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[Applaudissements, cris]
Merci. Merci. Merci. Merci. Merci beaucoup.
[Applaudissements, cris]
Merci. Merci. Merci. Merci. Merci beaucoup. Merci. Merci.
[Applaudissements]
Merci beaucoup. Bonsoir. Bonsoir. Bonsoir.
Bonsoir, honorables délégués. Bonsoir chers amis républicains.
Bonsoir chers compatriotes.
[Applaudissements]
Nous sommes réunis ici à un moment de grande importance et de défi.
Ce jeune siècle a été difficile.
Je me souviens comme si c'était hier de ma jeune assistante entrant dans mon bureau
à la Maison-Blanche pour me dire qu'un avion avait percuté le World Trade Center, et puis un deuxième avion,
et puis un troisième avion au Pentagone, et puis nous apprenions qu'un avion s'était écrasé dans un champ
en Pennsylvanie, forcé au sol par de braves gens qui moururent pour que d'autres aient la vie sauve.
[Applaudissements]
Depuis ce jour, depuis ce jour la conscience de notre vulnérabilité
et nos concepts de sécurité n'ont plus jamais été pareils.
Puis en 2008, la crise économique et financière mondiale nous stupéfia,
et elle réverbère toujours alors que nous faisons face au chômage et à l'incertitude économique
et aux mauvaises politiques qui jettent un froid sur l'économie américaine et sur un redressement
dont on a désespérément besoin ici et ailleurs.
Et nous avons vu, nous avons vu que le désir de liberté est en effet universel
alors que des femmes et hommes au Moyen Orient se soulèvent pour la gagner.
Cependant, la promesse du printemps arabe est entourée d'incertitude, de luttes internes,
et de voisins hostiles qui mettent au défi la jeune et fragile démocracie en Irak.
Des dictateurs en Iran et en Syrie massacrent leurs propres peuples et menacent la sécurité régionale.
La Russie et la Chine empêchent une réponse, et tout le monde demande - Quelle est la position américaine?
[Applaudissements]
En effet, en effet, c'est la question du jour - Quelle est la position américaine?
Vous voyez, quand ennemis ou alliés ne connaissent pas la réponse à cette question,
clairement et sans ambiguité, le monde a de la chance d'être un endroit plus dangereux et plus chaotique.
Depuis la deuxième guerre mondiale, les USA ont eu une réponse à cette question.
Nous sommes pour des peuples libres et pour le libre-marché. Nous les défendrons et les supporterons.
[Applaudissements]
Nous maintiendrons une balance des pouvoirs qui favorise la liberté.
Maintenant, c'est sûr, les charges de l'authorité ont été lourdes.
Je connais, comme vous, le sacrifice des américains, particulièrement le sacrifice ultime de beaucoup de nos plus
braves, mais nos forces armées sont le bouclier le plus sûr et la fondation de notre liberté
et nous avons cette chance d'avoir des hommes et femmes en uniformes qui se portent volontaires,
ils se portent volontaires pour nous défendre sur le front de la liberté, et nous leur devons une gratitude éternelle.
[Applaudissements, cris]
Je sais aussi que ça n'a pas toujours été facile, bien que ce fut gratifiant,
de parler pour ceux qui autrement n'auraient pas une voix.
Le dissident religieux en Chine, le partisan de la démocracie au Vénézuéla, le prisonnier politique en Iran.
Ce fut dur de trouver les ressources pour supporter des démocracies vacillantes
et pour intervenir au nom des plus désespérés.
Les orphelins séro-positifs en Ouganda, le réfugié fuyant le Zimbabwé,
la jeune femme vendue comme esclave sexuelle en Asie du Sud-Est.
Ca a été dur, et pourant cette aide, accompagnée du travail compassionné de charités privées,
de gens de conscience et de gens de foi, a montré l'ame de notre pays.
Et je sais aussi - Je sais aussi qu'il existe une fatigue.
Je sais qu'on dirait que nous avons porté ces fardeaux longtemps assez.
Mais nous ne pouvons seulement savoir que le choix n'existe pas,
parce que l'une de ces deux choses se passera si nous ne dirigeons pas.
Soit personne ne dirigera et ce sera le chaos, ou quelqu'un remplira ce vide
qui ne partage pas nos valeurs.
Mes chers compatriotes, nous n'avons pas le choix.
Nous ne pouvons pas hésiter à diriger et on ne peut pas diriger de l'arrière.
[Applaudissements]
Mitt Romney et Paul Ryan comprennent cette réalité.
Notre bien-être domestique et notre aptitude à diriger à l'étranger sont liés inextricablement.
Ils savent ce qu'il faut faire. Ils savent que nos amis et alliés doivent à nouveau être capables de nous faire confiance.
D'Israël à la Colombie, de la Pologne aux Philippines, nos alliés et amis doivent savoir.
que nous serons fiables, et constants, et déterminés.
Et nos ennemis, nos ennemis ne peuvent pas avoir de raison de douter de notre résolution parce que la paix
vient vraiment de la force.
[Applaudissements]
Notre puissance militaire et notre avantage technologique sera sûr entre les mains de Mitt Romney.
Nous devons travailler pour une économie mondiale ouverte et poursuivre des échanges libres et justes,
afin d'augmenter nos exportations et notre influence à l'étranger.
Si l'ascension de la Chine vous inquiète, considérez ceci - les USA ont négocié -
les USA n'ont ratifié que 3 accords commerciaux ces dernières années,
et ceux-ci avaient été négociés par l'administration Bush.
La Chine a signé 15 accords commerciaux et en négocie actuellement 18 de plus.
Tristement, nous abandonnons le domaine du commerce libre et juste et cela reviendra nous hanter.
[Applaudissements]
Nous ne devons pas laisser l'occasion d'atteindre l'indépendance énergétique nous glisser entre les doigts.
Nous avons été bénis avec un don de ressources pétrolières et gazeuses ici en Amérique du Nord, et nous devons les développer.
Nous pouvons les développer avec bon sens, nous pouvons les développer en protégeant l'environnement,
mais nous devons les développer.
[Applaudissements]
Et nous avons l'ingénuité de développer aussi des sources d'énergie alternatives,
mais principalement, Mitt Romney et Paul Ryan reconstruiront la fondation de notre puissance,
l'économie américaine - en stimulant la croissance du secteur privé
et en stimulant les petites entreprises.
[Applaudissements]
Quand le monde nous regarde aujourd'hui, ils voient un gouvernement américain
qui ne peut pas vivre dans ses moyens.
Ils voient un gouvernement américain qui continue à emprunter de l'argent,
qui va hypothéquer le futur des futures générations.
Le monde sait que quand un pays perd le contrôle de ses finances, il finit par perdre le contrôle de son destin.
Cela n'est pas l'Amérique qui a inspiré les gens à suivre notre example.
[Applaudissements]
Après tout, quand le monde regarde l'Amérique, ils nous regardent
parce que nous sommes l'expérience économique et politique la plus réussie de l'histoire du monde.
C'est la véritable base de l'exceptionalité américaine.
Vous voyez, l'essence de l'Amérique, ce qui nous unit vraiment, n'est ni nationalité ni ethnicité ni religion.
C'est une idée. Et quelle idée!
Que vous pouvez avoir d'humbles origines et vous pouvez accomplir de grandes choses, que cela n'a pas d'importance
d'où vous venez, cela a de l'importance où vous allez.
[Applaudissements, cris]
Mes chers compatriotes, notre histoire n'a jamais été écrite de doléances et de droits acquis,
Nous n'avons jamais cru que ça va mal pour moi parce que ça va bien pour toi.
Nous n'avaons jamais été jaloux l'un de l'autre et jamais envieux de la réussite d'autrui.
[Applaudissements]
Non, non, la nôtre fut une croyance dans l'opportunité.
Et ce fut un combat constant, long et pénible, avec des hauts et des bas, afin de répartir les bénéfices du
rêve américain à tous, mais l'idéal américain est aujourd'hui en danger.
Aucun pays, non, même pas la Chine montante, qui peut nous faire du tort autant que nous ne pouvons en faire à nous-mêmes
si nous ne faisons pas le dur travail qui nous attend ici chez nous.
[Applaudissements, cris]
Plus qu'à aucun autre moment de l'histoire, la grandeur se construit sur la mobilisation du capital humain et l'ambition.
Nous avons toujours été meilleurs à cela que tous les pays du monde.
Les gens sont venus ici de partout parce qu'ils ont cru
à notre credo d'opportunité et d'horizons illimités.
Ils sont venus ici des nations les plus pauvres de la terre juste pour arriver à gagner un salaire décent.
Et ils sont venus ici de pays avancés comme ingénieurs et scientifiques qui alimentent la
révolution de la connaissance à la Silicon Valley en Californie,
dans le Triangle de Recherche en Caroline du Nord, le long de la Route 128 au Massachusetts,
à Austin, au Texas, et partout dans ce grand pays.
[Applaudissements, cris]
Nous devons continuer à accueillir les gens les plus ambitieux du monde pour s'intégrer à nous.
De cette manière, nous restons jeunes et optimistes et déterminés.
Nous avons besoin de lois sur l'immigration qui protègent nos frontières, répondent à nos besoins économiques, et pourtant indiquent que
nous sommes une nation compatissante d'immigrants.
[Applaudissements]
Nous avons aussi réussi parce que les américains ont su
que le statut à la naissance n'est pas une condition permanente.
Les américains ont cru que vous n'e pouviez peut-être pas contrô*** les circonstances
mais vous pouvez contrôler votre réponse aux circonstances.
[Applaudissements]
Et votre meilleur allié dans le contrôle de votre réponse aux circonstances a été une éducation de qualité.
Mais aujourd'hui, aujourd'hui, quand je peux regarder votre code postal et je peux dire si vous aller recevoir une
bonne éducation, puis-je dire honnêtement que ça n'a pas d'importance d'où vous venez,
ça a de l'importance où vous allez.
La crise de l'éducation primaire et secondaire est une menace pour le tissu social.
[Applaudissements]
Ma maman était prof'. Je respecte la profession.
Nous avons besoin de bons professeurs, pas de mauvais, pas de médiocres.
Nous devons avoir des standards élevés pour nos enfants, parce que l'amour-propre vient de la réussite,
pas de bas standards et de faux éloges.
[Applaudissements]
Et nous devons donner aux parents un plus grand choix, spécialement aux parents pauvres dont les enfants,
très souvent des minorités, sont coincés dans des écoles de quartier défaillantes.
C'est l'enjeu de droit civil d'aujourd'hui.
[Applaudissements, cris]
Si nous faisons moins que ça, nous pouvons endommager des générations vers le chômage et le désespoir
et une vie aux guêtres du gouvernement.
Si nous faisons moins que ça, nous mettrons en danger nos impératifs globaux de compétitivité.
Et si nous faisons moins que ça, nous déchirerons le tissu social
et cimenterons le tournant vers les droits acquis et les doléances.
Mitt Romney et Paul Ryan vont nous reconstruire domestiquement. Et ils nous aiderons à diriger ailleurs.
Ils répondront à la question -"Quelle est la position américaine?"
Le défi est réel et les temps sont durs, mais l'Amérique a répondu
et a surmonté de durs défis avant.
Quand vous vous prenez à douter de nous, pensez juste à tous ces moments
où l'Amérique a transformé l'impossible en rétrospectivement inévitable.
Notre révolution contre la plus grande puissance militaire de l'époque, une guerre civile,
frère contre frère, des centaines de milliers de morts de chaque côté, mais nous en avons émergé une union plus parfaite.
Une deuxième fondation quand des patriotes impatients étaient déterminés à venir au bout
de l'anomalie congénitale qu'était l'esclavage et du fléau de la ségrégation.
Une longue lutte contre le communisme avec finalement la chute de l'Union Soviétique
et une Europe entièrement libre et en paix, et après le 11/9, la volonté de prendre des décisions vraiment
très dures qui nous ont protégées et ont empêché l'attaque suivante que tout le monde pensait inévitable.
Et une note personelle...
[Applaudissements,]
Et une note personelle, une petite fille grandit dans un Birmingham du temps de Jim Crow.
La ville ségréguée du Sud où ses parents ne peuvent l'emmener au cinéma ou au restaurant,
mais ils l'ont absolument convaincue que même si elle ne peut pas avoir un hamburger
chez Woolworth, Comté d'Orange, elle peut devenir présidente des Etats-Unis si elle le veut,
et elle devient la Secrétaire d'Etat.
[Applaudissements, cris]
Oui. Oui. Oui. Oui. L'Amérique a une façon de rendre l'impossible sembler inévitable rétrospectivement,
mais nous savons que ça ne fut jamais inévitable. Cela prit de l'aptitude à diriger.
Et cela prit du courage. Et cela prit de la foi en nos valeurs.
Mitt Romney et Paul Ryan ont l'intégrité et l'expérience et la vision pour nous diriger.
Ils savent qui nous sommes. Ils savent qui nous voulons être.
Ils savent qui nous sommes dans le monde et ce que nous avons à offrir.
Voilà pourquoi - voilà pourquoi ceci est un moment et une élection conséquencielle.
Parce que il faut que le pays le plus libre et le plus compatissant de la terre
continue à être le plus puissant et un porteur de prospérité et de liberté à travers le monde.
Que Dieu vous bénisse et qu'Il bénisse ce pays extraordinaire, ce pays exceptionnel -
Les Etats-Unis d'Amérique.
[Applaudissements]
Transcription anglaise par Adept World Management