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Envoyez des voitures. Code 3.
Poursuite d'un 4X4 blanc
sur Alameda.
Suspects : 3 hommes asiatiques.
Demande de renforts.
Coups de feu !
Hancock !
Quoi, le mioche ?
Des méchants !
Quoi, tu veux un biscuit ?
Casse-toi.
Sale con.
Quoi ?
T'as bien entendu !
Sale con.
Faites gaffe !
Putain !
Hancock ! ? !
Barre-toi, Soulja Boy !
Hancock est dans la voiture,
il négocie avec les tireurs.
Il pue le bistrot !
Tu paies nouveau toit !
Rien à battre
de ce que vous avez fait.
Trois gars dans une caisse,
zéro fille, musique rave.
Je juge personne.
Mais si vous vous garez pas
pour vous rendre gentiment,
je vous garantis
que ta tête
va ramoner le cul du chauffeur,
la tienne va ramoner ton cul,
et toi, t'as la courte paille :
ta tête va ramoner mon cul.
Bute ce sale con !
Arrêtez !
C'est quoi ça, pu%øn ?
La police arrive en nombre.
C'est le chaos sur la 105.
Je suis pas japonais, mec !
Redescends-nous !
Toi parler angoulais, maintounant ?
T'as pété mes lunettes.
Pardon ! Prends mes Ray-Ban !
Redescends-nous !
Tu veux ?
Oui, pitié !
Je suis champion de descente !
Le dernier acte héroïque
de Hancock
est un gouffre financier.
Les dégâts sont estimés
à plus de 9 millions de dollars,
ce qui serait
un record personnel
pour cet anti-médias notoire
qu'est Hancock, et qui,
comme d'habitude,
est injoignable
pour tout commentaire.
Bitume endommagé, balles,
dégâts des eaux, incendies...
L.A. revivrait si ce mec disparaissait
et nous laissait bosser !
Salut.
Je ne suis pas folle.
On vous a cherché partout.
Au Roxy, au Viper Room
et à Jumbo's,
partout où on a cru vous trouver.
Je vous ai trouvé.
Je vous ai eu.
Alors, ça fait comment de voler ?
- Non, quoi ?
- Je ne vais pas voler avec toi.
J'ai une cousine, Narelle.
C'est ma meilleure amie
et elle ne serait pas vivante,
si vous n'étiez pas là.
Elle s'est écrasée à Malibu,
et vous l'avez emmenée à l'hôpital.
Vous vous souvenez ?
Je vais visser mon pied dans ton cul.
Tu as une voiture ?
Tu veux un verre ?
Alors, tu vis ici.
C'est ta cachette.
Ta Batcave.
Ta Forteresse de la solitude.
- Des camping-cars mis côte à côte.
- C'est quoi ?
Jiffy Pop.
- Tu en fais quoi ?
- Je les fais éclater.
J'aime ça.
Attends.
Tu veux me donner
autre chose à éclater ?
- C'est quoi ton nom déjà ?
- Éclate ça, Superman.
Tu n'aimes pas tellement bavarder.
Laisse-moi poser ça là.
Attends. Il y a des règles.
- Non, je sais, je ne l'ai pas vu.
- Excuse-moi.
Sans doute. D'accord.
- Je te rappelle.
- Écoute.
Concentre-toi.
Bon, je veux que tu...
- C'est pas de la concentration.
- Il y a quoi, là ?
Bon, attends. Arrête. Bien...
- Quand j'arrive au moment...
- Le moment ?
Tu sais,
quand j'escalade le sommet ?
Tu vois...
Tu dois t'éloigner
le plus possible.
- M'éloigner. Sexy.
- Non, c'est pas sexy.
Tu en fais trop, là.
Le sommet !
Le sommet ! Attention !
Désolé.
Ce n'est pas juste pour les autres.
Merci d'accepter ça.
Je sais, c'est...
Je peux aller aux toilettes ?
Tu veux du Jiffy Pop ?
- Non, merci.
- C'est à l'arrière.
Ça va ?
J'essayais de te le dire.
Si tu veux, je peux te faire voler.
C'est très beau. La Terre.
Tu pourrais voir...
Tu auras besoin d'un casque
pour te protéger le visage.
Ça te dit ?
Monsieur ? Ray Embrey.
Enchanté.
C'est le Bono des RP.
C'est plutôt Bono le Bono des RP.
Moi, j'y travaille.
Voyons cela.
J'attaque.
Bonjour à tous.
Je vais vous parler
d'uvres caritatives.
Nous connaissons tous le système.
On donne 1 ou 2 %
de son bénéfice net
contre un bracelet, un ruban...
C'est loin de suffire.
C'est pourquoi Embrey Publicity
aimerait vous offrir
le symbole AllHeart.
Vous, ainsi que l'élite
des multinationales,
mettriez ce logo sur votre produit.
Le public comprendrait alors
que votre société, Pharmatopsis,
a largement contribué
à sauver notre monde.
Vous n'avez qu'une chose à faire.
Votre anti-tuberculique, Mycodin ?
Nous vous invitons
à le distribuer gratuitement.
- Gratuitement ?
- Exact.
Aux plus nécessiteux.
À ceux dont la vie en dépend.
Le concept gratuit équivaut
à effets secondaires mortels.
- Retrait de la vente.
- Être inculpé, emprisonné.
Finir sa carrière chez Crêpes & Co.
Réactions normales.
Concept radical.
Cette marque représente
un monde meilleur et plus juste.
La marque
dont tout le monde parle.
C'est qui, tout le monde ?
On a déjà une franchise
dans le sport.
NFL ?
- NBA ? MLB ?
- Foot en salle.
MLS ?
Une équipe locale.
Les Ouragans d'Encino.
L'équipe de mon fils.
Bref, on peut sauver le monde.
Il faut juste ouvrir le bal.
Qu'en dites-vous ?
Êtes-vous taré ?
Chérie, tu dois être au magasin.
J'arrive.
Je pense les avoir accrochés.
En fait, non.
Dis à Aaron que j'arrive et...
... que j'ai envie
de boulettes de viande.
J'ai besoin de Spaghettis en Folie.
Je suis là dans 20 min.
C'est quoi, la saint Klaxon ?
Crétin.
Dégagez ! Un train arrive !
Vous n'entendez pas sa sirène ?
Un train me fonce dessus !
Dégagez !
- Reculez ! Y a un train.
- Impossible ! Sortez !
Putain !
Répare la poignée, Ray.
Dégagez la voie ! Grouillez !
Ça va ?
Sûre ?
Et merde...
Ça va, je n'ai rien.
Vous tous, là !
Vous encombrez le passage à niveau.
Bande de crétins.
C'est vous qui avez jeté la voiture
sur elle. Et le train !
Suffisait de décoller avec la voiture !
Vous avez blessé cette dame.
C'est vrai !
Elle devrait vous attaquer !
Attaquez McDonald's.
Ils vous ont bien salopés.
Sale con.
Votre haleine empeste l'alcool.
J'ai picolé, pétasse !
Sale con de poivrot !
On n'a pas besoin de vous.
Super, le héros !
Va te faire envoler !
Fermez-la !
Hé, je suis vivant !
Je vais revoir ma famille.
Je devrais être mort !
Il aurait pu décoller.
Vous auriez dû décoller.
Et j'ai été éjecté à l'envers, mais...
Merci.
Merci infiniment, Hancock.
Vous passez au-dessus de la Vallée ?
Y en a un qui se met ici.
Engagement.
Lui, ici, dit : Action !
Super, merci.
Pile poil.
L'allée aurait été top, mais...
- Ça va, papa ?
- Salut, fiston.
Papa a eu une rude journée.
Je veux te présenter quelqu'un.
Il remorque la voiture de papa.
Qui c'est ?
Hancock !
Hancock, voici mon fils, Aaron.
Qu'est-il arrivé à la voiture ?
Si tu savais !
J'ai échappé de peu à un train,
grâce à cet homme.
Il m'a sauvé la vie.
Voici ma femme, Mary.
Incroyable !
J'ai failli embrasser un train.
Ma vie a défilé.
Il t'a sauvé la vie ?
Absolument. Merci.
- Ça va ?
- Super.
- Évite les rails.
- Compte sur moi.
Une seconde.
Tu manges ?
De la nourriture humaine ?
Tu aimes les boulettes ?
Trésor, il doit partir faire...
J'adore les boulettes.
Même débordé, faut bien dîner.
Tu es notre invité.
Interdiction de dire non.
Entre.
T'as un aigle sur ton bonnet.
Tu aimes les aigles ?
C'est un moulin à paroles.
On a peu d'invités.
Quel spectacle !
Y a du chauffage ?
On a lancé les Spaghettis en Folie
il y a deux ans.
On fait ça chaque jeudi.
On n'en a pas raté un depuis...
Jamais.
Ça fait longtemps, ça.
Très longtemps.
Super bonnes, moustique.
Aaron.
- Ta mère t'appelle.
- Oui, maman ?
Non, il s'appelle Aaron.
C'était comment, l'école ?
Bien.
Plus de problèmes
avec le caïd Michael ?
Michel.
Mais c'est pas une fille.
C'est français.
Michel est le caïd du quartier.
On enseigne à Aaron
les bases de la résolution de conflits.
Tu vois ?
- Tendre l'autre joue, etc.
- Exactement.
Mais ne tends jamais ça, O.K. ?
Les laisse pas te casser.
Aaron, mange.
Contre un caïd, balance ton pied droit
dans sa pompette à pisse.
Ne fais pas ça, trésor.
- Sans rire.
- Bonne idée.
Vise bien pour transformer son truc
en clapet anti-poussière
pour sa boîte à crottes.
S'il vous plaît ! Arrêtez.
Michel n'est pas un adulte.
C'est un enfant. Le divorce
de ses parents se passe très mal.
D'où son comportement.
Au cas où vous l'ignoriez,
on ne résout pas tout par la brutalité.
Tout ne se réduit pas à pan,
des cris, du sang,
et encore du sang. La destruction !
Elle regarde tellement les infos
que parfois, ça déborde.
Y a des chiottes ?
Juste après le frigo.
Il a embarqué la bouteille de whiskey
aux toilettes ?
Tu veux qu'il nous tue ?
Merci d'être resté. C'était bon ?
Très.
Tu lui dis au revoir ?
- Au revoir, Hancock.
- Salut, bonhomme.
Ça va ?
C'était une blague.
- Viens, Aaron.
- Désolé, je voulais juste...
Il a compris. Pas elle.
Je te dois la vie.
J'aimerais te renvoyer l'ascenseur.
Tu connais mon métier ?
Les relations publiques. Tu situes ?
Bien sûr.
Consultants en image.
On change le regard des gens
sur des produits, des sociétés...
Je t'ai vu aux infos,
et tout à l'heure.
Ça doit être désagréable
d'être détesté.
Au plaisir, Ray.
Non, laisse-moi finir.
Les gens devraient t'aimer.
Sincèrement.
Et je veux t'offrir ça.
C'est la moindre des choses.
Tu es un superhéros.
Tu devrais signer des autographes.
On devrait t'acclamer.
Les glandus, vous matez quoi ?
Non, pas...
Pas des glandus, des gens.
Accorde-moi une courte entrevue.
Je ne demande que ça.
Je la glisse ici ?
Là, c'est bien.
Un e-mail, un coup d'ailes, au choix.
Réfléchis-y.
Décolle en douceur.
La nuit porte conseil.
Tu me rappelles ?
Je bouge pas d'ici.
Ne le fixez pas.
Il est presque l'un des nôtres.
Alors, AllHeart ?
Une cause perdue.
Je combats des moulins à vent.
À défaut de changer le monde,
je changerai sa vie.
Il a tout du bienfaiteur.
Tu perds ton temps avec ce mec.
Tu le dé*** !
Je le dé*** pas.
Je le connais même pas.
Regarde les infos,
on voit ce qu'il fait.
Il a besoin
qu'on lui montre de l'affection.
Tout le monde est bon, pour toi.
Même quand c'est pas le cas.
J'ai un pressentiment.
Ne travaille pas avec lui.
Je connais ce genre de mec.
Il casse des trucs.
Raté. Pas de blessés ?
Je vais chercher ma maman !
C'est un sale con.
- Ton nom, petit ?
- Michel.
Tu me connais ?
Mon papa dit que vous êtes
un sale con.
C'est pas une façon
de traiter les gens.
Sale con ?
Parce que ça pourrait
mettre les gens en colère
et les rendre malheureux.
Vous vous conduisez
comme un sale con.
Tu connais Aaron ?
Il a l'air d'être un brave petit.
Tu dois lui lâcher les baskets.
Pourquoi, sale con ?
M'appelle pas comme ça.
Sale con.
C'est pas mon nom.
Sale con.
Traite-moi de sale con...
... encore une fois.
Sale con.
Un truc à dire, le sumo ?
Le bigleux ?
Hancock ! Mon salaud,
je savais que tu viendrais.
J'avais dit à Mary
que tu étais prêt à changer.
Génial !
C'est toi, le cratère ?
Entre, je te rejoins.
Tu conduis pas, mais...
C'est bon, t'as rien.
Arrête de chialer, morveux.
C'est pas bien.
Il a rien.
Pas bien du tout.
On va travailler là-dessus.
Comment tu vas te dépatouiller
avec sa mère ?
L'atterrissage a aussi
le label pas cool.
C'était comme ça à mon arrivée.
Je vis ici.
Je sais comment c'était.
On réglera ces problèmes, d'accord ?
Apprenons à interfacer
avec le public.
- Où est ta bonne femme ?
- Mary a accompagné Aaron au foot.
J'ai vu des vidéos sur YouTube.
Quantité incroyable de trucs limites
sur toi qui vont nous servir.
C'est quoi ?
Ma tentative de changer le monde.
Pas des plus réussies.
Attaquons-nous à ton cas.
C'était sur YouTube.
On aime tous les glaces Buddy.
Mais ça, non.
File-moi une Buddy !
File-moi une Buddy !
Dégagez !
Maman !
Ce sont des enfants.
Vire la caméra !
T'as déjà éteint un incendie ?
Non, je travaille dans la com'.
J'ai eu chaud au cul.
Entendu. Et ça, alors ?
Walter, la baleine grise,
échouée sur la plage de Zuma.
Hancock débarque...
Je m'en souviens pas.
Greenpeace s'en souvient.
Walter aussi.
Ça devient répétitif. Mon diagnostic
sur ton problème majeur est...
Tu veux l'entendre ?
Sale con.
Appelons un chat un chat.
C'est rien d'être un sale con,
mais c'est stérile.
C'est rien, mais t'es un con, non ?
Fais gaffe à toi.
Autre chose. J'ai pensé à un truc :
ta façon de te présenter.
Pas en pleine journée.
À quoi tu penses
quand tu vois ça ?
Un ***.
- Et ça ?
- Un *** en rouge.
Un *** norvégien.
Je te l'accorde.
Oublions les comics.
Plus sérieusement.
Je pense
qu'au fond, tu agis ainsi
car tu te sens seul.
Au fond, tu veux qu'on t'accepte.
Tu sauves des vies et on te rejette.
Alors, tu les rejettes à ton tour.
On va inverser la vapeur,
partir sur de nouvelles bases.
Remarquable ! Transforme
ce super-pouvoir en super-vouloir...
Hancock, on a failli gagner !
C'est vrai ! Monte.
Je fais à manger. Va te changer.
Salut, mon cur.
Tu as regardé les infos ?
On était sur Hancock...
- On interface.
- On interface. Bravo.
La loi est la loi, M. Hancock.
Vous devez vous y soumettre.
Destruction de biens
pour des dizaines de millions,
vol, et ça ?
Je ne vois
qu'un homme égoïste, égocentrique,
un paquet de muscles
qui ne pense qu'à lui.
M. Hancock, je vous rappelle
que vous n'êtes pas
au-dessus de la loi.
Vous avez snobé
plus de 600 convocations au tribunal.
C'est un outrage à la Cour !
Mais pas pour vous.
Vous êtes peut-être un superhéros,
mais sachez ceci :
vous ne faites pas le poids
face à la constitution des USA.
Potasse ça, mon pote !
Génial !
Ça dégénère. C'est parfait.
Un procureur se démène
pour te coffrer.
Il se touche.
Vas-y.
Tu fais partie du décor.
Fais-toi désirer.
Les gens ne t'aiment pas.
Moi si !
Deux semaines.
Le public te réclamera.
Et là, on sera prêts.
Si j'ai tort,
tu prends tes ailes à ton cou.
Tu risques quoi ?
Je présente mes excuses
à la population de L.A.
pour mon attitude
et j'en accepte les conséquences.
Je demande à mes concitoyens
patience et compréhension.
T'es un sale con, Hancock !
Ma vie ici est parfois difficile.
Je suis le seul de mon espèce.
En prison, je suivrai des stages
pour alcooliques et colériques.
Gros poivrot !
Vous méritez mieux.
Je vais m'améliorer.
Bonjour, mesdames.
Bienvenue à votre nouveau...
C'est le devoir de chacun
de vous souvenir de
votre numéro de prisonnier.
Tournez-vous à droite.
Tournez-vous à gauche.
Bien, connards, on y va.
Ta main, playboy.
J'ai pigé.
J'ai balancé certains...
... la plupart d'entre vous ici.
Je comprends votre ressentiment.
Quoi ?
Je m'occupe de moi,
je vous laisse vous occuper de vous.
Je veux pas d'embrouilles.
Je vais à ma cellule.
Dans tes rêves.
Pardon.
Pardon,
s'il vous plaît.
Si tu bouges pas,
ta tête va s'encastrer dans son cul.
Vous tenez à prendre ce train ?
Tchou-tchou, sale con.
Tu as fourré la tête d'un mec
dans un cul ?
On va y revenir.
Le procureur va demander 8 ans.
Ça fait beaucoup,
mais rien d'inattendu.
Notre plan, c'est...
J'ai cru entendre qu'ils voulaient
me coffrer pour 8 ans.
Ça fera 4 ans 1/2,
avec bonne conduite.
Mais c'est hors de propos
car si t'es sur la touche
et que la criminalité
atteint des sommets,
le procureur et les flics
vont demander ta libération.
Ils vont l'exiger.
Où tu vas ? Assieds-toi !
Arrête !
Dégage.
Dégage.
T'es qu'un lâche !
- À qui tu parles, là ?
- À toi.
- À qui tu parles ?
- Fais pas le mec qui s'en fout !
Ton devoir est d'être un héros.
Tu seras malheureux
tant que tu ne l'admettras pas.
Aie confiance en moi, en ce plan.
Reste ici.
Quand ils appelleront,
on leur servira un héros.
Comment on va faire ça ?
Les gars, partageons.
Don, t'as un truc ?
Je crois avoir franchi une étape.
Bravo.
J'ai pris conscience
que briser un cou, c'est facile.
Mais quand je me regarde
dans la glace...
... je me dis : Ça c'est dur.
Pourquoi tu te marres ?
À ta place, je flipperais aussi.
À chaque fois que je parle,
il bousille le processus.
On évite les interférences.
J'arrête de partager, s'il continue.
On continue !
M. Hancock, vous voulez partager ?
Je passe.
Ton atterrissage donne le ton.
C'est la poignée de main
du superhéros.
Pas de cratère.
Pas d'arrivée bourré.
Et n'atterris pas
sur une Mercedes à 100 000 $.
On doit être content de te voir.
M. Hancock, vous partagez ?
Je passe.
T'es passé par la porte,
l'immeuble est intact.
On est content de te voir, rassuré.
Un officier a fait du bon travail.
Tu pourrais le lui dire.
J'ai rien à foutre là
s'il a fait du bon boulot.
KBLA Radio, 850 AM.
Le sujet du jour, sans surprise :
Hancock.
Votre avis ?
Ce mec, il me gonfle !
Super qu'il soit au trou.
Pourvu qu'il y reste !
Libérez mon cousin Pookie !
Vous ne portez pas
de pare-balles, officier.
C'est courageux, car les balles
ne ricochent pas sur vous.
Cette ville
est aux mains des gangs.
Y a que Hancock
qui les fait trembler.
Il y met pas toujours les formes,
mais le boulot est fait. Et il est canon.
Dis-le.
Dis : Bon boulot.
M. Hancock, vous partagez ?
Je passe.
Bon...
Bon boulot.
5e jour de prison.
Hancock tient parole
et reste au cachot.
Mais la criminalité augmente.
La police de L.A. indique
une croissance de 30 %
ces 5 derniers jours,
donc depuis son incarcération.
Salut, bonhomme.
On t'a apporté quelque chose !
T'as la pêche ?
Où est Ray ?
On est seuls, il travaille.
Aaron tenait à vous voir.
On est venus avec...
... des Spaghettis en Folie.
Je devrais montrer ça au gardien.
Tu m'as apporté des boulettes !
Régale-toi.
Une tuerie !
Ça, c'est de la boulette !
Merci, Hancock.
Ray est un homme bien.
Ne le décevez pas.
Bien, on doit y aller.
Déjà ?
Je veux rester avec Hancock.
Mon cur, on doit y aller.
Dis au revoir.
Tiens. C'est mon préféré,
je te le donne.
C'est très gentil.
M. Hancock, vous partagez ?
Je passe.
Je vous aime, les mecs.
Quand ils appelleront.
- Je porte pas ça.
- Si.
- Oh non.
- Si, je t'assure.
Non, crois-moi.
Tu crois ça, mais si.
Je préfère combattre le crime
à poil plutôt qu'avec ça.
Tu as déjà combattu à poil.
C'est sur YouTube.
C'est un uniforme.
Il représente une fonction.
Médecins, policiers, pompiers.
Il représente un devoir.
Ça fait deux semaines.
Je ne manque à personne.
Sois patient.
Fais-moi confiance, d'accord ?
Violation de périmètre !
T'es qu'un charlot !
Putain !
M. Hancock ?
À vous.
Je passe.
Vas-y, évacue.
Rien à dire.
Vous pensez à rien ?
- C'est bon de se vider.
- Guéris-toi.
Vous venez tout le temps,
et rien à partager ?
Je m'appelle Hancock
et je bois, etc.
Merci du partage.
Applaudissements.
Debout !
Un appel pour toi.
Prends le message.
C'est le chef de la police.
Il dit qu'il a besoin de toi.
Le mari de l'officier piégé
est le caporal Joseph Blake
tué l'an passé en Irak,
laissant 2 jeunes enfants.
On attend du nouveau,
mais on parle d'au moins 3 suspects.
Que se passe-t-il ?
Aidez-moi !
Restez à couvert !
Tout le monde recule, dépêchez !
Tout le monde recule, dépêchez !
Dégagez de là !
On a verrouillé le nord, l'est et le sud.
L'ouest est découvert.
Ne casse pas l'immeuble...
Quoi ?
Ça moule. On a quoi ?
Un braquage. Au moins 8 otages.
4 crapules.
Un officier piégé, hors de portée.
Ils nous canardent depuis ce matin.
Ils ont de l'artillerie lourde.
Du 50 mm, voire plus.
C'est un souci ?
Non, ça roule.
Bon boulot.
Baissez-vous !
C'est Hancock !
Descendez-le !
Bon boulot !
M'autorisez-vous
à toucher votre corps ?
Ça n'a rien de sexuel.
Non pas
que vous n'êtes pas attirante.
- Vous êtes une belle femme...
- Dégagez-moi de là !
Il bouge !
Il arrive !
Bon boulot.
Tu radotes.
Règle-moi ça, et vite !
Vérifiez les côtés !
Sécurisez le périmètre !
Dispersion !
Ils vont passer par-derrière !
Où il est passé ?
Où il est ?
Qu'est-ce qui se passe ?
Je te croyais en taule.
- Séjour écourté.
- Pourquoi ?
Bonne conduite.
Tu sais ce que c'est ?
Je dirais que c'est un genre
d'espèce de détonateur.
Il y a 4 kilos de C4 sur chacun d'eux.
Un déclencheur de l'homme mort.
Si mon pouce se relève...
Et comme il y a
un léger changement de plan
entre la police qui rapplique
et toi qui gobes mes associés,
je veux que tu forces le coffre.
Tu y trouveras 3 palettes
de 250 kg de petites coupures.
30 millions de dollars.
Tu seras ma mule.
Sors-moi d'ici sans encombre
avec le fric
ou faudra ramasser les otages
à l'éponge.
Je suis contraint de refuser.
Je veux vraiment tourner la page.
Je pulvérise l'immeuble, sale con.
J'aime pas cette expression.
Je vais les mettre sur orbite
et tu auras leur sang sur les mains.
Tu entends, sale con ?
Traite-moi de sale con...
... encore une fois.
Sale...
- Allez, on avance !
- Allez-y, c'est sécurisé !
Lâchez pas le déclencheur.
Bon boulot.
Non, bon boulot à toi.
Salue tes fans.
Quel accueil !
À la banque, c'était fort !
Souris.
On laisse entrer n'importe qui !
Voici Mike Kilbourne
et Jeremy Himmel.
Les rois de la pub.
- T'étais où ?
- T'appelles jamais !
Si. Plusieurs fois.
C'est de l'histoire ancienne !
Vous allez vous faire à tout ça ?
Comment vous êtes-vous connus ?
J'ai déjà été marié.
Ma première femme...
... est morte en accouchant d'Aaron.
Mais ce sera pour un autre dîner.
Bref, j'étais avec un superbe bébé,
sans mode d'emploi.
J'étais au supermarché
au rayon bébé
avec deux marques de couches
en mains.
Je les fixe en me demandant
si je vais tenir la journée.
Un ange
me voit.
Elle a su.
Elle m'a jeté ce regard.
J'étais ailleurs, mais j'ai su
que quelqu'un, quelque part,
me tendait une perche.
À partir de ce jour,
tu as redonné un sens à ma vie.
- Tu es saoul.
- Et alors ?
Et toi, l'ami ?
Tu viens d'une autre planète.
Non, je suis de Miami.
T'as pas débarqué
dans une météorite ?
Je me suis réveillé à l'hôpital.
Un hôpital de l'armée, c'est ça ?
T'étais un cobaye et...
Non, les bonnes vieilles urgences
d'un hosto de Miami.
J'avais une fracture du crâne.
Il paraît que j'ai voulu
empêcher une agression.
On t'a mis K.-O.
J'étais sûrement normal, avant.
À mon réveil, j'étais transformé.
Une infirmière a voulu
me piquer le bras
et l'aiguille s'est cassée.
Puis, mon crâne a guéri
en une heure à peine.
Les médecins étaient sciés.
Ils voulaient connaître mon histoire.
Comme toi. Mais j'ignore qui je suis.
Une amnésie.
Le coup à la tête.
C'était leur conclusion.
Tu ne te rappelles rien ?
En poche, j'avais uniquement
des chewing-gums
et deux places de ciné.
Boris Karloff, Frankenstein.
Mais pas de carte d'identité, rien.
À ma sortie, on m'a dit de signer
à la John Hancock.
J'ai cru que c'était mon nom.
Pourquoi je n'ai rien entendu,
rien lu dans la presse ?
C'était sûrement dans les journaux,
il y a 80 ans.
Il y a 80 ans ?
Je ne vieillis pas.
Classe.
Mais ça me fait penser...
... que je devais être un bel enfoiré...
... pour que
personne ne me recherche.
Je ne suis pas le type
le plus sympa de la terre,
à ce qu'on m'a dit, mais...
... personne ?
Qui que c'était,
il doit être mort maintenant.
Mary. Ça va, chérie ?
Trop de vin.
Je tiens mal l'alcool.
Je suis désolée.
Tu n'as rien fait.
C'était un dîner sympa, Ray.
- C'était bien.
- C'était même très fun.
- Ça t'a pas épuisé de monter ?
- Non.
J'ai le tournis.
Tu aurais pu m'héliporter.
Je me serais passé de ça.
Je retire tes chaussures.
D'accord, mais rien d'autre.
Tu crois en moi, hein ?
Bien sûr.
J'ai quelque chose à te dire.
Écoute-moi. C'est important.
Tu es comme un hot-dog.
C'est quelque chose
qu'on ne croit pas aimer,
mais qu'on essaye et qu'on aime.
C'est bien pour l'âme.
Tu es comme le roi des hot-dogs.
Je ne sais pas.
Mais tu vois, non ?
Tu vas cartonner.
Tu vas tout réparer.
Repose-toi.
Dors bien, toi aussi.
Hancock me borde !
Il s'est endormi.
- Merci. Bonne nuit.
- Bonne nuit.
Je ne veux pas que
tu penses que Ray
boive comme ça, parce que...
- Non.
- C'était une sorte
- de nuit à célébrer.
- Je comprends.
Foutue baby-sitter,
elle ne nettoie rien.
Vous êtes blessé à la main.
Je ne sais pas ce que c'est.
Je me sens bizarre.
Vous devriez partir.
Il se fait ***.
Si Ray apprend la vérité...
... tu es mort.
Joan, on s'en occupe.
Pas d'inquiétude.
Bonjour chéri !
Petit-déj ?
Hancock a éternué ?
Tu imagines le truc ?
Dire que tu dormais,
tu as le sommeil lourd !
Inutile de te dire
que je t'avais prévenu.
Qu'il éternuerait
en soufflant notre façade ?
Non, que sa présence...
Mon cur, tu l'ouvres ?
Merci.
Quelle force !
Mais ne t'inquiète pas.
J'ai parlé aux voisins.
J'ai appelé l'assurance.
Tout est réglé.
Tu n'as qu'à...
... savourer ce petit-déj.
C'est quoi ? On part en vacances ?
Rien que nous trois.
- À la fin de l'été ?
- Ce soir.
- Ce soir ?
- Sans trop réfléchir.
- Ce soir pourrait être difficile.
- Allons. Nous trois.
Moi en bikini.
- Ça me va.
- Allons quelque part.
Toc, toc.
À tes souhaits.
Je disais à Ray :
Pourvu qu'il n'éternue pas encore.
Notre maison ne supporterait pas
un autre éternuement.
Parfois,
j'éternue à cause de la poussière.
Ou quand je suis très surpris.
C'est pas de bol.
C'est Kilbourne.
Mike, la forme ?
Oui, c'était sympa de te revoir !
Vas-y, balance.
Je prends un stylo.
Fais gaffe.
Une seconde.
Vous permettez ?
Désolé, Mike.
Faut qu'on discute.
Va-t'en.
Ce n'est que le début.
Ferme-la.
Bien ! On va discuter.
Après ça,
tu pars
et tu laisses ma famille tranquille.
- Chez moi, à 16 h.
- Comme tu veux.
Je préfère ne pas parler chiffres.
Je garde ça pour l'argumentaire.
Quelle heure ?
Parfait, à tout à l'heure. D'accord.
15 h 30, génial.
Il fait chaud, non ?
Il t'a blessé, c'est ça ?
Fais une phrase.
Ça t'a fait quoi ?
Une déchirure.
Mal.
Mal.
Il t'a pris ta force.
Tu dois la récupérer.
Personne ne te rendra ta force.
Tu dois aller la reprendre.
Tu me suis ?
On va retrouver Hancock
et récupérer ta force.
Je suis ici.
Tu veux le faire ?
Faire quoi ?
Je n'ai pas le temps pour ça.
Pose les questions,
je répondrai honnêtement
et tu quittes L.A.
Je ne quitte pas L.A.
Non.
Je t'écoute.
- Toi et moi...
- Quoi ?
On est pareils.
Je suis plus forte.
Vraiment ?
Qui sommes-nous ?
Des dieux, des anges.
Tout dépend des cultures.
Et là, tout à coup, superhéros.
Combien sommes-nous ?
Étions.
Ils sont tous morts.
Il ne reste que nous deux.
C'est quoi ?
Qui on est, l'un pour l'autre ?
Frère et sur.
- Non, je suis ta sur.
- Tu mens !
Je suis ta sur.
Une sur n'embrasse pas son frère
comme hier soir.
Tu mens, le deal est mort.
Voyons ce que Ray en pense.
Ramène ton cul !
Je vais tout répéter !
AllHeart sera mondialement reconnu
comme un symbole
représentant les sociétés
qui uvrent pour changer le monde.
Elles peuvent offrir nourriture,
médicaments, vêtements, etc.
- On devait parler de Hancock.
- Deuzio...
Laisse ma famille tranquille.
Tu ne me referas pas le coup !
De quoi tu parles ?
Ça marche pas.
Ça finit toujours pareil.
La Perse, la Grèce, Brooklyn !
J'ai jamais été à Brooklyn !
3000 ans que je supporte tes
conneries. C'est fini ! Tu m'entends ?
- Je comprends rien !
- Je suis enfin heureuse !
Regarde-moi !
Je comprends rien !
Désolé de couper
ta tirade de folledingue,
mais ça devait pas être top,
vu que je t'ai oubliée !
Traite-moi de folle...
... encore une fois.
Gogolle.
O.K., pouce.
T'as pas intérêt !
AllHeart est réservé aux sociétés
leaders dans cette révolution.
Parlons de M. Hancock.
Elles doivent améliorer le monde
de quatre façons...
L'essentiel,
c'est l'identification de la marque.
Voici mes mises en situation
à Tokyo, Londres, Dubaï, Paris.
Il faut une exposition maximale...
Il neige ?
Arrête.
Lâche-moi !
Lâche-moi !
- Lâche-moi !
- Écoute-moi !
- Je te dé*** !
- Je suis désolé !
Qui que je sois,
quoi que j'aie fait...
Regarde-moi.
Je suis désolé.
Je ne me souviens pas.
Tu es la plus belle chose
que j'aie jamais vue.
Mon Dieu.
Pourquoi tu volais ?
Tu volais, Mary.
- Elle volait carrément.
- D'accord, je volais.
Et je suis aussi très forte.
- On est comme ça.
- On ?
Moi et lui. Les autres
ont formé des couples et sont morts.
T'as rien dit sur les couples,
à la caravane.
T'es allée chez lui.
C'est dur à expliquer.
- Je suis tout ouïe.
- Moi aussi.
S'il te plaît,
laisse-moi un instant avec ma femme.
Ne me charge pas.
Laisse parler les grands.
Techniquement parlant...
... c'est mon mari.
On a cassé depuis des décennies.
Bien avant que tu naisses.
Il a oublié.
Mais pas toi !
Tu savais ?
C'est un détail à évoquer
au premier rancard.
Je suis allergique aux voyages,
aux chats, je suis immortelle.
Ce serait le genre de trucs
à signaler.
Quoi que nous soyons,
nous formons un tout.
Nous sommes liés.
Où que je sois, il est là.
Il me retrouve. C'est de la physique.
Vous seriez liés par le destin ?
Je vis depuis très longtemps.
Et j'ai appris une chose :
le destin ne décide pas de tout.
On peut choisir.
Et tu as choisi
de me laisser croire que j'étais seul.
Je n'aurais pas dû te manquer,
tu m'avais oubliée.
Génial.
Et maintenant ?
Je n'avais pas prévu ça.
Les autorités carcérales
ont confirmé
que la mutinerie était l'uvre
de Kenneth Red Parker Jr,
tout comme le braquage
de la semaine passée.
Huit prisonniers manquent à l'appel.
Plus d'infos sur l'insurrection :
des ouvriers sur place
ont été assommés
et dépouillés de leurs vêtements.
On redoute des évasions.
Parker serait le cerveau.
Il manie avec habileté la persuasion
pour réunir
des criminels de tous bords.
Ancien prof de psychologie
à l'université de Stanford.
Là-bas,
il a monté un réseau de criminels
composé d'étudiants...
91,10.
91,10 ? Vous vous foutez de moi.
91,10.
C'est du racket.
Je prends le fric.
Je comprends ton délire.
Tu veux quelque chose,
personne te barre la route.
Tu te sers, hein ?
Ça me plaît.
Mais y arriveras-tu ?
Mon Zagnut contre ton flingue.
Désolé pour votre vitrine.
Il me faut une voie.
- Ça marchera pas.
- Ça y est.
Qu'est-ce qui m'arrive ?
John Hancock a été admis aux
urgences du General Hospital de L.A.
Son état est grave,
il a plusieurs blessures par balle.
On ne sait rien des circonstances,
mais on vous tient informés
en temps réel.
- Une idée de l'agresseur ?
- Un lien avec l'évasion ?
M. Embrey, deux ou trois questions.
Décrivez-nous l'incident.
Il aurait voulu empêcher un braquage.
S'agissait-il de munitions spéciales ?
De balles high-tech ?
Pas que je sache.
Un lien avec la super-woman ?
Aucune idée.
Serait-elle plus puissante ?
Tu deviens mortel.
C'est nous...
Notre proximité.
Ça ne s'était jamais manifesté
aussi vite.
Tu dois partir.
Plus tu t'éloigneras,
mieux tu te sentiras.
Tu retrouveras tes pouvoirs,
tu voleras, tu casseras des choses
et tu sauveras des vies.
Comme je l'ai dit,
on forme un tout.
En étant...
... proche de son opposé,
on perd son pouvoir.
Pourquoi ?
Pour vivre comme des humains.
Aimer, créer des liens,
vieillir.
Mourir.
Que nous est-il arrivé ?
Été de l'an 4 avant J.-C.
Nous devenions mortels, comme là.
Ils m'ont attaquée à l'épée.
Mais tu m'as sauvée.
1850.
Ils ont incendié notre maison.
Tu m'as sortie des flammes.
Il y a 80 ans...
... que s'est-il passé ?
Nous vivions à Miami.
Il y avait un nouveau film à l'affiche.
Frankenstein.
Ensuite,
on a marché sur Flagler Street.
Tu as pris ma main
et tu l'as serrée très fort.
On nous a agressés dans une ruelle.
Ils t'ont frappé sauvagement.
Il y avait plein de sang.
Ils ne m'ont pas laissée
monter dans l'ambulance.
Quand je suis arrivée à l'hôpital,
tu étais conscient.
Mais tu m'avais oubliée.
Donc, je suis partie.
Chaque fois qu'on est réunis,
ils t'atteignent à travers moi.
Tu es conçu pour sauver des vies,
plus que nous tous.
Voilà ce que tu es.
Tu es un héros.
La police d'assurance des dieux.
En garder un en vie.
Toi.
Pour protéger ce monde.
Couchez-vous !
Restez là.
On la relève !
Sur nous tous, Hancock.
Tu ne fais pas exception.
Il est temps de baisser le rideau.
Tu en as bien profité.
Tu vas franchement nous manquer.
Mais tu es attendu ailleurs.
Dans un monde meilleur.
J'accepte les remerciements.
Superhéros.
T'as osé !
UN MOIS PLUS ***
Et Attila le Hun ?
Il louchait méchamment.
La reine Elizabeth ?
En manque.
Kennedy ?
Oh, oui...
Rien d'autre ?
Pas ça. J'étais à Cuba
pendant l'affaire des missiles.
Bouge pas.
J'ai essayé de te joindre.
J'étais hors réseau.
Tu es dehors ?
Lève les yeux.
Je lève les yeux.
Mon cur...
Tu vas changer le monde.
Bon boulot, Ray.
Regarde.
Je suis fière de toi.
Merci.
Ça va m'attirer des ennuis ?
- Haut les mains !
- Pas un geste !
Lâchez votre arme !
Reculez !
Reculez !
Reculez ou je tire !
Reculez, je déconne pas !
Putain, Hancouille !
D'où tu sors ?
Calmos. Tu veux quoi ?
Dis aux flics
d'arrêter de me braquer.
Les gars, baissez vos armes.
Dégage-nous d'ici
avec ton moule-burnes, Wolverine.
Au boulot, sale con.
Traduction :
Bob Yangasa