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Maître.
Je vois que tes talents vont
au-delà du simple niveau physique.
Ils peuvent désormais explorer
le niveau spirituel.
J'ai des questions : quelle technique
la plus avancée espères-tu atteindre ?
- N'avoir aucune technique.
- Très bien.
À quoi penses-tu face à un adversaire ?
Il n'y a pas d'adversaire.
Et pourquoi cela ?
Parce que le mot "je" n'existe pas
Oui. Continue.
Un bon combat doit ressembler...
à un simple jeu mais joué sérieusement.
Un bon maître d'arts martiaux
n'est pas nerveux, il est prêt.
Il ne pense pas,
mais ne rêve pas non plus.
Il est pret à toutes les éventualités.
Quand l'adversaire s'étend,
je me contracte.
Lorsqu'il se contracte je m'étends.
Et quand une ouverture se présente...
je ne frappe pas.
Ça frappe tout seul.
Maintenant, souviens-toi
que l'ennemi ne montre
qu'images et illusions
derrière lesquelles il cache
sa véritable intention.
Détruis l'image et tu briseras l'ennemi.
Le "ça" auquel tu te réfères
est une arme puissante
et un maître dévoyé
est enclin à l'utiliser à tort.
Le code du Temple de Shaolin
a été préservé pendant des siècles.
Souviens-toi l'honneur
de notre confrérie est sans tache.
Dis-moi maintenant le treizième
commandement de Shaolin.
"Un maître en arts martiaux
se doit d'être responsable
et d'accepter les conséquences
de ses actes."
Je suis au regret de te dire
que parmi mes anciens élèves,
il en est un qui met à profit
la voie du savoir et de la force
à des fins indignes.
Il a perverti
tout ce que nous tenons pour sacré.
Il s'appelle Han.
Défiant nos croyances...
il apporte la disgrâce
sur le Temple de Shaolin.
Il t'appartient désormais
de reconquérir notre honneur perdu.
Oui. Je comprends.
Il y a un homme ici. Va le voir.
Bonjour, M. Lee.
Je m'appelle Braithwaite.
Bonjour, M. Braithwaite.
Je suis venu vous parler
d'une affaire extrêmement importante.
- Du thé ?
- Avec plaisir.
C'est très agréable, ici.
M. Lee, je suis venu vous parler
d'un tournoi d'arts martiaux.
Un tournoi auquel vous avez été invité.
En clair un tournoi organisé par M. Han.
- Le tournoi de Han.
- Je sais, je sais.
Mais nous aimerions beaucoup
que vous participiez à ce tournoi M. Lee.
"Nous", M. Braithwaite ?
C'est l'heure de la séance de Lao.
Oui, bien sur.
Frappe-moi.
Frappe-moi.
C'était quoi ? Une démonstration ?
Il faut un contenu émotionnel.
Essaie encore.
J'ai dit un contenu émotionnel'
pas de la coIère.
Maintenant, essaie encore. Avec moi
C'est ça.
Qu'as-tu ressenti ?
Laissez-moi réfIéchir...
Ne réfléchis pas. Ressens.
Comme avec un doigt pointant vers la lune.
Si tu te concentres sur le doigt'
tu ne pourras voir l'éclat céleste.
Tu comprends ?
Ne quitte jamais ton adversaire
des yeux même pour saIuer.
C'est ça.
OPÉRATION DRAGON
Là.
C'est Han. C'est le seul film
que nous ayons de Iui.
Nous savons qu'il a appartenu
à votre Temple
Un moine Shaolin
maintenant renégat.
Derrière lui, c'est Oharra,
son garde du corps personnel.
Brutal sans pitié comme on peut
s'y attendre puisqu'il protège Han.
Nous avons là un film
de démonstration d'Oharra.
Les briques et les bâtons sont vrais,
rien n'est simulé.
C'était avant qu'il ne se fasse balafrer.
C'est là que vous irez.
Une île-forteresse.
Après la guerre,
la nationalité de l'île n'était pas claire.
Et peu après, Han l'a achetée.
Que savez-vous de Han ?
Il vit sur cette île comme un roi.
Il subvient à tous ses besoins.
Tous ses efforts, apparemment,
vont à ce qu'il appelle
son "école d'arts martiaux".
Le seul contact de Han avec le monde
extérieur est ce tournoi
qu'il organise tous les trois ans.
Une hôtesse de l'air, Mary King,
retrouvée dans le port.
Retrouver un corps n'est pas
chose inhabituelle.
Mais on l'a vue pour la dernière fois
à une fête sur la jonque de Han.
Elle a été portée disparue
avant qu'on ne la retrouve.
Selon nous, il choisit
de belles filles
et les rend dépendantes à la drogue
pour les vendre à une clientèle
de luxe internationale.
L'autopsie a-t-elle révélée
la cause du décès ?
- Elle ne s'est pas noyée.
- Elle a fait une overdose ?
Son décès est du
à une overdose d'héroïne.
Ce n'est pas assez pour l'interpeller.
Nous savons tout.
Nous ne pouvons rien prouver.
Nous voulons vous y envoyer
en tant qu'agent.
- Pour trouver une preuve.
- Et revenir entier pour vous la livrer.
Nous vous donnerons
tout ce dont vous avez besoin.
Équipement électronique, armes, tout.
- Un verre ?
- Non, merci.
Les armes.
Pourquoi quelqu'un ne sort pas
un .45 et ***, c'est fini ?
Non. Pas d'armes.
Regardez cette carte.
Comme vous le savez,
le port d'arme est un grave délit ici.
L'île de Han est en partie
dans nos eaux territoriales.
Si nous le soupçonnions
de détenir des armes,
nous l'arrêterions.
De plus Han ne tolérerait
jamais la moindre arme sur l'île.
Il en garde une mauvaise expérience
et redoute d'être assassiné.
On ne peut le blâmer. N'importe
quel crétin sait presser une gâchette.
Je pense que je n'aurai besoin de rien.
Il y a une radio sur l'île.
Nous la capterons,
au cas ou vous vous en serviriez.
Et vous accourrez ?
On enverra quelqu'un.
Nous n'intervenons pas
Nous recueillons des informations,
des preuves
qui permettent aux gouvernements d'agir.
Je vois. En cas d'ennuis,
vous passez un coup de fil.
Au fait il y a deux mois
nous avons pu placer
une femme agent sur l'île.
Depuis, nous l'avons perdue.
Mais elle pourrait avoir des informations.
Son nom est Mei Ling
- Vous n'en voulez vraiment pas ?
- Non, merci.
Je dois maintenant te dire
queIque chose de très pénible.
Je suis content que tu ailles
au tournoi de Han.
Le précédent tournoi date
d'il y a trois ans.
Je me trouvais alors en ville
avec ta sœur.
Je ne savais pas.
De nombreux hommes de Han
étaient là, venus de l'île.
Ils étaient partout,
brutaux et arrogants.
Nous nous rendions en ville.
Recule ?
Cours ! Cours !
Allez !
Tu sais maintenant la vérité.
Une fois en ville,
va rendre hommage
à ta sœur et à ta mère.
Je le ferai vieil homme.
Vous ne serez pas d'accord
avec ce que je vais faire.
Cela est contraire à tout
ce que vous m'avez appris...
et à tout ce en quoi Su Lin croyait.
Je dois partir.
S'il vous plaît,
essayez de me pardonner.
Quitte ou double ?
Ça fait dans les 3 000 dollars
le mètre Roper.
Pourquoi pas ?
Désolée, M. Roper n'est pas là
Puis-je prendre un message ?
C'est un coup difficile M. Roper.
Excusez-moi, les amis
,
- Je parie qu'il n'y arrive pas.
- Vous pariez quoi ?
Il est adorable.
Allons Roper.
Ça fait 1 75 avant Iundi 1 5.
Seulement 150.
Vous oubliez les intérêts.
- Je verrai avec Freddie, alors
- N'abusez pas, Roper.
Allons, les amis.
Aboule le fric Roper,
ou va y avoir de la casse.
Compris ?
Freddie a dit
que c'était pour votre bien.
Vous feriez mieux de confirmer
mon vol pour Hong Kong.
- Combien reste-t-il sur mon compte ?
- 63'43 $.
- Ils sont à vous.
- Merci.
- Mais vous en aurez besoin.
- Vous pariez ?
Double coup de poing. Prêts..
Tu pars en voyage ?
- Ce mariole a un passeport.
- Où tu vas, mariole ?
- Pour où, le billet d'avion ?
- Hong Kon, via Hawaï.
Il ne va pas à Hawaï.
Vise-moi ça !
Attaquer un officier de police..
- PIus vite que ça, soIdat !
- Roper ! Comment ça va ?
Comment je vais ? Moi ? Content
de te voir voilà comment je vais.
- Ça fait combien ? Cinq...
- Six ans.
- Six.
- Ce n'est pas si long.
Oui, je sais.
- T'as fait quoi depuis le Viêt-nam ?
- Rien de spécial.
- Tout ça, c'est à toi ?
- Première classe.
Ce même vieux Roper.
Viens ici.
- Parsons.
- Oui, de Nouvelle-Zélande.
Ce type en a aligné pas mal
Tu le connais celui-là ?
Jamais vu.
Qu'est-ce que tu sais de ce Han ?
Que des rumeurs
Il mène une grande vie
Ils ne mènent pas la grande vie,
là-bas.
Les ghettos sont les mêmes partout.
Ils puent.
Bon vieux Williams.
Que se passe-t-il ?
Un peu d'action.
Des insectes.
Je mets 50 dollars sur le gros.
Cinquante.
50 $ sur le gros d'accord ?
Je parie à 5 contre 1 .
Vous parieriez 100 ?
Ça marche.
Allez, finissons-en rapidement.
Vas-y bébé. Allez. Allez !
C'est ça. Retourne-le.
Retourne-le ! Allez.
Allez. Abandonne !
Allez !
Bon sang.
Vous y croyez, à ça ?
Et merde.
Je te dérange ?
Ne vous fatiguez pas.
- Quel est ton style ?
- Mon style ?
Vous pouvez l'appeler
l'art de combattre sans combattre.
"L'art de combattre sans combattre" ?
- Montre-moi.
- Plus ***
Très bien.
Mais il nous faudrait
plus de place.
Où alors ?
Cette île, sur la plage.
Prenons ce bateau.
Qu'est-ce que tu fiches ?
Ça va pas ?
Tire-moi ! Tire-moi !
N'essayez pas de tirer
ou je lâche la corde.
Regarde-moi ça.
Une femme comme elle peut
vous apprendre beaucoup sur vous-même.
Bienvenue.
Par ici.
Je vais vous montrer vos chambres.
Le banquet commence à 8 h précises.
Vous trouverez notre petite île charmante.
J'espère que vous n'avez pas dépensé
tout l'argent que vous avez gagné hier.
- J'ai l'intention de le regagner.
- Comment ?
Vous verrez bien, après l'avoir perdu
Vous semblez ici
comme chez vous M. Roper.
Ce Han a vraiment le sens
de l'hospitalité.
Et un fantastique sens du style.
Oui, c'est super.
Alors pourquoi êtes-vous si inquiet ?
Inquiet ?
Non. Je me demandais juste
si l'eau était potable.
M. Roper, ne m'embobinez pas.
Vous voulez parier ?
Non. Je ne pense pas. Merci.
Qu'y a-t-il, tu es au régime ?
Je mangerais bien, s'il y avait un plat
que je pouvais avaler.
J'ai hâte de rencontrer notre hôte.
Cette fête n'est rien, paraît-il.
Tu as déjà participé
à un tournoi comme celui-ci ?
Jamais.
J'ai le pressentiment
qu'on nous engraisse avant de nous tuer.
Mieux vaut surveiller l'arbitre.
Tu vois ce que je veux dire ?
Messieurs bienvenue.
Votre présence honore notre île.
J'espère vivement que ce tournoi
sera proprement épique.
Nous sommes uniques, messieurs,
car nous nous créons nous-mêmes
à travers de longues années
d'entraînement rigoureux,
de sacrifice, d'abnégation, de douleur.
Nous forgeons notre corps
à la flamme de notre voIonté.
Mais ce soir que la fête continue.
Messieurs'
vous avez toute notre gratitude.
M. Williams
Pour moi ?
Vous n'auriez pas dû.
Mais...
Ce sera toi, chérie.
Et toi.
Désolé si j'en oublie certaines,
mais ça a été une longue journée.
Je suis un peu fatigué.
Mais bien sûr M. Williams.
Vous devez garder des forces.
Entrez.
Un présent, M. Lee.
- Si rien ne plaît à vos yeux...
- Il y avait une fille à la fête.
Quelle fille, monsieur ?
La propriétaire de ce trait.
Je vois laquelle.
Je vous l'envoie.
Tu m'as encore fourré
dans une belle panade.
Entrez.
Toutes plus jolies
les unes que les autres.
Qu'aviez-vous en tête ?
Choisissez-en une.
C'est déjà fait.
Une sage décision.
Je veux vous parler Mei Ling.
D'où venez-vous ?
- Braithwaite...
- Parlons à voix basse.
Qu'avez-vous vu ?
Pas grand-chose. On me garde
au palais, sous surveillance.
Je ne sais rien des activités
de Han en dehors du palais.
Mais je peux vous dire ceci :
des gens disparaissent.
- Qui ?
- Les filles. Toutes.
La nuit, elles vont auprès de Han
et le lendemain elles ont disparues.
Je sais qu'il me reste peu de temps.
Vous devez vous rendre au rituel
du matin en uniforme.
Dehors.
M. Lee, pourquoi ne portez-vous
pas d'uniforme ?
Messieurs que le tournoi commence !
Bolo.
Joli travail.
Je me suis fait du blé.
- M. Roper.
- Je suis prêt.
Je me suis trouvé un vrai pigeon.
Continue de le plumer pour moi'
veux-tu ?
Qu'en penses-tu, Roper ?
Pas d'inquiétude.
Parie contre mon ami à 8 contre 3.
Je suis à la recherche de moi-même.
Là, c'est tout moi, absolument.
Ça te plaît, ici ?
Oh, oui. Mais un peu pIus bas.
Non. Je veux dire ici, sur l'île.
Oui je me plais ici.
Mais un peu pIus bas.
Un homme comme toi
se doit d'être ici.
Pour toi je ne suis qu'un joli
minois de plus.
Où vas-tu ?
Sous la lune bébé.
C'est interdit. Tu dois rester.
Au revoir.
Une mouche humaine.
Messieurs...
il semble que l'un d'entre vous...
n'ait pas été satisfait hier soir
de l'hospitalité du palais'
et soit parti à la recherche
de distractions sur l'île.
Qui il est n'a pas d'importance
pour le moment
Ce qui importe c'est que
mes gardes aient été incompétents.
Et ils doivent maintenant prouver
qu'ils sont dignes
de rester parmi nous.
Choqué M. Williams ?
Seulement par son style brouillon.
M. Lee ?
Etes-vous prêt ?
Le bois ne rend pas les coups.
Bolo.
Oharra !
Oharra !
La traîtrise d'Oharra est une disgrâce.
Si tu veux en parler,
je suis dans ma chambre.
Compris.
Williams ? Williams.
- Va vite dans le cabinet de Han.
- Très bien.
- Je te vois dans une demi-heure.
- D'accord.
- M. Han ?
- Vous avez bien combattu. hier.
Votre style n'est pas très orthodoxe.
Mais efficace.
Ce n'est pas l'art'
mais le combat qui vous plaît.
La victoire.
Nous sommes tous préparés
à la victoire'
tout comme nous sommes tous
nés préparés à vivre.
C'est à la défaite que vous devez
vous préparer.
Je ne perds pas mon temps à ça.
Lorsqu'elle viendra,
je ne m'en apercevrai même pas.
Comment cela ?
Je serai trop occupé
à être un beau gosse.
Que cherchiez-vous
quand vous avez attaqué mes gardes ?
- Ce n'était pas moi.
- Vous étiez le seul dehors.
J'étais dehors,
mais je n'étais pas le seul.
Vous allez me dire qui d'autre.
M. Han j'ai soudainement envie
de quitter votre île.
- Ce n'est pas possible.
- Conneries M. Han-Man !
Mec tu sors tout droit
d'une bande dessinée.
Vous vous êtes entraîné ?
- Williams m'attend dans ma chambre.
- Je souhaitais vous parler.
Nous verrons votre ami Williams
plus ***.
Voici mon musée.
Difficile d'associer ces horreurs
à leurs somptueuses civilisations :
Sparte Rome, les chevaliers
européens, les samouraïs.
Ils adoraient la force
parce que c'est la force
qui permet aux autres valeurs d'exister.
Rien ne survit sans elle
Qui sait quelles délicates merveilles
ont disparu du monde
par défaut de force.
Qu'est-ce que c'est ?
Un souvenir.
- Là.
- Une guillotine ? Non merci.
- Je préfère mon point de vue
- S'il vous plait, M. Roper.
Vous voulez que je pose
ma tête là-dessus ?
Un acte de foi.
Je suis un homme de peu de foi M. Han.
Peu d'hommes peuvent être réellement
sans pitié. Ce n'est pas facile.
Cela demande plus de force
que vous ne le pensez.
Maintenant, il t'en reste huit.
Il existe donc une ligne
que vous ne franchirez pas.
Encore dupé.
Par ici.
Notre générateur.
Une vie entière de femmes, hein ?
La force d'un homme
peut se mesurer à ses appé***.
En fait, la force d'un homme
provient de ses appé***.
Ce sont mes filles.
Vos filles ?
Désolé. Je pensais que..
J'avais mal compris. Mlle Han ?
Elles constituent aussi
ma garde rapprochée.
J'admire votre sagesse.
Personne n'est aussi loyaI
qu'une fille envers papa.
- M. Roper ?
- Non, merci.
Je me relèverai tout seul.
Enchanté.
***.
Nous investissons illégalement,
M. Roper.
Les affaires illégales
sont comme toutes les autres.
Il s'agit de fournir à vos clients
les produits qu'ils désirent
et d'encourager un peu leur désir
pour stimuler le marché.
Très vite vos clients comptent sur vous,
ont besoin de vous.
Ce sont les lois de l'économie.
Bien.
Et là nous stimulons un autre désir.
Vous vous demandez pourquoi
je m'expose tant ?
J'oublie très facilement ce que je vois.
Mais oui, pourquoi ?
J'espère que vous nous rejoindrez
et nous représenterez aux États-Unis.
Je comprends le pourquoi du tournoi.
Tout le système,
c'est une façon de recruter
de nouveaux talents.
Et eux, qui sont-ils ?
Des rebuts trouvés
dans les bars des docks.
De Shanghaï ?
Des alcooliques qui ne se soucient
plus de l'endroit où ils se réveillent.
Vous avez laissé des dettes
conséquentes en Amérique.
Ma carte Diners Club
ne m'a pas encore été retirée.
Il était nécessaire que je pose
certaines questions.
Je n'ai pas eu les réponses.
Et vous voulez que je me joigne à ça ?
Il y a certaines réalités.
Je veux que nous soyons bien d'accord.
Tout est très clair entre nous.
Aidez-moi. À l'aide, j'ai 17 ans !
Je suis de Californie. Aidez-moi ?
S'il vous plaît aidez-moi !
Monsieur, revenez s'il vous plait !
Vous le devez s'il vous plaît !
- Aidez-moi ? Aidez-moi !
- Sllence ! Boucle-la !
Quel magnifique combat
contre les gardes.
Votre talent est extraordinaire.
Et j'allais vous demander
de vous joindre à nous.
Mon Dieu. C'est arrivé
il y a une demi-heure. Vous auriez dû...
Passez-moi votre colonel
Eh bien, réveillez-le !
Je me fiche qu'il ne soit pas seul.
Bon sang je me fiche d'avec
qui il est ! Passez-le-moi !
Bonjour M. Roper.
Nous vous attendions.
Que se passe-t-il ?
Seriez-vous assez bon de participer
à notre édifiante séance de ce matin ?
Édifiante ?
Qu'allez-vous lui faire ?
Pas moi, M. Roper. Vous.
Bolo ?
Comme vous l'avez dit...
Il existe une ligne
que je ne franchirai pas.
Je ne m'étais pas trompé sur vous.
Nous tenterons de nous montrer dignes
de votre sens de la noblesse.
Je vais choisir quelqu'un digne
de se battre contre vous.
Bolo.
Vite, détruisez-les. Tuez !
Tuez-les !
Tuez ! Idiots ?
Vous avez insulté ma famille
et un Temple Shaolin.
Souviens-toi...
que l'ennemi ne montre
qu'images et illusions
derrière lesquelles il cache
sa véritable intention.
Détruis l'image
et tu briseras l'ennemi.
rip by Athomic