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La légende raconte l’histoire d’un vieux marin.
Avec les noms de cent femmes sur son corps.
Buvant de l’alcool, Assidu et querelleur...
Ils disent qu’au port d’El Masnou. On peut toujours voir... Son âme courir.
Une nuit de plus dans une taverne.
La mort est de sortie avec un couteau Et elle n’ira pas toute seule.
Dans chaque port une femme pleure de chagrin.
Pour l’homme avec une âme de marin Qui vit une vie pleine d’inquiétude.
Viens encore une fois, perdons-nous dans la ville.
Comme si nous étions en mer... Sans chercher à aller quelque part en particulier.
Et au matin nos péchés guériront...
Auprès du feu doux de l’enfer.
La ville s’endort Mais ses recoins rompent le silence...
Le chant des lames qui s’entrechoquent... Bénit la proclamation.
Est-ce l’alcool? Ou le désire de me perdre dans ton lit?
Mais jolie fille, j’ai déjà perdu le cap. Et nous dérivons.
Le petit matin révèle la disgrâce...
Gardant avec amour nos secrets Sans dire à personne.
Avec pénitence et péchés ma vie continue. Comme la vie d’un homme avec une âme de marin qui vit sa vie pleine d’inquiétude.
Viens encore une fois, perdons-nous dans la ville.
Comme si nous étions en mer... Sans chercher à aller quelque part en particulier.
Et au matin nos péchés guériront...
Auprès du feu doux de l’enfer.
Viens encore une fois, perdons-nous dans la ville.
Comme si nous étions en mer... Sans chercher à aller quelque part en particulier.
Et au matin nos péchés guériront...
Auprès du feu doux de l’enfer.