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Actualités Cinématographiques
présente L'aventure fait la une.
Vous voyez en ce moment
des images inédites
d'un monde oublié
situé en Amérique du Sud.
Tapis dans l'ombre
des splendides chutes du Paradis
se trouvent végétaux et animaux
dont la science ignore l'existence.
Qui oserait se poser
sur ce sommet inhospitalier ?
Charles Muntz,
l'homme dont on parlera aujourd'hui !
L'explorateur adoré pose
son dirigeable, l'Esprit d'aventure,
dans le New Hampshire
cette semaine,
complétant ainsi son expédition
d'un an dans ce monde oublié.
Cet aéronef hyper léger,
conçu par Muntz lui-même,
est d'une longueur supérieure
à 22 paniers à salade mis bout à bout.
Voici maintenant l'aventurier.
Toujours accompagné
de ses fidèles chiens,
Muntz a conçu l'aéronef
pour leur confort.
C'est un véritable palais volant
avec poste de toilettage
et tapis roulants canins.
Les gens du coin adorent Muntz.
Selon eux, c'est le meilleur.
Et comment !
Explorons l'inexploré !
Qu'a rapporté Muntz cette fols-ci ?
Messieurs, voici le monstre
des chutes du Paradis !
Bon sang ! C'est tout un monstre !
Il y a un pépin !
Les scientifiques croient à une ruse.
La Société nationale des explorateurs
accuse Muntz
d'avoir fabriqué le squelette.
Non !
L'organisation lui révoque
ses privilèges de membre.
Humilié, Muntz jure
de retourner aux chutes du Paradis
et de capturer la bête vivante !
Je vous promets
de capturer la bête vivante
et je ne reviendrai pas
avant de l'avoir fait !
L'explorateur s'envole
pour défendre sa réputation.
Bon voyage, Charles Muntz,
espérons que tu captureras
le monstre des chutes du Paradis !
Voici Charles Muntz aux commandes
de son célèbre dirigeable.
Il survole Pikes Peak.
Il survole le Grand Canyon.
Il survole le mont Everest.
Il contourne le mont Everest.
Y a-t-il quelque chose à son épreuve ?
Comme le dit Muntz : "Explorons... "
Explorons l'inexploré ! Attention !
Le mont Rushmore ! À tribord toute !
L'Esprit d'aventure doit survoler
le mont Rushmore !
Vas-y, ma vieille.
Comment vont mes bons chiens ?
En avant les moteurs !
Montons à 8000 mètres.
Mettons le cap 18 degrés au sud.
C'est une splendide journée
avec des vents de l'est de dix nuds.
La visibilité est illimitée. Inscrivons
le temps dans le carnet de route.
Il y a quelque chose là-bas.
Je le rapporterai pour l'étudier.
C'est un chiot ! Pas le temps !
Un orage ! Des éclairs. De la grêle.
Qu'est-ce que tu fais ?
Tu ignores que c'est un club sélect ?
Seuls les explorateurs y sont admis,
pas n'importe quel jeune
possédant un casque et des lunettes.
Crois-tu avoir ce qu'il faut ? Vraiment ?
Très bien, tu es admis.
Bienvenue à bord.
Qu'est-ce qui se passe ?
Tu ne peux pas parler ?
Je ne mords pas.
Toi et moi,
on est dans le même club, maintenant.
J'ai vu par où s'est envolé ton ballon.
Allons le chercher.
Je m'appelle Ellie.
Le voilà.
Eh bien, vas-y.
Allez.
Hé ! Le jeune !
Tu as besoin
de te faire remonter le moral.
J'ai quelque chose à te montrer.
Tu vas voir un truc
que le n'ai lamais montré
à un autre être humain.
Jamais ! De ma vie !
Tu dois jurer de ne pas en parler.
Croix de bois, croix de fer. Allez !
Mon livre d'aventure.
Tu le connais.
Charles Muntz, explorateur.
Quand le serai grande, j'irai là où il va,
en Amérique du Sud.
C'est l'Amérique, mais au sud.
Veux-tu savoir où le vivrai ?
"Les chutes du Paradis,
une terre perdue."
J'ai déchiré cette page
d'un livre de bibliothèque.
Je vais déménager le club là,
juste à côté des chutes.
Qui sait ce qui vit là-haut.
Sais-tu ce que le ferai là-bas ?
J'ai gardé ces pages
pour toutes les aventures que je vivrai.
Le problème, c'est que l'ignore
comment aller aux chutes du Paradis.
Je l'ai !
Tu nous y mèneras en dirigeable !
Jure que tu le feras !
Croix de bois, croix de fer !
Allez ! Croix de bois, croix de fer !
Tu as juré, tu ne peux pas te désister.
Eh bien, à demain, le jeune. Au revoir !
Explorons l'inexploré !
Tu n'es pas très bavard.
Je t'aime bien !
Ouah !
Stevie, passe-moi un bouteur !
C'est tout un spectacle,
n'est-ce pas, Ellie ?
Le facteur est passé.
Maison de retraite du grand chêne.
Bon sang !
Hé ! Bonjour, M. Fredricksen.
Vous avez besoin d'aide ?
Non. Oui !
Dites à votre patron
que vous démolissez notre maison.
En passant,
mon patron aimerait vous débarrasser
de votre vieille maison
et doubler sa dernière offre !
Qu'en pensez-vous ?
C'est non, alors ?
J'ai été très clair avec votre patron.
Vous avez versé
du jus de pruneaux dans son réservoir.
Oui, c'était drôle.
Laissez-moi lui parler.
Vous, celui en costume.
Oui, vous. Allez vous laver, le hippie l
Je n'ai rien à voir avec lui !
C'est sérieux !
Il veut vraiment votre maison.
Dites à votre patron
qu'il aura ma maison.
- Vraiment ?
- Quand je serai mort !
C'est peut-être, alors.
Commandez et obtenez l'appareil,
l'imprimante, un zoom optique 4x,
une lentille Schneider, une imprimante
à photos et une carte mémoire.
"Bonjour. Je m'appelle Russell.
"Je suis un explorateur sauvage
de la tribu 54, hutte de sudation 12.
"Avez-vous besoin d'aide
aujourd'hui, monsieur ?"
Non.
- Je peux vous aider à traverser la rue.
- Non.
- À traverser votre cour.
- Non.
- À traverser votre porche.
- Non.
Je dois vous aider
à traverser quelque chose.
Je n'ai besoin de rien.
"Bonjour. Je m'appelle Russell."
- Petit.
- "Je suis un explorateur sauvage
- "de la tribu 54, hutte de sudation 12."
- Ralentis. Petit !
- "Avez-vous besoin d'aide..."
- Merci.
- Non !
- "... aujourd'hui, monsieur ?"
Continue.
- "Bonjour..."
- Va à la fin !
Vous voyez ça ? C'est mes badges
d'explorateur sauvage.
Il me manque le badge
d'assistance aux personnes âgées.
Si le l'obtiens,
je serai explorateur sauvage en chef.
"Il faut explorer la nature sauvage !"
Ce sera génial.
Il y aura une grande cérémonie,
et tous les papas viendront
épingler nos badges.
Donc, tu veux aider
une personne âgée ?
Oui ! Ensuite,
je serai explorateur sauvage en chef.
- Tu connais le dabou ?
- Le dabou ?
C'est un oiseau aux yeux de fouine.
Chaque nuit, il se faufile dans ma cour
et dévore mes pauvres azalées.
Je suis âgé et infirme. Je ne peux pas
l'attraper. Je voudrais de l'aide.
- Je peux vous aider !
- Je ne sais pas. Il est très rusé.
Il te faudra taper des mains trois fois
pour l'attirer.
Je vais le trouver, M. Fredricksen !
Son nid est à deux coins de rue.
Si tu vas...
À deux coins de rue. Compris ! Dabou.
Viens, petit dabou.
Amène-le ici quand tu l'auras trouvé.
Dabou !
D'accord, avance, avance.
Arrête. Arrête !
Hé ! Hé ! Vous !
Qu'est-ce que vous faites ?
- Désolé, monsieur.
- N'y touchez pas !
Non, non. Je vais m'en occuper.
- N'y touchez pas !
- Monsieur, je...
Je ne veux pas que vous y touchiez !
Steve, ça va ?
Désolée, M. Fredricksen.
Vous ne semblez pas
représenter une menace. Prenez ça.
Les gens de la Maison du grand chêne
viendront vous chercher demain matin.
Qu'est-ce qu'on fait maintenant, Ellie ?
Bonjour, messieurs.
Bonjour, M. Fredricksen.
Vous êtes prêt ?
Aussi prêt que le peux l'être.
Rendez-moi service. Prenez ça.
Je vous rejoindrai
à la fourgonnette dans une minute.
Je veux dire au revoir à ma maison.
Bien sûr.
Prenez votre temps, monsieur.
Typique. Il va sûrement
aux toilettes pour la 80e fois.
Il pourrait prendre soin de sa propriété.
Au revoir, les gars !
Je vous écrirai des chutes du Paradis !
On est partis, Ellie.
Salut, M. Fredricksen.
C'est moi, Russell.
Que fais-tu là, petit ?
J'ai trouvé le dabou
et je l'ai suivi sous votre porche,
mais ce dabou avait une longue queue
et ressemblait plutôt à une souris.
Laissez-moi entrer, s'il vous plaît.
Non.
Très bien. Tu peux
entrer.
Je ne suis jamais monté
à bord d'une maison flottante.
Des lunettes. Regardez ça.
Ouah ! vous partez en voyage ?
"Les chutes du Paradis,
une terre perdue."
Vous allez en Amérique du Sud ?
Ne touche pas à ça ! Tu vas le salir.
La plupart des gens prennent l'avion,
mais vous êtes rusé. Ainsi, vous avez
votre télé, vos horloges et tout.
Ouah ! C'est avec ça
que vous dirigez votre maison ?
Ça fonctionne vraiment ?
Petit, cesse de...
- Allons vers la droite.
- Lâche le...
- Et vers la gauche.
- Arrête !
Hé, regardez ! Des immeubles.
Cet immeuble est si près
que je peux presque le toucher.
Ouah ! C'est génial !
Vous devriez essayer, M. Fredricksen.
Là ! Il y a un autobus
qui pourrait me ramener chez moi.
Hé ! Je peux voir votre maison d'ici.
Cesse de bouger, petit. Ouah !
Ça ne fonctionnera pas.
Je connais ce nuage.
C'est un cumulonimbus.
Saviez-vous
qu'il se forme
quand l'air chaud s'élève
au-dessus de l'air froid ?
J'ai gardé tous mes ballons pour ça ?
... se forment les éclairs.
- C'est bien, petit.
- M. Fredricksen ?
Une tempête se prépare.
C'est terrifiant.
On sera anéantis !
On a de gros ennuis.
- Que fais-tu ?
- Regardez.
Vous voyez ? Un cumulonimbus.
Mon sac !
Je l'ai !
Je vous croyais mort.
Que s'est-il passé ?
Je nous ai dirigés ici.
J'ai dirigé la maison.
Tu nous as dirigés ?
Après avoir attaché vos affaires,
vous avez fait une sieste.
J'ai donc décidé
de nous diriger jusqu'ici.
Oui. Bien sûr.
J'ignore où on est.
On est en Amérique du Sud.
Ce fut facile avec mon G.P.S.
d'explorateur sauvage.
- G.P... Quoi ?
- C'est un cadeau de mon père.
Ça indique exactement
où on se trouve sur la planète.
Avec ce trésor,
on ne sera jamais perdus !
On va descendre
et chercher un arrêt d'autobus.
Tu diras au chauffeur
que tu veux retrouver ta mère.
Bien sûr, mais il n'y a pas d'autobus
aux chutes du Paradis.
Voilà. Ça devrait fonctionner.
Je vais te donner
de la monnaie pour le bus.
Non, je vais utiliser ma carte d'autobus.
Ouah ! Il me faudra
des milliards de correspondances
avant d'arriver chez moi.
M. Fredricksen, combien de temps ?
On est assez haut.
Ça pourrait prendre des heures.
C'était un immeuble
ou quelque chose du genre.
Qu'est-ce que c'était, M. Fredricksen ?
On ne peut pas être près du sol.
Attends ! Non ! Attends !
Attends, attends !
- Russell, accroche-toi ! Hé !
- Ouah !
- Recule, recule.
- D'accord.
Allez, allez.
Où sommes-nous ?
Ça ne ressemble pas à la ville
ni à la jungle, M. Fredricksen.
Ne t'en fais pas, Ellie. Je la tiens.
On y est.
Ellie, c'est magnifique.
On a réussi.
On a réussi, Russell !
On peut flotter jusque-là. Allez, grimpe.
Vous voulez que je vous aide ?
- Oui, peu importe.
- D'accord. Je vais grimper.
- Attention !
- Désolé.
Quand tu seras là-haut, hisse-moi !
Compris ?
Tu es sur le porche ?
Quoi ? Ça va finir ainsi ?
Je suis arrivé ici
pour rester coincé du mauvais côté ?
Génial.
Si je vous aide â vous rendre là-bas,
vous validerez mon badge ?
- De quoi tu parles ?
- On pourrait tirer votre maison.
- La tirer ?
- Oui ! Après tout, on la retient déjà.
On pourrait la tirer jusque-là.
Ce serait comme un défilé.
On va se rendre jusqu'aux chutes
rapidement et silencieusement,
sans musique rap ni danse exotique.
Il nous reste trois jours, au plus,
avant que l'hélium sorte des ballons.
Si on n'a pas encore atteint
les chutes à ce moment-là...
- Du sable.
- ... on n'y arrivera jamais.
J'ai trouvé du sable !
Ne t'en fais pas, Ellie.
Je mènerai notre maison jusque-là.
C'est amusant, n'est-ce pas ?
Une fois là-bas, vous aurez
le sentiment d'avoir été aidé.
M. Fredricksen, si on devait se perdre,
faites le cri de l'explorateur sauvage.
Attendez. Pourquoi on va
aux chutes du Paradis ?
On va louer à un leu.
Ça s'appelle "Voyons
qui peut se taire le plus longtemps".
Super ! Ma mère adore ce leu !
Satané machin !
Allez, Russell. Dépêche-toi.
Je suis fatigué. Et l'ai mal au genou.
Lequel ?
J'ai mal au coude
et je dois aller aux toilettes.
Je t'ai demandé
si tu avais envie il y a cinq minutes.
Je n'avais pas envie à ce moment-là.
Je ne veux plus marcher.
On peut s'arrêter ?
Russell, si tu ne te dépêches pas,
les tigres vont te dévorer.
Il n'y a pas de tigres
en Amérique du Sud. Zoologie 101.
Pour l'amour de Dieu !
Va dans le buisson !
D'accord ! Tenez mes affaires.
J'ai toujours voulu essayer ça.
M. Fredricksen, suis-je censé
creuser le trou avant ou après ?
Je m'en fiche !
C'est avant !
Des traces ?
Le dabou.
Viens, dabou. Sors de là.
Dabou.
Je t'ai ! N'aie pas peur, petit dabou.
Je suis un explorateur sauvage,
donc je suis un ami de la nature.
Tu en veux encore ?
Salut, mon beau.
Ne la mange pas toute. Allez, sors.
Sors, allez. N'aie pas peur, petit dabou.
Gentil dabou.
Gentil, petit dabou. Gentil...
Géant dabou.
- J'ai trouvé le dabou !
- Vraiment ?
- Sont-ils grands ?
- Oui, très grands.
- Très colorés ?
- Oui, tout à fait !
- Aiment-ils le chocolat ?
- Oui... Le chocolat ?
- Qu'est-ce que c'est ?
- C'est un dabou !
Les dabous n'existent pas !
- Mais un dabou mangeait vos... Ouah !
- Hé !
Allez ! Va-t'en ! Allez !
Attention, Russell !
Regardez, M. Fredricksen.
Je crois qu'il m'aime. Ouah !
- Russell !
- Arrête ! Ça chatouille.
Allez, va-t'en !
Non, non ! Kevin !
Ça va. M. Fredricksen est gentil.
- Kevin ?
- C'est le nom que je lui ai donné.
Allez ! Ouste !
Va-t'en ! Hé ! C'est à moi !
Ouste ! Déguerpis !
Allez ! Va-t'en !
Peut-on le garder ? S'il vous plaît ?
Je le nourrirai, j'irai le promener
et je nettoierai sa cage.
Non.
"L'explorateur est l'ami de tous,
de la faune, de la flore et des taupes."
- Ça ne rime pas.
- Ça rime.
- Regardez. Kevin.
- Quoi ?
Descends !
Tu n'as pas le droit d'être là !
Descends tout de suite !
Tu peux y croire, Ellie ?
Ellie ?
Hé ! Ellie ! Je peux garder l'oiseau ?
Elle a dit de vous dire d'accepter.
Mais j'ai refusé. Je t'ai dit non !
N-O-N.
Je sais que tu es là.
Allez ! Ouste !
Va déranger quelqu'un d'autre.
Hé ! Tout va bien ?
Il y a quelqu'un ?
Bonjour, monsieur ! Quel soulagement !
C'est bon de savoir
qu'il y a quelqu'un d'autre ici.
Je vous flaire.
Quoi ? Vous nous flairez ?
Je vous flaire.
Hé !
Vous parliez â un rocher.
Hé ! On dirait une tortue.
Regardez celui-là ! On dirait un chien.
- C'est un chien !
- Quoi ?
Les chiens sont interdits
dans mon appartement.
Hé ! J'aime les chiens.
On a votre chien !
- Ouah !
- Je me demande à qui il appartient.
Assis, mon beau.
Regardez, il obéit. Donne la patte.
- Parle.
- Bonjour.
Le chien a-t-il dit : "Bonjour" ?
Oh oui !
Je m'appelle Doug. On vient
de se rencontrer, et je vous aime déjà.
Mon maître m'a fabriqué ce collier.
Mon maître est bon et intelligent
et il m'a fabriqué ce collier
pour que je puisse parler. Écureuil !
Mon maître est bon et intelligent.
- C'est impossible.
- Faux. Mon maître est intelligent.
- Super ! Qu'est-ce que c'est ?
- Voulez-vous...
J'utilise ce collier...
... pour parler.
J'aimerais que tu arrêtes.
Russell, ne touche pas â ça !
Ça pourrait être radioactif !
Je suis un grand traqueur.
Ma meute m'a envoyé en mission,
tout seul.
Avez-vous vu un oiseau ?
J'en cherche un et je suis sa piste.
Je suis un grand traqueur.
Je vous l'ai dit ?
Hé ! C'est l'oiseau.
Je ne l'avais jamais vu de si près,
mais c'est bien lui.
Je peux en faire mon prisonnier
et le conduire au camp ?
Oui, et profites-en pour apprendre
à japper comme un vrai chien.
Je sais japper.
Et hurler.
On peut le garder ? S'il vous plaît !
- Non.
- Mais c'est un chien parlant !
Ce n'est qu'une sale ruse.
Il faut atteindre les chutes.
Je t'en prie,
sois mon prisonnier.
Sois mon prisonnier !
Ici. J'ai trouvé la piste de l'oiseau !
Un instant ! Qu'est-ce que c'est ?
Du chocolat. Je flaire du chocolat.
Des pruneaux et de l'adhésif à dentier.
Qui sont-ils ?
Notre maître ne sera pas content.
Il faudrait lui dire que l'oiseau
a été volé, n'est-ce pas, Alpha ?
Non. On aura bientôt retrouvé l'oiseau.
Trouvez sa piste, mes compadres,
et vous serez aussi récompensés
par notre maître pour votre bon travail.
Alpha, je crois
que ton collier est déréglé.
Tu dois l'avoir cogné.
Oui, ta voix sonne drôle !
Bêta ! Gamma !
Désirez-vous... Écureuil !
Désirez-vous mettre au défi le rang
qui m'a été donné
grâce à ma force et â ma ruse ?
Non, non. Mais Doug, oui.
Tu devrais le lui demander.
Je me demande s'il a trouvé l'oiseau
au cours de sa mission spéciale.
Ne me parlez pas de Doug
en ce moment.
Sa mission inutile le gardera occupé.
Très occupé.
N'êtes-vous pas d'accord
avec ce que je dis ?
Oui, mais dès que notre maître
apprendra que tu as envoyé Doug seul,
aucun de nous n'aura de surprises.
Tu es sage, mon loyal lieutenant.
Alpha appelle Doug. Réponds, Doug.
Salut, Alpha. Hé ! Ta voix sonne drôle.
Je sais ! As-tu vu l'oiseau ?
Oui. L'oiseau est mon prisonnier.
Bien sûr !
Impossible ! Où es-tu ?
Je suis ici, avec l'oiseau.
Je le ramènerai, puis vous m'aimerez.
- Je dois y aller.
- Doug, à qui tu parles ?
- Non, attends !
- Que faisait Doug ?
- Que fait-il avec ce petit facteur ?
- Où sont-ils ?
Là. Allons-y.
Je t'en prie,
accepte d'être mon prisonnier.
Doug, cesse de déranger Kevin !
Cet homme a dit
que je pouvais prendre l'oiseau,
et j'aime cet homme
comme s'il était mon maître.
Je ne suis pas ton maître !
Je t'avertis encore, l'oiseau.
- Hé ! Arrête !
- Je vais te sauter dessus.
Russell, â ce rythme-là,
on n'atteindra pas les chutes.
Viens ici, l'oiseau.
Je ne suis
le maître de personne, compris ?
Je ne veux pas de toi, ni de toi !
Et je suis pris avec toi !
Si vous êtes encore là
quand j'aurai compté jusqu'à trois...
Une balle ! Youpi ! Une balle !
Une balle ? Oui ? Tu la veux ?
Hein ? Oui ? Oui ?
Oui, le la veux ! Je veux la balle.
- Va la chercher !
- Youpi !
Je vais la trouver et je la rapporterai !
Vite, Russell. Donne-moi du chocolat.
- Pourquoi ?
- Donne-m'en !
Oiseau. Oiseau !
Allez, Russell.
Attendez, M. Fredricksen.
Que fait-on ?
On est plutôt loin.
Kevin va s'ennuyer de moi.
Je crois que ça a fonctionné.
Bonjour, maître.
Bonjour.
Merci de nous garder au sec, Ellie.
Lequel est pour l'entrée ?
Bon sang !
Est-ce la troisième étape
ou la cinquième ?
Voilà.
Fini ! C'est pour vous.
Les tentes, c'est difficile.
Mais n'es-tu pas un super explorateur
avec G.P.M. et badges ?
Oui, mais le peux vous dire un secret ?
- Non.
- D'accord. Voilà.
Je n'ai lamais monté de tente.
Je l'ai dit.
Tu n'as jamais fait de camping ?
Jamais à l'extérieur.
Pourquoi n'as-tu pas demandé
â ton père de te le montrer ?
Je pense qu'il ne veut pas parler
de ce genre de truc.
Tu devrais le lui demander.
Il pourrait te surprendre.
Il est souvent parti.
Je ne le vois pas souvent.
Il doit parfois être à la maison.
Je l'appelle, mais Phyllis m'a dit
que je le dérangeais trop souvent.
Phyllis ? Tu appelles ta mère
par son prénom ?
Phyllis n'est pas ma mère.
Mais il a promis de venir
à la cérémonie des Explorateurs
pour épingler mon badge
d'assistance aux personnes âgées.
Il pourra me parler des tentes
à ce moment-là, non ?
Pourquoi ne vas-tu pas dormir ?
Il ne faut pas réveiller
notre cirque ambulant.
M. Fredricksen ?
Doug dit qu'il veut faire
de Kevin son prisonnier.
Il faut le protéger.
Kevin peut-il nous accompagner ?
D'accord, il peut venir.
Promettez-vous
de ne pas l'abandonner ?
- Oui.
- Croix de bois, croix de fer ?
Croix de bois, croix de fer.
Dans quoi me suis-le embarqué, Ellie ?
Bonjour, chérie.
Il faut y aller.
L'oiseau est parti.
Russell ne s'en apercevra
peut-être pas. Debout, tout le monde !
Où est Kevin ? Il s'est éloigné !
Kevin ! Doug, trouve Kevin !
Trouve l'oiseau ! Par là !
Regardez. Il est là !
Là !
Hé ! C'est ma nourriture !
Descends de mon toit !
Oui, descends de son...
Qu'est-ce qu'il fait ?
L'oiseau appelle ses petits.
Ses petits.
Kevin est une femelle ?
Sa maison est là-bas,
dans ces labyrinthes rocailleux.
Elle a rassemblé de la nourriture
pour ses petits et doit la leur apporter.
Quoi ? Kevin va partir ?
Mais vous avez promis de la protéger.
Ses petits ont besoin d'elle.
Il faut s'assurer qu'elle les retrouve !
Désolé, Russell.
On a déjà perdu assez de temps.
Oui.
C'était son chocolat préféré.
Comme vous l'avez repoussée,
il y en a plus pour vous.
Kevin ?
Où est l'oiseau ?
Tu as dit que tu l'avais.
Oh oui ! Oh oui !
J'ai dit ça, alors je peux comprendre
que c'est ce que tu crois.
- Où est-il ?
- Demain.
Reviens demain, et j'aurai l'oiseau. Oui.
Tu l'as perdu !
Pourquoi ne suis-je pas surpris ?
Au moins,
tu nous as menés au petit facteur
et à celui qui sent les pruneaux.
Notre maître sera heureux
d'apprendre qu'on les a trouvés
et il les interrogera. Venez !
Un instant. On ne part pas avec vous !
On va aux chutes !
Éloignez-vous !
Lâchez-moi !
Couché !
Vous êtes venus ici avec ça ?
Oui.
Dans une maison ?
Une maison volante ?
C'est la chose la plus étrange
que j'aie jamais vue.
Vous ne cherchez pas mon oiseau,
n'est-ce pas ?
Mais si vous avez besoin
d'une tasse de sucre,
je serai heureux de vous en prêter.
C'est un malentendu.
Mes chiens ont commis une erreur.
Un instant. Êtes-vous Charles Muntz ?
Eh bien, oui.
Le Charles Muntz ?
"Explorons l'inexploré !"
C'est vraiment lui !
C'est Charles Muntz !
- Vraiment ? Qui est Charles Muntz ?
- Lui !
- Oui ! C'est lui.
- Je suis Carl Fredricksen.
Ma femme et moi étions
vos plus grands admirateurs.
Eh bien, vous êtes un homme de goût.
Vous devez être fatigués.
Vous avez faim ?
Attention, tout le monde !
Ces gens ne sont plus des intrus !
Ils sont nos invités.
Suivez-moi.
Je vous aime temporairement.
Vous sentez vraiment les pruneaux.
Je ne vous mordrai pas.
Le petit facteur sent le chocolat.
Excusez mes chiens.
- J'espère qu'ils n'ont pas été rudes.
- Non.
Amarrez votre dirigeable
à côté du mien.
va-t-on monter
dans l'Esprit d'aventure ?
Aimeriez-vous ça ?
Si j'aimerais ça ?
Attendez, M. Muntz.
Bon sang !
- Pas toi.
- Que fait-on avec Doug ?
Il a perdu l'oiseau.
Qu'il enfile l'entonnoir de la honte.
Je n'aime pas l'entonnoir de la honte.
La majeure partie
de ma collection est dans des musées
à New York, â Munich et â Londres,
mais j'ai gardé le meilleur avec moi.
C'est vrai ! Regardez ça !
Oui, l'Arsinoitherium.
La bête m'a attaqué
pendant que je me brossais les dents.
J'ai utilisé mon rasoir pour la tuer.
Surprends-moi.
La seule façon
de la faire sortir de l'Éthiopie,
c'était de déclarer
que c'était du matériel dentaire.
Mon Dieu !
La tortue léopard géante de Somalie !
Vous l'avez reconnue.
Je suis impressionné.
C'est une histoire intéressante.
Excellent choix.
Je l'ai trouvée
lors d'un safari avec Roosevelt.
Lui et moi avions l'habitude
de jouer au gin-rummy, le soir,
et il trichait tout le temps !
Il était horrible.
Maître, le souper est prêt.
Seigneur. Le traducteur est déréglé.
Le fil s'est encore débranché.
Tiens, mon gros.
Merci, maître.
Je préférais son autre voix.
Le souper est servi. Par ici.
Comment ça se passe aux États-Unis ?
J'ai été tenté de rentrer
à quelques reprises,
mais le n'ai pas terminé mon travail ici.
Je vous en prie.
J'espère que vous avez faim,
car Epsilon est le meilleur chef
que j'aie jamais eu.
Epsilon, tu t'es encore surpassé !
Oui !
Hé ! Hé !
Mon Ellie aurait adoré ça.
C'est vous qui lui avez inspiré son rêve
de venir ici
et de vivre aux chutes du Paradis.
Je suis honoré. Et vous avez réussi.
Vous êtes sûr
qu'on ne vous dérange pas ?
Non, ça me fait plaisir
d'avoir des invités. C'est une surprise.
- Une surprise ! Où ?
- Surprise !
Non, non. Silence ! Du calme.
- Je veux une surprise !
- Hé !
Je n'aurais pas dû utiliser ce mot.
Avoir des invités, c'est merveilleux.
Souvent, c'est des voleurs qui veulent
me prendre ce qui me revient de droit.
Non !
Ils me traitent de fraudeur, ces...
Mais quand l'aurai rapporté cette bête,
je serai blanchi.
Il est magnifique, n'est-ce pas ?
J'ai passé ma vie â le chercher.
Parfois, je ne le vois pas
pendant des années.
J'ai essayé de le faire sortir
du labyrinthe mortel où il vit.
On ne peut pas le suivre là-dedans.
Une fois â l'intérieur,
on ne peut pas en sortir.
J'y ai perdu tant de chiens.
Des bandits viennent ici
et croient que l'oiseau leur appartient.
Mais ils se rendent vite compte
que cette montagne est dangereuse.
Hé ! On dirait Kevin.
- Kevin ?
- Oui, mon nouvel oiseau géant.
Je l'ai entraîné à nous suivre.
À vous suivre ?
C'est impossible. Comment ?
- Elle aime le chocolat.
- Le chocolat ?
Oui. Je lui ai donné du chocolat.
Elle en raffole.
Mais elle est partie.
Vous savez, Carl,
ces gens qui passent dans le coin
ont tous une bonne histoire.
Un arpenteur qui fait une carte.
Un botaniste qui catalogue des plantes.
Un vieil homme qui mène sa maison
aux chutes du Paradis.
C'est la meilleure. J'ai hâte de voir
comment elle se terminera.
Ce fut une soirée merveilleuse,
mais il faut y aller.
Vous ne partirez pas.
On ne veut pas abuser
de votre hospitalité.
- Viens, Russell.
- Mais je n'ai pas eu de dessert.
Le garçon a raison.
Vous n'avez pas eu de dessert.
Epsilon fait
d'excellentes cerises Jubilé.
Vous devez rester. J'insiste.
On a beaucoup de choses â se dire.
Kevin ?
Il est là.
Attrapez-les !
- Dépêche-toi !
- Je me dépêche !
Ils arrivent !
Maître, par ici.
Vers la lumière, maître !
Russell !
Reculez !
Continuez, maître !
Je vais arrêter les chiens !
Arrêtez, chiens !
À l'aide !
À l'aide !
À l'aide !
Donne-moi la main !
Accroche-toi à Kevin !
Kevin.
Oh non ! Kevin. Reste couchée.
Elle est grièvement blessée.
Peut-on l'aider à rentrer chez elle ?
D'accord, mais il faut se dépêcher.
Vous les avez perdus ?
Non, c'était Doug.
Oui. Il est avec eux.
Il les a aidés à s'échapper !
Un instant. Doug.
Tu vois quelque chose ?
Non. Ma meute ne nous suit pas.
C'est des idiots.
C'est insensé.
Je rencontre mon héros d'enfance,
et il tente de nous tuer. Quelle blague !
Je connais une blague.
L'écureuil s'approche d'un arbre et dit :
''J'ai oublié de cacher des glands
pour l'hiver et là, je suis mort."
C'est drôle, car l'écureuil meurt.
Attention, Russell.
Ça va, Kevin ?
Vous savez quoi, M. Fredricksen ?
La nature n'est pas
comme je me l'imaginais.
Non ? Comment ça ?
Elle est plutôt sauvage.
Ce n'est pas
ce qui était écrit dans mon livre.
Tu ferais mieux de t'y habituer.
Mon père disait que c'était très facile.
Il sait faire du camping
et allumer des feux avec des cailloux,
des trucs du genre.
Avant, il venait â toutes
mes rencontres de hutte de sudation.
Et après,
on mangeait un cornet chez Fentons.
Je prenais celui au chocolat
et mon père, au caramel écossais.
On s'assoyait sur le trottoir,
devant la crémerie,
et je comptais les voitures bleues,
et lui, les rouges.
Celui qui en comptait le plus gagnait.
J'aime ce trottoir.
Ça semble peut-être ennuyeux,
mais c'est des trucs ennuyeux
dont je me souviens le plus.
Regardez ! C'est là !
Hé ! Petit !
Attends, Russell. Cesse de bouger.
Regardez-moi cet oiseau.
Attends un peu, gros poulet.
C'est ça. Vas-y, Kevin !
Va retrouver tes petits !
Cours, Kevin ! Cours !
Oh non !
Russell, donne-moi ton couteau !
Éloignez-vous de mon oiseau !
Non !
Non !
Faites attention.
Je veux la ramener en bonne santé.
Laissez-la partir ! Arrêtez !
Kevin !
Vous avez abandonné Kevin.
Vous l'avez abandonnée.
Ce n'est pas mes affaires.
Je n'ai jamais voulu tout ça !
Maître, tout va bien.
Je ne suis pas ton maître !
Si on ne t'avait pas rencontré,
rien de tout ça ne serait arrivé !
Mauvais chien ! Mauvais chien !
Que tu m'aides ou non,
je vais aux chutes du Paradis,
même si ça doit me tuer.
Tenez. Je n'en veux plus.
Russell ?
Russell !
Je vais aider Kevin, même sans vous !
Non, Russell ! Non !
Russell ?
Doug !
J'étais caché sous votre porche,
car je vous aime. Je peux rester ?
Si tu peux rester ?
Tu es mon chien, non ?
Et le suis ton maître.
Vous êtes mon maître ?
Youpi !
Bon chien, Doug ! Tu es un bon chien !
Oui !
Ne t'en fais pas, Kevin. Je sauverai...
Dire qu'ils ne me croyaient pas.
Attends qu'ils te voient.
Maître ?
- Le petit facteur est de retour.
- Quoi ?
Lâchez-moi.
Où est ton vieil ami ?
Il n'est plus mon ami.
Si tu es ici,
Fredricksen ne doit pas être bien loin.
Où cachez-vous Kevin ?
- Lâchez-moi !
- Tu peux crier, petit facteur.
Tes amis facteurs ne t'entendront pas.
Je vais déchaîner
mes connaissances d'explorateur !
Alpha, Fredricksen va revenir.
Surveillez l'oiseau. Si vous voyez
le vieux, vous savez quoi faire.
Hé ! Où allez-vous ?
Je n'en ai pas terminé avec vous !
Content de t'avoir parlé.
Où êtes-vous, Fredricksen ?
Russell !
- M. Fredricksen !
- Doug, dirige-la vers ici !
Vous êtes revenu pour Kevin !
Allons la chercher !
Je vais aller chercher Kevin.
Toi, tu restes ici.
Mais je veux vous aider.
Je ne veux pas de ton aide.
Je veux que tu sois en sécurité.
Comment passer devant ces chiens ?
Là !
Kevin.
Ne t'en fais pas, Kevin. On arrive.
Ne laissez personne franchir ce seuil.
Surveillez bien cet oiseau, mes laquais.
Que fait-on maintenant, Doug ?
Qui veut la balle ?
- Moi ! Je la veux !
- Moi !
- Je veux la balle.
- Donnez-la-moi !
Allez la chercher !
Je vais l'attraper !
Je l'ai !
Désolé, Kevin.
On va te faire sortir de là.
- Maître ! Il est parti ! Le vieux !
- Il est ici !
- Il a l'oiseau !
- L'oiseau est parti !
Du calme. Un à la fois !
Je veux vous aider !
- Dans le couloir D.
- Non, dans le C.
C'est le vieux !
Quelqu'un sait-il où ils sont ?
Chef gris ? Attaquez la maison.
Ici Chef gris, au poste.
Gris deux, au poste.
Gris trois, au poste.
La cible est en vue.
Allez, Kevin.
Salut.
Avez-vous une dernière chose à dire ?
Allez, crachez le morceau !
- Allez.
- Assez !
Je ramènerai cet oiseau avec moi,
mort ou vif !
Allez, Kevin.
Je repenserai toujours avec plaisir
à ce que je vais te faire, Doug.
Il porte l'entonnoir de la honte !
Quoi ? Ne restez pas là ! Attaquez !
Non, non ! Cessez de rire !
Ôtez-moi ce truc !
Chien, assis !
Oui, Alpha.
Alpha ? Je ne suis pas Alpha. Il est...
Je ne peux pas.
- Russell !
- Hein ?
Laissez M. Fredricksen tranquille !
Hé ! Écureuil !
- Écureuil ? Où ? Où ?
- Où est l'écureuil ?
Je dé*** les écureuils.
Doug !
Maître !
Russell ! Par ici ! Allons-y !
M. Fredricksen !
Allez, Kevin !
Non !
Russell ! Pousse-toi !
Non ! Laissez-les tranquilles !
Russell, accroche-toi à Kevin !
Ne la lâche pas !
Kevin ! Du chocolat !
C'était génial !
Cesse de gigoter, petit !
Doucement, Russell.
Je suis prêt
à ne pas être si haut dans les airs.
Désolé pour votre maison,
M. Fredricksen.
C'est juste une maison.
Regarde-toi. Tu es si doux.
J'aimerais bien en garder un.
Où est ma canne ? Elle était là.
Vous pouvez les garder.
Je vous les offre en cadeau.
Au revoir, Kevin !
Prêt ?
Prêt.
Après avoir reçu ces badges,
les explorateurs suivants deviendront
des explorateurs en chef.
Badge d'alpinisme extrême.
Félicitations, Jimmy.
Défense contre les animaux sauvages.
Bravo, Brandon.
Badge d'assistance
aux personnes âgées.
Russell, y a-t-il quelqu'un...
Excusez-moi. Pardon.
Laissez passer un vieil homme.
Je suis là pour lui.
Félicitations, Russell. Monsieur.
Russell, pour avoir aidé
une personne âgée
et pour avoir accompli
plus que ton devoir,
je t'offre la plus grande distinction
que je connaisse.
Le badge d'Ellie.
Ouah !
Je crois que c'était tout le monde.
Faisons le cri de l'explorateur
pour accueillir nos nouveaux
explorateurs sauvages en chef.
Vous êtes prêts ?
- Une bleue.
- Une rouge.
- Une bleue.
- Une grise.
- Une rouge.
- C'est une bicyclette.
Elle est rouge, non ?
M. Fredricksen, vous trichez.
Non. Une rouge.
C'est une borne-fontaine.
Je crois qu'il me faut
de nouvelles lunettes.
Une autre bleue.