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Je savais que ce connard finirait par être OK.
Ouais. C'est toujours comme ça dès qu'ils ont capté les choix
qu'on leur propose. Hé, Frank. On fait quoi
avec ce ''Hernandez'' qu'on nous a fourré dans les pattes?
La même chose que la dernière fois.
Soit il la joue réglo avec nous, soit il aura des problèmes
comme ce gros connard là-bas.
Ecoute, Pulaski, je m'en fais pas pour ça,
c'est plutôt Pendelbury qui m'inquiète. S'il met ses menaces à exécution,
ça va vraiment être la merde.
Ouais.
Hé, Frank, t'as pas une clope?
Yo, mec! Laisse-moi tirer une taffe!
Tiens, mon pote.
Putain, mec, c'est quoi c'te merde!?
T'as rien de mieux à fumer?
C'est pas de la merde, mec, c'est de l'hydro!
- Ouais, c'est ça! - Bon, t'es sûr de ton coup?
J'assure, mon pote, c'est le gros bordel dans les familles.
- Elles sont finies! - Mais on se fournit
chez un de leurs gangstas! T'es sûr qu'il est cool,
- et que c'est pas un piège? - Il est cool, mec.
Et si y en a un qu'essaie de déconner,
- on le bute. - C'est clair.
Mec, Grove Street, c'est même plus un vrai gang!
Y sont plus rien, juste des bouffons, et ils le savent!
La came a tout changé, et cette merde,
ça change tout le monde, mec.
Même les gangstas veulent leur part et des clients fidèles.
T'as sûrement raison.
Cette merde, c'est une révolution.
En route, mon pote, allons-y.
Voilà comment j'vois les choses, mon pote:
j'veux être le maître de mon destin!
Si tu vois ça comme ça, mec, tu vas être comblé.
C'est justement une question de destin.
Et pis, j'te couvre, pas vrai?
Cool.
Comment que tu trouves ma chemise, mec?
Ouais, ouais, elle est cool,
mais à mon avis, on a pas l'choix!
Et c'est pas la peine de se prendre la tête pour ça!
Si tu colles ton gun sur la tempe d'un frère,
le frère, y fait c'que tu lui dis de faire!
Peu importe s'il est taré ou pas,
personne a envie de se prendre une balle dans la tronche.
Mais si tu peux faire fonctionner la tienne et ramasser un peu de fric,
c'est cool.
Y faudrait plus qu'une balle dans la tronche pour m'arrêter.
J'te crois, mon pote.
Tu vas parler maintenant, mec.
Allez, parle! Et tu ferais mieux d'me dire c'que j'ai envie d'entendre.
Hé, Mendez! Ça suffit, arrête!
Sale connard! C'est une putain de balance!
Ça se sent tout de suite!
J'crois que c'est autre truc qui schlingue, là.
- Il parlera plus maintenant. - Bon, alors, on fait quoi maintenant?
Je crois que j'nous ai trouvé un acheteur à Los Santos.
Por cuanto, mec? Pour combien?
Je ne sais pas encore. Mais c'est du sérieux.
Peut-être 100.000 par mois avec un risque minimum.
Allô. Ouais. Ouais!
Vous avez parfaitement compris.
Non, écoutez, je suis désolé que vous le preniez comme ça.
Ouais. Non. Oui.
- C'est pas très conventionnel, oui. - Lâche-moi, mec.
Oui, mais j'ai pas vu vos mèthodes donner de meilleurs résultats. Quand?
Je connais des mecs qui sont morts à cause de vous.
Alors me faites pas chier sur ce coup-là.
Y faut qu'on y aille de l'avant! L'histoire comprendra.
J'ai pas arrêté d'y bosser, ils me font confiance maintenant!
Non, on ne peut pas remuer la merde sans se salir les mains.
Tout le monde le sait. Et vous aussi.
Maintenant, faut que je vous laisse. Faut que j'y aille. Mendez!
Maintenant, tu m'écoutes! Bon, c'était un acheteur.
Il faut augmenter la prod'. On voit pas les choses assez grand ici, OK?
Mes contacts à Panama peuvent me trouver toute la came qu'on veut.
Mais if faut que tu prépares le marché.
Alors, arrête de t'amuser avec ton copain
- et mets-toi au boulot, OK? Hum? - Mec, putain, mec.
J'vais m'débarrasser d'ce tas de merde.
Mec, tu pèses une tonne pour un macchabée, putain!
Le bébé a besoin de COUCHES!
- Merde! - Putain, mec,
on est en train de perdre les rues!
Mais non, mon pote, on est fidèles à nos principes.
Mais nos principes nous transforment en gonzesses, mec.
Les Ballas deviennent chaque jour plus puissants, et toi et moi on faiblit.
Et on s'appauvrit, mon pote.
Tout ce bordel va finir par se calmer, mec.
- Si tu l'dis, mon pote. - C'est toujours comme ça.
Personne a jamais entendu parler d'un gangsta rappeur appelé Jeffrey!
Hé, Jeffrey, mon pote, fais pas chier avec ça!
OG LOC! Ça c'est un nom de gangsta, mec!
- Comme Sweet ou Big Smoke. - Jeffrey, t'es pas un gangsta.
Mec, t'as jamais rien fait pour le gang,
t'es juste un pote, pas un gangsta.
Je suis un vrai de vrai, les mecs!
OK, cool. Maintenant, dégage. Tu me les casses.
Savez quoi? J'vais vous prouver que je suis un vrai de vrai.
- Matez ça! - Jeffrey, mon pote, retourne à l'école
et fais quelque chose de toi. Moi et Mister Big,
on a foutu nos vies en l'air.
On est plus que des rejets de l'environnement. Fais pas l'con, mec,
rends-nous fiers de toi, choisis une autre voie.
Mais j'suis un gangsta rappeur! C'est ma vocation, mec!
Ecoute, mon pote, fais ce que tu veux, mais gicle de là!
Non, mec, va jouer au gangsta ailleurs.
- Oubliez tout ça. - C'est plus le racket des cours
de récré, mon pote.
C'est la meilleure occase que des mecs comme toi et moi auront jamais
- de s'faire un putain de tas d'fric! - Mec, j'ai tout c'qui me faut.
J'croyais qu'on faisait ça pour le territoire,
pas pour dètruire la Famille. Ici c'est Grove Street, mon pote.
- A toi d'jouer! - A propos de Familles unies,
- t'as des nouvelles de CJ? - On se parle plus.
Y fait sa vie, et c'est plus que ce qu'il mérite.
Attends, ça fait combien de temps?
Il est mort quand, Brian? Y a 5 ans maintenant.
Ouais, et CJ a eu droit à 5 ans de bonus
alors qu'il aurait dû y passer. J'ai perdu deux frères, mon pote.
Un qui s'est fait buter et l'autre qui s'est révélé
- un vrai naze. Une gonzesse. - T'es un vrai gangsta, mec!
Faut que tu t'dètendes. Tu vois, CJ, il...
Mec, CJ traîne comme un con sur la côte Est.
Y peut pourrir dans sa merde, j'en ai rien à foutre.
Putain, merde!
Dégage de la caisse! Dehors!
Salut, Joey, quoi de neuf, mec? C'est CJ.
Ouais, j'sais c'que c'est, j'ai jamais connu le mien,
mais j'avais un frère qu'aimait bien m'pourrir la vie.
Faut croire que c'est à ça qu'ça sert, la famille.
Bon, j'ai c'que tu m'as demandé.
Tu veux que j'te l'apporte au garage?
Non, non! Faut qu'je la dégage de la rue.
Ça craint.
OK, cool. A plus.
Alors, comme ça, Johnny,
tu veux que j'te refile 5 millions de dollars?
Je veux vous aider à faire fortune, M'sieur Leone.
Mon père veut unir toutes nos organisations.
Les Sindacco et les Leone?
C'est impossible. T'oublies que tes associés
ont descendu mon cousin.
Mais tu m'connais! Le bizness c'est le bizness!
Faut pas que ça devienne personnel.
On peut essayer de trouver un moyen d'oublier cette connerie.
- Bon où on en était? - Euh, vous voyiez peut-être
- un moyen de régler ça? - Non, je disais
que j'aimerais bien en trouver un.
Et toi, tu m'demandais 5 millions de dollars.
J'voudrais être sûr de bien tout comprendre...
J'investis dans vot'casino,
je reçois le tiers des parts comme ton organisation et les Forelli.
Et je vous laisse gérer l'investissement pour moi?
- C'est ça! - Ouais, ouais, ouais...
Tu dois croire que ma maman, paix à son âme,
a baisé avec un con au lieu de mon père?
Tu prends ma mère pour une pute qui se fait attraper par des abrutis?
Bien sûr que non, M'sieur Leone! Je vous fais juste une offre.
J'ai dû mal interprèter vos intentions...
Ecoutez, je m'excuse respectueusement. Pardonnez-moi.
Pose ton cul ou je t'égorge moi-même.
Espèce de sale petit suceur de bites!
Depuis que Sonny Forelli s'est fait buter en Floride,
vous croyez pouvoir faire la loi dans cette ville.
Tu me manques de respect. T'insultes ma famille.
Ton vieux? Il est même pas bon à me torcher le cul!
Et je préfèrerais niquer un éléphant plutôt que ta mère!
- Qu'est-ce que t'en dis? - M'sieur Leone,
- vous ne comprenez pas... - C'est sûr, t'es un bon garçon.
Moi? J'suis qu'un vieux con!
Qu'est-ce que j'en sais? Que dalle...
Et encore...
- Bon, t'auras ton fric. - Ah oui?
Si c'est moi qui contrôle les registres.
Euh, c'est qu'on peut pas faire ça, M'sieur Leone.
Alors, je déconne plus! Ta mère est un putain de trave!
J'ai une idée. Qu'est-ce que tu dirais d'une tierce partie, un mec neutre?
Y contrôle le truc, et nous, on le contrôle...
C'est pas possible, M'sieur Leone, on a déjà notre mec en place.
Débarrassez-vous de lui. Faut me montrer à quel point
vous voulez que mon organisation s'implique dans ce bizness.
J'ai pas besoin d'un rail!
J'ai pas besoin d'un rail!
J'ai pas besoin d'un rail!
La coke, c'est pour les faibles Pour les faibles!
Je suis fort! Fort!
Les gagnants gagnent! Les losers s'enfilent des rails
et s'tapent des putes!
Je contrôle mon destin!
Il me faut un boulot,
on m'a rayé du barreau...
mais je contrôle!
J'ai réussi! Je suis clean!
Plus clean qu'un siège de chiottes tout neuf!
J'ai pas besoin d'un rail!
Ha ha!
Mais bon, quand même...
Putain...
Ecoute, petit, j'en ai rien à foutre de toi,
de tes principes et de tes potes!
Les mecs qui déconnent avec moi l'ont toujours dans l'os!
T'as èté payé! T'as pris mon fric!
J'essaie de t'aider à survivre ici, petit, et tu me fais chier!
Tu me sers à rien!
Je ferais peut-être mieux de te buter!?
- EDDIE, forme un commando! - Ça roule...
T'as entendu? Tu m'suis, là?
Tu vas te réveiller avec la tête à 15 mètres
de ton corps, petit! Fais ce qu'on a convenu!
Oh, tu crois vraiment que tu peux me doubler...?
Non? Vaut mieux pas.
Alors, fais-le. Cette semaine.
- Tout est OK, mon pote? - Ton pote?
Oublie pas que je suis ton supérieur hiérarchique, connard!
- Mais ouais, tout est OK. - Alors, il va le faire?
Je te dis que tout est OK.
- Alors on va chercher le gamin? - Ouais.
Allons choper ce petit branleur et lui apprendre qui on est.
Euh oui... Tommy Vercetti, s'il vous plaît.
Dites-lui que Ken Rosenberg a appelé.
Ken ROSENBERG. Vous ne me connaissez pas? Mais qui êtes-vous?
Ken ROSENBERG. ROSENBERG!!
Oh! Oh vraiment? Lui dire que j'ai appelé?
C'est moi qui ai fait ce mec!
Et maintenant, il refuse de me parler au téléphone!
Alors, passez-le-moi! MAINTENANT!
Allô!? Allô!? Et merde!
C'est signé! Je suis désormais l'heureux
proprio officiel de Gurning Chimps.
T'es à moi, Maccer! T'es à moi!
50.000 billets que ça m'a coûté pour racheter ton contrat!
T'es comme un cheval de course ou une p'tite salope!
Avec la garantie bancaire! Ça y est, petit, ça y est!
Putain, c'est trop génial, j'hallucine!
- Fais-moi un câlin! - Viens ici!
Je t'aime, vieux,
- j'ai jamais ressenti ça avant! - Formidable, petit.
Un peu d'émotion, ça fait de mal à personne. Euh... cool.
Lâche-moi, maintenant, tu sues comme un porc...
Mince alors! Ces putains de colombes
- me font halluciner grave! - T'en as pris combien?
19. Allez! Lâche-toi un peu!
- T'as rien de plus fort, Pablo? - Non!
50.000 dollars, que ça coûte.
L'Amérique! L'Amérique!
Putain, j'peux plus attendre!
- File-moi ton putain d'fric! - OK, mec, OK!
- Tiens, prends-le, ton fric! - Ouais.
Mais mec, me bute pas!
Pauv' merde!
Hé, comment va ta poule?
Elle me casse les couilles! Depuis qu'on a emménagé à Venturas,
elle pense qu'à claquer du fric.
Putain, ça me rapporterait plus de le risquer au jeu.
Ouais, j'te comprends... Hé, aide-moi avec ce mec!
OK.
Mais pourquoi fallait buter Mickey?
- C'était un mec réglo. - J'sais pas. Un problème de fric.
Quoi? Il a palpé?
Non, il était juste honnête. Un peu trop honnête.
- Fallait qu'il dégage... - Oh. Je vois.
Ouais, y déclarait trop de fric au fisc.
Et on va devoir lui trouver un remplaçant. Tu sais,
il paraît que les Leone vont nous prêter de l'argent.
- Les Leone? - Ouais.
Arrête de déconner! On peut pas les saquer, les Leone!
J'sais bien! C'est c'que j'ai dit à Johnny!
Mais y m'a dit qu'on avait b'soin de fric.
Buonanotte, ducon!
Alors Mickey s'est fait buter
et maintenant, pour gérer l'truc, on a un nouveau mec
que tout le monde fait danser à son rythme. Et au moindre faux pas...
- On creuse un aut' trou! - T'as tout compris.
Hé, t'as su c'qu'est arrivé à Bobby sur la côte Est?
- Non, quoi? - Il est devenu pédé.
- C'est l'hallu, hein? - Oh, putain de bordel de merde!
- J'aurai tout vu! - Putain!
Une place vient de se libérer. On a respecté notre part du marché.
Alors, je crois que tout roule... Tu veux un verre?
Non, ça ira, merci. Alors, qui va diriger le casino pour nous?
Bon, y nous faut un vrai con. Un mec qu'on puisse bousculer un peu...
Y a cet avocat, il bossait pour les Forelli en Floride.
J'ai entendu dire qu'il cherchait du boulot dans le coin.
Y sort de désintox, je crois.
- Ouais, ça devrait coller. - Je vais l'appeler.
- Bonne idée. - Et, petit,
déconne pas sur ce coup-là...
Alors, c'est toi, e nouveau, hein?
Ouais, ça fait trois ans que je bosse dans la rue
et j'ai compris qu'en fait, les seuls vrais criminels à Los Santos,
c'est les membres des gangs. C'est pour ça que j'ai rejoint le C.R.A.S.H.
Monte dans la caisse, petit.
Un jour, on m'a appelé pour un problème de violence conjugale.
Je tombe sur un gosse, OK?
Pas plus de 20 ans,
en train de dérouiller sa régulière. Alors j'me dis,
aucun homme a le droit de frapper une femme, pas vrai?
Mais il s'avère qu'elle se défonce toute la journée
et laisse presque leurs gosses mourir de faim.
Alors qu'est-ce que j'pouvais faire?
L'embarquer et laisser le bébé avec une camée
ou laisser ce mec bastonner sa gonzesse?
C'que j'veux dire, c'est que dehors, c'est la merde.
Violence conjugale?
Ouais. Ouais! Un truc vraiment sérieux...
J'te crois. Arrête-toi, Pulaski.
Moi, j'me tape les dealers, les gangstas et les tarés
qui rêvent tous de mettre la main sur un gros tas de fric
et qu'hésiteront pas à me descendre, ou toi, ou toutes nos familles
s'ils pensent que ça peut les arranger.
C'est autre chose que les violences conjugales, José.
C'est pas ce que je voulais dire...
Ça m'intéresse pas vraiment, c'que tu veux dire.
Tu m'as dit que de tomber sur une gonzesse défoncée,
c'était une situation compliquée.
Comment tu veux que j'te fasse confiance
- si tu flippes aussi facilement? - Ecoutez, j'suis un bon flic...
C'est pas le problème d'être un bon ou un mauvais flic, p'***...
Le problème c'est de reprendre le contrôle des rues aux putains d'sauvages
- qui les squattent. - Je sais!
- Tu feras tout ce qu'y faudra pour ça? - Ouais! Tout ce qu'y faudra!
Parce que c'est juste une question de productivité,
24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et 655 jours par an.
On veut simplement baiser un maximum de ces enfoirés.
Ouais, je comprends...
Ce qui implique de laisser certains autres enfoirés s'en tirer...
Ça implique aussi parfois de faire des saloperies dont t'es pas fier.
Parce que t'es assez costaud et intelligent pour comprendre
- les raisons supérieures... - Ouais, je comprends.
Tu comprends que dalle!
Sors de cette putain de caisse, mon pote.
Alors, tu t'éclates!?
Non! Je m'imprègne juste de l'atmosphère des lieux.
Alors, c'est comme ça... Toi, tu restes là sur ton cul
à glander peinard. Je file 5 millions aux Sindacco
et c'est tout c'que tu fous? Hein?
Non! Pas du tout! J'ai parlé avec Johnny,
- il m'a tout expliqué! - Oh, t'as parlé avec Johnny?
- Ouais. Il est passé hier... - T'as parlé avec lui?
- Ouais! -Tu lui as taillé une pipe?
Espèce de sale petite merde! T'es mon homme, ici! Pas le sien!
J'ai bien envie d'en finir immédiatement avec tout ça! Judas! Salaud!
Désolé, j'avais compris que c'était ça, le boulot!
T'avais compris que c'était ça, le boulot? Mike, occupe-toi de la porte.
J'ai un truc à régler. Mon fric...
Faut me le rendre, et fissa!
Et si Johnny l'enculé de Sindacco te fait ne serait-ce qu'un clin d'oeil,
je veux être au courant. Trouve le moyen
de me rendre mon pognon, et vite. Compris?
Oui! Oui! Compris! Compris!
Et souris, petit! Prends un peu de bon temps.
C'est censé être un casino, pas un monastère!
Putain, je me marre plus quand je vais chier.
Va me chercher un verre! Et souris, bordel!
- Alors, tu voulais cracher le morceau! - Eddie, allez, laisse tomber.
- Y respire encore! - Super.
Hernandez,
- achève-le. - Non! Je vous en prie!
- Me demandez pas ça! - Qu'est-ce que tu racontes?
- Je peux pas! - Hé, je croyais que t'avais compris?
- C'est un flic, pauvre malade! - Mais non, c'est plus rien.
On a déjà parlé de ça. C'est juste une question de productivité.
- Je comprends. - Alors? T'es dans quel camp?
- Le sien ou le mien? - Le vôtre!
Alors, montre que t'as des couilles! Tu l'descends ou c'est moi qui t'bute!
Vas-y, fais-le! Bute-le!
Non! Oh merde!
- Maman! Maman! - NON! NON! NON!
Allez, merde!
- Maman! - Non!
CJ, c'est ton frère.
Ouais, qu'est-ce tu veux?
Je crois que tu ferais mieux de rentrer.
C'est maman... Elle est morte.