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C'est bientôt prêt.
Tiens.
Si seulement on avait
un peu de chou.
La fête entre filles.
Les garçons s'énervent encore.
Tu m'as toujours pas raconté :
où tu les as trouvés ?
Ils t'ont attaquée ?
Tu les as chassés ?
Ou tu les connaissais ?
Excuse-moi.
Seigneur...
Tu veux m'en parler ?
D'accord.
Ils méritaient leur sort.
Dès le départ,
ils n'étaient pas humains.
- Toi, prends les fusils d'assaut.
- Ça marche.
Le Gouverneur
veut tout ça ?
Il veut des options.
- Où est-ce qu'il est ?
- Pas ici.
- Combien vont y aller ?
- Tout le monde.
Il n'y a pas
un accord en jeu ?
C'est une précaution.
Une démonstration de force.
Milton !
Milton !
Vous vouliez
quelque chose ?
Qu'est-ce que c'est
que ça ?
Mon atelier.
En quoi
ça nous aidera ?
Pardon ?
Ça devait être
un nouveau départ.
Une issue.
Qu'advient-il
de ce qu'on espérait ?
Battre ce fléau.
Reprendre le dessus.
Cette histoire avec Michonne,
je comprends.
Mais ceux
de la prison...
Quoi ?
- Je devrais tourner la page ?
- Oui.
Je le ferai dès que ce sera fini.
- Philip...
- J'ai une question pour vous.
Vous pensez que les mordeurs
gardent une étincelle, non ?
Une part de ce qu'ils étaient ?
En effet.
Alors, c'était ma fille, non ?
Que cette créature
ait été Penny ou pas,
c'est fini.
Ça ne compte plus.
C'est la seule chose qui compte.
Il n'y a pas d'accord.
Philip leur réclame Michonne.
Rick n'acceptera jamais.
Qu'il la livre ou pas,
le Gouverneur les tuera tous.
Je dois empêcher ça.
Je doute que vous puissiez.
Partez.
Dites aux gens de la prison
de déguerpir.
Il passera à autre chose.
Je dois le tuer.
Vous ne pourrez jamais l'approcher.
On vous abattra avant.
S'ils me voient venir.
Milton, c'est révoltant.
Je ne peux pas le regarder...
Comment vous pouvez le protéger ?
Il s'en fout, de vous !
J'ai connu Philip
avant qu'il soit le Gouverneur.
Cet homme existe toujours.
Je ne crois pas.
Très bien.
Tuez le Gouverneur.
Vous vous ferez descendre
et Martinez prendra la suite.
Éliminer le Gouverneur
ne sauvera pas vos amis.
Alors, je dois les prévenir.
Vous venez avec moi.
Je peux pas quitter Woodbury.
- Vous vous associez à ça ?
- Je connais personne à la prison.
Et alors ? Vous connaissez Merle.
Il s'est intégré.
Vous y serez bien.
Ma place est ici, malgré tout.
Si vous restez,
vous ne pouvez plus fermer les yeux.
Faites attention à vous.
Faut me laisser votre arme.
Vous en avez d'autres ?
Des munitions ?
Il faut les rendre.
Andrea.
Andrea !
Le Gouverneur veut toutes les armes
pour préparer l'équipe.
Je suis plus utile armée.
Rends ton feu et tes munitions.
Pas la peine de faire l'idiote.
File-moi ton flingue.
- Tu as une lame ?
- Tu veux me fouiller ?
J'aurais dû t'en parler.
Désolé.
Seulement... Je veux te tenir
à l'écart de tout ça.
À l'abri.
- Tu comprends ?
- Mais oui.
- Je voudrais t'aider.
- Tu pourras.
Demain.
Je veux que tu viennes
quand on ira retrouver Rick.
En dernier recours,
tu pourrais le raisonner.
"En dernier recours ?"
Tu lui fais confiance, moi pas.
Compris.
Je serai là.
Occupe-toi de celui-là.
Faut que tu t'entraînes !
Détends-toi.
Je pourrais peut-être
si t'arrêtais de me le répéter !
T'étais à des kilomètres.
- Tu veux tirer à ma place ?
- J'ai réussi, moi.
Tu gâches des munitions.
Je l'ai eu.
Quel tir !
Hé, une horde de rôdeurs
se dirige
droit sur le mur principal.
Martinez a besoin d'aide.
Je vous relaie.
- On doit pas quitter ce poste.
- Parlez à Martinez. Je transmets.
Il faut qu'il vienne
nous le dire lui-même.
- On perd du temps.
- Allez-y, vous.
Vous tirez bien.
- Vous faites quoi ?
- Je pars.
- C'est interdit.
- Je vous veux pas de mal.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Écartez-vous.
Non !
Du calme.
On veut blesser personne.
Excusez-moi.
Seulement cet endroit...
Je ne peux pas rester.
Pourquoi ?
Le Gouverneur
n'est pas celui qu'on croit.
- Il a l'air réglo.
- Je le croyais aussi.
Mais il a fait des choses horribles
et il en prépare de pires.
Je dois fuir.
Vous devriez en faire autant.
Vous êtes sur les nerfs,
épuisée.
Lâchez ce couteau.
Je m'en vais.
On n'aurait pas dû.
Tu veux que je fasse quoi ?
Que je lui tire dessus ?
- Fallait l'arrêter !
- En lui tirant dessus ?
Vous avez bien fait. Heureusement,
vous n'êtes pas blessés.
On n'est pas sur le mur
pour garder les gens à l'intérieur.
C'est pas un camp de prisonniers,
si ?
Non. Mais elle n'est pas en état
de prendre soin d'elle.
Elle semblait très capable.
Elle était dehors tout l'hiver.
Seule.
Imaginez.
Vous, vous étiez ensemble,
avec vos amis.
Elle n'avait que les mordeurs.
On l'a amenée ici pour l'aider,
mais il était trop ***.
Elle avait vécu comme ça
trop longtemps.
Est-ce qu'elle a dit quelque chose ?
Comme quoi ?
J'en sais rien !
Sur ce qui l'a paniquée !
Non.
J'espère
que ça ne nous affectera pas.
Comment ça ?
On a appris ses liens
avec le groupe de la prison.
- J'espère n'avoir rien compliqué.
- Non.
Écoutez,
Martinez a besoin d'un coup de main.
J'apprécierais votre aide.
- Volontiers.
- Merci.
Elle est partie ?
- Ils vont la poursuivre ?
- Non.
C'est moi qui y vais.
Ça aussi, ça vous dérange ?
Laissez-la partir.
Pourquoi je ferais ça ?
Elle veut être avec ses amis.
Vous en aviez parlé ?
Si.
Vous saviez qu'elle allait partir.
Elle me l'a dit.
Vous avez discuté de quoi d'autre,
tous les deux ?
De mon offre ?
Vous lui avez parlé de Michonne ?
Elle sait, hein ?
Putain !
Soyez prêts à partir très bientôt.
- On va où ?
- On va pas poursuivre cette fille ?
Pourquoi, ce serait un problème ?
Elle était secouée. C'est sûr
qu'elle ne voulait pas rester.
À elle de se démerder, d'accord ?
On a un autre truc à faire.
Pas facile à expliquer.
Rendez-vous au véhicule dans 5 minutes.
- Quelle fille ?
- Andrea a passé le mur.
Pendant votre garde ?
Vous l'avez laissée partir ?
Je les ai entendus parler.
Elle est dangereuse.
C'est peut-être pas elle,
le problème.
Elle a raconté des trucs dingues.
Tu sais pourquoi ?
Parce qu'elle est dingue.
- Ne gâche pas tout.
- Je surveille nos arrières.
- Pour vous deux, peut-être.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
On est bien ici.
Je veux pas qu'on me vire
à cause de toi.
Ils sont sur les dents
depuis l'attaque du taré de cow-boy
et de la meuf au sabre.
Et toi, tu fais des vagues.
- Il faut suivre le mouvement.
- C'est ce que je fais.
Ce mec ne te fait pas confiance.
Ne fais pas tout foirer.
Vas-y mollo, mon pote.
Sinon quoi ?
Tu vas encore m'humilier
devant mon fils ?
Recommence pas.
Pour Donna,
j'étais là par hasard,
ça aurait pu être un autre.
Mais c'était pas le cas.
C'était toi.
Tu crois que c'est le moment ?
Ça traîne depuis un bail.
Vous nous rattraperez.
Viens, Ben.
Oui, c'était moi.
Je lui ai sauvé la vie.
J'étais là au bon moment.
Et après, elle était collée à toi
comme un chiot perdu.
Son chevalier
à l'armure étincelante.
Je me sentais...
J'aurais pu le faire.
- Je sais.
- Elle, non !
Bien sûr que si, elle le savait.
Elle avait peur, c'est tout.
Ça n'avait rien à voir avec toi
ni moi.
Hé, j'avais dit 5 minutes !
On y va.
Démarre.
C'est pas terminé.
Merde !
- C'est quoi, ça ?
- Le jackpot, poupée.
- Vous visez l'extermination ?
- On peut dire ça.
Pas de tri, aujourd'hui.
On en veut le maximum.
D'accord.
Ils ont une utilité ?
Tout a une utilité.
Ça a un rapport
avec le rendez-vous de demain
avec ceux de la prison ?
Un bon point pour monsieur.
- Vous emmenez des mordeurs ?
- Allen, au boulot.
C'est génial.
Petit, sors les colliers du pick-up.
C'est pas moral.
Tu vas faire des histoires ?
Jeter des gens aux mordeurs !
Tu en as quoi à foutre ?
C'est de la vermine.
- C'est atroce.
- File-moi un coup de main.
Ty, tu es sourd ?
Je ne ferai pas ça.
Ils ont des femmes et des enfants.
Vous pouvez pas faire ça !
Comme tu voudras. En rentrant,
va dire ça au Gouverneur.
Il te fichera dehors.
Et vous tous !
- C'est inutile. Putain !
- Du calme.
On s'est débrouillé.
On recommencera.
On débarrasse le plancher,
si vous le voulez.
Ne parle pas pour nous.
Ne renvoie pas mon fils dehors.
Je le protégerai.
Comme tu as protégé Donna ?
- Tyreese !
- Lâche-le !
Me touche pas !
Vas-y !
Allez !
Je t'en prie.
Fais-le !
Ça va ?
Tout ça était très productif.
Shump, ramène-les.
Qu'ils aillent faire du tricot.
Merde !
Andrea !
Rentre avec moi.
Rentre à Woodbury.
On a besoin de toi.
On a tous besoin de toi.
Tu y es chez toi, maintenant.
Tes amis.
Ta ville.
Tu ne peux pas
tous les abandonner.
S'il te plaît, Andrea.
Rentre à la maison.
Comme tu voudras.
Il est temps de rentrer.
Andrea...
Oui, chut !
- Vous l'avez trouvée ?
- Non, pas de chance.
Quelqu'un a fait cramer
les mordeurs de la fosse.
Qui ?
On a quelques fouteurs de merde.
Tyreese et sa sœur.
Envoie-les à la réserve.
Le reste du groupe aussi.
D'accord.
Il nous faut des mordeurs.
Trouves-en.
À vos ordres.
Pardon de vous avoir fait attendre.
Vous l'avez trouvée ?
Et j'ai failli ne pas revenir.
Je chercherai encore demain.
Il paraît que vous avez fait
du grabuge près de la fosse ?
Vous êtes en conflit avec Rick,
c'est une chose.
De là à jeter
ses enfants aux mordeurs...
On ne jette personne aux mordeurs.
J'ai vu les remorques.
C'est pour leur faire peur.
C'est du bluff.
Je préfère leur faire peur
pour qu'ils fuient
plutôt que de mener
une nouvelle bataille.
J'essaie d'épargner des vies.
C'est de la poudre aux yeux ?
Les gens craignent plus
un mordeur en laisse
qu'un pistolet pointé sur eux.
C'est très efficace.
Pourquoi votre lieutenant
n'a pas dit ça ?
Parce que...
On ne révèle pas nos tactiques
aux gens qu'on ne connaît pas bien.
Gouverneur, écoutez,
j'ai tendance à parler trop vite.
En vérité, on veut rester.
J'ai vu rouge.
Ça ne se reproduira pas.
Je suis heureux de l'entendre.
Où vous avez trouvé l'essence ?
Je vous demande pardon ?
Ça ne fait rien.
Elle est morte ?
J'espère que non.
Est-ce que ça va ?
Mieux que jamais.
C'est dommage
ce qui s'est passé à la fosse.
Vous avez su, alors ?
J'espère que vous trouverez
qui a fait ça.
C'est déjà fait.
Traduction : VSI - PARIS
Adaptation : Deluxe