Tip:
Highlight text to annotate it
X
Max et Léon ont été élevés ensemble et ont grandi comme des frères.
Meilleurs amis parfois rivaux pour ce qui est des affaires de coeur, ils n’ont cure
des conventions et préfèrent boire et s’amuser plutôt que de travailler.
Deux larrons fainéants qui, au moment des prémices de la Seconde Guerre mondiale, vont
devoir s’enrôler, sans se douter qu’il ne s’agira pas d’une partie de plaisir.
Loin de là.
D’exercices militaires en désertion, de mensonges en simagrées, les deux amis vont
se retrouver à Londres, au Maroc, dans des réseaux de Résistance, au cours d’aventures
rocambolesques et surtout très drôles.
La Folle histoire de Max et Léon est une véritable machine à remonter le temps.
Non pas parce que l’histoire est située pendant la guerre de 39/45, mais parce que
l’on retrouve le goût de ces comédies typiquement à la française que l’on faisait
jadis.
On pense à La Grande Vadrouille pour les péripéties qui jettent les deux héros sur
des routes de France envahies de nazis, à la trilogie de la Septième Compagnie pour
le côté badin rempli de blagues potaches ou encore à Papy fait de la Résistance,
pour les petites piques glissées ici ou là contre certains actes de collaboration qui
ne passent toujours pas.
Au final, on se retrouve avec un film d’aventures ponctué de boutades et d’humour franchouillard
qui a fait rire plus d’1,2 millions de spectateurs lors de sa sortie en salles.