes d'une telle prolifération de divertissements,
de média de masse, de spectacles télévisés,
de parcs d'attractions, de drogues, d'alcool,
et de toutes sortes de spectacles qui divertissent l'esprit humain.
Ainsi, vous n'embêtez pas les personnes importantes
en réfléchissant un peu trop.
Il faut vous réveiller et comprendre qu'il y a des personnes
qui orientent votre vie sans que vous n'en soyez conscients.
Nous sommes dans un sérieux pétrin !
Parce que vous,
et 62 millions d'autres américains m'écoutez en ce moment même.
Parce que moins de 3 % d'entre vous lisent des livres.
Parce que moins de 15 % d'entre vous lisent les journaux.
Parce que la seule vérité que vous connaissez vous vient par cet écran.
Il y a en ce moment toute une génération qui n'a jamais connu autre chose
que ce qui sort de cet écran.
Cet écran est l'évangile, l'ultime révélation.
Cet écran fait élire ou détruire des Présidents, papes ou premiers ministres.
Cet écran est la plus imposante force en ce monde impie ; pauvres de nous
si elle tombe un jour entre les mains des mauvaises personnes.
Quand la plus grande entreprise du monde
contrôle la plus terrifiante maudite force de propagande
en ce monde impie, qui sait quelle merde
sera colportée comme vérité sur ce réseau !
Alors, écoutez-moi... écoutez-moi :
la télévision n'est pas la vérité.
La télévision est un maudit parc d'attractions.
La télévision est un cirque, une fête foraine, une troupe ambulante d'acrobates,
raconteurs d'histoires, danseurs, chanteurs, jongleurs, monstres de foire,
dompteurs de lions, et joueurs de foot.
Nous sommes dans le business de tuer l'ennui !
Mais vous, les gens, êtes assis là jour après jour et nuit après nuit,
de tout âge, couleur, foi... Nous sommes tout ce que vous connaissez.
Vous commencez à croire les illusions que nous faisons tournoyer ici,
vous commencez à croire que la télé est la réalité
et que vos propres vies sont irréelles.
Vous faites tout ce que la télé vous dit. Vous vous habillez comme à la télé,
mangez comme à la télé, élevez vos enfants comme à la télé,
pensez même comme à la télé. C'est de la folie générale, bande de malades !
Nom de dieu, vous êtes la chose réelle.
Nous sommes l'illusion !
(P. Joseph) La dernière chose que souhaite l'establishment
est de voir un peuple conscient, informé et capable de pensée critique.
C'est pourquoi un zeitgeist frauduleux est continuellement produit
via la religion, les médias, et le système éducatif.
Ils ont intérêt à vous maintenir dans une naïve bulle de distractions.
Et ils font du très bon travail.
Voici Aaron Russo, un cinéaste et ancien politicien.
À sa gauche, Nicholas Rockefeller, membre du Council on Foreign Relations.
Après avoir entretenu une amitié proche avec Nicholas Rockefeller,
Aaron a finalement mis un terme à leur relation, consterné par ce qu'il avait appris.
(A. Russo) Un jour, j'ai reçu un appel d'une avocate que je connaissais ;
elle m'a dit : "Souhaiterais-tu rencontrer l'un des Rockefeller ?".
J'ai répondu : "Bien sûr, j'aimerais cela."
Nous sommes devenus amis
et il a commencé à me divulguer beaucoup de choses.
Une nuit il a dit :
"Il va y avoir un évènement, Aaron, et à partir de cet évènement
tu verras, nous entrerons en Afghanistan
pour faire passer des pipelines par la mer Caspienne. Nous irons en Irak
pour y prendre le pétrole et établir une base au Moyen-Orient ;
et nous allons entrer au Venezuela et nous débarrasser de Chavez."
Ils ont accompli les 2 premiers. Pour Chavez, ils ne l'ont pas fait.
Et il a dit : "Tu vas voir des hommes aller dans des grottes
pour chercher des personnes qu'ils ne vont jamais trouver."
Il riait du fait que cette guerre contre la terreur avait lieu,
mais qu'il n'y a pas d'ennemi réel. Il expliquait
que cette guerre contre la terreur ne peut jamais être gagnée,
parce que c'est une guerre éternelle.
On peut donc continuer à enlever toujours plus de libertés au peuple.
Et j'ai dit : "Comment allez-vous convaincre les gens que cette guerre est réelle ?"
"Grâce aux médias, qui peuvent convaincre tout le monde qu'elle est réelle."
Il suffit de parler sans cesse des mêmes choses ; on les répète sans arrêt
et finalement les gens y croient.
Ils créèrent la Réserve Fédérale en 1913 avec des mensonges.
Ils créent le 11 septembre, un autre mensonge.
À travers le 11 septembre, on mène une guerre contre le terrorisme
et tout d'un coup, on va en Irak, ce qui était un autre mensonge.
Maintenant, ils vont s'occuper de l'Iran.
C'est une chose qui mène à une autre, qui mène à une autre...
Je lui disais : "Pourquoi faites-vous ça ? Quel en est l'intérêt ?
Vous avez tout l'argent dont vous pouvez rêver,
vous détenez tout le pouvoir. Vous faites du mal aux gens. Ce n'est pas bien."
Il me répondait : "Qu'est-ce que tu en as à faire, des gens ?
Prends soin de toi et de ta famille."
Puis j'ai demandé : "Alors quels sont les buts ultimes ?"
Il a dit : "Le but ultime est d'arriver à implanter une puce RFID
dans toutes les personnes de ce monde
et de faire en sorte que tout se trouve sur ces puces.
Si quelqu'un veut s'opposer à nos actions ou à notre volonté,
il nous suffit d'éteindre sa puce."
(P. Joseph) Jusqu'où cette maladie du pouvoir ira-t-elle ?
À quoi les gouvernants auront-ils recours
afin de maintenir et de préserver leurs positions ?
Nous avons ici une famille de Floride, vraiment pionnière dans un monde nouveau.
Ils se sont portés volontaires pour être les premiers
à avoir un dispositif d'identification à micropuce implantée dans leur corps.
Après le 11 septembre, j'étais vraiment soucieuse de la sécurité de ma famille.
Cela ne me dérangerait pas d'avoir quelque chose soit implanté en permanence dans mon bras,
permettant mon identification.
(P. Joseph) George Orwell, dans son célèbre et probablement prophétique '1984' écrivit :
"Le pouvoir n'est pas un moyen, c'est une fin.
Le but de la persécution est la persécution.
Le but de la torture est la torture. Le but du pouvoir est le pouvoir."
Aujoud'hui, les symptômes d'une société sous surveillance s'amplifient
sous forme de peurs irrationnelles d'ennemis invisibles
accompagnées d'une instabilité croissance à l'échelle mondiale.
C'est sous le prétexte de sécurité que se dessine un monde
dans lequel tous sont traqués et suivis par des caméras,
et tout le monde est subordonné.
L'aspect le plus incroyable de tous est le suivant :
ces éléments totalitaires ne seront pas imposés de force au peuple,
mais le peuple les réclamera,
car la manipulation de la société par la genèse de la peur
et de la division a complètement inhibé la culture.
La religion, le patriotisme, la race, la richesse,
la classe et toutes les autres formes arbitraires d'identification séparatiste
et de vanité ont servi à créer un peuple contrôlé,
complètement malléable entre les mains d'une minorité.
La devise est : 'diviser pour mieux régner'.
Tant que les gens continueront à se voir comme séparés
de tout le reste, elles se prêteront à un asservissement total.
Toutefois, si la population prenait conscience de la réalité de leur relation avec la nature
et la réalité de leur pouvoir individuel de changement,
le zeitgeist fabriqué dont on se nourrit
s'écroulerait comme un château de cartes.
(R. Albert) Le système dans lequel nous vivons
nous bourre le crâne avec l'idée que nous sommes impuissants et faibles
que la société est diabolique et rongée par le crime, etc.
Ce n'est qu'un gros tas mensonges !
Nous sommes puissants, beaux, extraordinaires.
Il n'y a pas de raison de ne pas comprendre qui nous sommes vraiment,
où nous allons. Il n'y a pas de raison pour que l'individu moyen
ne puisse pas prendre pleinement possession de ses moyens.
- Je pense avoir passé 30 ans de ma vie,
les 30 premières années, à essayer de devenir quelqu'un. Je voulais devenir fort,
je voulais devenir fort au tennis, bon à l'école et avoir de bonnes notes.
Je voyais tout selon cette perspective :
Je n'accepte pas qui je suis, mais si je devenais fort...
J'ai réalisé que j'étais dans le mauvais jeu.
Le but du jeu était de trouver ce que j'étais déjà.
(R. Albert) Nous avons été entraînés culturellement
à mettre de l'avant les différences individuelles.
On regarde une personne, et notre impression immédiate est :
plus intelligente, plus bête, plus vieille, plus jeune, plus riche, plus pauvre
et nous faisons toutes ces distinctions dimensionnelles.
Nous plaçons et traitons les gens selon des catégories.
Nous en arrivons à voir les autres comme séparés de nous
par les différences que nous y voyons.
L'une des expériences spectaculaires de notre existence
est d'être avec une autre personne et de voir soudainement
à quel point nous sommes similaires, pas différents.
Il s'agit de faire l'expérience de ce qui constitue votre essence
et mon essence, et de réaliser qu'elles ne font qu'une.
La compréhension qu'il n'y a pas d'autre. Tout est un.
Je ne suis pas né Richard Albert, simplement en tant qu'être humain
et j'ai par la suite appris toute cette affaire de qui je suis,
si je suis bon ou mauvais, accompli ou non...
Tout cela est appris en cours de route.
"Lorsque le pouvoir de l'amour surpassera l'amour du pouvoir,
le monde connaîtra la paix." - Sri Chinmoy Ghose
(C. Sagan) Les anciens appels au chauvinisme racial, sexuel, et religieux,
jusqu'à la ferveur nationaliste enragée, commencent à ne plus fonctionner.
Il se développe une nouvelle conscience qui voit la Terre
comme un organisme unique, et qui reconnaît
qu'un organisme en guerre contre lui-même est condamné.
Bill Hicks avait l'habitude de conclure ses spectacles avec ceci :
"La vie est comme un manège dans un parc d'attractions,
et quand on y monte on pense que c'est réel,
c'est dire si nos esprits sont puissants.
Le manège monte, descend et tourne en rond,
c'est excitant, puis effrayant et c'est haut en couleur.
C'est bruyant et c'est amusant pendant un moment.
Certains sont sur le manège depuis longtemps et commencent à se demander :
"Est-ce réel, ou simplement un tour de manège ?"
D'autres personnes s'en souviennent ; elles viennent vers nous
et nous disent : "Ne vous en faites pas, n'ayez pas peur,
car ce n'est qu'un tour de manège."
Et nous tuons ces personnes.
Faites-le taire, j'ai beaucoup investi dans ce manège, faites le taire !
Regardez mes grimaces d'inquiétude...
Regardez mon gros compte en banque et ma famille. Ceci ne peut qu'être réel.
Ce n'est qu'un tour de manège. Mais nous tuerons ceux qui nous le disent.
Avez-vous déjà remarqué cela ? Et nous laissons les démons se déchaîner...
Mais cela n'a pas d'importance, car ce n'est qu'un tour de manège.
Nous pouvons le changer à volonté.
Ce n'est qu'un choix. Sans effort, travail, emploi ou économies d'argent.
Juste un choix, tout de suite.
Entre la peur, et l'amour.
La révolution, c'est maintenant.
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