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Que Dieu est grand
et exalté en puissance ! Il est plus majestueux que tout ;
les cieux racontent Sa grandeur
et l’étendue manifeste Sa merveilleuse création.
Jour après jour, ils ne cessent de parler.
Et chaque nuit, ils Le font connaître.
En créant les cieux, Dieu créa aussi la terre et,
à partir de la poussière du sol, Il créa l’homme
et lui insuffla dans les narines le souffle de vie.
Le Dieu d’amour créa l’homme et la femme à Sa ressemblance
pour qu’ils soient en relation avec lui.
Ainsi, au commencement, ils révéraient et honoraient Dieu
et ils vivaient en harmonie avec Lui.
Il en fut ainsi jusqu’au jour où Satan tenta la femme pour
lui faire manger le fruit défendu.
Elle le donna à l’homme qui en mangea aussi.
Ce faisant, l’être humain se rebella contre Dieu
et suivit son propre chemin.
À cause de ce péché, l’être humain fut séparé de Dieu
et jeté hors du Jardin d’Éden.
Mais Dieu aimait toujours l’être humain.
Il n’avait jamais souhaité être séparé de Sa création.
Cependant, comment Dieu pourrait-il être saint et source de toute justice
s’il ne jugeait pas l’être humain à cause de son péché ?
Dans Son Livre Saint, Dieu révèle Son plan
pour sauver le monde de Son jugement.
Abraham fut l’un des premiers à découvrir ce plan.
Abraham était un homme juste. Dieu lui fit la promesse de le bénir
et de rendre ses descendants aussi nombreux que
le sable de la mer et que les étoiles du ciel.
Pour mettre son obéissance à l’épreuve, Dieu dit à Abraham
de sacrifier son fils en offrande pour Lui.
Abraham fit confiance à Dieu et chercha à Lui obéir.
Alors qu’il levait le couteau pour tuer son fils,
L’ange du Seigneur l’arrêta.
Il vit qu’Abraham craignait Dieu et voulait Lui obéir.
Puis Abraham vit un bélier retenu par les cornes dans un buisson
et il le sacrifia à la place de son fils
en offrande à Dieu.
Par ce moyen Dieu montra à Abraham qu’un agneau ou un animal similaire
devait être tué pour couvrir pour un temps le péché
jusqu’à ce que Dieu pourvoie au sacrifice ultime qui paierait
pour les péchés de l’humanité.
De même que le péché avait séparé l’humanité de Dieu,
ce sacrifice allait restaurer leur relation.
Les Saintes Écritures parlent de celui qui allait venir
pour être le sacrifice ultime pour les péchés du monde.
Tout comme le bélier avait pris la place du fils d’Abraham,
ainsi, il allait prendre la place de l’homme pour que
celui-ci puisse être pardonné.
Certains parlent de cette personne comme du Messie,
Celui qui viendrait pour réconcilier une fois pour toutes
le monde avec Dieu.
Les prophètes ont prédit en détail de nombreuses choses concernant
le Messie des centaines d’années avant Sa venue.
Le prophète Esaïe a prédit qu’Il naîtrait
de façon miraculeuse:
Une vierge attendrait un enfant qu’on appellerait,
spirituellement parlant, le Fils de Dieu.
Le prophète Michée a prédit que le Messie
naîtrait à Bethléem;
Tandis que le prophète Zacharie a dit à l’avance
qu’Il ferait Son entrée dans Jérusalem sur un âne;
Et que Judas, l’un de ceux qui le suivaient, le trahirait.
Esaïe a prophétisé ce que le Messie ferait lors de Sa venue:
L’Eternel m’a oint pour porter la bonne nouvelle aux malheureux,
pour guérir les cœurs brisés, pour proclamer aux captifs
la liberté et annoncer que le temps vient où l’Eternel
va sauver Son peuple.
Qui était donc le Messie?
Au premier siècle, vint un prophète appelé Jésus.
Certains pensèrent qu’Il était Celui dont parlaient les prophètes.
Est-ce possible ?
Sa vie a-t-elle accompli ce qu’on avait prédit de Lui?
Jésus était-Il plus qu’un prophète?
Ce qui suit est son histoire basée sur des témoignages oculaires
rapportés dans les Saintes Écritures.
Un acteur joue le rôle de Jésus
et bien qu’aucun acteur ne soit digne d’un tel rôle,
ce film a été tourné ainsi afin que nous puissions
comprendre et bénéficier de la vie de Jésus.
J'écris pour toi, cher Théophile,
un récit ordonné des évènements qui se sont passés parmi nous.
Je le fais pour que tu reconnaisses l'entière véracité des enseignements que tu as reçus.
Au temps où César Auguste était empereur de Rome
et Hérode le Grand, roi de Judée,
Dieu envoya l'ange Gabriel dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,
chez une fille vierge nommée Marie.
N'aie pas peur Marie...
car tu as trouvé grâce devant Dieu.
Tu concevras et tu enfenteras un fils
à qui tu donneras le nom de Jésus.
Comment est-ce possible ? Je sui vierge
Le Saint-Esprit viendra sur toi.
C'est pourquoi le saint enfant sera appelé
le Fils de Dieu. Son royaume est éternel.
Alors Marie se rendit dans une ville des montagnes de Judée,
chez sa cousine Elisabeth, elle aussi miraculeusement enceinte.
Elisabeth !
Marie ! Cousine, Marie !
Tu es bénie entre toutes les femmes
et l'enfant que tu portes lui aussi est béni.
Car à l'instant où tu m'as salué le bébé qui est en mon sein a remué d'allégresse.
Mon âme exlate et magnifie le Seigneur.
Et mon esprit a trouvé la joie en Dieu mon Sauveur.
Désormais tous les âges diront mon bonheur.
Sachez, hommes de Nazareth,
que l'empereur César Auguste a décidé
un édit exigeant un recensement
sur les territoires occupés de Galilée et de Judée.
Tous doivent aller se faire inscrire,
chacun dans sa ville natale.
Et Marie se rendit à Bethléhem en Judée
avec son fiancée Joseph, pour se faire recenser.
Mais il n'y avait pas de place pour eux à la maison des voyageurs
et ils durent se loger dans une humble étable.
Dans les champs environnants, des bergers passaient la nuit
pour garder leurs troupeaux. Soudain, un ange de Dieu leur apparut
et la gloire du Seigneur resplendit autour d'eux.
Aujourd'hui, dans la ville de David, un Sauveur vous est né,
c'est le Christ, le Seigneur.
Les bergers allèrent vite voir le bébé qui était couché dans une mangeoire.
Ils étaient les premiers à répandre l'évangile, la bonne nouvelle du Sauveur
né d'une vierge.
Lorsque, huit jours plus ***, arriva le moment de circoncire l'enfant,
on lui donna le nom de Jésus.
Puis Joseph et Marie l'amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur.
Il y avait au temple un homme droit et pieux nommé Siméon.
L'esprit de Dieu lui avait révélé
qu'il ne mourrait pas avant d'avoir vu le Messie, l'envoyé du Seigneur.
Maintenant Seigneur ; tu peux laisser ton serviteur
mourir en paix, -Tu as tenu ta promesse.
Car de mes yeux j'ai vu le Sauveur
qui vient de toi.
Que le Très Haut vous bénisse.
Après avoir accompli tout ce que la loi du Seigneur ordonnait,
Marie et Joseph retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur village.
Lorsque Jésus eut douze ans,
Joseph et Marie l'amenèrent à Jérusalem pour les fêtes de la Pâque.
Mais quand ils repartirent, Jésus resta à Jérusalem,
et ses parents ne s'en aperçurent pas
tout de suite.
Ils retournèrent à Jérusalem pour le chercher.
Et le troisième jour ils le retrouvèrent au temple
assis au milieu des maîtres religieux.
Qui est cet enfant qui pose tant de questions ?
Il vient de Nazareth.
Nous le croyions reparti avec nous. Veuillez excuser sa ferveur.
Tous étaient frappés par son intelligence.
Mon enfant, pourquoi nous as-tu fais cela ?
Nous étions très inquiets en te cherchant partout, ton père et moi.
Pourquoi m'avez-vous cherché ?
Ne saviez-vous pas que je dois m'occuper des affaires de mon Père ?
Jésus retourna avec eux à Nazareth. Il grandissait et se fortifiait en sagesse.
Et la faveur de Dieu et des hommes était avec lui.
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C'était la quinzième année du règne de l'empereur Tibère.
Ponce Pilate était gouverneur de Judée
et Hérode régnait sur la Galilée
Anne et Caïphe étaient les grands-prêtres.
Cette année-là, Dieu confia son message à Jean, dans le désert.
Il parcourait la région du Jourdain proclamant un baptême
en signe de repentance afin que Dieu pardonne les péchés.
Éloignez-vous du péché ! Faites-vous baptiser !
et Dieu pardonnera vos péchés.
Ainsi qu'il est écrit au livre des paroles du prophète Esaïe :
Une voie crie dans le désert :
Préparez le chemin du Seigneur.
Rendez droits ses sentiers.
Tout ravin sera comblé.
Toute montagne et toute colline seront abaissées !
Les passages tortueux seront redressés,
les chemins rocailleux aplanis :
Et tous les hommes verront le salut de Dieu !
Que devons-nous faire ?
Ô, vous race de vipères !
Qu'attends-tu de nous ?
Que celui qui possède deux vêtements
en donne un à l'homme qui n'en a aucun.
Et que celui qui a de quoi manger partage ce qu'il a.
Maître,
et nous, les collecteurs d'impôts
que devons-nous faire ?
N'exigez rien de plus que ce qui est légal.
Mais pour nous, Soldats, Que conseilles-tu ?
Eh bien, n'extorquez d'argent à personne,
et ne dénoncez personne sans raison.
Contentez-vous de votre paie.
Dis-nous. Es-tu le Christ ?
Moi, Je vous baptise dans l'eau.
Mais un autre bien plus puissant que moi arrivera.
Je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales.
C'est lui qui vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.
Il séparera le grain de la paille
et il amassera tout le grain dans son grenier.
Et le Saint-Esprit descendit sur Jésus sous la forme d'une colombe.
Et une voix se fit entendre du ciel :
Tu es mon fils bien-aimé,
tu fais toute ma joie.
Jésus avait environ trente ans lorsqu'il commença son oeuvre.
Rempli du Saint-Esprit, il revint du Jourdain
et l'Esprit le conduisit dans le désert
où il fut tenté par le diable durant quarante jours.
Il ne mangea rien pendant ces jours-là. Puis, il eut faim.
Alors le Diable lui dit:
Si tu es le fils de Dieu,
ordonne donc à cette pierre de se changer en pain.
Il est écrit que l'homme ne vivra pas seulement de pain,
mais de toute parole que Dieu prononce.
Le diable l'emmena sur une hauteur lui montrant en un instant
tous les royaumes de la terre.
Je te donnerai tout ce pouvoir avec la gloire de ces royaumes,
parce que c'est à moi qu'il a été remis
et que je le donne à qui je veux.
Toi donc, si tu m'adores
tu l'auras tout entier.
Il est écrit, Tu adoreras le Seigneur ton Dieu.
et tu ne serviras que Lui.
Le diable le conduisit ensuite à Jérusalem,
et le plaça tout en haut du temple.
Si tu es le fils de Dieu, jette-toi d'ici en bas,
car il est écrit que
Dieu ordonnera à ses anges de te garder.
Il est écrit aussi qu'ils te porteront sur leurs mains
de peur que ton pied ne heurte quelque pierre.
Il est écrit,
Tu ne mettras pas à l'épreuve le Seigneur ton Dieu.
Jésus alla à Nazareth le village de son enfance.
Bonjour.
Bonjour.
Le jour du culte, il entra à la synagogue, selon son habitude.
On lui demanda de lire un passage du livre du prophète Esaïe.
L'Esprit du Seigneur est sur moi.
Il m'a choisi pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres.
Il m'envoie proclamer la délivrance aux captifs,
le recouvrement de la vue aux aveugles.
Pour donner la liberté aux opprimés,
et proclamer l'année de grâce accordée par le Seigneur.
Aujourd'hui, cette parole devient réalité, Alors que vous l'entendez.
La parole s'accomplit !
Mais il n'y a que le Messie qui puisse la réaliser !
Vous me citerez sans doute ce proverbe: Médecin, guéris-toi toi-même.
Vous me direz aussi : Accomplis dans ta propre ville,
ce que tu as fait à Capernaüm.
Oui, je vous le dis :
Nul prophète n'est bien reçu dans son pays.
Ils voulurent le précipiter du haut d'une falaise.
Mais il passa au milieu de la foule, et s'en alla.
Il se rendit alors à Capernaüm, ville de Galilée.
L'occupation romaine du pays était partout en évidence,
et les gens souhaitaient ardemment la venue du Messie
qui les libérerait de cette tyrannie.
La paix soit avec toi.
Et avec toi, Maître.
M'embarqueras-tu, Simon?
Pourquoi pas ?
Il ne va pas nous quitter ?
Parle-nous ! Jésus, parle-nous !
Un jour, deux hommes se présentèrent au temple pour prier ;
l'un d'eux était chef religieux, l'autre collecteur d'impôts.
Le chef religieux se tenait à part et priait :
Ô Dieu, je te remercie de ne pas
être avare, malhonnête et adultère comme les autres hommes,
en particulier de ne pas être comme ce collecteur d'impôts là-bas.
Je jeûne deux jours par semaine, je donne un dixiéme de tous mes revenus.
Mais le collecteur d'impôts se tenait à part
et n'osait même pas lever les yeux.
Il se frappait la poitrine en disant :
Dieu, aie pitié du pécheur que je suis.
Je vous l'assure, c'est ce dernier et non pas l'autre
qui rentré chez lui, fut déclaré juste devant Dieu.
Car tout homme qui s'élève sera abaissé,
et celui qui s'abaisse, sera élevé.
Avance ta barque plus loin dans les eaux profondes.
Puis, toi et tes compagnons, jetez vos filets pour la pêche.
Ô Maître, nous avons pêché dur toute la nuit, et sans rien prendre.
Mais si tu le dis, je lance les filets.
Jacques ! Jean !
Jacques ! Jean ! Approchez votre barque ! Venez nous aider ! Vite !
Pas possible ! Nous sommes occupés ! On n'a jamais pris autant !
Eloigne-toi de moi, Seigneur, car le péché est en moi.
N'aie pas de crainte, car tu pêcheras des hommes désormais.
Tendez l'oreille et venez à moi, écoutez, et votre âme vivra...
Cherchez l'Éternel pendant qu'il se trouve ; invoquez-le tandis qu'il est près.
Que le coupable abandonne sa voie, et l'homme malfaisant ses pensées ;
qu'il revienne à l'Éternel, qui aura compassion de lui...
qui pardonnera généreusement.
Vous sortirez dans la joie et vous serez conduits dans la paix.
Il vient ! C'est lui ! Regardez !
Jésus ! Jésus !
Je te prie de sauver ma fille unique ! Ô Maître, aie pitié !
Ella va mourir et elle n'a que douze ans !
Vite, Maître, viens !
Jaïrus, je suis désolé. Ta fille est morte.
Ne dérange plus le Maître. Jésus !
Ne crains rien.
Crois seulement, et ta fille guérira.
Ne pleure pas.
Elle n'est pas morte. Elle est endormie.
Enfant,
lève-toi.
Donnez-lui à manger,
mais ne dites rien, Personne ne doit être mis au courant.
Après cela, Jésus remarqua un collecteur d'impôts nommé Matthieu-Lévi,
qui était assis à son poste de péage.
Suis-moi.
Puis Jésus monta sur une colline pour y prier,
et passa toute la nuit là, à prier Dieu.
A l'aube, il appela douze de ses disciples et les nomma apôtres.
Simon, qu'il appela aussi Pierre
et André, son frère
Jacques
et Jean
Philippe.
et Barthélémy
et Matthieu
et Thomas
Ainsi que Jacques, fils d'Alphée
et Simon, appelé Zélote
et aussi Judas, le fils de Jacques.
Et Judas Iscariot, qui devait le trahir.
Heureux vous les pauvres, car le Royaume de Dieu est à vous.
Heureux vous qui avez faim, car vous serez rassasiés.
Heureux vous qui pleurez maintenant, car vous rirez.
Heureux ceux qui seront haïs, méprisés, insultés
et traités de mauvais à cause du Fils de l'Homme.
Réjouissez-vous alors et dansez de joie
car une belle récompense vous attend dans le ciel.
En effet, c'est ainsi que leurs ancêtres ont traité les prophètes.
...seize ...dix-sept, dix-huit, dix-neuf et vingt...
C'est tout ce que j'ai.
Comment ça, c'est tout ce que tu as ?
Malheur à vous qui possédez des richesses.
Car vous avez eu votre bonheur.
Il ne veut pas être riche ! Il est fou !
Malheur à vous qui riez maintenant.
Car vous vous connaîtrez le deuil et les larmes.
Malheur à vous quand tous les hommes disent du bien de vous
car leurs ancêtres ont fait pareillement avec les faux prophètes.
Mais je vous dis, à vous qui m'écoutez, aimez vos ennemis.
Faites du bien à ceux qui vous haïssent.
Bénissez qui vous maudit.
Priez pour ceux qui vous calomnient.
Si quelqu'un te donne une gifle sur une joue,
offre lui aussi l'autre.
Et à qui te prend ton manteau,
ne refuse pas non plus ta chemise.
Et donne à tous ceux qui te demandent.
Et si quelqu'un te prend ton bien,
ne lui demande pas de te le rendre.
Faites aux autres, ce que vous voudriez que les autres fassent pour vous.
Si vous aimez seulement ceux qui vous aiment,
Quelle reconnaissance en attendre ?
Même les pécheurs aiment ceux qui les aiment.
Et si vous ne faites du bien qu' à ceux qui vous en font,
quelle reconnaissance vous en a-t-on ?
Les pécheurs en font autant.
Comment a-t-il pu la toucher ?
Et lui adresser la parole ?
Ça me dégoûte !
Non, aimez vos ennemis, et faites-leur du bien.
Prêtez sans rien espérer en retour.
Alors votre récompense sera grande,
et vous serez les fils du Très-Haut
parce qu'il est lui-même bon pour les ingrats et les méchants.
Soyez généreux, tout comme votre Père est généreux.
Sauve-nous Jésus !
Ne jugez pas et vous ne serez pas jugés.
Ne condamnez pas, et on ne vous condamnera pas.
Pardonnez, et on vous pardonnera.
Donnez, et ainsi vous recevrez.
car la mesure que vous employez servira aussi pour vous.
Jésus, montre-nous le chemin !
Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ?
Non, ils tomberont alors tous deux dans le fossé.
Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'oeil de ton frère,
et ne remarques-tu pas la poutre qui est dans le tien ?
Ô Maître, guide nos pas !
Nous avons besoin de toi, Maître !
Heureuse est la mère qui t'a porté et allaité !
Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui l'observent.
Je voudrais connaître cet homme.
Penses-tu qu'il pourrait être notre Messie ?
Et ce chef religieux, Simon, invita Jésus à manger avec lui.
Jésus se rendit chez lui et se mit à table.
Allons les enfants, laissez-nous.
Vous m'entendez ; allons !
Ah ! Ces enfants, ils ne sont jamais tranquilles.
(à voix basse) Que vient-elle faire là ?
Je ne sais pas.
Si cet homme était vraiment un prophète,
il saurait qui est cette femme qui le touche.
Il saurait qu'elle est une femme de mauvaise vie.
Je sais qui est cette femme, Simon.
Alors, écoute ceci.
C'est l'histoire d'un prêteur à qui deux hommes devaient de l'argent.
L'un lui devait cinq cent pièces d'argent et l'autre cinquante,
Aucun des deux ne pouvant le payer,
il leur fit grâce de leurs dettes.
Lequel des deux l'aima le plus ?
Celui, je pense, auquel il avait remis la plus grosse dette.
Tu as raison.
Vois-tu cette femme ?
En arrivant,
tu ne m'a pas versé d'eau sur les pieds ;
elle m'a baigné les pieds de ses larmes
et les a essuyés avec ses cheveux.
Tu ne m'as pas embrassé pour m'accueillir,
mais elle n'a pas cessé de m'embrasser les pieds.
Tu n'as pas répandu d'huile sur ma tête.
Mais elle a répandu du parfum sur mes pieds.
Je vous le dis : ses nombreux péchés sont pardonnés,
c'est pourquoi elle montre tant d'amour.
Mais celui à qui on pardonne peu,
manifeste peu d'amour.
Tes péchés te sont pardonnés.
Ta foi t'a sauvée. Va en paix.
Jésus annonçait la bonne nouvelle du Royaume de Dieu.
Les douze disciples l'accompagnaient,
ainsi que quelques femmes qui avaient été délivrées d'esprits mauvais.
Marie, appelée Madeleine,
Jeanne, femme de Chouza, administrateur à la cour d'Hérode,
et Suzanne.
Hérode, gouverneur de Galilée sous les Romains, fit mettre Jean-Baptiste
en prison parce que celui-ci lui reprochait d'avoir épousé la femme de son frère.
Alors?
Nous arrivions à la porte de Naïn, On menait un mort au cimetière.
C'était le fils unique d'une veuve.
Quand Jésus la vit, il eut pitié d'elle.
Il toucha le cercueil et dit : Jeune homme, lève-toi !
Le mort alors se redressa.
Et Jésus le rendit à sa mère.
Demande-lui : dis, es-tu vraiment celui qui devait venir,
ou, devons-nous en attendre un autre ?
Maître !
Maître !
C'est Jean-Baptiste qui nous envoie :
Es-tu vraiment celui qui devait venir
ou devons-nous en attendre un autre ?
Dites-lui ce que vous avez vu et entendu.
les aveugles voient, les boiteux marchent.
Bienheureux qui ne perdra pas sa foi en moi.
Je veux le voir !
Monte sur mes épaules. Là, tu le vois ?
Ah, oui ! Je vois Jésus !
Un jour, un homme sortit pour semer.
Et tandis qu'il semait, du grain tomba sur le chemin ;
il fut piétiné
et les oiseaux du ciel ont tout mangé.
Une partie tomba parmi les pierres, et après avoir poussé
elle dessécha par manque d'humidité.
Une autre partie tomba parmi les ronces,
et les ronces levèrent avec le grain, et l'étouffèrent.
Mais une partie tomba en bonne terre,
et les graines germèrent et produisirent du fruit, chaque grain donna cent autres.
Maître ! Dis-nous, pourquoi parles-tu en paraboles devant les foules ?
Vous avez reçu le privilège de connaître les secrets du royaume de Dieu.
Mais pour les autres, cela est dit en paraboles...
ainsi, bien qu'ils regardent, ils ne voient pas...
bien qu'ils entendent, ils ne comprennent pas.
Voici le sens de cette parabole.
Le grain, est la parole de Dieu.
Le grain tombé au bord du chemin sont ceux qui entendent.
Mais ensuite, le diable survient et enlève cette parole de leur coeur
pour les empêcher d'y croire et d'être sauvés.
La grain qui tombe en terre
pierreuse représente ceux qui reçoivent la parole et en sont joyeux.
Mais elle ne prend pas racine.
Pendant un moment, ils croient,
mais au moment de l'épreuve, ils abandonnent tout.
Ce qui est tombé dans les ronces ce sont ceux qui entendent,
mais se laissent étouffer par les soucis,
les richesses, et les plaisirs de la vie.
Leurs fruits ne mûrissent jamais.
Et le grain tombé en bonne terre,
ce sont ceux qui entendent la parole dans un coeur loyal et bon,
et qui la retiennent. Leur persévérance portera ses fruits.
Personne n'allume une lampe pour la recouvrir, ou la mettre sous un lit.
Non, on la met sur un support...
afin que ceux qui entrent dans la pièce puissent voir clairement.
Car il n'y a rien de secret qui ne paraîtra au jour...
rien de caché qui ne doive être connu et venir au grand jour.
Écoutez donc avec attention.
Car à celui qui a, il sera donné.
Mais celui qui n'a rien, il se verra enlevé
même le peu qu'il croit avoir.
Maître... Ta mère et tes frères se tiennent là-dehors. Ils voudraient te voir.
Ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu,
et y obéissent.
Un jour Jésus monta dans une barque avec ses disciples et leur dit :
Passons de l'autre côté du lac.
Ils gagnèrent le large. Pendant la traversée Jésus s'endormit.
Maître ! Maître !
Jésus !
Nous allons tous mourir !
Les vagues sont trop fortes. Nous allons couler !
Sauve nous !
On va s'en sortir !
Où est votre foi ?
Puis, traversant le lac, ils abordèrent le pays des Géraséniens,
lequel fait face à la Galilée.
Jésus, Fils du Dieu Très Haut,
que veux-tu de moi ?
Je t'en prie, ne me punis pas
Quel est ton nom ?
Légion.
Nous te supplions, ne nous jette pas dans l'abîme.
Laisse-nous entrer, dans ce troupeau de porcs.
Hé !
Revenez !
Arrêtez ! Arrêtez !
Et les démons sortirent de l'homme...
et entrèrent dans les porcs.
Va-t-en d'ici !
Magicien !
Va-t-en !
Laisse-nous en paix !
Va-t-en !
Va-t-en d'ici !
Je veux te suivre partout.
Laisse-moi, t'accompagner.
Rentre chez toi, et dis ce que Dieu a fait pour toi.
Maître, dis leur de s'en aller.
Renvoie-les dans les fermes et les villages des environs...
pour qu'ils se logent et se ravitaillent.
Cet endroit est désert.
Donnez-leur vous-mêmes à manger.
Mais, nous n'avons rien à part cinq pains et deux poissons.
Béni sois-tu, Seigneur notre Dieu, qui règne sur l'univers,
qui fait sortir le pain de la terre.
C'est un miracle ! C'est incroyable !
Que disent les gens à mon sujet ?
Certains disent que tu es Jean-Baptiste, pour d'autres encore, tu es Élie,
et puis certains croient que l'un des prophètes d'autrefois,
est revenu à la vie.
Et à votre avis ? Qui dites-vous que je suis ?
Tu es le Messie, l'envoyé de Dieu.
N'en dites rien à personne.
Le Fils de l'Homme doit souffrir beaucoup, puis être rejeté.
Il sera mis à mort,
mais trois jours après, il reviendra à la vie.
Qui d'entre vous me suivra ?
Je te suivrai, Seigneur.
Mais d'abord, laisse-moi aller dire adieu à ma famille.
Quiconque met la main à la charrue puis regarde en arrière,
n'est pas fait pour le Royaume de Dieu.
Si quelqu'un veut venir à ma suite,
qu'il renonce à lui-même...
et prenne sa croix chaque jour, et qu'il me suive.
Car celui qui veut sauver sa vie la perdra.
Mais celui qui perd sa vie à cause de moi la sauvera.
A quoi sert-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?
Si un homme a honte de moi, et des paroles que je dis,
alors le Fils de l'Homme aura honte de lui
quand il viendra dans sa gloire
et dans la gloire du Père et celle des saints anges.
Je vous le dis,
certains d'entre vous ne mourront pas avant d'avoir vu le règne de Dieu.
Puis Jésus prit avec lui Jean, Jacques, et Pierre...
et monta sur une montagne pour y prier.
Pendant qu'il priait son visage changea d'aspect
et ses vêtements devinrent d'une blancheur éblouissante.
Soudain, il y eut là deux prophètes d'autrefois qui s'entretinrent avec lui.
Moïse et Élie entourés d'une gloire céleste.
Tu accompliras la volonté de Dieu.
Tu mourras à Jérusalem.
Au moment où Moïse et Élie quittaient Jésus, Pierre dit :
Maître, il est bon que nous soyons ici.
Alors dressons trois tentes.
Une pour toi, une pour Moïse et une pour Élie.
Pendant qu'il parlait, un nuage se forma et les enveloppa.
Les disciples eurent peur.
Alors, du nuage une voix se fit entendre :
Celui-ci est mon fils, Je l'ai choisi. Écoutez-le.
Maître !
Maître ! Je t'en prie, regarde mon fils.
Aide-le, je t'en prie, C'est mon unique enfant.
J'ai prié tes disciples de chasser l'esprit qui est en lui.
Mais ils n'ont pu rien faire.
Génération incrédule et pervertie,
combien de temps encore devrais-je vous supporter ?
Amène-moi ton fils.
Son visage est guéri aussi. C'est merveilleux !
Apprends-nous à prier. Comme Jean l'a appris à ses disciples.
Quand vous priez, dites :
Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous chaque jour notre pain quotidien,
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Protège-nous contre la tentation.
Et délivre-nous du mal.
Demandez et vous recevrez,
cherchez et vous trouverez,
frappez et l'on ouvrira la porte.
Car tout homme qui demande reçoit.
Celui qui cherche trouvera,
et à celui qui frappe, on ouvrira la porte.
Si l'un de vous est père,
donnera-t-il à son enfant un serpent quand il demande un poisson,
ou un scorpion quand il demande un oeuf ?
Si donc vous, qui êtes mauvais savez donner de bonnes choses à vos enfants.
A plus forte raison notre Père
céleste donnera-t-il l'Esprit-Saint à ceux qui le demandent.
Je vous le dis,
Ne vous demandez pas : qu'allons nous manger.
Avec quoi allons-nous nous habiller.
Car la vie est plus que la nourriture,
et le corps plus que le vêtement.
Observez les corbeaux.
Ils ne sèment ni ne moissonnent,
ils n'ont ni cellier ni grenier,
et Dieu les nourrit.
Et ne valez-vous pas bien plus que les oiseaux ?
Qui d'entre vous peut à force d'inquiétude, prolonger tant soit peu sa vie ?
Si donc vous êtes sans pouvoir, même pour si peu,
pourquoi vous mettre en souci du reste ?
Observez ces lis et, comment ils croissent.
Ils ne filent ni ne tissent, et pourtant,
Salomon lui même, dans toute sa gloire,
n'a jamais été vêtu comme l'un d'eux.
Si Dieu,
revêt ainsi l'herbe des champs, qui demain sera jetée dans le feu,
il fera donc bien plus pour vous,
ô gens de peu de foi.
Fais grandir notre foi.
Si votre foi était grosse comme une graine de moutarde,
vous pourriez dire à l'arbre qui est là : Déracine-toi
et va te planter dans la mer, et il vous obéirait.
Il y aura toujours des occasions de chute mais malheur à qui en sera la cause.
Il vaudrait mieux pour lui
qu'on attache à son cou une pierre et qu'on le jette à la mer,
pour qu'il ne provoque pas la chute de l'un de ces petits.
A quoi ressemble le Royaume de Dieu ? Il ressemble
à la graine de moutarde qu'un homme
prit et mit dans son jardin.
La graine poussa et devint un arbre
et les oiseaux du ciel nichèrent dans ses branches.
Je ne suis pas sûre de savoir de quoi il parle.
Comment peux-tu manger et boire avec ces collecteurs d'impôts ?
Les bien-portants n'ont pas besoin de docteur, seuls les malades l'attendent.
Je n'appelle pas ceux qu'on dit respectables à se repentir...
mais les pécheurs.
Parle-nous du Royaume de Dieu. Allez, raconte encore.
N'ayez pas peur, petit troupeau.
Car votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.
Vendez ce que vous possédez, et distribuez-en le produit aux pauvres.
Constituez-vous dans les cieux, un trésor inaltérable
et qui ne s'épuisera pas.
...aucun voleur ne pourra l'atteindre, et aucune mite l'entamer.
Car là où est votre trésor, là aussi sera votre coeur.
Femme, tu es délivrée de ton infirmité.
Regardez ! Elle est guérie !
C'est un miracle ! Oui, un miracle ! Venez voir !
Loué sois-tu Maître. Louons le Seigneur.
Dix-huit ans de misère. Merci, Maître !
Il y a six jours pour le travail, tu l'ignorais.
Viens donc te faire guérir un de ces jours-là,
pas le jour du sabbat.
Bande d'hypocrites !
Chacun de vous détache bien son âne ou son bœuf de
la mangeoire pour le mener à l'abreuvoir le jour du sabbat, n'est-ce pas ?
Alors, cette descendante d'Abraham que satan a tenu en son pouvoir
pendant dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer en ce jour du sabbat ?
Ô Bon Maître, que dois-je faire, pour obtenir la vie éternelle ?
Pourquoi m'appelles-tu bon ?
Personne n'est bon, sinon Dieu seul.
Tu connais les commandements :
Tu ne commettras pas d'adultère, tu ne tueras pas,
tu ne porteras pas de faux témoignage, tu respecteras ton père et ta mère.
Depuis ma jeunesse, j'ai obéi à tous ces commandements.
Il te reste encore une chose à faire.
Vends tout ce que tu as et distribue le produit aux pauvres,
et tu auras un trésor au ciel. Ensuite, viens et suis-moi.
Mais nous sommes des marchands, et riches.
Qu'il est difficile pour les riches d'entrer dans le royaume de Dieu.
Oui, il est plus difficile à un homme riche d'entrer dans ce royaume
qu'à un chameau de passer dans le trou d'une aiguille.
Mais alors, qui peut être sauvé ?
Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu.
Mais en fait où sera-t-il, le Royaume de Dieu ?
Le Royaume de Dieu ne viendra pas d'une façon spectaculaire.
Et personne ne dira, Regardez, Il est ici, ou il est là.
Car le Royaume de Dieu est au milieu de vous.
Le temps viendra où vous désirerez
voir un seul des jours du Fils de l'Homme,
mais vous ne le verrez pas.
En effet, quand le Fils de l'Homme reviendra, il sera comme l'éclair
qui jaillit d'un point à l'autre du ciel et illumine tout l'horizon.
Mais il faut d'abord qu'il souffre et qu'il soit rejeté
par les gens d'aujourd'hui.
Il est en fait plus facile au ciel et à la terre de disparaître
qu'au plus petit détail de la loi de s'effacer.
Bien des prophètes et des rois auraient voulu voir ce que vous voyez,
mais ne l'ont pas vu,
entendre ce que vous entendez, mais ils n'ont rien entendu.
Que devons-nous faire ?
Dans la loi, qu'est-il écrit ? Et comment la comprends-tu ?
Ton Seigneur Dieu tu aimeras de tout ton coeur,
de toute ton âme, de toutes tes forces, et de toute ta pensée.
Et tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Tu as raison. Fais cela et tu vivras.
Mais, qui est mon prochain ?
Un jour un homme descendait de Jérusalem vers Jéricho,
des brigands l'attaquèrent, il fut dépouillé, frappé,
et abandonné à moitié mort.
Il se trouva qu'un prêtre passait sur cette route.
Il vit l'homme ; il l'évita et passa de l'autre côté.
De même un serviteur du temple passa,
vit l'homme,
s'écarta, et s'éloigna rapidement.
Mais un étranger méprisé, un Samaritain, voyageait par là et trouva l'homme.
Quand il le vit, il éprouva une grande pitié.
Il s'approcha de lui, pansa ses plaies en y versant de l'huile et du vin,
Le chargea sur sa propre monture,
le conduisit à une auberge et prit soin de lui.
Le lendemain il donna deux pièces d'argent
à l'aubergiste et lui dit : Prends soin de lui,
et si tu dépenses quelque chose de plus,
c'est moi qui te rembourserai quand je repasserai.
A ton avis, lequel des trois passants
s'est montré le prochain de l'homme attaqué par les brigands ?
Celui qui était bon.
Alors faites de même.
Laissez les petits enfants venir à moi, ne les empêchez pas.
Car le Royaume de Dieu appartient à ceux qui leur ressemblent.
En vérité, je vous le dis,
celui qui ne reçoit pas le Royaume de Dieu comme un petit enfant
n'y entrera jamais.
Qui accueille cet enfant en mon nom, m'accueille moi-même.
Ainsi, il accueille aussi celui qui m'a envoyé.
Car le plus petit d'entre vous tous, est le plus grand.
Hé ! Qu'est-ce que c'est ? Que se passe-t-il ?
C'est Jésus de Nazareth qui passe par là.
Jésus !
Jésus !
Fils de David, aie pitié de moi !
Que veux-tu que je fasse pour toi ?
Je veux voir à nouveau.
Alors, vois !
Car ta foi t'as guéri.
Je vois !
Je vois de nouveau !
Oui ! Je vois !
Cet homme est vraiment un prophète.
Seigneur ! Maître ! Sauve-moi !
Seigneur ! Seigneur ! Sauve-nous ! Sauve-nous !
Dieu soit loué !
Seigneur, montre-nous le chemin.
Regardez ! C'est le collecteur d'impôts.
Zachée, descends et fais vite.
Car je dois loger chez toi aujourd'hui.
Chez moi ?
Qu'est ce qu'il va faire chez lui ?
Comment Zachée connait-il Jésus ?
Voilà,
je donne, la moitié des mes biens, aux pauvres,
et puis, si j'ai escroqué quelqu'un
je promets de rendre quatre fois plus.
Je n'y crois pas, je rêve, un collecteur d'impôts qui rembourse! C'est impossible!
Le salut vient d'entrer dans cette maison.
Car cet homme lui aussi est un descendant d'Abraham !
le Fils de l'Homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
Écoutez,
nous montons à Jérusalem,
ce que les prophètes ont écrit au sujet du Fils de l'Homme va s'accomplir.
En effet il sera livré aux païens,
soumis aux moqueries, on l'insultera, on crachera sur lui.
Il sera fouetté et mis à mort.
Puis, le troisieme jour, il ressuscitera.
Et Jésus prit résolument la route de Jérusalem.
Maître, demande à tes disciples de faire moins de bruit !
Je te le dis, si jamais ils se taisaient,
ce seraient les pierres qui crieraient de joie.
Paix, honneur, Gloire au Roi !
Si seulement, tu avais su comment trouver la paix,
mais à l'heure qu'il est cela t'est caché.
Maintenant des jours viendront, où tes ennemis, établiront contre toi
des ouvrages de siège, te cerneront de tous côtés
et ils te détruiront complétement Ils tueront tes enfants
et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre,
parce que tu n'as pas reconnu le temps où tu as été visitée.
Cinq, six, sept, huit, neuf....
vingt et un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq...
Il est écrit, ma maison sera une maison de prière,
mais vous en avez fait un repaire de brigands.
Hé ! Il se dirige vers mes bêtes !
Arrêtez-le ! Arrêtez-le !
Vite ! Faites venir la garde !
Si je comprends bien, beaucoup le considèrent déjà comme leur Roi.
Leur roi ? Un roi de mendiants, de voleurs.
On a déjà vu ça.
Ils viennent se manifester, s'en vont, et on les oublie.
Ne vous y trompez pas. Sa popularité agmente chaque jour.
Et le peuple l'admire aussi...
...C'est ça, il est un roi.
Je tiens à vous avertir.
Si il y a encore des troubles dans ma ville,
je vous tiens pour responsables.
Il a peut-être raison. Il est temps de confronter ce Galiléen.
A mesure que Jésus lançait ses attaques contre la clique hypocrite des chefs
religieux et des anciens,
sa popularité ne faisait que s'accroître.
Et l'hostilité de ses ennemis en faisait autant.
En vérité, cette pauvre veuve a donné bien plus que tous les autres.
Car tous ont pris sur leur superflu pour mettre dans les offrandes.
Mais elle ; dans sa misère a donné tout ce qu'elle avait pour vivre.
Dis-nous : de quel droit agis-tu de la sorte ?
Qui donc t'y autorise ?
Je vous réponds par une question.
Avec quelle autorité Jean a-t-il baptisé ? Celle de Dieu ; ou celle des hommes ?
Quelle réponse donner ?
Si nous disons avec celle de Dieu,
il va nous répondre : Alors : il fallait croire Jean.
Mais si nous disons, avec celle des hommes, cette foule nous lapidera.
Ils croient tous que Jean était un prophète.
Nous ne le savons pas vraiment.
Alors, je ne vous dirai pas de qui je détiens mon mandat.
Il était une fois un homme qui planta une vigne,
il la loua à des vignerons... et partit pour un long voyage.
Lorsque vint le moment des vendanges,
il envoya un serviteur,
afin qu'on lui remette sa part de la récolte.
Mais les vignerons le frappèrent et le renvoyèrent les mains vides.
L'homme en envoya un autre... lui aussi, ils le rouèrent de coups ;
l'insultèrent et le renvoyèrent les mains vides.
Notre homme envoya un troisième serviteur.
Mais les vignerons le blessèrent et le chassèrent.
Le propriétaire de la vigne se dit alors,
Que faire ? Je vais envoyer mon fils bien-aimé.
...Ils vont bien le respecter.
Mais à la vue du fils,
les vignerons firent ce raisonnement,
Celui-ci est l'héritier.
tuons-le pour que la vigne soit à nous.
Alors ils l'emmenèrent au dehors, et le tuèrent.
Que fera donc le Maître de la vigne à ces vignerons ?
Il reviendra, fera périr ces méchants
et confiera la vigne à d'autres.
Et que veut dire cette prophétie ?
La pierre que les constructeurs avaient rejetée,
c'est elle qui est devenue la pierre principale.
Celui qui tombera sur cette pierre-là se brisera la nuque.
Et si cette pierre tombe sur quelqu'un,
il sera écrasé.
Maître, Tu parle et enseigne de façon correcte.
Sans tenir compte du statut social de tes auditeurs,
et tu enseignes la voie de Dieu en vérité.
Dis-nous, avons-nous le droit
de payer l'impôt à l'empereur César, oui ou non ?
Montre-moi une pièce d'argent.
De qui porte-t-elle l'effigie et l'inscription ?
César !
Alors, rendez à César, ce qui est à César.
Et à Dieu, ce qui est à Dieu.
Maintenant, le jour de la Pâque approchait.
C'était la fête des pains sans levain.
Jésus envoya Simon Pierre et Jean pour
qu'ils préparent le repas de la Pâque.
J'ai tellement désiré
manger cette Pâque avec vous avant de souffrir.
Car je vous le dis, jamais plus, je ne la mangerai
jusqu'à ce qu'elle soit accomplie dans le Royaume de Dieu.
Béni sois-tu, Seigneur, notre Dieu qui règne sur l'univers,
qui fait sortir le vin de la vigne.
Prenez ceci et partagez entre vous.
Car je vous le dis, je ne boirai plus du fruit de la vigne,
jusqu'à ce que vienne le règne de Dieu.
Béni sois-tu, Seigneur, notre Dieu qui règne sur l'univers,
qui fait sortir le pain de la terre.
Ceci est mon corps qui est donné pour vous,
faites ceci en mémoire de moi.
Cette coupe est la nouvelle alliance conclue par mon sang
versé pour vous.
Mais voici, celui qui va me trahir est ici à table avec moi.
Certes, le Fils de l'Homme s'en va selon ce que Dieu a décidé,
mais malheur à l'homme par qui il est trahi.
C'est impossible !
Dis-nous son nom, Seigneur !
Le plus grand parmi vous
doit être comme le plus petit.
Et celui qui commande comme celui qui sert.
Car qui est le plus grand,
celui qui est à table ou celui qui sert ?
Celui qui est à table, n'est-ce pas ?
Or je suis au milieu de vous, comme un serviteur.
Vous avez persévéré avec moi dans mes épreuves ;
C'est pourquoi je vous confie le Royaume
comme mon Père me l'a confié.
Vous mangerez et vous boirez, à ma table dans mon royaume.
Et vous siégerez sur des trônes pour gouverner les douze tribus d'Israël.
Il n'y a donc pas de traître.
Simon, Simon, écoute,
Satan vous réclame pour vous éprouver tous,
pour séparer le bon du mauvais
tel le fermier qui sépare le grain de la paille.
Mais j'ai prié, Simon, pour que ta foi ne défaille pas.
Et quand tu seras revenu à moi,
affermis tes frères.
Maître, avec toi, je suis prêt à aller en prison,
et même à la mort.
Je te le dis, Pierre, le coq ne chantera pas aujourd'hui
que tu n'aies par trois fois nié me connaître.
Quand je vous ai envoyés sans bourse, ni sac, ni sandales,
qu'est-ce qui vous manquait ?
Rien, non, rien.
Mais maintenant, si vous en avez il faut les prendre.
Que celui qui n'a pas d'épée vende son manteau pour s'en acheter une.
Car je vous le dis, il est écrit à mon sujet :
Il a été mis au nombre des criminels.
Et tout ce qui me concerne va être accompli.
Maître, regarde, j'ai là deux épées !
Ça suffit.
Et le Conseil des anciens se réunit
pour voir comment ils pourraient faire mourir Jésus.
C'est alors que Satan entra en Judas Iscariot,
l'un des douze disciples de Jésus.
Priez, pour ne pas céder à la tentation.
Père, si toi, tu le veux,
éloigne de moi cette coupe.
Mais que soit faite, ta volonté et non la mienne.
Alors, un ange du ciel apparut pour le fortifier.
Et sa sueur devint comme
des gouttes de sang qui tombaient à terre.
Pourquoi dormez-vous ?
Levez-vous,
et priez pour ne pas céder à la tentation.
Judas.
C'est par un baiser que tu trahis le Fils de l'Homme ?
Maître, nous avons nos épées ?
Allez, arrêtons-le.
Assez, ça suffit !
C'est un miracle.
Vous êtes venus avec des épées et des gourdins comme pour un bandit ?
J'étais avec vous chaque jour dans le temple
et vous n'avez pas mis la main sur moi.
Mais cette heure-ci est à vous,
et à la puissance des ténèbres.
Arrêtez-le !
Gardez-le bien.
Eh, voilà le manteau du roi !
Dis-nous ce qui va se passer !
Est-ce que tu vas nous sauver, Majesté ?
Est-ce que tu vas nous sauver ?
J'ai vu cet homme-là avec Jésus.
Femme, je ne le connais pas.
Je les ai vus ensemble.
Nous sommes tes humbles serviteurs.
Alors, on regarde les choses d'en-bas maintenant !
Tu était avec lui, toi ?
Non, pas du tout.
Cet homme-là était certainement avec Jésus.
Parce que lui aussi est Galiléen.
Je ne sais pas du tout de quoi tu parles.
Seigneur, oh je te prie,
fais ce que tu dois,
dans ta grandeur et ta toute puissance.
Toi, qui pardonnas à nos pères
quand ils se révoltèrent contre ta parole.
Toi, qui te mis en colère contre eux. Mais qui ne les as pas détruit.
Toi qui à cause de ton amour pour eux, et à cause de ton alliance
les as épargnés.
Dis-nous, qui te frappe ?
Prophétise donc ! Qui va te frapper ?
Arrêtez ! J'ai dit arrêtez.
Emmenez-le au conseil.
Allez !
Dis-nous, serais-tu le Messie ?
Si je vous le dis, vous ne me croirez pas,
et si je vous pose la question, vous n'y répondrez pas.
Mais dès maintenant le Fils de l'Homme
sera assis à la droite du Dieu très puissant.
Tu es donc, le Fils de Dieu ?
Oui, tu le dis.
De quel droit parle-t-il ainsi ?
Coupable !
Nous avons tous entendu ses paroles.
Amenons-le devant Pilate !
Oui, oui, emmenez-le !
Allez !
Et ils l'emmenèrent devant Ponce Pilate,
le plus cruel des gouverneurs romains,
qui avait fait crucifier des milliers d'hommes.
Et que cherchez-vous ici, d'aussi bonne heure le matin ?
Cet homme jette le trouble parmi notre peuple.
Il a causé une émeute au marché du temple.
Quelle sera sa punition ?
Condamne-le !
Je ne vois aucune raison de le condamner. Aucune raison.
Il est coupable.
Il conseille de ne pas payer d'impôts à l'empereur.
Et il prétend être le Messie, un roi.
Un roi ? Serais-tu le roi des Juifs ?
Tu le dis.
Il a commencé en Gallilée et il est venu jusqu'ici.
En Galilée ? Est-ce que cet homme est un Galiléen ?
Dans ce cas, il faut que Hérode s'en occupe.
Il est encore à Jérusalem, n'est-ce pas ?
Emmenez-le à Hérode !
Et bien, qui donc prétends-tu être ?
Qui sont ceux que tu appelles tes disciples ?
Beaucoup disent que tu accomplis des miracles.
Fais-en un pour moi.
Majesté, il est accusé de corrompre notre peuple.
Et il prétend être, un roi.
Cet homme-là ? Un roi ?
Votre Majesté.
Frappez le fort.
Renvoyez-le à Pilate.
Nous sommes dans sa province.
Cet homme n'a rien fait qui mérite la sentence de mort.
Je vais le faire fouetter et le relâcher.
Nous avons obtenu que tu nous rendes un prisonnier à chaque fête de la Pâque..
Alors, relâche-nous Barabbas et fais mourir cet homme.
Crucifie-le.
Oui, crucifie-le !
Toi, toi, fouette-le !
Qu'est-ce que tu attends, Pilate ?
Pourquoi le torturez-vous ?
Libérez-le, c'est le Messie !
Il n'a rien fait.
Relevez-le !
Crucifiez-le !
En arrière, en arrière, arrière, Écartez-vous !
N'approchez pas de lui !
Arrière ! En arrière ! Arrière ! Pousse-toi ! Reculez !
Toi, pousse-toi de là !
Allez, remue-toi !
Debout ! Debout !
Toi ! Quel est ton nom ?
Je m'appelle Simon de Cyrène.
Viens par ici !
Coupez les cordes !
Toi, porte-la. Allez, avance !
Allez, dégagez le passage.
Arrière ! Reculez ! Reculez !
Nous pleurons pour toi, Seigneur.
Bois ceci, bois. Bois, Seigneur.
Femmes de Jérusalem. Ne pleurez pas pour moi.
Mais plutôt pour vous-mêmes et pour vos enfants.
Car je vous le dis, si l'on traite ainsi le bois vert,
que fera-t-on du bois mort ?
Que Dieu te vienne en aide.
Nous prierons pour toi.
Vite ! Viens ici ! Allez !
Plus vite, plus vite,
Vas-y !
Allez-y, avancez plus vite, plus vite ! Accélère !
Plus vite !
Allez ! Avance !
Vas-y maintenant ! Accélère !
Allez, plus vite !
Hissez la croix !
Toi, place le piquet !
Enlevez les cordes !
Mon Père, pardonne-leur,
car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Il en a sauvé d'autres, qu'il se sauve lui-même !
Oui, si tu es le Messie, sauve-toi toi-même.
Oui, et descends de la croix !
Montre-nous un de tes miracles !
Eh ! Soldats ! Voici la tunique d'un mystique.
Laisse-la ! Ne la déchire pas !
Mais attend, donc
on va la jouer !
Ah, tu as gagné !
Tu as de la chance. Qu'est-ce que tu vas en faire ?
Sauve-toi toi-même, si tu es le roi des Juifs.
N'es-tu pas,
Le Messie ?
Sauve-toi,
et sauve nous.
Ne crains-tu pas Dieu ?
Il reçoit la même sentence que toi,
or lui n'a rien fait de mal.
Souviens-toi de moi, Jésus, quand tu reviendras comme roi.
Je te le promets, aujourd'hui tu seras au paradis avec moi.
Il était environ midi
et l'obscurité se fit sur tout le pays
jusqu'à trois heures.
Et le rideau du temple se déchira par le milieu.
Père, entre tes mains
Je remets
mon esprit.
Louanges à Dieu ! Car certainement cet homme était juste.
Joseph d'Arimathie, un homme honnête, membre du Conseil
mais qui n'avait pas approuvé son action, obtint de pilate le corps de Jésus.
Il voulait le déposer dans un tombeau
avant que le sabbat ne commence au coucher du soleil.
Pardonne-nous. Mais nous suivons le corps de notre Seigneur.
Vous êtes bienvenues. Mais venez... Le sabbat va commencer.
Très tôt le dimanche matin, elles se rendirent au tombeau,
apportant les huiles parfumées qu'elles avaient préparées.
Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ?
Il n'est plus ici, il est ressuscité.
Rappelez-vous ce qu'il vous disait en Galilée : Il faut que
Le Fils de l'Homme soit livré aux mains des pécheurs, qu'il soit crucifié
et qu'il ressuscite le troisième jour.
Écoutez !
La pierre était roulée.
Nous sommes entrées et il n'y avait plus rien, plus de corps !
Plus de corps ? Comment est-ce possible ?
Et deux hommes nous sont apparus ;
des anges tout brillants comme le soleil et ils ont dit :
Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? C'est vrai !
Oui, c'est vrai. Oui, croyez-nous.
Allez voir vous-mêmes !
Le tombeau est vide. Notre Seigneur n'est plus là.
C'est vrai ! Pierre, il faut nous croire !
Le Seigneur est vraiment ressuscité.
Il est apparu à Simon.
Nous ne l'avons pas reconnu, pas sur la route.
Mais quand il a rompu la pain. Alors là, oui.
A Emmaüs, il est allé là-bas ?
La paix soit avec vous.
Pourquoi êtes-vous troublés ?
Pourquoi les doutes envahissent-ils vos coeurs ?
Voyez, mes mains et mes pieds,
oui, regardez, c'est bien moi.
Touchez-moi et vous saurez.
Un esprit n'a ni chair ni os comme vous voyez que j'en ai.
Ce sont les choses dont je vous parlais
lorsque j'étais encore avec vous.
Que tout ce qui était prédit sur moi dans la loi
de Moïse, dans les écrits des prophètes et les psaumes
devait s'accomplir.
C'est ce qui était écrit :
Le Messie devait souffrir, et ressusciter des morts après trois jours...
et en son nom,
la repentance et le pardon des péchés doivent
être prêchés parmi toutes les nations,
en commençant par Jérusalem.
Vous êtes témoins de ces choses,
et je m'en vais envoyer sur vous la promesse de mon Père.
Mais vous devez rester dans la ville
jusqu'à ce que la puissance d'en-haut vienne sur vous.
Que Dieu vous bénisse et vous garde.
J'ai reçu les pleins pouvoirs dans le ciel et sur la terre.
Allez donc dans le monde entier, faites des disciples parmi tous les peuples,
baptisez-les au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.
Apprenez-leur à obéir à tout ce que je vous ai prescrit.
Et, je suis moi-même avec vous chaque jour,
jusqu'à la fin du monde.
Amen.
Dans les Saintes Écritures, Dieu déclare que le Messie
viendrait pour être le Sauveur du monde.
La vie de Jésus prouve qu’Il EST bien Celui
dont les prophètes avaient parlé.
Esaïe a prophétisé que la vierge deviendrait enceinte
et qu’elle enfanterait un fils.
Des siècles plus ***, la naissance de Jésus
accomplissait cette prophétie.
Les Saintes Écritures déclaraient que le Saint à naître serait
appelé le Fils de Dieu.
Cela signifiait que Jésus serait le Fils de Dieu
au sens spirituel et non au sens physique.
Nous le voyons par Sa manière de vivre:
Il a guéri des malades, il a pardonné leurs péchés,
les a ramenés à Dieu, et leur a promis une place dans
le royaume éternel de Dieu.
Il s’est offert Lui-même en sacrifice pour le péché
à leur place, puis Il est revenu à la vie, victorieux sur la mort.
selon le plan de Dieu.
Jésus a dit, « Personne ne me prend la vie,
mais je la donne de ma propre volonté. »
La vie de Jésus n’a pas seulement accompli les écrits
des prophètes, mais elle a aussi confirmé
la vérité de la Sainte Parole de Dieu.
Les prophètes avaient écrit, Ta Parole, ô mon Dieu, est parfaite.
Elle dure à toujours.
Jésus, Lui-même, a dit, Le ciel et la terre disparaîtront,
tandis que mes paroles ne disparaîtront jamais.
Jésus est venu pour nous donner la vie dans toute sa plénitude ;
mais quand l’homme a désobéi à Dieu dans le jardin d’Éden,
il a choisi sa propre voie
et ses actions l’ont séparé du Créateur.
Les Saintes Écritures déclarent que tous ont péché
et que le salaire que paie le péché, c’est la mort.
Il s’agit de la mort spirituelle – éternelle séparation d’avec Dieu.
Mais tout comme Dieu a donné un bélier
pour qu’il meure à la place du fils d’Abraham,
ainsi il a envoyé Jésus le Messie mourir à notre place.
Sa vie, Sa mort et Sa résurrection restaurent
la relation entre Dieu et tous ceux qui
mettent leur confiance en Lui.
Maintenant, non seulement Jésus
pardonne les péchés de ceux qui le suivent,
mais Il les sauve aussi du jugement éternel de Dieu.
Ils sont sûrs d’aller au paradis et de vivre avec Lui pour toujours.
C’est cette vie et cette liberté de la culpabilité et du pouvoir
du péché que Jésus offre à chacun aujourd’hui.
Cela ne veut pas dire suivre une religion, mais choisir d’avoir
foi en Jésus qui dit, Je me tiens à la porte et Je frappe.
Si quelqu’un entend Ma voix et ouvre la porte,
J’entrerai chez lui.
Cela veut dire se tourner vers Dieu et croire que Jésus vient
dans nos vies pardonner nos péchés
et nous rendre tels qu’Il veut que nous soyons.
Il ne suffit pas d’approuver intellectuellement
ce qu’Il dit, ni de vivre une expérience
émotionnelle. Nous Le recevons par grâce, au moyen
de la foi, par un acte de notre volonté.
Lorsque quelqu’un est prêt à suivre Jésus le Messie,
il peut Lui parler par une simple prière.
Peut-être êtes-vous prêt maintenant à ouvrir votre vie à Dieu.
Si oui, vous pouvez vous joindre à la prière suivante
silencieusement dans votre cœur:
Seigneur, Jésus, j’ai besoin de Toi
Merci d’être mort sur la croix pour mes péchés.
Je confesse mes péchés et je m’en repens.
Je t’ouvre la porte de ma vie
et je Te reçois comme mon Sauveur et Seigneur.
Merci de me pardonner mes péchés et de me donner la vie éternelle.
Fais de moi le genre de personne que Tu veux que je sois,
maintenant que je deviens l’un de ceux qui te suivent.
Amen.
Jésus a dit à propos de ses disciples, Mes brebis écoutent Ma voix;
Je les connais et elles Me suivent.
Pour expérimenter la vie en abondance
promise par Jésus, ceux qui le suivent parlent à Dieu
chaque jour dans la prière et lisent ou écoutent Sa Parole.
Ils parlent de Lui à d’autres personnes et rencontrent
régulièrement ceux qui L’aiment et Le suivent.
N’oubliez pas Sa merveilleuse promesse: Tout pouvoir m’a
été donné dans le ciel et sur la terre… et sachez le, je vais
être avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.