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Byron Katie : Alors, qui se porterait volontaire pour lire ce que vous avez écrit? Oui, parfait.
La femme : « Je voudrais que Loren ouvre son cœur. »
Byron Katie : Est-ce vrai ?
N'avez-vous jamais eu cette pensée ? « Je voudrais que mon partenaire ouvre son cœur. »
OK, mettez-vous dans cette situation comme si c'était votre Travail, parce que, devinez quoi ? C'est le cas.
Si vous vous sentez stressé, c'est l'occasion d'y faire face.
« Vous voulez qu'il ouvre son cœur. » Est-ce vrai ?
La femme : Je ne sais pas si c'est vrai.
Byron Katie : Comment réagissez-vous quand vous avez cette pensée, et qu'il n'ouvre pas son cœur ? Qu'il n'est pas enclin à le faire ?
La femme : Eh bien, je ferme mon cœur. Je m'énerve et ressens qu'il ne fait pas bon être dans cette relation, et qu'il ne me convient pas.
Byron Katie : Donc, vous commencez à distancer émotionnellement de cette relation.
La femme : Oui.
Byron Katie : Et donc qu'est-ce que vous faites ?
Que faites-vous ? Vous posez votre tasse de café sur la table un peu trop bruyamment ?
La femme : J'affiche ce regard triste sur mon visage.
Byron Katie : Oh, c'est une bonne réponse. Nous aimons celle-là.
La femme : Il la dé***.
Byron Katie : Évidemment, sinon pourquoi le ferions-nous?
Ce que je veux dire, c'est qu'après tout, ne voulons-nous pas d'une bonne relation ?
Donnez-moi une raison sans stress de croire que n'importe qui sur cette planète devrait ouvrir son cœur.
Qui pensez-vous être ? « Vous devriez ouvrir votre cœur. » C'est tout. « Le mien est un peu fermé en ce moment, mais vous devriez ouvrir votre cœur. »
C'est comme signifier que, « Mon cœur s'ouvrira au moment ou le tien le fera, mais tu commences. »
En fait, toute la planète attend que quelqu'un d'autre le fasse en premier.
Ce qui s'est passé un jour, est que je me suis dit, « Commençons par moi.» Et arrête d'attendre que toutes ces relations le fassent : ma fille, mes fils.
Qui seriez-vous si vous étiez juste sur cette planète sans avoir la possibilité d'y croire?
« Il devrait ouvrir son cœur.» Qui seriez-vous sans cette pensée ?
La femme : Je pense que je serais plus en mesure de voir qui est en face de moi.
Byron Katie : Oui. « Loren devrait ouvrir son cœur. » Renversez cette phrase.
La femme : « Je devrais ouvrir mon cœur. »
Byron Katie : Mon ange, ne pensez-vous pas qu'il vous ouvrirait son cœur beaucoup plus rapidement s'il vous voyait comme vous êtes en ce moment, avec votre cœur ouvert ?
Ou l'autre femme ? Lorsque votre cœur est ouvert comme ça, est-ce que vous vous souciez vraiment de savoir si leur cœur est ouvert ?
C'est délicieux.
Écoutons la déclaration suivante.
La femme : « Il ne devrait pas être aussi enclin à critiquer.»
Byron Katie : Que dit-il qui blesse autant ?
La femme : Eh bien, c'est vraiment drôle, la dernière fois. Il était vraiment en colère contre moi avant que ne parte parce que je ne passais plus l'aspirateur.
Ce que je veux dire, c'est qu'il était tellement en colère qu'il ne me parlait même pas.
Byron Katie : Que disait-il ? « Tu n'enlèves pas la poussière ? » ou, « Tu ne passe pas l'aspirateur ? » Tu ne passe pas l'aspirateur.
La femme : « Et je ne peux pas respirer. »
Byron Katie : Oui. « Tu ne passes pas l'aspirateur et je ne peux pas respirer.»
OK, donc, dites-le moi.
La femme : « Tu ne passes pas l'aspirateur. Je ne peux pas respirer dans cette pièce ».
Byron Katie : « .... Je suis tellement contente que tu partages cette pensée avec moi. Mon Dieu, mon cœur, tu ne peux pas respirer, je te comprends vraiment. Je te comprends vraiment. »
« Et tu as raison : je ne passe plus l'aspirateur. N'est-ce pas étrange ? »
« Tu sais, nous devrions converser plus. »
« Je suis ouverte.»
« Que penses-tu que nous devrions faire à ce sujet ? »
« Tu ne peux pas respirer. Le sol n'est pas aspiré. Et je vais à Malibu.»
« Que pouvons-nous, quelle solution pouvons-nous y apporter, entre nous deux ? »
La femme : Cela a une connotation différente que de dire : « Eh bien, tu sais, tu pourrais passer l'aspirateur.»
Byron Katie : Effectivement, c'est différent. C'est exactement comme quand vous avez une communication harmonieuse, ils se proposent spontanément. 0:04:27.000,0:04:38.000, Cela pourrait être un homme à qui il n'est jamais venu à l'esprit qu'il est celui qui reste quand vous êtes à Malibu. Et il ne peut pas respirer.
Mais quand on réagit comme ça, vous le savez, ils ont l'habitude de nous entendre dire : « Au fait, tu devrais aussi ouvrir ton cœur après avoir passé l'aspirateur. »
« Et quand ce sera fait, j'ai une autre liste. »
Jusqu'à ce que nous soyons clairs et prêts à écouter, nous serons en guerre.
Tout ce qu'il a dit était, « Tu ne passes pas l'aspirateur et je ne peux pas respirer. » Ce qu'il a dit était tout à fait correct. Il vous a juste dit la vérité.
Comment réagissez-vous lorsque vous pensez, qu' « il ne devrait pas te juger »?
La femme : Voici comment j'ai réagi.
Je suis venu rendre visite à ma sœur en Californie avant de venir ici et je lui ai dit que jje voulais le quitter. Ce fut ma réaction.
Byron Katie : Oui. S'ils ne changent pas, je m'en vais.
Peut-être que le prochain ne me jugera pas.
La femme : Il aura un cœur ouvert et un peu d'argent.
Byron Katie : Qui seriez-vous sans cette histoire?
Vivriez avec cet homme étonnant sans votre histoire, « Il ne devrait pas me juger ? »
Vous savez comme ça serait ; voici comment ce serait pour moi, marcher dans la maison, marcher dans la maison,
en attendant d'être jugée. Par ceci. Par cela.
Par mes enfants, mon mari, mes amis, le téléphone. Par ça.
Contre quoi dois-je me défendre ? Qu'est-ce qu'on pourrait me dire qui pourrait me blesser ? J'ai besoin de savoir cela.
Sinon, je vis comme une façade dans le monde.
La femme : Je comprends vraiment cela, et je peux dire cette fois-ci que je m'en réjouis.
Byron Katie : Passionnant. Il n'y a rien de plus passionnant.
Que pourriez-vous me dire qui me mettrait en colère? C'est la perle. C'est le diamant.
Contre quoi est-ce que je me bats ? Contre quoi suis-je en guerre ?
La femme : Je suis toujours en train de chercher ce qui ne va pas chez lui. Il semble qu'il y ait tellement de choses qui ne vont pas avec lui. C'est ce que je pense, en général.
Byron Katie : Eh bien, vous savez, arrêtez de faire ça.
Et je sais que vous pouvez le faire parce que c'est ce que vous attendez de lui.
Arrêtez juste de le faire. Nous le ferions tous si nous le pouvions.
Et toute pensée que je pourrais avoir qui pourrait vous meurtrir comme si vous étiez un ennemi, Je la questionnerais pour qu'elle s'effondre et alors je vous verrai.
Je questionne toute pensée qui se poserait comme obstacle entre nous et je deviens vraiment contente quand ça marche.
Et ça marche ou ça ne marche pas. Mais d'après mon expérience, je penche pour l'amour de la vérité.
C'est la chose qui ne peut être cassée. C'est ce qui existe.