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Crédit Immobilier
On s'en occupe.
Votre famille vous a laissé
un sacré fardeau.
Une propriété...
qu'ils vous ont laissée.
Vous n'avez pas de frères et soeurs ?
Fille unique. Quelle chance.
Je vais vous dire.
ll y a plein
de responsabilités dans la vie,
Mlle Chapman.
En héritant des biens de vos parents,
leur ferme,
vous avez hérité de
leurs responsabilités, de leurs dettes.
Vos dettes.
Cette gonzesse, c'est un ange.
C'est une contrée encore vierge,
mon vieux.
Non, c'est Aggie le patron.
Elle est au téléphone.
Je ne peux que vous présenter
mes excuses.
Je te passe son neveu,
il pourra te dire.
Wayne.
Téléphone.
Charters Aggie Whipple,
ici Wayne.
On peut survoler
mais c'est sec en ce moment.
Je le connais ce lac.
C'est quoi le problème ?
C'est là où Marion a dit
qu'on l'avait enlevé.
C'était il y a plusieurs mois.
Non, il y a pas
d'extra-terrestres là-bas.
Tu veux y aller,
tu me paies, on prend l'avion.
Pas de problème, vieux.
D'accord, je t'appelle mercredi.
Eh ducon,
dessine pas sur ma copine.
Au Crédit lmmobilier de Berkeley,
on ne fait pas ça de gaieté de coeur.
Et vous le saviez, vous connaissiez...
notre politique
sur les cessations de paiements !
Vous nous avez trahis.
C'est le roi des connards.
C'est ton premier jour
mais il ne te loupera pas.
Je préfère retourner bosser
dans une boulangerie
qu'être la collègue
de cette chose.
Bougez votre cul, bordel !
On a pas toute la journée !
Y a un accident.
Vous ferez vos ongles
plus *** !
Bonne chance.
C'est moi, mamie.
Rene, ta petite-fille.
Je serai en ville demain.
Je veux rester quelque temps avec toi.
Je ne peux pas rester ici.
Il n'y a plus de ferme, mamie.
Je sais que les parents l'aimaient.
Moi aussi.
Rene Chaplin
Miss Pêche du Jour 2002
Je me fais conduire.
Non, il est de la ville.
Oui, l'agent.
La voilà.
Il faut que j'y aille. À plus.
Tu en jettes, Rene.
Tout est réglé ?
C'est parti.
Berkeley
Venez taquiner le goujon
Vas-y, t'as failli
me dégommer la dernière fois.
Au fait,
Earl sort le bateau, dimanche.
Magnifique.
Ils passeront une bonne journée.
On reste là ou on monte
à Oneawelly's Dam
et ça sera comme l'année dernière.
Je peux pas aller à Silverwood.
Ronnie est à Silverwood.
Il est à Silverwood et il a pas eu
la décence de me rendre
ma magnifique tondeuse.
Sale con.
- On va le voir.
- Non, vieux.
Et la tondeuse ?
Ça va ?
Merde alors !
C'est ça ton raccourci ?
Reste là.
Vous m'entendez ?
Ils savent pas conduire ces branleurs !
Vous vous suivez de trop près.
Il faut plus d'espace entre vous.
C'est juste une meuf,
elle est vraiment...
bien amochée.
J'ai fait ce que j'ai pu.
Il y a pas une autre route ?
Connard.
Il fallait partir
par Warren Ridge Rd.
Il fallait partir en avion.
Pas avec ces rochers qui tombent
du ciel.
Ils s'enfuient tous
par Warren Ridge Road.
Avec toute cette circulation,
c'est plus rapide par là.
Je peux téléphoner ?
Ces choses que vous avez vues dehors,
c'est juste le commencement.
Le commencement de la fin.
La fin de quoi ?
Du monde, de l'univers,
de tout.
J'espère qu'il n'y a pas de blessés.
Mais il y en a peut-être.
Il faut aller voir !
Restez là.
Fais attention.
Ne bouge pas, chérie,
on va venir t'aider.
Qu'est-ce que tu fais ?
Il ne marche pas.
Séchez vos cheveux.
Je m'appelle Rene.
Miss Pêche du jour.
Je sais qui vous êtes.
Je vous ai vu en ville.
Laissez-moi entrer !
Enfin !
Cette chose a tué Aggie,
elle lui a fait un trou dans la tête !
Elle est bien morte ?
Elle a fait un trou dans sa tête,
ça te va ?
Mais elle est bien morte ?
T'es malade ou quoi ?
Elle mangeait son cerveau !
C'est ce cinglé de Marion, hein ?
Oui, vous avez une voiture ?
Tante Aggie a les clés
mais elle a plus de cerveau !
Police, ouvrez !
Poussez-vous !
Bougez votre putain de cul !
Vous êtes cons ou quoi ?
Elle vous a dit d'ouvrir !
Têtes de noeud !
Quand j'étais môme,
on respectait nos parents,
on les bouffait pas !
Chef !
Putains de camés, de hippies,
putains de surfeurs,
de chômeurs de merde !
Chef !
Marion.
Continue à me braquer,
tu seras plus vite achevé
qu'un putain de gâteau
dans une réunion de boulimiques !
Lâche ton pé***, fiston !
Tout de suite !
Tuez-le !
Viens !
Descendez. Allez !
Magnez-vous, ils sont derrière nous !
Grouillez, bande de tapettes !
La porte, espèce de branleur hirsute !
Ferme-la !
C'est quoi ces choses ?
Comment on va sortir d'ici ?
C'est quoi cet endroit ?
Le seul lieu sûr.
On se croirait dans une morgue.
Un lieu sûr.
Je voudrais du thé et des gâteaux !
Calmez-vous !
On va tous mourir !
On est coincés là-dedans !
Personne ne va mourir !
Ça suffit !
Ecoutez-moi, putain !
Personne ne va mourir aujourd'hui !
Pas sous ma putain de protection !
Et tous ces connards
qui crèvent dehors ?
Me cherche pas,
petit branleur de merde !
Agent Molly,
pourquoi ce gland tient-il votre arme ?
Marion !
T'as un permis, mon grand ?
Il est là-haut, tu veux y aller ?
Molly, dites à ce petit merdeux
ce qu'il en est !
On n'a pas toute la journée, bordel !
En l'absence de permis de catégorie H
pour armes à feu, y compris
les armes à blanc de moins de 75 cm,
et de carte de membre d'un club de tir
conforme à la circulaire de 1997
signée par un membre certifié
dudit club,
je dois vous confisquer votre arme.
Putain,
je vais pas te supplier à genoux !
Le gentil garçon !
C'est moi, la loi ici,
alors écoutez ce que je dis,
quand je le dis et on s'en sortira.
On trouvera de l'aide en route.
En attendant,
faites ce que je dis, bordel,
et demain on bouffera tous
de la barbaque chez Mme Welman !
Elle vient d'être mangée
sur la route il y a une demi-heure.
Putain, tu me cherches vraiment
mais je te dresserai
plus vite qu'une putain de tapette
dans un rodéo !
Connard.
Le téléphone marche pas.
Allô ? Répondez, le central !
Il marche pas !
On se calme, agent Molly.
- Où sont les autres policiers ?
- En patrouille !
Ils sont tous morts. Mangés vivants.
Vous avez déjà vu un truc comme ça ?
Oui.
C'est une invasion.
Putain, il se fout de ma gueule.
C'est la fin de la vie.
Nous sommes les élus.
Nous allons résister et nous battre.
T'as du purin dans les méninges.
T'es qu'un pauvre taré !
Vous n'êtes pas là par hasard.
Tu vas fermer ta putain de gueule !
Enculé de putain de macaque de merde !
Ils mangent le cerveau,
c'est des zombis !
Ça existe pas les zombis !
Ça te fait quoi, Rene ?
Ça te fait quoi
d'être coincée ici avec nous ?
Fiche-moi la paix.
Regarde-moi quand je te parle.
Je devais avoir le titre.
J'ai gagné ce concours
loyalement.
Prendre 2 cochons au lasso suffit pas
pour être Miss Pêche du Jour.
Nom d'un chien !
Elle était pas mal dans cette tenue.
Je suis peut-être pas
aussi bien que toi en bikini
avec Wayne Junior en route,
mais j'ai une voix et je chante
comme un putain d'ange...
Sallyanne, j'ai concouru
parce que j'étais fauchée.
Tu te barres avec ton agent
en oubliant tes devoirs de Miss :
Préserver les intérêts de la ville.
Ça doit être ta priorité.
Les filles ! Arrêtez
avec vos discussions de gonzesses.
On maîtrise la situation.
L'aide arrive.
Si vous avez peur,
pensez où vous étiez heureux.
Dans la ferme de vos parents.
Quelle journée de merde.
Quand on était petits,
notre papa nous balançait
dans un gros pneu derrière la ferme.
On était heureux.
On avait de la place.
Mais on pouvait pas balancer un chat !
Merci, Molly.
Je pige pas.
Comment ils ont su où on était ?
- Ils nous sentent.
- Génial !
Ils veulent se repaître de nous.
On est comme du boeuf en conserve !
Bravo !
On est en sécurité ?
Pas de nourriture.
Trop de gens.
Et l'eau ?
Où sont les robinets ?
Pas de robinets ici.
Les bouteilles d'eau sont en haut.
Il ne faut pas boire au robinet.
Pourquoi ?
C'est l'eau de la citerne.
Qui est de l'eau de pluie.
La pluie est liée à cette attaque.
Pas seulement.
Il y avait ce rayon de lumière
qui aspirait des insectes.
C'est logique.
Un rayon qui aspire les insectes.
Mon cul !
On a des hallucinations
quand on panique.
Ça m'arrive.
C'est sûrement un rayon de soleil.
C'était ça.
Ce n'était pas ça.
Et les météorites qui tombaient ?
Je les ai vus.
Toute la ville les a vus.
Je suis pas la fille de la météo
mais je suis sûr que ça arrive souvent.
Vous êtes pêcheur.
On les vendait à la boutique.
Ça se vendait mieux que les armes.
Ça me porte chance.
Vous appelez ça de la chance.
Je respire encore.
Non, elle va accoucher.
Conduis-moi à l'hôpital.
Il faut partir.
On part pas sans mon accord !
Il faut l'emmener !
On a deux flics.
Ils doivent savoir accoucher une femme.
Oui, on sait !
Bien sûr, regardez si le col
de l'utérus s'ouvre,
et vous, épongez
quand elle perd les eaux.
On s'en va !
Molly, occupez-vous d'elle.
Allez tout le monde !
On s'en va !
Il faut nous préparer.
- Ils s'en vont.
- Ils mourront. Restons unis.
Il faut l'emmener.
Je reste ici.
On s'en va.
Faites-moi sortir d'ici.
Tu me prends pour un con ?
Pose ça !
Lâche ce sac, écarte les mains !
Ecarte-les ! Lève-toi !
Les clés de la bagnole.
Au garage.
- Par où ?
- Par la cuisine.
- Et les clés ?
- Dans le couloir.
On les trouvera facilement ?
Ça dépend de ce qu'il y a là-haut.
N'oublie pas.
C'est moi le chef.
Toi, d'abord.
Désert.
Ils sont partis.
Bingo !
Je n'ai plus de contractions.
T'es cuit, espèce de...
petit enculé.
Ces putains d'enculés
de partouzards boutonneux
entrent dans ta putain
de baraque sans être invités, putain !
Putain, tu vas marcher !
Tu vas marcher !
Putain de bordel de merde !
Tu en jettes, Rene.
Enculé de putain
de saloperie de merde !
Crève enculé de merde sans tête !
Les flingues, agent Molly !
On se verra dans l'autre monde !
La salle de bains, en haut.
On va à la bagnole, connard !
Chiotte !
Tout le monde en haut !
Y en a plein !
Ils meurent pas.
J'ai encore jamais vu ça.
Visez la cervelle.
Ils se relèveront pas.
Le garage est dessous.
C'est toujours nous, la loi.
Personne descend
avant que je sois allé voir.
À cheval, agent Molly.
Le Monde des Armes de Marion
Agent Molly ?
Qu'est-ce que c'est ?
La voie est libre !
Vous pouvez descendre.
Ça va ?
Tu es sûre ?
Pousse-toi, je conduis ce tas de merde !
C'est moi qui conduis le tas de merde.
À l'hôpital Boongabby.
C'est trop loin.
Je veux pas aller en ville.
Vous attendez quoi ?
On est presque sortis de Berkeley.
Dégage ton cul, princesse.
Je te surveille.
Je crois que je vais gerber.
Moi aussi.
On doit rêver.
C'est du métal.
Je comprends pas.
La municipalité met deux ans
pour boucher un nid de poule
et ils construisent ça en deux jours.
C'est pas eux, ça.
C'est peut-être ces choses alors.
C'est qui alors ?
J'avais encore jamais vu ça.
J'ai vu un ananas de deux fois
la taille d'une pastèque, mais pas ça.
Des extra-terrestres.
Encore vos histoires de martiens.
On en a tous marre !
C'est pas des extra-terrestres
mais des zombis, d'accord ?
Heureux ?
Retournons dans le van.
Ça va vraiment nous aider.
- Tu suggères quoi ?
- Réfléchissons calmement.
On est piégés.
On va tous mourir !
Pas aujourd'hui.
Pas sous ma protection.
Je vais l'escalader.
- Vous savez pas quelle hauteur il fait.
- On ne discute pas.
On est coincés.
Il y a peut-être une brèche plus loin.
On est cernés.
Il faut lutter.
Je peux regarder ?
C'est pas grave.
Je l'escalade ici, l'enfoiré.
Chef, vous croyez
que c'est une bonne idée ?
Vu votre forme.
Qui c'est le chef ici ?
On sait pas ce qu'il y a après.
Et vous avez dit
qu'on viendrait nous aider.
Agent Molly, ramassez leurs armes
et gardez-les.
Jusqu'à mon retour.
Bonne chance.
Remettez-moi vos armes.
Dis donc, tu prends ton temps, toi !
L'orage.
Il va pleuvoir.
C'est la pluie.
Je l'ai vu.
Sergent !
Il va pleuvoir.
Allez à la voiture.
À la voiture, Molly.
Poussin, tu fumes !
Non, c'en est une !
Il faut l'aider !
Il va se faire foutre.
C'est fini.
Venez.
Tu es brûlée ?
Non, c'est bizarre, ça brûle pas.
Tenez.
Molly est devenue comme eux.
Vous avez dû la voir.
C'est qui ça ?
C'est encore un zombi.
Faut s'en aller.
Je veux partir !
Eh, le barjo, démarre !
J'en peux plus.
C'est un monstre après l'autre.
Les extra-terrestres.
Il faut les combattre.
C'est ça. Conduis !
Je veux rentrer.
Je vais accoucher.
Molly s'est transformée.
Comment ça ?
Elle était normale quand je l'ai vue.
Je sais ce que j'ai vu.
Molly s'est transformée en zombi volant.
Merveilleux !
Mais plus grave,
c'était quoi cette chose là-bas ?
C'est un de tes extra-terrestres ?
Je sais plus comment ils sont.
On va mourir.
Réfléchis !
C'était peut-être un de ces salauds.
Je veux ma maman.
Il faut partir d'ici.
On va partir en avion.
Pourquoi ce serait mieux
de l'autre côté ?
Ça peut pas être pire.
Si on y va, il faut se préparer.
Tu proposes quoi ?
Il faut des provisions,
donc on s'arrête en ville.
Il faut aller à l'aérodrome
car ces choses peuvent être partout.
Elle a raison, poussin.
Retournons en ville.
C'est de la folie.
OK, conduis-nous en ville.
Ils ont peut-être pu s'enfuir.
On est partis bien avant les autres.
Allez, descends.
Reste là.
Vous voyez quelqu'un ?
Tu veux partir ?
Evidemment.
Surveille-le.
Qu'il fasse pas de bêtises.
On va là-dedans.
Donne-lui ton flingue.
Non, je le lui donne pas.
Donne-le-lui, je te passe le mien.
Reste près de moi.
Allez, shopping.
La tenue de base du pêcheur
C'est chaud.
De la pisse de chameau.
Prendre 2 cochons au lasso suffit pas
pour être Miss Pêche du Jour.
Vous êtes fou.
Je fais ce que je dois faire.
Pourquoi vous sentir obligé ?
Vous le savez.
Cette histoire d'extra-terrestres.
- J'ai été attaqué.
- Je sais.
Vous ne savez pas.
Leurs poissons-tueurs
ont failli me manger.
C'est complètement fou.
Murs géants, pluie acide,
zombis.
La folie est clairement venue
rendre visite à cette ville.
Après les poissons,
ils m'ont enlevé.
J'ai dû lutter.
J'ignore comment
mais ils m'ont renvoyé sur terre.
J'ai survécu à l'attaque
des poissons et à l'enlèvement
et je m'en suis sorti indemne.
C'est un don...
ce pouvoir que j'ai.
Je dois m'en servir pour lutter.
Mais pas seul.
Il ne reste que nous quatre.
Nom de Dieu !
Vas-y, fais plus de bruit !
Les deux autres
vont finir comme les flics.
Souvenez-vous.
Je ne suis pas fou.
Les plus forts
sont toujours ceux qui restent.
Nous sommes de la même force.
Je ne me sens pas forte.
Je me sens mal.
L'infection est dans l'air.
- Molly ?
- Oui.
On a peu de temps.
Alors demandez-vous
si vous êtes une battante
ou de la chair à zombi ?
Je veux que tout redevienne normal.
Je veux récupérer ma ferme.
Reprenez-la.
Et la ville avec.
On y va.
Arrêtez.
Economisez vos balles.
Où tu cachais ça ?
Venez !
Allez, venez.
Viens !
C'est fini pour lui.
La pluie !
Enlève ta parka !
Rene, viens !
Tu restes là.
Non, t'en va pas.
Je reviens.
- Tu fais quoi ?
- Il nous faut ça.
Wayne !
Qui tu es ?
Que se passe-t-il ?
Molly ?
C'est la dernière guérie par la pluie.
Elle commence à comprendre.
Elle va rejoindre les autres.
Parfait.
Remets tes habits.
Je suis bien
avec celui-là.
Je suis de l'autre côté du mur.
Il y a eu une expIosion.
Nous allons voir.
Par ici !
J'ai trouvé un corps.
On a besoin d'aide.
Par ici ! Il est là !
On a un corps.
On dirait un policier.
Il n'y a personne d'autre.
On a une victime.
Sûrement le pilote.
Conduisez-moi à votre leader
Si vous forcez le barrage,
vous serez abattus.
Nous tirerons.
L'armée empêche
quiconque d'entrer
ou de quitter Berkeley.
Ceux qui ont forcé le barrage
sont mis en quarantaine
avec les habitants.
Des fragments de la comète de Nierle
auraient provoqué
une pluie de météores.
Aucune trace d'infection
n'a été signalée dans la ville
depuis le départ
du vaisseau extra-terrestre.
Nous confirmons que Berkeley
est la seule communauté
bombardée par ces fragments.
C'est un garçon.
Il va bien.
Tout ira bien pour Wayne.
Infirmière !
Quelqu'un m'a tiré dessus !
On m'a tiré dessus !
Tous ces gens...
vivraient si on ne leur avait pas
tiré dessus.
Vous oubliez un détail.
Ils voulaient notre tête
pour nous sucer la cervelle.
Grâce à quoi vos blessures
ont magiquement guéri ?
À la pluie, non ?
C'est les extra-terrestres,
nos sauveurs.
Vous êtes sur votre barque.
Des poissons-zombis vous attaquent.
Ils vous sautent au visage.
Le péquenaud du coin
est leur plat de résistance.
Vous vous en tirez
et vous racontez votre histoire.
On vous prend pour un fou.
Tout le monde le pense.
Et vous aussi.
Vous n'êtes pas fou.
Et ça se reproduit.
Mais les zombis
sont les gens de Berkeley.
Mais cette fois je suis prêt
à affronter tout ce qu'ils m'envoient.
Mais je n'étais pas assez fort.
Les plus forts
sont toujours ceux qui restent.
Si ce n'est pas moi, ce sera vous.
Je ne suis que Miss Pêche.
Si c'était le cas, vous n'auriez
pas vaincu les Non-morts et survécu.
Vous auriez fait partie
d'un assortiment de cervelles.
Soyez prudent.
Ça me porte chance.
Vous appelez ça de la chance.
Ça s'est propagé plus vite cette fois.
Personne n'a pu l'enrayer.
Ça s'est propagé au-delà de Berkeley.
Ceux que j'ai pu sauver
de l'hôpitaI sont ici.
À l'abri.
Au moins pour l'instant.
Ces derniers mois, le cieI était dégagé.
Ils ne sont pas revenus,
mais ils reviendront peut-être.
En attendant
je dois contenir l'infection.
Sallyanne disait que Miss Pêche
devait préserver
les intérêts de la ville.
C'est ce que je ferai.
Adaptation : Philippe Blanc
Sous-titrage : C.M.C.