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Lors de la première partie nous l’avons vu, la pratique de la médecine est multiple
et prend beaucoup de formes différentes. Du chaman
au médecin plus pragmatique, du service public aux prestations payantes et souvent inaccessibles,
les méthodes évoluent et les systèmes qui les entourent aussi. Découvrons ensemble
comment la médecine a évolué du Moyen ge à nos jours.
Dans la première partie de l’épisode j’ai conclu sur le fait que Claude Galien, un des
plus formidables médecins de son temps, a accompli un travail monumental en médecine
mais la plupart de son oeuvre disparaît lors de la chute de l’empire romain d’Occident.
Ce travail est en réalité préservé par l’empire romain d’Orient qui traduit ses
textes qui finissent pas ré-émerger en Europe à partir du 11ème siècle.
On a donc en Europe une perte brutale d’un patrimoine qui va pousser le développement
médical vers le monde arabe tandis que sur notre continent il stagne pendant une période
relativement longue. Après la chute de l’empire romain d’Occident des incidents éclatent
dans les anciennes régions de l’empire, des problèmes administratifs, politiques,
culturels, religieux, engendrent conquêtes et reconquêtes des territoires, mélanges
des populations et des langues, celtes, germaniques, etc. La plupart des textes médicaux ne sont
donc pas traduits pour être transmis à ces populations. A ce manque d’informations
s’ajoute la ré-émergence de la médecine traditionnelle des peuples présents comme
les celtes avec leur druides et c’est ce mélange qui fait que l’on retourne à une
médecine un peu bancale et mystico-religieuse. Les seuls vrais garants de l’ancienne médecine
ce sont les moines qui n’ont pas beaucoup de matériel pour travailler et qui font avec
les moyens du bord. D’ailleurs même si les abbayes sont souvent en concurrence les
unes avec les autres, les moines arrivent à se fédérer autour de cette transmission
du savoir et échangent puis copient le peu d’ouvrages qu’ils ont à leur disposition.
C’est dans ces monastère que se développent des jardins médicinaux, où les moines font
pousser des herbes et des plantes afin de préparer des potions et des remèdes pour
soigner les malades. Pour l’anecdote ces jardins permettent aussi aux frères de fabriquer
des liqueurs qu’ils qualifient volontiers de liqueurs médicinales. Pour certains cela
représente même une grosse source de revenus. Enfin bref, si des initiatives existent jusqu’au
Xème et surtout XIème siècle peu de progrès sont constatés sur le territoire européen.
Pendant ce temps les arabes qui ont repris le flambeau de la médecine lors de la chute
de l’empire romain d’occident s’appuient
sur les textes d’hippocrate et de Galien pour développer
leur pensée. Pendant quelques siècles ils travaillent d’arrache pied et améliorent
considérablement la médecine dans tous ses domaines n’hésitant pas à réfuter certaines
thèses des deux pères de la médecine, comme la fameuse théorie des humeurs, qui est écarté
pour en développer de nouvelles. C’est le début de la méthode expérimentale, on
analyse, on *** et on reteste une solution encore et encore jusqu’à confirmer une
hypothèse. Au Xème siècle, Avicenne un médecin persan écrit deux livres de références
qui ont une énorme influence sur la médecine arabe mais aussi occidentale quand ils seront
traduits un peu plus ***. Ces deux livres sont “Le Canon de la médecine” écrit
en 1020 et “Le Livre de la guérison” écrit courant XIème siècle qui servent
de base pour l’enseignement de la médecine en Europe jusqu’au XVIIème siècle. La
méthode expérimentale Avicenne l’utilise couramment et il met en place des essais cliniques
sur des patients afin de déterminer des traitements efficaces. Il introduit énormément de nouveautés
dans la pratique de la médecine comme la mise en quarantaine pour certaines maladies,
décrit précisément des MST et découvre entre autres l’existence des bactéries.
Il est donc une des figures majeures de la médecine et il n’est pas le seul puisque
pendant cette période de grandeur arabe il y a de nombreux médecins qui innovent en
chirurgie, en ophtalmologie, en psychologie aussi, et qui développent plein d’outils
et d’instruments comme la seringue à injection. Ces progrès permettent notamment de mettre
en évidence la présence d’un système immunitaire chez l’homme, l’existence
de micro organismes qui transmettent ou déclenche des maladies, etc. Pour résumer, si les Européens
stagnent de leur côté les arabes c’est tout le contraire !
La question que l’on se pose alors est comment ce savoir arabe est transmis jusqu’à l’Occident.
C’est en fait assez simple puisque se sont des hommes qui dédient une grosse partie
de leur vie à la traduction des ouvrages arabes vers le latin principalement afin de
propager cette culture médicale. On peut par exemple citer Constantin l’Africain
qui traduit au XIème siècle beaucoup de petit manuels mais aussi et surtout un ouvrage
du célèbre médecin Haly Abbas écrit un siècle plus tôt et qui s’intitule le “livre
complet sur l’art médical”. Livre qui n’est rien de moins qu’une des premières
très grosses encyclopédies arabo-musulmane dédiée à la médecine. Si le travail de
traduction est formidable car il permet une transmission du savoir il y a tout de même
beaucoup de problèmes qui se posent dans ces traductions. En effet les textes traduits
sont des textes qui sont déjà simplifiés en arabe pour constituer une encyclopédie,
on perd donc un peu en précision.
Au delà de ce problème venant de la source, Constantin lui même simplifie les discours
tenus pour transmettre l’information en latin.
On peut également ajouter à tout ça le fait qu’une bonne partie de la médecine
arabe s’appuie sur des textes grecs. On a donc des textes traduits du grec à l’arabe
puis de l’arabe au latin pour être accessible en Europe. Ces traductions successives posent
des soucis de compréhension et de contradiction dans certains des ouvrages de Constantin et
malheureusement tout ça dilue au moins en partie la portée des informations originales.
Enfin le dernier point qu’il faut soulever sur ces traductions c’est qu’elles ne
se basent pas sur les plus grands textes de la tradition médicale arabe. Avicenne qu’on
a cité tout à l’heure ne fait par exemple pas partie des traductions de Constantin ce
qui est tout de même bien dommage.
En revanche un certain Gérard de Crémone au XIIème siècle traduit certains livres
du célèbre Avicenne et de beaucoup d’autres médecins inondant littéralement l’Occident
de ce savoir médical. Il va même jusqu’à chercher les anciens écrits grec de Galien
pour les traduire directement en latin s’affranchissant ainsi des problèmes de traductions et d’interprétations.
Grâce à des hommes comme Constantin l’africain et Gérard de Crémone entre autres traducteurs,
on arrive donc à rapporter en Europe, de façon plus ou moins fidèle, la vieille
médecine antique et quelques apports des arabes. Et pour reconstituer tout ce savoir
il faudra près de 2 siècles aux traducteurs jusqu’à
la fin du XIIIème siècle.
Tous ces apports scientifiques qui arrivent en Europe provoquent une prise de conscience.
Des écoles de médecine s’ouvrent un peu partout, la première et la plus connue étant
celle de Salerne en Italie qui est en fait un hôpital qui, construit entre le VIIème
et le IXème, est progressivement transformé en école aux alentours du XIème siècle.
Cette école est un peu particulière puisque ses élèves et ses professeurs forme une
population extrêmement hétéroclite, qui viennent d’horizons différents et qui pouvait
donc analyser et comparer les différentes méthodes et pratiques de la médecine. De
nombreux textes sont traduits au sein de l’établissement et des livres originaux résumant les nouveaux
courants de pensée en médecine sont écrits. La légende veut que l’école ai été fondée
par un maitre juif, un arabe, un latin et un grec. On se croirait presque à Poudlard...
Ce qui est également important dans cette école c’est le fait que les femmes peuvent
non seulement apprendre mais aussi enseigner et ça ce n’est pas anodin. Salerne est
la première école de médecine eu Europe mais sûrement pas la dernière puisqu’elle
va ouvrir la voie à de nombreuses autres à travers toute l’Europe. En France deux
grandes universités de médecine sont crées , celle de Paris et celle de Montpellier créé
au 13ème siècle. Avec toute cette effervescence on commence à mieux comprendre les maladies
néanmoins les progrès dans les traitements ne sont pas vraiment flagrants. En revanche
la chirurgie progresse plutôt bien et à partir du 14ème siècle on commence à autoriser
les écoles à pratiquer la dissection sur corps humain. On en livre d’abord un puis
deux par an à l’université pour faire quelques démonstrations mais il faudra attendre
encore quelques années avant de voir cette pratique exploser permettant au passage de
gros progrès en anatomie.
Si la plupart des médecins se basent surtout sur les écrits de Galien pour pratiquer,
à partir de la moitié du 14ème siècle ces principes sont remis en cause avec l’arrivé
de la grande peste noire qui tue 1⁄3 de la population européenne et contre laquelle
les enseignements de Galien et d’Hippocrate par la même occasion ne font pas spécialement
mouche. On voit donc se développer des dispositifs de prévention sanitaire pour renforcer l’hygiène
et la propreté des villes pour limiter les risques de propagation des épidémies. On
remet également en place la quarantaine que les Arabes pratiquaient déjà à l’époque.
Il est pertinent de préciser qu’à partir du 12ème siècle et de l’explosion des
apprentis médecins, l'Église interdit progressivement à ses moines d’exercer la médecine dans
les villes pour se concentrer sur la campagne estimant que la plupart des médecins sont
plus qualifiés pour la tâche. Même si dans les faits cela prend du temps pour être appliqué
on voit là une séparation du religieux et du scientifique qui refait progressivement
son apparition et qui permettent aux mentalités d’évoluer.
Pour résumer, le Moyen ge ce n’est donc pas une période totalement figée pour la
médecine et il y a non seulement des évolutions dans la pratique mais aussi dans les institutions
avec la création d’hôpitaux. Cette évolution elle se manifeste également sur les courants
de pensée où à la fin du Moyen ge on a plusieurs écoles qui s’affrontent comme
celles de la pensée helléniste qui défendent Hippocrate et Galien et celles de la pensée
arabisante qui défendent les progrès et les influences arabes.
Il faut cependant attendre la Renaissance pour assister à un renouveau de la médecine
et de sa pratique.
A partir du 14eme siècle nous l’avons dit on peut voir quelques timides dissections
qui commencent à faire leur apparition mais c’est au 15eme siècle que se développe
une école d’anatomie sur Paris et en 1531 est nommé le premier professeur d’anatomie,
Jacques Dubois. Jacques Dubois qui va multiplier les dissections devant ses élèves et qui
va découvrir pas mal de petites choses allant à l’encontre des préjugés hérités de
Galien.
Mais ces engagements ne suffisent pas à un de ses élèves qui va reprendre le flambeau
pour aller plus loin: le célèbre André Vésale. Il continue non seulement les dissections
en allant plus en profondeur et en exploitant chaque cadavre au maximum jusqu’à ce que
la chair trop pourrie ne permettent plus de pratiquer correctement mais il développe
aussi de nouvelles techniques de chirurgie qui vont révolutionner ce petit monde et
faire de la chirurgie, qui est dévalorisé depuis des siècles, une discipline à part
entière de la médecine. On peut d’ailleurs peut être attribuer une partie de son succès
au fait que Vésale enseigne à l’université de Padoue qui dépend de Venise qui a l’époque
se détache de la religion et permet une plus grande liberté dans l’approche scientifique.
Il collabore avec d’autres chirurgiens tel que le célèbre Ambroise Paré, le premier
vrai chirurgien français, avec qui il tente sans succès d’opérer Henri II quand ce
dernier se prend un bout de lance dans l’oeil.
On peut considérer qu’à la fin du 16ème il y a eu un tel engouement pour l’anatomie
qu’on sait déjà beaucoup beaucoup de choses. C’est un des piliers de la médecine moderne
qui se pose.
Au 17eme et 18ème siècle les médecins s’attelent à une autre tâche, l’étude de la mécanique
du corps autrement appelé la physiologie. En effet on sait ce qu’il y a dans notre
corps mais comment ça marche, comme ça s’articule entre tous les organes, ça on ne le sait
pas encore...
De nombreuses expériences sont donc tentés et des vivisections sur des animaux sont pratiquées.
Pour éclairer votre lanterne la vivisection c’est une sorte de dissection mais sur un
être toujours vivant. Cela peut paraître très cruel mais ça permet de mettre en évidence
le système de la circulation du sang et le rôle du coeur. Cette découverte c’est
William Harvey, un médecin anglais qui la fait en 1628 et qui vient mettre un coup fatal
à la théorie principale d’Hippocrate. Les débats et scissions au sein du corps
médical s’en trouve renforcés mais on finit par admettre que Harvey a raison. D’ailleurs
en France Louis XIV coupe carrément court au débat puisque qu’il impose que cette
théorie de la circulation du sang soit enseignée dans les écoles de médecines. Et ça ne
sera pas la seule intervention de Louis XIV dans la médecine en général puisque c’est
lui qui sera à l’origine de la construction de grands hôpitaux dans chaque grande ville
du pays, ce qui n’est pas rien non plus.
Le 17ème est un siècle d'effervescence qui voit des progrès dans beaucoup de domaines
que ça soit la physique avec Newton, l’approche philosophique avec Descartes ou l’astronomie
avec Galilée. Ce Galilée c’est un des potentiels inventeurs d’un appareil qui
va complètement révolutionner la compréhension de notre monde : le microscope. En effet si
l’astronome est plutôt habitué à scruter le ciel on raconte qu’un jour il a l’idée
d’inverser le processus pour regarder l’infiniment petit et qu’il est assez étonné du résultat.
On peut le comprendre puisque dans les années suivantes et grâce à un autre médecin qui
améliore le microscope et dont je n’arrive pas à prononcer le nom, (montrer Antoni van
Leeuwenhoek) on observe les microbes, on découvre les globules rouges, les cellules etc....c’est
le début de la bactériologie, de la microbiologie etc..
Notre corps est de moins en moins un mystère pour nous mais il manque encore quelque chose
pour que la médecine soit vraiment efficace, des médicaments qui permettent de soigner
vite, bien et surtout en masse. Il y a donc quelques essais en chimie mais pas grand chose
de concluant.
Cependant il y a toujours des épidémies et les médecins cherchent des solutions pour
contrer ce mal qui fait des milliers de victimes. Au 18ème siècle est donc importée en Europe
une ancienne technique qui peut remonter suivant les sources jusqu’au 11ème siècle en Chine
: la variolisation.
Il s’agit en fait des premiers vaccins ou pour lutter contre la variole par exemple
on met en contact un patient sain qui n’est pas atteint par la maladie avec du pus d’une
personne infecté. Si dans 1 ou 2% des cas cela entraîne la mort du patient sain dans
la grande majorité ça lui permet de développer une immunité à la variole. Ces procédés
de vaccin sont pas la suite amélioré par exemple par Louis Pasteur qu’on connaît
bien dans notre pays pour avoir inventé le vaccin contre la rage et fait le lien entre
la maladie et les micro organismes.
Au 19eme siècle on arrive à une vrai professionnalisation des médecins. Avant cela les étudiants en
médecine ne pratiquent pas beaucoup il sont surtout gavés de théorie, on leur montrent
bien sûr du concret avec des démonstrations mais pas beaucoup de pratique. En France on
oblige donc les étudiants en médecine à faire une sorte de stage en hôpital pour
acquérir une expérience, se faire la main sur du concret avant de pouvoir prétendre
au titre de médecin. D’ailleurs pour devenir médecin, il faut à partir de cette époque
obligatoirement un diplôme de médecin.
Il y a également une certaine amélioration de la pratique de l’obstétrique qui remonte
bien avant le 19eme siècle mais qui est démocratisé en France avec des médecins hommes qui gèrent
beaucoup plus l’accouchement auparavant assuré par des femmes. C’est d’ailleurs
au 18ème qu’Angélique du Coudray, une sage femme, devient la première professeur
des sages femmes et qui contribue énormément à l’amélioration des conditions d’accouchement.
Enfin bref, c’est au 19ème que sont construites les premières maternités et ça aussi c’est
une révolution même si les femmes préfèrent encore accoucher chez elles puisque étrangement
le taux de mortalité à l’hôpital est assez élevé.
Certaines personnes se pe nchent alors sur le problème, comme le médecin Ignace Semmelweis
s’aperçoit qu’en se lavant les mains avant d’accoucher une patiente les résultats
sont très bons et les taux de mortalité chez la mère chutent grandement. Il fait
donc la promotion de sa découverte et bientôt la pratique se repend dans beaucoup d’autres
domaines comme la chirurgie par exemple. Cette découverte, couplé à l’invention de l’antiseptique,
sauve beaucoup de vies.
Ce qui aide également c’est l’apparition d’une vraie anesthésie. Avant le 19ème
siècle il existait bien entendu des méthodes pour soulager la douleur mais rien de très
efficace et de totalement sûr. Vers la moitié du 19ème, l’éther est utilisé pour endormir
le patient afin de l’opérer et ça c’est une énorme avancée autant pour le patient
qui ne ressent pas la douleur pendant l’opération que pour le médecin qui est plus tranquille
pendant qu’il fait ses affaires.
La fin du XIXème siècle est marquée par la découverte de la radiologie qui permet
d’identifier plus facilement une fracture. Et le début du 20ème siècle voit une stagnation
globale des progrès en médecine.
Il faut attendre les années 30 et 40 avec l’invention et l’utilisation de la pénicilline
par le médecin Alexander Flemming pour découvrir les bénéfices du premier antiobiotique.
On arrive bien entendu vers la fin de cette histoire de la médecine puisque qu’à un
moment donné c’est bien d’avoir un peu de recul sur la période qu’on analyse pour
ne pas dire trop de bêtise. Ce qui est sûr c’est que la seconde moitié du 20ème siècle
dans son ensemble a marqué pas mal d’évolution, y compris dans l’approche médicale puisqu’on
utilise désormais la méthode scientifique pour appréhender un
cas et le comprendre au mieux pour le soigner.
Pour tout de même vous donner une idée de cette évolution de la médecine il faut garder
à l’esprit que nous avons fait plus de progrès ces 50 dernières années que depuis
le début de l’histoire de la médecine. On a inventé le scanner, l’échographie,
on a fait beaucoup de progrès en pharmacologie...En chirurgie n’en parlons pas on arrive aujourd’hui
à transplanter des coeurs chez des patients qui je vous le rappelle était l’élément
central de l’âme et de la vie il y a quelques milliers d’années. On commence à développer
des prothèses ultra performantes, des organes artificiels et j’en passe, bref, on fait
des progrès assez incroyables....
Ce qui est sûr c’est qu’on a bien vu pendant ce résumé un peu grossier de l’histoire
de la médecine qu’il y a eu des théories qui se sont développés, des pratiques qui
ont été mises en oeuvres et qui ont ensuite été supplanté
par d’autres théories, d’autres pratiques qui nous semblaient plus efficace. Alors même
si aujourd’hui peut être tenté de dire qu’avec les progrès qu’on a fait on ne
trouvera pas mieux il n’est pas impossible qu’il y ai encore des révolutions dans
le milieu de la médecine qui feront que dans 1, 2, 5 siècles on se demandera comment il
faisaient dans les années 2000 pour mourir d’un petit cancer de rien du tout...Encore
faut il soutenir la recherche pour que ça arrive !
Voilà les amis, c’est fini, j’espère que ce gros résumé vous a plu, si vous avez
des précisions à faire, des points que vous voulez soulever bref des trucs à faire partager
n’hésitez pas dans les commentaires c’est fait pour ça !
Encore merci à tous, continuez à soutenir l’émission sur tipeee si le coeur vous
en dit, je vous dis à la prochaine pour un peu d’histoire !