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- Précédemment dans The Unit.
- J'ai quelque chose pour vous.
"Toujours là. Wilson."
- Je ne peux pas accepter.
- Mettez-le.
- Je suis mariée.
- Vraiment ? Parce que je ne vois pas de mari.
Je tombe amoureux de vous.
Eh bien, arrêtez.
Salut. Je suis Christine Ross.
Je travaille avec votre femme.
C'était son dernier jour au bureau,
et elle a laissé des affaires.
- Je ne vous blesserais jamais.
- Beaucoup d'autres gens ont été blessés.
- Je ne peux pas faire ça.
- Je cours ma chance.
Pourquoi ne pas nous donner
le reste de cet argent ?
Je vais avoir besoin de ça.
Merci... et bonne nuit.
6 h QUITTE LA MAISON
6 h 30 DÉJEUNER AU RESTAURANT
7 h 15 ARRIVE AU TRAVAIL
21 h 15 CHIEN PROMENÉ
Gerhardt.
Bien compris.
Chambre pressurisée
à 30 000 pieds et en hausse.
D'accord, donnez les cartes.
Trois de carreau.
Reine de pique.
À 30 000 pieds, un simple mortel
dure 20 secondes sans oxygène.
Un opérateur de l'Unité, un homme
parmi les hommes, devrait durer 30.
Coeur et tension stables.
Lebrun est une vedette.
As de trèfle.
- Deux de coeur.
- Reine de pique.
Deux de coeur.
Dadez ?
- Je me sens un peu bizarre.
- C'est normal.
Vous allez sauter de 40 000 pieds.
C'est 12 km d'altitude.
Lebrun, votre vision ?
Claire, je pense. Je tire toujours
la même carte... La reine de pique.
Je suis le roi de trèfle.
ALTIMÈTRE
Maintenant !
Très bien, vous avez atteint le seuil.
Hypoxie. Remettez vos masques.
Quel est le record ?
Je peux en tirer une autre, Monsieur.
Dadez, remettez votre masque
et passez à 100 % O2.
Il étouffe.
Sergent !
- Arrêt d'urgence.
- Arrêt d'urgence.
Ouvrez ces portes !
25 000 pieds et en descente.
Quinze secondes.
- Je le perds ! Je n'ai pas de pouls !
- Réanimation tout de suite !
- Sas d'urgence, stabilisez la pression !
- On va aussi vite que possible.
Si on ouvre avant la stabilisation,
leurs poumons éclateront. Dix secondes !
Rien du tout !
Cinq, trois.
Ouvrez ces portes !
Il est mort.
J'ai parlé à la mère de Dadez.
Écoutez, c'était un coup dur
pour nous tous.
Jonas, vous supervisiez son test.
C'était une défaillance technique
ou de santé ?
Ni l'un ni l'autre, colonel.
Car si ce nouveau masque R J-30 est
défectueux, il n'y a pas de mission.
J'avais le même masque.
On recevait l'oxygène.
Vous êtes sûr ? Cette mission demande
qu'on saute de plus haut que jamais.
Dadez a rompu le protocole, colonel.
Il me faut en être sûr.
Avons-nous un problème de matériel qui
va nous faire tuer sur le sol ennemi ?
Ce n'est pas
notre seul problème, colonel.
Il nous manque un homme pour une mission
qui commence dans 20 heures.
Lâchez-moi tout seul.
Je peindrai la cible.
Si ces gars se cachent, ça va prendre
des années avant d'avoir une autre chance.
Cette mission demande deux hommes.
Pas de solo en territoire hostile.
Eh bien, alors, c'est terminé.
- Le second est ici, colonel.
- Il vous faut tout diriger d'ici.
De plus, vous ne sautez pas de
40 000 pieds sans autorisation médicale.
- Monsieur, je peux le faire en solo.
- Personne ne questionne vos capacités.
Mais cette mission
demande deux hommes.
Vous pouvez mettre Kayla au courant,
et dire de me contacter au bureau ?
- Je couvrirai ça.
- Je peux faire ça, colonel.
Jonas, si vous avez le feu vert
du médecin, on lance la mission.
Éclats de balle de neuf millimètres,
russe, il y a 12 ans.
Doc, ne commencez pas.
Votre jambe,
cassée ici et ici. Vingt ans.
Et je peux toujours faire
la danse du canard.
Quatre blessures par balles,
rate abîmée, épaule démise...
fracture transversale, lacérations
de la poitrine, abdomen, et dos.
Doc, signez ce formulaire.
Vous savez, avec ces blessures,
vous pourriez prendre votre retraite...
avec pleine incapacité et avantages.
Tant qu'un de ces avantages n'est pas
de sauter d'un avion à 40 000 pieds...
je suppose que
ça ne m'intéresse pas.
Jonas, ça va plus loin que
les chatouilles et les claques habituelles.
Je dois signaler au colonel
ce que je vois.
Voilà ce qui m'inquiète. Trois éclats
près de la colonne vertébrale.
En sautant de si haut,
vous prenez un risque.
- Ces éclats ont des années.
- Je pense détecter un mouvement.
Ces fragments ont bougé, Jonas.
Il faut comprendre.
S'ils vous percent la dura à L4...
Et ça peut arriver
lors d'un saut, d'une chute...
Vous serez paralysé.
BEVERLY HILLS, CALIFORNIE
On dit qu'il y a un jeu de quilles,
des sièges de toilettes en or.
Un vrai Club Med.
Peut-être qu'on peut traîner après
avoir terminé, prendre des vacances.
Pourquoi ne pas se concentrer
sur le présent ?
- On vient prendre la relève.
- Laissez passer.
Un jour de plus à la mine de sel.
Comment on supporte ce travail ?
Ces menaces de mort reçues par
les Affaires Étrangères sont réelles ?
Je pense ces menaces de mort réelles.
C'est pourquoi je suis toujours là.
Vous avez des ennemis, votre sécurité
est importante pour mes patrons.
Vous avez été envoyé pour assurer
que je signe ces contrats miniers ?
J'ai été envoyé pour assurer votre
sécurité et celle de votre famille.
- Pour les 36 prochaines heures ?
- Oui.
Vous ne serez plus concerné par ma
sécurité une fois les contrats signés.
- C'est correct.
- On a tous un agenda, agent Lenoir.
Si on ne prétendait pas le contraire,
le monde serait moins cruel.
Je vous conduirai demain à Dynatech
pour votre réunion.
Qu'est-ce que c'est ?
C'est à vous ?
Requin-marteau !
Requin-marteau, Betty bleue,
la grille d'entrée !
Arrêtez ce camion !
Sortez du camion !
Sortez du camion !
Qui a autorisé cette livraison ?
- Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ?
- Pas de nom. Juste cette adresse.
Qui a ouvert la grille ? On a dit
que personne n'entrait sans mon accord !
Je l'ai autorisé.
Cette voiture m'appartient.
Voilà votre paiement.
Attendez. Personne n'approche de cette
voiture avant qu'elle soit examinée.
- Qui êtes-vous ?
- Ils sont ici pour nous protéger.
Quand as-tu acheté ça ?
Hier.
Maman, ce n'est pas magnifique ?
Maman, Maman ! Je veux
faire une tour dans la voiture !
Ce n'est pas encore sûr.
Je déciderai quand
et si tu auras cette voiture.
Maintenant, va étudier dedans.
Veuillez excuser mon fils.
Il est plein d'enthousiasme.
Allons-y.
- J'ai dit que je hais faire la gardienne ?
- Comment c'est arrivé ? Cette brèche ?
Tu étais censé assurer
le périmètre de devant.
- Les gardes ont eu des ordres clairs...
- Qu'ils ont ignoré.
- Ton erreur a été de leur faire confiance.
- On faisait une reconnaissance du terrain.
Et une bombe de deux tonnes
aurait pu entrer sur ce camion.
Si tu ne contrôles pas tes subordonnés,
je te poste à l'entrée.
C'est ce que tu veux ?
Être renvoyé à la garderie ?
- Non, Mack. Je m'en occupe.
- Tu t'en occupes ? C'est quoi ?
Je l'ai fait avec ma hachette ?
- On a droit à une bavure par an.
- Non. Il a raison.
TRAMMELL
REMORQUAGE D'ÉLITE
Voyez l'heureuse femme d'intérieur.
Les merveilles ne cesseront jamais ?
Juste quelques petites choses.
- Comment s'est passé ton examen ?
- Comme tous les examens.
Qu'a signalé
ce bon docteur de l'armée ?
Que mes poumons sont bons,
je peux garder mes amygdales.
Et ton dos ?
Ne t'inquiète pas de mon dos.
Viens ici, chérie.
Ce sont des mains
spécialement entraînées.
Quelle altitude, et quand ?
Aussi haut que tu veux,
et maintenant.
De quelle altitude
tu vas sauter, et quand ?
Tu fais toujours ta lessive
avant de sauter.
Et ce sont les seules fois où
tu me masses le dos. Quelle altitude ?
C'est confidentiel.
Ça doit être au moins 30 000 pieds
si tu emportes tes caleçons.
Tu as été assigné,
ou tu t'es porté volontaire ?
Le jeune parachutiste
qui est mort aujourd'hui...
Dadez...
Il est mort
en se préparant à un saut.
Qui t'a dit ça ?
Une embolie par manque d'oxygène,
et son coeur s'est arrêté.
- Ça ne m'arrivera pas.
- Et ton dos ?
Le Dr Farris me laissera sauter,
et c'est ça l'armée, n'est-ce pas ?
- Ils mentiront pour te garder.
- Personne n'a menti.
Tu as des shrapnels si près du rachis
qu'ils ne peuvent pas t'opérer.
C'est mon devoir.
C'est pourquoi je suis là.
Mais seras-tu là
pour ton petit-fils, un jour ?
Et quel est exactement l'horaire
pour ta sortie inévitable ?
- Je ne peux pas y penser maintenant.
- Et pour ta retraite en bonne santé ?
La mission d'abord.
Ensuite l'horaire.
- Tout va bien ?
- Oui. Je ne voulais pas vous inquiéter.
Eh bien, non.
Votre message était mystérieux.
Le bracelet.
Vous avez changé d'idée.
J'ai changé d'idée au sujet de...
D'accepter mon bracelet.
Non. Je n'ai pas changé d'idée.
Pourquoi vous pensez ça ?
Vous n'avez pas pris le bracelet ?
Quand je suis arrivé ce matin,
il avait disparu.
Quand j'aurais...
Quand j'aurais pu faire ça ?
Je ne peux pas accepter votre cadeau.
C'est pourquoi je l'ai rendu.
Si ce n'était pas vous...
Quand vous l'avez mis dans le tiroir,
on n'était pas seuls.
- De quoi vous parlez ?
- Allons.
Je m'en occupe.
Christine, écoute.
- Tu as été une bonne employée, mais...
- Wilson, je ne l'ai pas volé.
- Elle ment.
- Tu as pris le bracelet ?
Je ne l'ai pas volé.
J'ai été heureuse de rendre service.
- Comment ça exactement ?
- Vous aviez laissé des affaires.
J'ai tout mis dans une boite
que je l'ai déposée chez vous.
Vous étiez chez moi ?
Votre mari a dit que
vous étiez à un souper de la firme.
- Il a vu le bracelet de Wilson ?
- Je ne sais pas.
Christine ?
Tu voulais qu'elle l'ait,
n'est-ce pas ?
Il n'y a rien entre Tiffy et moi.
- C'est la vérité.
- Bien sûr. Pourquoi vous mentiriez ?
Espèce de salope.
Prends toutes tes affaires
et quitte ce bureau à l'instant.
- Parce que ?
- Immédiatement.
Attends une seconde.
Tu me vires et tu la gardes ?
Après tout ce que j'ai fait ?
Tu n'as pas idée
de ce que tu as fait.
Betty bleue, la panne est réparée ?
Pas une panne.
Un fil a été coupé.
Quelqu'un voulait de l'intimité.
Tu peux connecter le système ?
Je peux ajouter l'image dans l'image,
l'ambiophonie...
et un ravissant cabinet en noyer.
Un simple "bien reçu" suffirait.
Tiens, tiens.
Une aventure avec un garde du corps
est un motif pour tuer son mari ?
Comme les hommes sont vertueux.
Mais les menaces venaient clairement
d'extrémistes thaïlandais.
- Ou il semblerait.
- Continue.
Une intrigante ferait en sorte que
ça semble venir des ennemis de son mari.
Et que gagne-t-elle à tuer le prince,
à part une perte de statut ?
Sa vie, s'il apprenait son aventure.
Je ne sais pas.
Ça n'a pas de sens.
Pour le tuer, il lui suffit d'un
après-midi tranquille et d'un hachoir.
Bien vu. Veillez à ce que la princesse
ne soit jamais seule avec son mari.
Comment ?
En gardant les deux à l'oeil.
Intervenez si nécessaire.
Ça fait partie du travail...
Rester frais et dispos.
Jusqu'à la signature du contrat,
les yeux sur le prix.
Qui diable sont ces abrutis ?
Mohammad Shankur, masseur,
vous êtes congédié.
Sura Mali, astrologue.
Tak Aroon, chef. Filez tous les deux.
Sukho Niran,
le garde du corps de la princesse.
Vous êtes congédié.
Osnot Baidu, manucure, congédiée.
Qu'est-ce qui se passe ?
Votre Altesse, on doit évacuer
tout le personnel non essentiel.
Allez chercher mon mari.
Vous ne comprenez pas.
Ce sont tous nos amis.
Oui, Madame.
Où est mon garde du corps ?
Il a été relevé de ses fonctions.
Ils renvoient notre personnel.
On doit réduire le nombre
de personnes dans l'enceinte.
Ça vous pose un problème, Monsieur ?
Ces hommes font leur travail.
On ne peut pas le risquer, Jonas.
Pas d'après ce rapport médical.
Un morceau de papier
ne remplit pas la mission, colonel.
La moitié de vos opérateurs
échouent à cet examen.
Laissons faire les Forces de l'air.
Il n'y a que trois gars sachant
les détails de cette opération...
- et l'un d'eux est mort.
- Non. Vous ne sautez pas.
Colonel, si vous ne m'envoyez pas
en mission, je m'en vais...
et tout le tralala.
Si on transfère ça
aux Forces de l'air...
et qu'ils lâchent leur
adorable bombe de cinq tonnes...
et qu'ils manquent parce qu'on n'a
personne sur le terrain.
Ou pire, qu'ils manquent...
et vous savez quelles seront
les manchettes de demain ?
C'est ça. Une centaine
de femmes et d'enfants morts.
Et ça nous retombe dessus.
La mission va se produire,
et j'y vais...
sinon mettez une annonce dans
le journal pour un chef d'équipe.
Et ils ne poussent pas
dans les arbres.
- Si vous avez un problème à 100 km/h ?
- Je n'en aurai pas.
- Et si ça arrive ?
- Empêchez ma femme d'épouser un avocat.
Je te le dis en ami, Jonas.
J'ai assez d'amis.
Quelles sont les seules choses
qui tombent du ciel, Jonas ?
La manne céleste
et les Rangers aéroportés.
Donne-moi cette mission, Tom.
Ces meurtres sont les derniers
d'une série de...
Un jour Aran, vous et votre famille
devrez répondre de moi.
Vous le savez !
Regardez-moi !
Je vous empoisonnerai la vie,
à vous et à votre famille...
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Vous devriez prendre ça.
Le prince demande explicitement que
son fils ne conduise pas cette voiture.
Auparavant lundi,
au moins 12 personnes sont mortes...
Aran prend parfois mon père
trop au pied de la lettre.
Il ne veut pas
que je roule trop vite.
Mais si vous me conduisez,
problème résolu, pas vrai ?
- Je n'ai pas mon permis.
- Attendez.
J'ai un rendez-vous, ce soir.
Vous comprenez, n'est-ce pas ?
C'est un mannequin.
Elle vous plairait vraiment.
Elle a une amie splendide.
- Je n'en doute pas.
- Alors, vous allez venir ?
Garde ta salive, fiston.
Écoutez, je dois sortir ce soir.
Qu'est-ce qu'il faut
pour que ça arrive ?
Je sais que dans l'armée, les hommes
comme vous ne sont pas bien payés.
Je vous donne 40 000 $
pour les clés de cette voiture.
Et je vais vous dire.
À la fin, vous pourrez garder la Lamborghini.
J'en achèterai une autre en rentrant.
Tout le monde ici !
Allons-y !
Allons-y ! Allons-y !
Avancez ! Avancez !
Vous ! Personne n'entre ni ne sort.
Vous comprenez ?
Tirez les rideaux, fermez les volets.
Vérifiez toutes les pièces.
Vous et vous, venez avec moi.
Vous et vous, prenez l'étage supérieur.
Un franc-tireur
à l'extérieur du périmètre.
Le prince regarde les nouvelles ici
tous les jours à la même heure.
Le tireur le savait et
il a pris le jeune pour le père.
Un travail interne ?
- Possible...
- Sa femme ou le garde du corps.
Une femme trompant son mari voudrait
lui mettre une balle dans la tête.
Qui que ce soit, quelqu'un connaissait
l'emploi du temps du prince.
Il faut changer
la réunion d'affaires.
Messieurs, on est en confinement
jusqu'à la fin de ce travail.
D'après les interceptions de l'ASN,
voilà la maison où ils se rencontrent.
C'est au bout de la rue.
Le gars à gauche, c'est l'hôte.
Et deux responsables supérieurs
du réseau terroriste viennent à la fête.
- L'école est en face dans la rue.
- Ils ont choisi cet endroit pour ça.
- Il faut peindre la cible d'ici.
- Non. Non, j'ai l'endroit.
- C'est sûr ?
- Oui. Il faut s'approcher.
- Notre guetteur doit être par là.
- On va recevoir le souffle.
C'est la seule façon d'assurer
qu'on ne touche pas l'école.
- Et notre transport ?
- C'est un CASA 212.
Tout est couvert.
On a tout vérifié.
Eh bien, la redondance a sa beauté.
Tu peux le dire.
On a tout vérifié trois fois.
Kayla, deux bourdons dans le ciel.
Orbite standard.
50 000 pieds.
Et qui les contrôle ?
Si c'est nuageux, ils ont l'infrarouge ?
Ils ont l'IR. C'est la première chose
que j'ai vérifiée.
Je coordonne les bourdons
avec les FA depuis deux mois.
La dernière fois, les Forces de l'air avaient
30 min de retard et ont frappé à 50 km.
Et ils n'avaient aucune excuse.
Tu tapotes les oreillers.
J'ai déjà fait le lit. Tout ça est couvert.
Whoa.
Salut.
- Une occasion spéciale ?
- Ouais. Toi.
Tu semblais stressé, et j'ai pensé,
qu'est-ce qui soulage le stress ?
À moins que tu veuilles
le faire debout...
Juste une seconde.
Eh, c'est mon crayon à sourcils.
Vecteurs et vitesse du vent.
Tu vas faire de la voile ?
Non. C'est un truc du bureau.
Ce truc du bureau t'inquiète,
te distrait ou te contrarie ?
Car tu ne m'as pas parlé
depuis des jours. Tu sais ça ?
Tu ne m'as pas touchée.
J'étais préoccupé.
Oui. C'est ce que je dis.
Tu veux en parler ?
Fais-le quand même.
C'était une vraie chance pour moi.
Et Jonas me piétine.
Je veux dire, il change des choses
que j'ai arrangées depuis des mois.
Il pense peut-être aider.
- Oui, oui.
- Peut-être qu'il aide.
Écoute, il faut que
le colonel ait confiance en moi.
Jonas était chargé des tests,
et c'était tout.
S'il va trop loin, dis-lui.
Sois direct.
Fais-le respectueusement,
mais fais-le vigoureusement.
Ce n'est pas une bonne réponse ?
Si, c'est bien.
Tu n'es pas content d'avoir demandé ?
Il faut quitter la ville
avant que Mack revienne.
Tiffy, calmez-vous.
Je lui parlerai, j'expliquerai.
Que vous m'avez offert un bracelet
avec une inscription romantique...
mais qu'il n'y a rien entre nous ?
D'accord. Mais on peut
résoudre ce problème.
Comment ?
Par arbitrage ?
Vous savez comment les amis
de mon mari appellent ça ? Un 45.
C'est peut-être votre chance
de tout recommencer.
Il n'y a rien à recommencer.
J'ai épousé mon mari et l'armée.
Une fois dedans, on n'en sort jamais.
Ça n'a pas à être comme ça.
- Non. Vous ne comprenez pas.
- Eh bien, expliquez-moi.
Vous ne pouvez pas rester ici
où Mack peut vous trouver.
Eh bien, je ne fuis pas.
J'obtiendrai une injonction.
Il devra rester
à cent mètres de moi.
Cent mètres ?
Wilson, à l'entraînement de base,
l'armée apprend aux soldats...
à toucher une cible de la taille
d'un homme à mille mètres.
Il ne sera pas
le premier le soldat à divorcer.
Et sans vous offenser,
votre mari est un bureaucrate.
Mon mari n'est pas un bureaucrate.
Il n'est pas un bureaucrate ?
Qu'est-ce qu'il fait ?
Qu'est-ce qu'il fait ?
Quand on lit ces nouvelles...
qu'un tel a été assassiné à des milliers
de kilomètres derrière les lignes ennemies...
qui le fait, vous croyez ?
Si mon mari pense
qu'on a une aventure...
la seule question est...
lequel de nous va-t-il tuer d'abord ?
On a une menace d'origine indéterminée.
Les règles viennent de changer.
Personne ne quitte cette pièce
sans autorisation.
Vous ne pouvez pas
nous tenir prisonniers.
Juste après cette réunion,
vous rentrerez par avion.
L'eau et la nourriture
auraient pu être trafiquées.
Vous boirez de l'eau en bouteille
et vous mangerez des rations de l'armée.
C'est dégoûtant.
Je ne vais pas manger ça.
Comme vous voudrez. Avec de l'eau,
on peut vivre six semaines sans manger.
- On doit prendre tous les portables.
- Non. C'est trop.
Ça suffit. On fera ce que disent
l'agent Lenoir et ses hommes.
C'est tout.
Voyons si on peut
faire devancer l'horaire.
Excusez-moi, Monsieur.
Je dois vous parler en privé.
C'est important.
Ces balles n'étaient pas
destinées à mon mari.
Elles étaient destinées à Kama.
Mon mari veut tuer mon fils.
Les menaces de mort
étaient une ruse.
Votre mari a fait ces menaces ?
Kama est son héritier.
Mais il a un autre fils,
de sa maîtresse.
Mon garde du corps Niran étant renvoyé,
je n'ai pas de protection.
Il faut nous laisser partir.
Je ne peux pas, Madame.
Vous ne me croyez pas.
Il ne veut pas que Kama lui succède.
Mon mari a engagé l'homme
qui a tiré sur mon fils.
Alors, je suggère
que vous restiez ici...
et que vous nous laissiez
assurer la sécurité de votre famille.
On va devoir positionner
les bourdons sur ce vecteur.
- Bien sûr. J'ai les coordonnés.
- Tu peux attendre une seconde ? Jonas.
Jonas, j'étais le membre supérieur
d'une équipe de deux hommes.
Et tu remplaces
le membre subalterne.
- Ça marche comme ça ?
- Tu as ta place dans l'avion...
mais c'est ma mission,
et j'aimerais la diriger.
Si tu connais un meilleur moyen
de le faire, je suis tout ouïe.
Je te verrai dans le ciel.
La réunion avec Dynatech
se déroulera ici cinq heures plus tôt.
Les dispositions
ont déjà été prises.
Sans me consulter ?
Monsieur, j'ai des raisons de croire que
vos ennemis ont un homme à l'intérieur.
Il faut agir rapidement
dans le plus grand secret.
- Qui connaît ce nouveau plan ?
- À part mes hommes, vous seulement.
Pour votre sécurité, je suggérerais
de n'en parler à personne.
Pas même à votre femme.
Pourquoi vous la mentionnez ?
Je présume que c'est
votre confidente la plus proche.
Vous avez une idée
de qui est la taupe ?
Toute idée serait
une spéculation sans fondement.
Vous comprenez que
quelqu'un de mon entourage...
a commit une trahison,
ce qui est passible de mort ?
J'en suis bien conscient.
On est à 40 000 pieds.
Dix secondes d'ici la chute libre.
Puis on ouvre. Vous comptez.
- On a été repérés par un radar.
- Par qui ?
Je ne sais pas.
Mais on ne reste pas pour le savoir.
- On est à 10 minutes. Vitesse du vent ?
- On peut y arriver.
Je n'ai rien.
Le principal est défectueux.
Ouvre ton parachute de secours. !
Ouvre ton parachute de secours. !
Celui de secours est défectueux.
Il est coincé.
Jonas !
J'arrive.
Il est coincé.
- Que diable est-il arrivé ?
- Tes broches étaient gelées.
On dérive.
Il faut revenir dans le cône du vent.
- On a perdu beaucoup d'altitude.
- Approche directe.
- Suis-moi.
- Ça va être serré.
- Eh, ça va bien ?
- C'est juste une égratignure.
Fais voir ta main.
D'accord, voilà.
Allons voir un homme
au sujet d'un terroriste.
Betty bleue,
nos invités sont arrivés.
Quand ils seront là, je veux que
le contrat soit organisé dans la pièce.
Du calme ! Du calme !
Allez ! Ils étaient invités !
Fouillez le véhicule.
Mangeur de Boue, notre statut ?
Pour l'instant, tout va bien.
Laissez-les entrer.
ARRÊT
Que diable ?
La princesse bouge.
- Arrêtez !
- Qu'est-ce que vous faites ?
- On part d'ici ! Ouvrez le portail !
- Qu'est-ce qu'il a ?
Il est malade ! Vous ne voyez pas ?
Il faut qu'il aille à l'hôpital.
Kama ! Kama !
Je vous en prie. On demande asile.
Je vous en supplie.
On demande asile.
- Monsieur, votre fils est malade.
- Il n'est pas malade. C'est un drogué.
Envoyez-les à l'aéroport.
Mon docteur les attendra.
S'il te plaît, non.
Je t'en prie.
Non, non ! Pas cette voiture !
Cette voiture ! C'est sa voiture !
Qu'il vomisse dans sa voiture.
Messieurs, mes excuses.
Je m'excuse.
Mon fils est un peu malade. Rentrons.
Mangeur de Boue, regarde ça.
Un téléphone de voiture, une radio.
- Mais trois antennes.
- Qu'est-ce qu'on manque ?
Mack pense que tu as une aventure ?
Oui.
- Et c'est le cas ?
- Non. Je le jure. J'ai dit plus jamais.
Quoi ?
- Je ne dis rien.
- Si tu mets de la boue chez moi...
Non. Je n'ai rien fait de mal.
Je ne l'ai même pas embrassé.
Je le jure.
Et tu penses que Mack
va faire du mal à ce gars, ou pire ?
Ou à toi.
À moins que Jonas ou Bob
me disent où il est...
- pour que je puisse lui expliquer.
- Comme j'ai dit, Jonas est...
Molly, la vie d'un homme est en jeu.
Alors, il te faut un meilleur plan.
C'est de ta vie et de celle de
tes enfants dont tu dois t'inquiéter.
- Ils sont en sûreté au camp.
- Tu n'es pas en sûreté.
- Mack va rentrer sous pression.
- Et complètement fou.
Tu peux rester dans la chambre de Betsy
jusqu'à ce que Mack revienne.
Tu lui parleras en face,
avec Jonas et moi à tes côtés.
Et Bob et moi,
si tu as besoin de nous.
Il sera trop ***.
Je veux dire, je ne sais pas
si Wilson va quitter la ville.
Je dois arrêter Mack
avant qu'il revienne.
Il n'y a qu'un homme sur cette base
qui sait quand ce sera...
et je ne sais pas
où tu en es avec lui.
Je dois m'occuper de six missions
et de funérailles.
Tu as la parole.
Quelle est ton urgence ?
Je dois retrouver Mack.
- Les enfants vont bien ?
- Ça va bien.
C'est un problème d'argent ?
- Non. Ce n'est pas ça. Je dois...
- J'écoute.
S'il te plaît, dis-moi où il est.
- C'est confidentiel.
- Alors, quand revient-il ?
Je ne peux pas t'aider
si je ne connais pas ton problème.
Tom, on a des ennuis.
Mack croit que j'ai une aventure.
Il a trouvé quelque chose.
Quelque chose de qui ?
Pas de toi,
si c'est ce qui t'inquiète.
Alors, pourquoi ça me concerne ?
Parce que c'est ton soldat,
et c'est un tireur...
et si on ne l'arrête pas,
quelqu'un va être tué.
Quelqu'un ?
Qui est l'homme en danger ?
Tom, je ne t'ai jamais menti.
J'ai menti pour toi.
J'ai menti pour ta femme.
Mais je ne t'ai jamais menti,
et je n'ai pas d'aventure.
Je ne t'ai pas demandé.
Tout ça est une erreur.
Que veux-tu que je fasse ?
Éloigne-le quand il reviendra.
Retiens-le.
Tu l'as déjà fait quand c'était
pour nous. Tu savais quoi faire.
C'est trop.
Si tu veux que je passe
par les canaux officiels, je le ferai.
Alors, on a fini.
Et tant que j'y serai,
autant que je révèle tous les faits.
Alors, il saura tout...
Toute l'histoire sur toi et moi.
C'est ce que tu veux, Tom ?
C'est ce que veut ta femme ?
Tu essaies de me faire chanter ?
Du mieux que je peux.
Cible Alpha identifiée.
Cible peinte.
Et voilà nos invités.
Trois cibles confirmées.
Tous à l'intérieur.
Les coquerelles sont dans le motel.
Tiens-toi prêt.
Rouge.
Jaune.
Vert.
Missile lâché.
En route.
Trente secondes avant l'impact.
Il y a un enfant !
Bon. File d'ici.
Eh bien Messieurs,
voilà qui est fait.
Messieurs, une photo.
D'accord.
Agent Lenoir, je veux
vous remercier avec vos hommes...
de votre dévotion
et de votre professionnalisme.
Je vous en prie.
- Ma femme et mon fils sont à l'aéroport ?
- Non, Monsieur.
- Mais j'ai spécifiquement demandé...
- Je les ai envoyés à l'hôpital.
Votre fils allait mal.
L'aéroport était trop loin.
Je vois.
Et on a eu la chance de trouver ça
sous la voiture de votre femme.
- Ce serait une bombe.
- Mon Dieu, vous avez sauvé ma fami...
Épargnez-nous votre cinéma.
Je ne pouvais pas vous laisser
faire ça en territoire américain.
La princesse et son fils n'obtiendront pas
l'asile aux États-Unis, vous savez.
Les disputes de famille
ne sont pas valables.
Je suppose qu'ils seront renvoyés
en Thaïlande avant la fin de la semaine.
Je suppose que ça sera à quelqu'un
d'autre de s'en soucier.
Santa Fe ?
Oui. J'ai toujours voulu
conduire jusque là-bas.
C'est un beau pays.
J'ai besoin d'une navigatrice,
vous savez.
Vous n'arrêtez pas.
Si je dois y aller,
j'aimerais vous emmener.
Il vous faut partir.
Je fuis une bataille.
Vous ne l'auriez pas gagnée.
D'après ce que vous avez dit.
Pour ce que j'ai dit,
personne ne doit le savoir.
Leur vie dépend de leur couverture.
Si je vous tiens à coeur,
vous ne direz pas un mot.
Vous allez me manquer.
Le prince devrait atterrir chez lui.
Pour autant qu'on sache, s'ils renvoient
sa famille, quelqu'un finira mort.
Je dis que la femme empoisonnera
son mari dans son sommeil dans cinq ans.
Je sais comment elle pourrait me tuer
dans mon sommeil. Je mourrais heureux.
Et les contrats signés ?
Prévenez quand on va garder la famille
la plus dysfonctionnelle au monde.
C'est noté.
Beau travail, Messieurs.
Mack ! Attendez !
Présentez-vous pour un brieffing.
- Colonel ?
- Je dois vous renvoyer en mission.
Beyrouth. Travail préparatoire pour
une mission qui vient de se présenter.
J'aimerais d'abord
m'occuper d'une chose ou deux.
Ça devra attendre.
Départ à 7 h, sergent.
Et ma femme, Monsieur ?
Vous avez un message ?
Dites-moi, je lui transmettrai.
Pas de message.
Bonne mission.
Hé.
Dis-moi que Serena est à l'école.
- Bonjour à toi aussi, soldat.
- Oui, oui.
C'est mieux.
- Tu veux poser ton sac et tes bottes ?
- Oui, oui. Après.
Molly ? Je suis à la maison, chérie.
Maintenant, tu peux me dire
ton horaire pour te retirer de l'Unité.