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Bienvenue à la Banque d'œuvres d'art du Conseil
des arts du Canada.
Nous sommes très heureux d'ouvrir nos portes au
public pour la Fête de la culture.
C'est en fait éblouissant.
C'est une preuve de la diversité culturelle de notre pays.
C'est extraordinaire.
On a de très beaux chefs-d'œuvre qu'on doit
exposer au public et dont on doit être fiers.
Je pense que c'est merveilleux!
C'est très émouvant.
C'est tellement beau.
L'exposition en cours s'intitule Plein feux sur 40 ans.
La collection, qui comprend maintenant 17 000
œuvres d'art, est une collection majeure qui appartient
à toutes les Canadiennes et à tous les Canadiens.
Nous avons choisi 40 œuvres de cette collection.
Moi, j'ai entendu parler de cet événement à Radio-Canada.
Il y a toujours des journées portes ouvertes,
mais il y en a en fin de semaine, ici.
Mon enseignante m'a dit que c'était un endroit
extraordinaire pour regarder des œuvres d'art inspirantes.
J'ai entendu parler de cet événement dans le journal
Ottawa Citizen, dans la section des arts.
J'ai trouvé ça intéressant : une collection
d'art qui appartient au pays.
On est très excités que la Banque d'œuvres d'art
se maintienne à jour avec les nouvelles technologies.
On offre, depuis déjà quelques années,
plusieurs options de réseautage social.
On a une page sur le site web Flickr.
On est très fiers aussi, cette année,
d'avoir fait un programme de promotion du 40e
anniversaire et de l'exposition qui s'y
rattache sur Facebook et sur Twitter et, bien sûr,
dans le blogue du Conseil des arts du Canada.
Qu'est-ce que ça fait d'avoir une œuvre dans la
collection de la Banque d'œuvres d'art?
D'abord, c'est très prestigieux pour un
artiste, et ça nous donne beaucoup de visibilité.
L'une des plus grandes forces de la Banque
d'œuvres d'art, c'est que ses œuvres ne sont pas
du tout dans le contexte d'un musée.
Elles sont là, pour être vues dans des collections
privées et publiques partout au Canada.
En tout temps, jusqu'à 40 % de la collection
est exposée un peu partout à l'extérieur.
Le Centre national des arts a des programmes
appelés Scènes.
Pour chacune des Scènes, nous collaborons avec la
Banque d'œuvres d'art.
Victoria [directrice de la Banque] m'a commandé
un mât totémique pour la Banque d'œuvres d'art,
et il a fait partie de Scène
Colombie-Britannique.
L'art est vu par toute une diversité de personnes
qui n'iraient pas à une galerie d'art autrement et
qui n'auraient peut-être pas pensé voir de l'art
canadien en venant assister à un spectacle du
Centre national, qui est tout à fait un lieu public.
Le modèle de la Banque d'œuvres d'art est intéressant.
C'est un modèle imité ailleurs dans le monde,
un modèle qui rend l'art accessible.
Son mode d'opération aborde réellement
la question : « Qui sommes-nous? »
C'est un outil vraiment essentiel pour bâtir un pays.
L'une des raisons pour lesquelles j'estime la
Banque, c'est de voir des acquisitions majeures de
jeunes artistes montants.
Je suis honorée d'être avec des artistes de la
trempe de ceux qui sont représentés dans
l'exposition et à la Banque d'œuvres d'art.
Cela me motive à poursuivre ma carrière
d'artiste professionnelle : c'est une confirmation.
Nous avons besoin de voir l'art.
Nous avons besoin d'y toucher, de le respirer,
de l'entendre, et de tout ça.
Nous en avons besoin.