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mettant l'avocat
aux commandes.
Je rentre, d'accord ?
J'essaie de prendre le vol de 14h00.
Tu quittes maintenant ?
Ce n'est même pas la pause.
- Je crois que tu ne peux pas.
- Ça va. Couvre-moi.
- Ramasse tout.
- Bon, d'accord.
- Tu nous laisses ton insigne ?
- Oui.
Il est bon pour deux verres
à la réception.
VIVE LA FRATERNITÉ
Bonjour.
Je vais à l'aéroport.
Je suis pressé.
Désolé, votre ceinture
semble défectueuse.
Qu'est-ce que vous me conseillez ?
De cesser de faire le pédé.
Vous êtes sur la banquette arrière.
Merde !
Vous voyez ?
Allô ?
Hé, toi.
Bon chien, Orson.
Où est maman ?
Chérie ?
Heidi ?
Heidi ?
Mitch !
Que fais-tu à la maison ?
Tu m'as fait peur !
Je t'ai fait peur ?
Pour un instant, j'ai cru...
je n'ose même pas le dire.
Dis, c'est de la *** hard.
Oui, je sais.
Non, je ne porte pas de jugement.
Ne sois pas embarrassée.
C'est vachement excitant.
Continuons.
- C'est ce que tu fais en mon absence ?
- Attends.
Je le fais moi-méme à l'occasion,
mais avec des magazines.
Mitch, il faut parler.
Allô !
Sois franche.
Dis-moi que c'est la première fois
que ça arrive, je t'en prie.
Tu veux que je sois franche ou que
je dise que c'est la première fois ?
- Qu'est-ce que tu as ?
- Je n'ai rien !
J'ai essayé de t'en parler.
Quoi ? Quand ?
- Tout le temps !
- Comme quand ?
- Quand nous sommes au lit.
- Au lit ?
Je croyais que tu jouais à la salope.
Si, mais j'étais sérieuse.
T'as dit des trucs vraiment cochons.
Tu dois l'admettre,
notre vie n'est pas
la plus excitante du monde.
C'est une toute autre sorte
de satisfaction pour moi.
C'est purement sexuel.
Je suis vraiment désolée.
Bonjour.
Oui ?
Je viens pour l'orgie.
Tu as l'air un peu pâle, Mitch.
Il faut que tu respires.
Que tu prennes des couleurs.
- Je ne veux pas respirer.
- Tu devrais être fier de toi.
Tu sais comme c'est rare de trouver
une fille aussi éveillée que Heidi ?
Il n'y en a qu'une par siècle
de ce genre de fille.
Je ne cherchais pas ce genre de fille.
Colomb ne cherchait pas l'Amérique,
mais ça a arrangé tout le monde.
Tu es ici.
Tu vois ce que je veux dire ?
Je veux vous remercier
une dernière fois d'être ici.
C'est le meilleur jour de ma vie.
Ne commence pas avec moi, Franklin.
Tu dois te casser sur-le-champ.
- Quoi ?
- Tu dois te barrer, Frankie.
C'est l'heure ou jamais. Tire-toi
tant que tu es célibataire.
- Je ne suis pas célibataire.
- Tu l'es encore pour l'instant.
C'est la meilleure chose
qu'il me soit jamais arrivée.
Donne-toi six mois.
Ça va changer.
J'ai une femme, des enfants.
Je te parais heureux,
Frankie ?
Voilà ma femme. Tu vois ?
Toujours souriante ? Salut, chérie.
Surveillant. "Regarde le bébé".
Elle arrive à l'autel, Beanie.
Laisse tomber.
Laisse-moi être le premier
à te féliciter alors.
Une bonne femme pour la vie.
Brillant. Bien joué.
Ne l'écoute pas.
Il me faut mon inhalateur.
C'est courageux de donner un ange.
Vous êtes sympa.
Tu es belle.
Superbe.
Mes chers frères,
nous sommes réunis ici
pour unir Franklin et Marissa...
Ne le fais pas !
J'ai la gorge sèche.
Je suis désolé.
Je suis fumeur.
D'accord.
Mitch Martin ?
Oui.
Nicole !
Mon Dieu !
C'est fou !
Je n'en crois pas mes yeux !
Dieu !
- Que fais-tu ici ?
- J'ai été invitée.
Aux dernières nouvelles,
tu avais déménagé à...
- Comment dis-tu ?
- Denver.
La Floride.
Denver !
Superbe !
Superbe !
Oh, ciel !
Ça va ?
Non, je...
Oui, je suis un peu
dans la merde.
Marissa m'a dit à propos de ton amie.
Je suis vraiment désolée.
Ce qu'il y a, c'est que
ce n'est pas que ça.
C'est un ensemble de trucs.
Nous avions un chien,
une maison magnifique,
mais tout ça s'est...
Tu sais ?
Je crois que tu devrais boire ça.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Du café.
Merde !
Je suis désolé ! Je t'en prie...
Je peux réparer. Fais ...
- Non, Mitch !
- Que fais-tu à cette pauvre fille ?
Mitch, arrête !
Je m'en occupe.
Non. Inconvenant.
Arrête tout de suite.
Il y a une salle de bains, là.
Mitch, chéri ? Chéri ?
Va prendre l'air.
Dégrise-toi.
Attends une seconde.
Oui ?
- Dis-lui un mot sympa pour moi.
- D'accord.
Hé, Marissa !
Tu es la dame.
On n'entend pas !
Excusez-moi.
Je suis vraiment content
et fier d'être ici ce soir.
Je suis content de revoir le père de
Frank pour la première fois en 8 ans.
C'est génial.
Félicitations.
Je t'aime, papa !
Le grand amour est rare.
On croit l'avoir parfois,
puis on rentre à la maison
en avance de San Diego
et un couple à poil sort
de la salle de bains, les yeux bandés
comme par magie et se prépare
à sauter votre petite amie...
On arrête là
et je continue parce que
ce que Mitch tente de dire, c'est
que le grand amour est aveugle.
Levons nos verres.
À la santé et au bonheur.
À la vôtre !
Je t'aime, Frankie.
Je t'aime.
Je ne suis pas bavard.
Je t'aime.
Félicitations.
Tu avais dit près du campus.
C'est pratiquement sur le campus.
C'est super.
Comment as-tu trouvé cette maison ?
Ça a été facile.
Un professeur a vécu ici
30 ans et il est mort.
C'est génial !
C'est fantastique !
Une pendaison de crémaillère.
Au nouveau départ !
Merci.
En fait, je t'en ai fait
cadeau à ton mariage.
Ce modèle ?
Non, celui-ci même.
Je suis désolé.
Je suis embarrassé.
Je suis désolé.
Ça va.
J'espère qu "il te plaît.
Je l'adore.
Merci.
Cette maison est incroyable.
- Elle te plaît ?
- Comment peux-tu être déprimé ?
C'est peut-être
ce qui nous est arrivé de mieux.
- Nous ?
- Oui, nous.
Ne fais pas l'égoïste.
Suis-moi.
Tu mets un bar là, d'accord ?
Deux chaises longues, un canapé.
Un jacuzzi n'importe où.
Max, bouche-toi les oreilles.
Quelles fêtes nous ferons !
Ça en sera écœurant.
Avec plein de nanas.
Ça me paraît amusant, mais
j'ai besoin d'un peu de temps
pour remettre ma vie en ordre.
Nous devons sérieusement
pendre la crémaillère.
Absolument. Casser la glace,
rencontrer les voisins.
Allez, Mitch.
Tu sais ce que je veux dire.
Refais ta vie.
L'agent immobilier m'a
vraiment prévenu contre...
Tu ne te rends pas compte
quelle occasion c'est pour toi.
Les nanas aiment les mecs comme toi.
Comme quoi ?
Mitch, tu te remets à peine.
Comme un faon blessé
ramené à la santé
et prêt à être relâché
dans la nature.
Désolé.
Fais attention, je t'en prie.
- Je suis désolé. Ça va ?
- Dis-le au bébé.
- Tu l'as troublé.
- Désolé, bébé.
Ça va. Ça arrive.
Il faudrait un thème tropical.
Du sable mur à mur.
Je connais un marchand de sable.
Du sable ici ?
Ou de la mousse, comme tu veux.
Mais quelque chose.
- Tu vois ce que je veux dire ?
- Absolument.
Ça me va d'une façon ou de l'autre.
Je n'ai qu'à consulter Marissa.
Je rigole !
C'est pas drôle.
Et le bébé est bouleversé.
Salut, chérie !
Je t'ai apporté un thé glacé !
Non, merci. J'ai une bière fraîche.
Tu peux éteindre un instant ?
C'est vraiment fort.
Oui. Merci.
J'ai enlevé la plaque de réduction
pour suralimenter le dragon rouge.
Ne le dis pas trop fort.
La bagnole est à peine légale.
Salut, Mike !
D'accord.
- Quoi de neuf ?
- Pas grand-chose.
J'espérais écrire ces lettres
de remerciement demain soir.
Chérie, j'ai la fête de Mitch demain.
C'est vrai.
J'ai complètement oublié.
Mais je peux laisser tomber.
Non.
Ne sois pas ridicule.
Je ne veux pas que tu changes
toute ta vie pour moi.
Je donnerai un coup de filà Lara
et nous sortironse entre filles.
- Ce sera amusant.
- Merci.
Tu es chouette.
Pourvu que tu me promettes
d'y aller mollo.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Tu sais ce que je veux dire.
Tu as bien mûri depuis Frank le
Tonneau et on ne veut pas le revoir.
Chérie, Frank le Tonneau
ne reviendra pas, d'accord ?
Ce personnage est mort.
De l'eau a coulé sous le pont.
Je le promets.
MITCH MAOUS
MUSIQUE, BIERE
Chouette, non ?
C'est incroyable.
Comment as-tu fait ça ?
Avec tout ce monde
et ces haut-parleurs.
Je pensais que nous c'était
une petite soirée intime.
C'est une petite soirée intime,
parmi plusieurs.
C'est pour ça que tu as la maison.
Tu t'amuses ?
- Je m'amuse follement.
- Bien.
Quoi d'autre as-tu prévu ?
Un orchestre étudiant ?
Oui, justement.
Un orchestre de rock alternatif
se prépare à monter sur la scène.
J'ai six Speaker Cities.
Je vaux 3,5 millions, et
le gouvernement est au courant.
J'ai ici plus de matos électronique
qu'un concert de KISS.
Tu crois que je ferais tout ça
pour une foutue fanfare ?
Assure-toi de voir la scène.
Excusez-moi. Pardon !
Je veux aller à cette porte,
si vous permettez.
Merci.
C'est le mec dont je te parlais.
C'est sa maison.
- Quoi de neuf, vieux ?
- Non, c'est à mon ami Mitch.
C'est la piaule de mon ami Mitch.
De toute façon, tiens, bois.
Prends une lampée.
Non, merci. J'ai promis à ma femme
de ne pas boire ce soir.
J'ai une grosse journée demain.
Mais amusez-vous.
Une grosse journée ? À faire quoi ?
En fait, un petit samedi tranquille.
Nous allons au magasin de bricolage.
Acheter du papier peint,
peut-être du revêtement de sol.
Des trucs du genre. Peut-être
qu'on ira à "Tout pour le foyer".
Si nous avons le temps.
Tu sais ? Donne-moi ce truc.
Je vais en prendre une.
Il va en prendre une !
Il va en prendre une !
Il est doué, ce mec.
- C'est ce que je te dis.
- Remplis-le encore !
Dieu que c'est bon !
C'est tellement bon !
Dès que ça touche les lèvres,
c'est tellement bon.
Merci, les gars. Il y aura
des fêtes toute l'année ici.
Ne vous esquintez pas ce soir.
Merci d'être venu au Festival
de la liberté Mitch Martin.
Pour ceux qui ne savent pas
qui est Mitch Martin,
c'est le type très prospère
et pétant de santé qui est
debout près du minibar.
Au nom de Speaker City,
qui coupe les prix sur tout,
des bips aux lecteurs de D VD,
souhaitez une généreuse
bienvenue à mon pote
et à votre favori,
Monsieur Snoop Dogg.
Frank le Tonneau !
Frank le Tonneau !
Vous le savez !
Vous le savez !
Hé, c'est toi.
Quoi ?
Mitch maous, sur l'affiche.
Oui, c'est moi.
Superbe fête.
Beau travail.
Mes amis l'ont organisée.
Ils me renvoient
dans la nature.
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Rien. Désolé.
Nous allons courir tout nus !
Je suis désolé.
Nous allons courir tout nus
dans la cour et le gymnase.
Venez, tout le monde !
Viens, Snoop !
Allez, Snoop !
Non, c'est cool. Je suis cool.
Prends ton chapeau vert.
Venez, allons-y !
On y va !
Dis donc.
Dis, remets la musique.
Reprenons la fête
et que ça saute !
Allez ! Nous courons. Allez !
Nous courons !
Dis-lui !
J'ai complètement oublié.
C'est un peu ***, mais nous avons
trouvé le cadeau de mariage idéal !
Je vous ai dit, ce n'est pas
nécessaire de me donner un cadeau.
Notre amie Ashley a fait venir
ce type qui donne un cours de pipe.
- C'était incroyable.
- Un cours ?
Et il est vraiment bon,
nous avons dû le réserver.
Pourquoi je prendrais un cours ?
Bernard devrait en prendre un.
Le mec est oralement handicapé.
Un instant, est-ce que ce type...
Oh, mon Dieu !
C'est dégoûtant !
Pourquoi je regarde ça ?
Pourquoi tu ralentis ?
Continue. Roule.
Frank ?
Lmpossible.
Frank !
Hé, chérie.
Tu veux me dire ce que tu fais ?
Nous courons à poil. Nous remontons
la cour jusqu'au gymnase.
Qui court à poil ?
Il y en a d'autres qui viennent.
Frank, monte dans la voiture.
- Tout le monde le fait.
- Maintenant !
D'accord.
Bouge.
Hé, mesdames.
Hé, Frank.
Il fait un peu frisquet, non ?
Je vous en prie.
On peut manger du poulet, chérie ?
Oh, merde !
Bonjour.
Ça, c'était une fête.
Depuis quand es-tu si timide ?
Non, je ne le suis pas.
C'est que...
Ai-je ronflé cette nuit ?
Ça m'arrive quand je suis soûle.
Je ne me souviens pas.
Je ne pense pas.
Écoute, à propos d'hier soir.
Je viens de sortir d'une relation
très sérieuse et traumatisante.
Je ne suis pas en très bon état.
Quoi ?
Détends-toi, Rich, c'est pas grave.
Mitch, avec un "M".
D'accord. Écoute.
On n'a fait que s'amuser un peu.
Tu n'as pas à t'inquiéter.
Non.
Oui, tu as raison.
Je ne m'en fais pas.
Ça arrive. C'est que...
Je dois aller en classe, donc...
Comment fait-on ? Dois-je...
Tu me donnes ton numéro ?
Tu n'as pas à t'en faire.
Au revoir.
Au revoir.
Je t'aime.
À Speaker City, nous coupons
tous les prix, des lecteurs DVD
aux caméscopes
en passant par tout le reste.
Notre personnel vous renseignera
sur une variété d'appareils
de cinéma à domicile et d'accessoires.
Montrez-nous le prix d'un concurrent
et nous ferons mieux.
Sinon, je vous donne la clé
du magasin. Sans blague.
Au sens figuré, je veux dire.
La seule chose plus imbattable
que nos enceintes, ce sont nos prix !
Connard !
Qu'en penses-tu ? Franchement.
Ne te gêne pas.
Vraiment bien.
- Tu es super.
- Vraiment ?
Dieu, je suis allé un peu ...
J'ai déconné hier soir.
Je n'ai pas de nouvelles de Frank.
Je m'inquiète.
Allô ?
Entrez.
Est-ce l'un de tes hommes ?
- Trois risques d'incendie ici.
- Qu'est-ce que vous faites ?
Frometon, c'est toi ?
Salut, Mitch, Bernard.
Je vois que vous avez peu changé.
Qui est-ce ?
Tu te souviens de Frometon,
le petit frère de Rodney ?
Je ne m'appelle plus Frometon.
Je m'appelle Gordon Pritchard.
Oh, oui !
Frometon !
On ne t'a pas enfermé dans une benne ?
Je m'en suis sorti.
Cool, vieux.
Content que tu aies réussi.
- Vous vous êtes amusés hier soir ?
- Oui.
Il doit traîner des cachets
d'oxyde d'azote si tu en veux.
- Non, merci. Je travaille.
- Tu travailles à quoi ?
Flic de campus ?
- Je vous le donne en mille.
- Tu es Témoin de Jéhovah ?
Je suis le doyen.
Doyen Pritchard. Oui.
Et à compter de ce matin,
cette maison est reclassée.
Elle est maintenant réservée
à l'usage exclusif du campus.
Qu'est-ce que tu racontes ?
Tu ne peux pas. J'ai déjà payé le
premier et le dernier mois de loyer !
Jette un coup d'œil là-dessus.
Tu as une semaine pour libérer les
lieux et merci de ta collaboration.
Super !
- Je peux te poser une question ?
- Absolument pas.
J'ai été ravi de vous revoir.
Vous semblez bien réussir.
Frank, c'est un lieu sûr ici.
C'est un lieu où on est libres
de partager nos sentiments.
Pense à mon cabinet comme à un nid
de confiance et de compréhension.
Nous pouvons tout dire ici.
N'importe quoi ?
Ça va, chéri.
C'est pourquoi nous sommes venus.
Eh bien, je suppose...
Je me sens un peu perdu.
Je veux dire, soudain on se marie
et on est censé devenir
un type entièrement différent.
Je ne me sens pas différent.
Prenez hier, par exemple.
Nous étions à l'Olive Garden
pour dîner et c'était charmant.
Et
j'ai vu par hasard une serveuse
qui prenait une commande.
Je me suis surpris à me demander
de quelle couleur était son slip.
Son sous-vêtement.
Il est fort probable qu'il ait été
en coton blanc.
Mais je me suis mis à penser que
ça pouvait être un slip en soie.
Peut-être un string.
Peut-être un truc très cool
que je ne connais même pas.
Et j'ai commencé à sentir...
Quoi ?
Je croyais que nous étions en confiance,
c'est faux ?
Nous le sommes. Ça va.
Ça va. Continuez.
Je ne sais pas où j'allais
avec cette histoire.
Je suppose que je voulais dire
que maintenant que je suis marié,
je me sens nettement effrayé
par le fait
que je ne ferai l'amour
qu'avec une seule femme
pour le reste de mes jours.
Walsh me dit que ton voyage
à San Diego a été le pied !
Oui.
Comment était *** ?
Je n'y suis pas allé.
Oui, bon.
Des bonbons ?
Non, merci.
J'ai eu un coup de fil de Manetti.
Il dit que ton projet Sunshine Square
est inacceptable.
Qu'est-ce qui ne va pas ?
D'abord, il enfreint les règles
de zonage établies par
la loi sur la protection
des lieux historiques de 1966.
Surtout, l'article quatre.
Dois-je continuer ?
- Je connais bien cette clause...
- Chérie.
- Papa, je dérange ?
- Non, entre.
Tu n'as pas rencontré ma fille.
Darcie, je te présente Mitch Martin.
Enchantée, Mitch.
Bonjour. Enchanté.
- Comment a été la soirée ?
- Super.
Films et pop-corn.
Elle est un ange.
Je vieillis, mais ça me fascine
de voir comme elle grandit.
- Arrête, papa.
- Je suis désolé, mais c'est vrai.
Dire que dans sept mois
tu seras diplômée du secondaire !
Ça va ?
J'ai cru entendre secondaire.
Oui.
C'est atroce, non ?
Oui, ça l'est.
Laisse-moi respirer.
Hé, Mitch.
Salut. T'as eu une bonne journée ?
Pas trop mal.
Qu'est-ce qui se passe ?
Je croyais pouvoir crêcher ici
ce soir, si ça ne dérange pas.
Marissa a de petits
ennuis personnels.
Comme de te voir courir
soûl et nu dans le quartier ?
Ça et autres choses.
Pas de problème.
Fais comme chez toi.
Merci.
C'est une nouvelle conception
de l'association d'étudiants.
C'est une nouvelle conception
de l'association d'étudiants.
Oubliez les règles normales
qui s'appliquent à la société
parce qu'il s'agit ici
d'une très grande idée, mes amis.
Nous parlons d'une fraternité
égalitaire et non exclusive
où le statut social
et surtout l'âge
n'ont absolument rien à voir.
Oui ? Du type qui n'y sera
probablement pas admis.
- Je vais à l'école ici.
- D'accord.
Quelle association aurez-vous
avec l'université ?
- Qui sont ces gens-là ?
- Je ne sais pas.
Juridiquement parlant, ce sera
une affiliation lâche,
mais nous ne redonnerons rien
à la communauté universitaire.
Et n'offrirons aucun service
public. Ça, je vous le promets.
Qu'est-ce qui se passe ici ?
C'est une très grande occasion.
Le parrain lui-même nous fait
l'honneur de sa présence.
Le parrain !
C'est sa maison. Il dort
à six mètres d'ici.
Nous devons parler.
Cuisine.
Assieds-toi. Je vais parler
à l'oncle Mitch un instant.
Voilà, mon petit.
- Depuis quand ces gens sont ici ?
- Toute la journée.
Cette fête d'hier soir nous
a valu beaucoup de prestige.
Qu'est-ce que tu racontes ?
Nous mettons sur pied
une nouvelle association.
J'aime bien. C'est génial !
Vous rigolez.
Tu as entendu Pritchard.
Nous y sommes obligés par la loi.
La maison est réservée aux services
sociaux et au logement étudiant.
L'association règle la question.
Mais c'est ma maison.
J'habite ici, Beanie.
J'ai 30 ans. Aucun de nous
ne fréquente l'université.
Je comprends. Tu t'attardes
aux mauvais détails.
T'es-tu amusé ou non
à la fête ?
Je me suis follement amusé.
Je sais que tu t'es amusé.
Toute la ville sait
que tu t'es follement amusé.
Je demande à Mitch
s'il s'est follement amusé.
- Je me suis amusé.
- Très bien.
Ne veux-tu pas continuer
à t'amuser ?
- Continuer de...
- Ciel ! Je veux dire...
Je ne comprends pas que ce soit
si difficile pour toi de l'admettre.
Ils sont 40 à le vouloir.
Il doit bien y avoir une raison.
J'apprécie votre enthousiasme.
Je sais que vous voulez aider,
mais la vérité, c'est que
j'ai eu une journée terrible.
Et le fait est que j'ai
40 étrangers dans mon living
et tout ce que je veux,
c'est de dormir.
Je suis désolé, mais il n'y aura pas
de foutue association.
N'utilise pas de gros mots
devant le petit, je t'en prie.
Tu n'as qu'à lui dire
"cache-oreilles".
Et tu peux utiliser
tous les gros mots que tu veux.
Bite, couilles.
Je ne fais qu'une démonstration.
N'exagère pas, Frank.
- Désolé.
- Ne le dis pas à moi.
Tu déçois Frank, moi
et tu déçois Max.
Et pour l'instant,
j'ai beaucoup de mal
à comprendre pourquoi je perds
mon temps à essayer de te remettre...
Cache-oreilles. De cette pute.
Tu veux aller voir les autres ?
L'oncle Mitch est désolé.
Dis "oui".
Oui.
Voilà le truc.
Écoutez !
Nous avons choisi
14 promesses d'engagement.
Attends, qui est-il ?
C'est Bleu.
C'est un ancien de la marine
qui traîne dans mon magasin.
T'inquiète pas.
Il est réglo.
Il a l'air d'avoir 100 ans.
Il veut se joindre à nous ?
Tu rigoles ?
Il ne cesse pas d'en parler.
C'est l'heure !
Ne te complique pas
la vie !
Qu'est-ce qui se passe ?
Si vous en soufflez un mot,
je vous taille en pièces !
Je rigole. Nous le ramenons ce soir.
D'accord, chérie ?
Allons-y !
Allez, allez.
On y va, Bleu.
Félicitations, messieurs.
Vous devriez être
très fiers de vous.
Chacun de vous a été
trié sur le volet
pour représenter notre
premier groupe d'adhérents.
Durant les 21 prochains jours,
vous subirez d'intenses
pressions morales et physiques.
Frank, calme-toi.
Entendu. Je me suis un peu
surexcité. Désolé.
À ce stade
vous vous demandez peut-être
pourquoi vous avez ce parpaing
de 15 kilos dans les mains.
Vous vous demandez aussi
pourquoi cette longue corde
est-elle attachée
au parpaing.
Et finalement pourquoi
l'autre bout de la corde
est-il solidement attaché
à votre pénis.
La réponse, c'est la confiance.
C'est votre premier test.
Hispano !
Crois-tu que la corde
est assez longue
pour que ton parpaing
arrive au sol sans encombre ?
Oui, chef.
- Et Bleu !
- Oui, chef ?
Crois-tu que je ne veux pas
que tu meures ce soir ?
- Oui, chef.
- T'es mon homme !
Merci, chef.
Demi-tour.
Avancez jusqu'au bord !
Préparez-vous à lâcher !
Un...
deux...
trois ! Lâchez !
Ça ne devait pas se passer
comme ça, Weensie !
Détends-toi, mon gros.
Nous descendons.
Une, deux, trois, quatre
Une, deux, trois, quatre
J'ai baisé plus que le bon Dieu
J'ai six mômes à Laung-Pau-Lieu
Je sais pas, mais on a dit
Un autre tour et je serai cuit
Plus vite !
Qui sont ces gens ?
Patricia, envoyez les gardes
de la sécurité au campus sud.
Il y a un tout-terrain
qui circule sans permis.
Ils ont déjà été appelés.
Rappelez-les.
Ça fait deux semaines. Pourquoi
est-ce toujours une association ?
Ce n'est pas une association.
Elle a reçu un statut temporaire
du conseil étudiant.
La moitié de ces gens ne fréquente
méme pas l'université.
L'un a l'air d'avoir 90 ans.
Techniquement, c'est sans importance.
Ils ont trouvé une faille.
- Une faille ?
- Oui.
C'est intéressant, monsieur.
Ils ont l'air con, mais ils s'y
connaissent en paperasserie.
C'est vraiment une anomalie.
C'est censé être drôle ?
T'es un comique maintenant ?
C'est ce que tu fais ?
C'est moi qui sors. Moi qui sors.
Le voici.
Que se passe-t-il, frère ?
Rien.
Je fais des photocopies.
À plus.
Hé, Mitch, un instant.
J'ai entendu dire que vous fondez
une association.
Qui te l'a dit ?
Personne. C'est vrai ?
- Je sais pas ce que tu veux dire.
- Bien sûr.
C'est cool, vieux.
Je veux m'y joindre.
Écoute.
Il n'y a pas d'association.
Je ne sais même pas
ce que tu racontes.
Toi, écoute-moi.
J'en ai besoin, d'accord ?
Ma femme, mon boulot, mes gosses.
Chaque jour ressemble au précédent.
Je joue au golf le dimanche.
J'ai horreur du golf.
Me refuse pas, Mitch.
Je t'en prie.
Ce n'est pas la question.
Nous travaillons ensemble, Walsh.
Et je ne veux pas mêler le boulot
à ce que je fais à la maison.
Fais-moi confiance,
tu ne manques rien.
Vraiment ?
J'entends dire que t'as baisé
la fille de Goldberg.
Désolé. Désolé.
C'est faux !
Mitch, tout ce que je te demande,
c'est d'y penser, OK ?
Penses-y !
Tu travailles avec lui et après ?
Je dois veiller à ma carrière.
Tu me tues. Il faut
que tu commences à t'y mettre.
Je pense que tu n'apprécies pas
tout ce que j'ai fait pour toi.
- Pour moi ?
- Oui, pour toi.
Tu crois que j'aime laisser ma famille
pour traîner avec des adolescentes ?
- Oui, je le crois.
- Eh bien, non, vieux.
- Je le fais pour toi.
- Bonjour.
Nicole, comment ça va ?
Qui est-ce ?
C'est ma fille, Amanda.
Dis bonjour.
Bonjour, Amanda.
Tu te souviens de Nicole, oui ?
Oui, nous avons fait un ou deux
pas de danse au mariage, en fait.
- Comment vas-tu ?
- Très bien, merci.
Bien.
Je voulais m'excuser en fait
à propos du mariage.
Je ne t'ai pas embarrassée, j'espère.
Ça va.
C'est toi qui était embarrassé.
- Je t'apporte un petit cadeau.
- C'est vraiment gentil.
C'est un support de CD pour ta table.
Je croyais que c'était...
Ce truc est une merde.
Atroce.
- J'ai cessé de le vendre.
- Je t'en prie, Beanie.
- Merci.
- Un tas de plaintes.
Mais c'est un beau geste.
Hé, parrain !
- Quoi de neuf ?
- T'es champion !
À plus *** !
Est-ce que ce type
t'a appelé parrain ?
Il doit blaguer.
Où habitez-vous ?
Chez mon père
jusqu'à ce que je trouve mieux.
Ça a été dur pour Amanda.
Mon fils Max aura six ans dimanche.
Nous lui faisons une fête.
Un zoo et des clowns.
Vous êtes les bienvenus.
C'est une idée géniale.
Vous devriez venir.
Qu'est-ce que vous préférez ?
Infirmiére ou pom-pom girl ?
Salut, Nicole.
Bonjour, Frank.
C'est une jolie poupée que tu as là.
Oui, merci.
Elle est pas mal.
Tu t'es amusée au mariage ?
Oui, c'était bien.
Je crêche ici pour l'instant.
On vous voit dimanche alors.
Oui. D'accord.
Au revoir. Dis au revoir.
- Vous avez joint Marissa.
- Et Frank !
Nous ne sommes pas là,
laissez-nous un message.
Hé, chérie, c'est moi.
Je voulais donner de mes nouvelles.
J'ai été débordé ces jours-ci.
De la paperasserie, genre.
Merde !
Si ça va, appuyez sur 1.
Pour recommencer, appuyez sur 2.
Hé, Marissa, c'est moi.
Écoute.
Je serai dans le quartier
un peu plus ***.
On pourrait peut-être se voir
pour une glace
ou peut-être même un repas.
Si ça te plaît...
Stupide.
Si ça va, appuyez sur 1.
Pour recommencer, appuyez sur 2.
Hé, Marissa, c'est Frank Ricard ...
D'accord, mesdames.
Le secret d'une bonne pipe,
c'est la concentration.
Je me fiche qu'il s'agisse
de votre mari depuis 10 ans
ou d'un matelot au sang chaud
rencontré un vendredi soir.
Qui ne m'a jamais rappelé.
Mais on m'a laissé un petit
quelque chose: De l'***ès
que j'ai ensuite refilé au chien.
Mais ça n'a rien à voir.
Prenez vos légumes.
L'ART DE LA PIPE
Qui a faim ? Qui a faim ?
Allez.
Il est sérieux, ce type ?
Oui, il est très bien.
Il est le meilleur qui soit.
Nous pointons le pouce vers le bas,
nous fléchissons le poignet
et nous nous mettons en position
pour l'insertion.
Prêtes ? Allez-y.
Bien, Marissa. Tu peux mettre les dents
mais il ne faut pas mordre trop fort.
Allez, au travail, les filles.
Ces carottes n'éjaculent pas.
Mettez-y du cœur. Très bien.
Bien. Bien. C'est moins bien.
S'il vous plaît. Vous n'êtes pas Romulus
têtant le sein de sa mère louve.
Si vous connaissez
votre mythologie grecque.
On taille des pipes, on ne tête pas
le sein d'une bête mythologique.
C'est drôle ? Vous ne rirez plus
quand quelqu'un vous fera sur le visage.
Ça pique et c'est pourquoi maintenant
j'ai un œil paresseux.
Merci. Je vous en prie, continuez.
On monte et on descend.
Et prêtez attention aux beaux-fils.
Attention aux beaux-fils.
Marissa, allez.
C'est ça.
J'aime ce que je vois.
N'aie pas peur de te cambrer.
Marissa, allez.
C'est ça.
Toutes peuvent apprendre de Marissa.
Je fais une petite pause.
Vous continuez.
Beau travail, Marissa.
C'est un bel effort.
À mon retour, je vous montrerai
ce que j'appelle
"Tigre et pénis."
Avez-vous vu ce film ?
Je l'aime bien à cause
du vol et de la magie.
Salaud !
Quelqu'un fait une grave erreur !
Merde, Frank !
Qu'est-ce que tu fais ici ?
Tu connais cet homme ?
Je suis désolée.
Es-tu blessé ?
Oui, je suis blessé.
Bob n'est pas là. Ça ne va pas.
Tu t'es encore surpassé.
C'est bien, n'est-ce pas ?
Hispano, qu'est-ce que tu fais ?
Je vais chercher de l'eau.
Ce costume est vachement chaud.
Mets la tête. Es-tu cinglé ?
Tu peux traumatiser les gosses.
- Je suis désolé.
- Ne le dis pas à moi.
Agite la queue en marchant.
Tu peux faire mieux.
Doucement.
Tu ne me vois pas
sortir de l'écran.
- Salut, les gars.
- Salut.
- Joli costume.
- Merci.
- C'est une belle fête.
- Quand es-tu arrivée ?
Il y a quelques minutes.
C'est mon petit ami, Mark.
Il est arrivé du Colorado hier.
Je te présente Mitch et Beanie.
Vous tenez le coup ?
Enchanté.
Écoutez, on m'a dit
que vous faites partie
d'une association, c'est vrai ?
- Non.
- C'est vrai ?
Pas vraiment. Non.
C'est davantage un club social.
Nous regardons le foot
et nous glandons.
Vous vous branlez, je parie.
Ce n'est pas comme ça.
Ce n'est pas très sérieux...
Bleu ! Je n'ai pas de glaçons
dans ma limonade ?
Désolé, chef !
Au sol
et dix pompes !
Maintenant !
Allez !
C'est Frank.
Je vous donne ceci. C'est
mon numéro au boulot. Appelez-moi.
Les six magasins m'appartiennent.
Max veut déballer ses cadeaux,
mais je croyais qu'un suffirait ?
Viens ici, Max.
Vous permettez ?
Nous en parlerons tout à l'heure.
Je vous le feralà bon marché.
Je ne vous forcerai pas
à acheter.
Ça va, petit ?
Tu peux déballer celui de Frank
et les autres plus ***.
Je me demande qui est le plus excité,
Frank ou Max ?
Déballe-le ! Qu'est-ce que c'est ?
Est-ce un vaisseau spatial ?
Voyons ce que tu as !
Qu'en penses-tu, Max ?
Elle a trois vitesses.
Merde !
Excuse-moi.
Je vais en prendre.
Je m'appelle Mark. Et toi ?
Tracy.
Enchanté, Tracy.
- Juste dessus.
- Voilà.
Bon, tu peux retourner
jouer maintenant.
Allez.
Tiens. Prends ta poupée.
Je pense que tu lui plais.
Elle ignore les autres.
Je suis flatté.
Alors, Mark me paraît être
un type intéressant.
Il est inoffensif.
- Depuis quand êtes-vous ensemble ?
- Deux ans.
Je lui ai dit que j'avais le béguin
pour tolà l'école et il est jaloux.
Tu avais le béguin pour moi ?
Tu rigoles.
Tu m'obsédais.
Pas de fa çon dangereuse.
Je t'observais de loin.
Pourquoi tu ne m'as jamais
invitée à sortir alors ?
Tu m'intimidais.
Tu étais toujours avec des plus âgés.
Tu avais ce blouson en cuir.
Tu fumais des Marlboro.
Je n'étais pas à la hauteur.
J'ai encore
le blouson en cuir.
Tu m'intimides toujours.
Tu es malin.
Tu as raison. Je le suis.
Je suis désolé...
- On ne frappe plus à la porte ?
- Excusez-moi.
Excusez-moi, je dois
retourner au travail.
... je rapporte ces pansements.
Qu'est-ce que tu vas faire ?
Me dénoncer ?
Tu sais que tu ne peux pas.
C'est le code masculin. D'accord ?
Les mecs ne se dénoncent pas.
C'est, euh...
un truc que font les nanas.
T'es pas une nana, non ?
D'accord. Bonne conversation.
Je te revois à la fête.
Hé toi !
T'as besoin d'un pote ?
Oui, moi aussi.
- C'est une beauté, non ?
- Oui.
Quelle sorte de pé*** est-ce ?
C'est un fusilà dards tranquillisants.
Si une de ces bêtes se met
à flipper à cause des enfants,
je dois l'assommer.
N'est-ce pas, maman ?
Quoi ?
C'est ce que je pensais. La ferme.
Prends garde avec ce truc.
C'est le tranquillisant
le plus puissant sur le marché.
Je l'ai acheté au Mexique.
- Cool.
- Oui, c'est cool.
On dit qu'il peut percer le cuir
d'un rhinocéros à cent...
Oui !
C'est sensass !
Quoi ?
Tu viens de t'en prendre un
dans la jugulaire, vieux !
Oui !
Oh mon Dieu !
Oh mon Dieu, c'est vrai.
C'est grave ?
C'est grave ?
Tu devrais le retirer.
C'est pas cool.
Attends.
Attends. Retirer quoi ?
Le dard, vieux.
Tu as un foutu dard dans la gorge.
T'es f... T'es fou, vieux.
T'es fou.
Je t'aime bien.
Mais tu es fou.
Je me sens fatigué.
Bon annlversalre
C'est la plus belle journée.
Oui.
Ça l'est vraiment.
Tu m'as manqué, Frank.
Je suis contente que tu sois revenu.
Tu m'as manqué aussi, chérie.
Tu es ravissante.
Tu es gentil.
Il m'a roulé un patin !
Ça a intérêt à réussir.
Le conseil me pose des questions
sur cette "association civile".
Le conseil me pose des questions
sur cette "association civile".
Vous inquiétez pas, ça réussira.
La voici.
Elle s'appelle Megan Huang.
Présidente du conseil étudiant,
étudiante en droit, star de tennis,
c'est une jeune femme prometteuse.
Une jeune qui a beaucoup à perdre.
- Megan, bonjour.
- Bonjour.
Assieds-toi.
Tu connais le doyen Pritchard.
Ne te retourne pas.
Megan, cette petite association
de la rue Brook
devient très gênante
pour nous, d'accord ?
Comme présidente du conseil,
tu as approuvé son statut temporaire.
Malheureusement, tu es seule
autorisée à le révoquer.
Nous comptons donc sur toi
pour le faire.
Le révoquer ? Pourquoi ?
Tout le monde aime ces types-là.
Ils font les plus grandes fêtes.
J'y ai rencontré mon petit ami.
Bon, bon, je vois.
Je vois que tu demandes l'inscription
à l'école de droit de Columbia.
Dis, c'est difficile
d'y entrer à cette école.
Tu sais, le doyen Pritchard a
de sérieux contacts à Columbia.
Tentez-vous de me soudoyer ?
Ne te complique pas
la vie inutilement, Chang.
C'est Huang.
Comme tu veux.
Comment va la saison de tennis ?
J'ai fait de petits ajustements,
mais ça va dans l'ensemble.
- C'est un bail assez standard.
- Super.
Merci d'y jeter un coup d'œil.
Je m'y perds toujours là-dedans.
N'importe quand.
Donc, toi et Mark
allez cohabiter ?
Oui.
Financièrement, c'est logique ...
Tu sais, il y a un truc
que tu devrais savoir...
à propos de Mark.
Qu'est-ce que c'est ?
Une relation demande du travail.
Ce que je veux dire, c'est...
Bonne chance.
Eh bien, merci.
Oui. Écoute.
Je pensais qu'on pourrait
peut-être dîner un jour ?
- Oui.
- Si ça te va.
- Ça me plairait.
- Oui.
Compte sur moi pour attendre
que tu aies un petit ami
avant de t'inviter à sortir.
Tu n'as jamais eu le sens du moment.
Non.
D'accord, merci.
Et appelle-moi pour dîner.
- Je n'y manquerai pas.
- Excusez-moi, chef !
Nous avons un problème, chef !
Que faites-vous ici ?
J'ai dit jamais au boulot.
Mais il y a urgence.
On ne peut acheter la vaseline
qu'en tubes de 100 grammes.
Les contenants industriels exigent
de 3 à 4 jours ouvrables, donc...
Pourquoi tout ça ?
C'est l'anniversaire de Bleu.
Il y a un match de catch vaseline.
Pouvons-nous en parler plus *** ?
Je suis revenu à la vie !
Ça n'est pas juste !
Je suis sur une lancée !
Arrache-lui la tête !
Décapite-le !
J'aime bien ta chambre.
Merci. C'est une sorte
de second chez-moi.
Les affiches m'appartiennent.
D'ordinaire je n'aime pas les membres
d'associations. Ils sont si légers.
Mais toi, tu es... adulte.
Adulte ?
Oui.
Où couches-tu alors ?
D'ordinaire je dors chez moi.
Des fois je pieute ici.
C'est un futon, en fait.
Ça s'ouvre, tu vois.
Je ne me rendais pas compte.
Je peux le voir ?
Le futon ?
Oui.
Génial !
Amy, je suis désolé.
Je suis marié.
Je ne peux pas.
Je vais sembler étrange, mais...
D'accord. Je vois.
Mais pourquoi tu ne me laisses pas
ton numéro ?
S'il arrive quelque chose
à ma femme, je peux t'appeler.
- Je ne pense pas.
- Bon, c'était une mauvaise idée.
Mesdames et messieurs, c'est
maintenant le clou de la soirée !
Dans ce coin,
pesant 50 kilos
et âgé de 89 ans,
récipiendaire récent
d'une belle hanche en plastique,
Joseph "Bleu" Pulasky !
Et dans le coin opposé,
combinant un poids de 105 kilos,
du dortoir de Hayden,
Jenny et Jeanie !
Combattants,êtes-vous prêts ?
Bleu, tu es sûr
que ça va aller ?
Sonne la putain de cloche, tapette.
Au jeu !
- Allez.
- Allez, pépé, allez.
Allez, le vieux !
Quoi, as-tu peur ?
Allô ?
Je crois qu'il faut suspendre
le catch vaseline pour l'instant.
Bonne idée.
Ne culpabilise pas pour ce qui
s'est passé. Ce n'est pas ta faute.
Merde, Bleu était vieux.
C'est ce que font les vieux.
Ils meurent.
Je suis désolé.
T'es mon homme, Bleu !
T'es mon homme.
Drôle de mois, hein ?
Oui.
Je suis désolée de ne pas avoir
appelé pour ton anniversaire.
Mon anniversaire, comment ?
Oui, jeudi dernier.
Tu as oublié ton anniversaire,
n'est-ce pas, Frank ?
Je suis idiot.
- Qu'est-ce que tu as fait ?
- J'ai été pas mal occupé.
J'ai ... essayé de changer de gym.
C'était un truc.
Et il y a le reste.
Je ne me souviens pas, mais occupé.
Tu sais, tu m'as manqué.
Tu sais ?
Je veux que tu le saches.
Je me disais qu'on pourrait
se retrouver à la maison ce soir
et, je ne sais pas,
jouer le CD de Sisqo...
Ce n'est pas une bonne idée.
Vraiment ? Tu ne trouves pas ?
Je ne sais pas.
Nous nous sommes peut-être
un peu précipités, tu sais ?
Je veux dire, ça ne semble pas
correct, n'est-ce pas ?
D'être mariés ?
Qu'est-ce que tu veux dire ?
Je veux dire que nous devrions
peut-être divorcer.
Divorcer officiellement ?
Oui.
Je vois.
Bon, eh bien...
Je suis désolée.
Non. En fait, je dois y aller.
Si je ne te reparle pas,
continue, et porte-toi bien.
D'accord, super.
Alors, qu'en penses-tu ?
Oui, ça va.
- Pas plus que ça ?
- Oui.
J'ai fait voir le bailà Mitch.
Il pense que c'est une bonne affaire.
Tu as fait voir le bailà Mitch ?
Quand ?
La semaine dernière, je suis
passée par son bureau.
- Oh mon Dieu !
- Quoi ?
Je ne sais pas.
Je me méfie un peu de ce type.
Mitch ? Pourquoi ? Il est gentil.
Un truc que j'ai vu
à la fête d'anniversaire.
Qu'est-ce que tu as vu ?
Je ne voulais pas le dire, mais...
je l'ai surpris en train
de harceler l'une des serveuses.
Une jeune fille.
- Vraiment ?
- Oui.
Il était agressif et la pelotait.
C'était dégoûtant.
Je ne voulais pas le dire
parce qu'il est ton ami.
- Allô ?
- Salut, c'est Mitch.
Salut, Mitch.
Si tu n'es pas trop occupée,
je pourrais te relancer
pour ce café.
- Ce n'est pas un bon moment.
- Écoute.
Je suis désolé pour l'autre jour.
J'aimerais pouvoir m'expliquer.
- Je ne pense pas.
- C'est...
J'ai eu une dure journée
et ça signifierait beaucoup.
Écoute, il y a quelques trucs
que je voulais éclaircir
parce que j'ai le sentiment
que tu as une fausse idée de moi.
Vraiment ? Qu'est-ce qui peut
te donner cette impression ?
Une tarte aux noix de pécan
et deux cafés.
T'en fais pas. Pour le parrain,
c'est toujours la maison qui paie.
- Pas ici.
- Je sais qui tu es.
Je suis Avi. J'appuie
ce que vous faites, les gars.
Merci.
T'es magnifique.
Sans vouloir offenser. C'est le roi.
Vous prenez un café et une tarte
avec une légende vivante.
C'est très gentil,
mais j'insiste, je vais payer.
Ton fric ne vaut rien ici.
- D'accord.
- Je m'engage le semestre prochain.
D'accord, ne crois-tu pas
que ça va un peu trop loin ?
J'ai appris qu'un membre est mort.
Est-ce vrai ?
Eh bien, oui.
Mais il était très vieux.
J'ai confiance que le rapport
de l'autopsie démontrera
qu'il est probablement mort
de causes naturelles.
Franchement, tu n'es pas
la personne que je croyais.
Mais ça va. Ce n'est pas grave.
Je crois être cette personne.
Et il y a longtemps que je ne
me suis pas senti aussi bien.
C'est pour ça que tu t'amuses
à harceler les jeunes filles ?
- À quoi ?
- La serveuse.
À la fête d'anniversaire.
Mark m'en a parlé.
Attends un instant.
Je ne voulais rien dire,
mais Mark est celui
qui s'est mal comporté.
- Tu es incroyable.
- C'est vrai.
Hé, regarde qui est là.
Hé, Mitch.
Darcie, salut.
Salut. Je voulais t'appeler.
Je ne voulais pas que tu t'inquiètes
à propos de mon père.
Il ne sait rien,
donc c'est cool.
Son père ?
Ce n'est rien, vraiment.
Ils travaillent ensemble.
Nous devons y aller, nous préparons
le bal des finissants, à plus ***.
Désolée.
Au revoir.
Bal des finissants ?
Je peux l'expliquer.
D'accord, j'en suis sûre.
- Je dois y aller.
- Je t'en prie, attends.
Non, vraiment. Je dois y aller.
Les nanas.
T'en fais pas.
L'amour est une sale histoire.
AVIS D'EXPULSION
Cher Mitch, si tu lis cette lettre,
tu le sais déjà.
La maison a été condamnée.
Fenêtres, portes, tout.
Nous sommes au Comfort Inn,
chambre 112.
Je t'aime. Frank.
Vu ces infractions, la maison
sera non seulement confisquée,
mais ceux qui sont étudiants parmi
vous seront chassés de l'universlté
pour votre participation dans
une association non sanctionnée.
Veulllez prendre un moment
pour digérer cette information.
Blen. Croyez-mol,
les actions du conseil étudiant
m'ont grandement surpris.
Mals hélas, je ne peux
rien y faire.
Merci de m'avoir écouté.
Bonne chance. Dieu bénisse l'Amérique.
Il ne peut pas faire ça.
Ce gars-là joue dur.
Je dois l'avouer,
il m'impressionne.
Eh bien, nous sommes expulsés.
Ma vie est foutue et je finirai
par travailler au Red Lobster.
- Tu y travailles déjà.
- Oui, mais à temps partiel.
- Allez.
- Écoutez.
La situation est grave.
Je suis chassé de l'école.
Je ne sais pas ce que je ferai.
Ma mère va me tuer.
Allez, elle ne te tuera pas.
Oui. Je suis le premier
de ma famille à aller à l'université.
Quand je suis parti, elle a dit
"Si tu merdes, je vais te tuer."
Elle m'a montré le couteau.
Mitch est avocat, vieux.
Il va s'en occuper, d'accord ?
Ça ira.
Il était censé être Luke Skywalker.
Vous tenez encore à l'association ?
Nous avons attendu tout le semestre
pour que tu nous le demandes.
Bien. J'ai besoin de votre aide.
Officieusement,
vous faites ceci et vous en êtes.
Chef, oui, chef.
D'accord. Walsh, trouve une copie
du code 7-A de l'université
- et faxe-la vite à ce numéro.
- Compris.
- J'alà te parler.
- Dans cinq minutes.
Booker, fais deux copies de cette
requéte, fais-la authentifier
et envoie-la-moi par courrier
au 34 Langley et puis...
Donald me dit que ces deux-là
préparent l'arbitrage.
Je t'ai dit cinq fois de les affecter
à l'affaire du Sunshine Square.
J'ai réglé l'affaire
du Sunshine Square hier,
maintenant ils m'aident
à préparer l'arbitrage
et j'apprécierais que tu me laisses
diriger mon équipe.
Ne me tombe pas sur le dos
chaque fois que je fais quelque chose.
D'accord.
Assure-toi
de dominer la situation.
Je la domine.
Bien, continue.
Tu vois ? C'est pour ça
qu'on l'appelle le parrain.
Règlez-moi ces trucs.
Messieurs, j'ai de bonnes
et de mauvaises nouvelles.
J'ai fait un peu de recherche.
Ce que Pritchard a fait
est illégal techniquement.
Nous avons droit à une évaluation
avant qu'ils rejettent
notre demande officielle.
Cependant, nous sommes soumis
à une révision des statuts
établis par les fiduciaires.
Merde !
Attends, qu'est-ce
que ça veut dire exactement ?
Selon les règlements de l'université,
une inspection de l'association
et de notre apport à la communauté.
On examine cinq catégories:
Formation, athlétisme, service
public, débat et esprit scolaire.
Bonne chance à tous.
Ça a été charmant de vous connaître.
Je vous verrai sur le campus.
En fait, nous sommes
tous soumis au test.
Comment ?
Je ne suis même pas étudiant.
C'est le règlement. Tous les membres
de l'association sont soumis au test
dans toutes les catégories,
y compris la formation.
Mitch, tu peux venir ici ?
D'accord pour le petit déjeuner
mais je ne fais pas de tests.
C'est incroyable.
Que fait-on de "la fraternité
plus nécessaire que jamais ?"
Allez, l'université
est surfaite de toute façon.
J'ai bâti Speaker City à partir
de zéro et je sais à peine lire.
Ce truc était ton idée
et tu m'as convaincu d'embarquer.
Leur vie est gâchée maintenant.
Gâchée ? Quelle vie est gâchée ?
Voyons voir.
Bleu est mort.
Frank a divorcé.
J'ai perdu ma maison. Nicole
me prend pour un crétin fini.
Neuf gamins vont se faire
expulser de l'êcole
et tu ne vas même pas
les aider.
Est-ce que ce sera vite réglé ?
Je rate 18 trous de golf ici.
Cent pour cent. J'ai exercé
mon imagination sur leurs tests.
Ça devrait être une journée
très divertissante.
Je me ferai un plaisir
de les botter hors du campus.
Moi aussi.
DÉBAT
Bienvenue à la section débat
de la révision des statuts.
Malheureusement, le capitaine
de l'équipe de débat de l'université
a eu un contretemps. Oui.
Nous avons dûlui trouver
un substitut pour l'occasion.
Mesdames et messieurs, accueillez
le co-animateur Crossfire de CNN,
fameux consultant politique,
le Cajun déchaîné,
M. James Carville.
- Merci.
- N'applaudis pas.
Merci, doyen Pritchard.
Je suis honoré d'être ici.
Sujet numéro un.
Quelle est votre position
sur le rôle du gouvernement
dans le soutien de l'innovation
en biotechnologie ?
Eh bien, doyen, je suis content
que vous posiez cette question...
J'aimerais intervenir là-dessus,
Jimmy, si tu permets.
Vas-y, vieux.
Pourquoi il n'attend pas une facile ?
La recherche récente démontre
que la preuve empirique
de la mondialisation de l'innovation
des entreprises est très limitée.
Et en corollaire, le marché
des technologies se resserre.
Comme leader du monde, il importe
que les États-Unis offrent
des subventions de recherche
systématiques à nos scientifiques.
Je crois qu'il nous faudra toujours
avoir une politique d'innovation
solide accentuant le développement
des ressources humaines. Merci.
D'où ça vient ?
Qu'est-ce qui s'est passé ?
C'était sensationnel.
Voilà qui est intéressant.
Merci infiniment.
Votre réfutation,
M. Carville ?
Nous n'avons pas de réponse.
C'était parfait.
Voilà comment on fait !
Voilà ce qu'est un débat.
CULTURE GÉNÉRALE
Numéro 12.
Laquelle des techniques graphiques
est la plus généralement acceptée
pour déterminer les paramètres
du système d'ordre primaire ?
Est-ce A, la méthode de résolution
des cubes de Herriod ?
B, les triplets pythagoriques ?
Ou C, la méthode de migration
des fonctions graphiques quadratiques ?
La méthode de Herriod.
La réponse est A, la méthode de
résolution des cubes de Herriod.
Bon test.
D'accord, Frank. Allons-y.
Allez, Harrison !
ESPRIT CITOYEN
- Oui !
- Ouah !
Allez, Cougars !
Oh, non !
Au secours ! Au secours !
Doyen Pritchard,
puis-je vous dire un mot ?
Megan, je suis un peu occupé.
Je n'ai pas été admise
à l'école de droit de Columbia.
Dommage.
Vous m'avez promis l'entrée à Columbia
si je révoquais leurs statuts.
Je l'ai dit.
Personne à Columbia
n'a même entendu parler de vous.
Écoutez, j'ai fait ma part.
Maintenant faites la vôtre.
- C'est ça le bakchich.
- Je sais ce qu'est le bakchich.
Je le fais constamment, mais j'ai
changé d'idée. C'est un pays libre.
Leçon apprise.
Merde !
Désolé, j'ai perdu mon sang-froid.
Je suis idiot.
Frankie, ne t'en fais pas.
Nous allons compenser.
Ta peau va repousser aussi.
Je suis désolé.
Combien d'épreuves
il nous reste encore ?
Une. L'accident de Frank
nous a fait reculer.
Mais si nous réussissons ...
l'athlétisme, ça y est.
D'accord, tout le monde !
C'est ce que je vous dis.
Nous avons fait un bel effort
jusqu'ici. Continuons !
C'est vrai ! Il ne faut pas
nous énerver, d'accord ?
Ii faut garder notre calme !
Nous sommes allés trop loin.
Il y a trop à perdre !
Gardons notre calme !
Pour le test final, j'ai choisi
la gymnastique masculine d'équipe.
EDUCATION PHYSIQUE
Les participants aux trois épreuves
seront choisis au hasard par moi
tout de suite.
Aux anneaux.
Bernard.
D'accord, super.
Exercice au sol.
Frank ? Super.
Et pour le cheval sautoir,
oh, je ne sais pas...
Disons...
- Toi.
- Moi ?
Oui. Il y a un problème ?
Je tiens toujours.
Je tiens toujours !
C'est physiquement impossible.
Ne t'en fais pas.
Abdul est là pour te recevoir.
Nous attendons, messieurs.
Frappe le tremplin aussi fort
que tu peux et ferme les yeux.
- Es-tu prêt ?
- Amuse-toi.
Allez ! Allez !
Allez !
Oh mon Dieu ! Oui !
Félicitations, messieurs.
Vous avez fait beaucoup d'efforts.
Vraiment.
Mais j'ai peur d'avoir
de mauvaises nouvelles pour vous.
Vous n'avez pas passé la révision.
Qu'est-ce que vous racontez ?
Nous avons obtenu 84%.
Oui, vous avez obtenu
une note de 84%,
mais hélas, un de vos membres
a eu "0" sur toute la ligne.
Lequel ?
Joseph "Bleu" Pulasky.
Hé, Bleu est mort.
Il est mort il y a deux semaines.
Son nom apparaît dans la liste
officielle de vos membres
et ces zéros ramènent
votre moyenne à 58%.
Allez, tu rigoles.
Ça a été toute une aventure.
Ça ira.
Ça ira, Frank.
- Allez, mon gros.
- Je n'ai pas de raison de vivre.
Nous te trouverons
un petit studio,
te remettrons sur pied,
peut-être chez Beanie...
Ce ne sera pas la même chose.
Ça n'a pas très bien marché
pour vous, n'est-ce pas ?
Tu sais ? Je te recommande
de filer immédiatement
avant qu'un très grand malheur
t'arrive.
- J'ai peur.
- Excuse-moi, Mitch ?
Je dérange ?
Oui, Megan. Si tu partais,
ça arrangerait tout le monde.
Je pensais que vous trouveriez
peut-être ceci intéressant.
Vous m'avez promls l'entrée à Columbla
sl je révoquals leurs statuts...
- Je l'ai dit.
- Écoutez...
J'ai fait ma part, faites la vôtre.
C'est ça le bakchich.
Je sais ce qu'est le bakchich...
Vous savez quoi ?
Laissez-moi...
Cours lui après, Frankie !
Attention !
- Par là !
- Doucement, hé !
Pritchard, c'est terminé.
Rends la cassette. C'est fini.
C'est fini, d'accord ?
Tu sais où sont
les autres ?
Non, nous nous sommes dispersés...
Qu'est-ce que tu fais ?
Qu'est-ce que tu...
Pause. Pause.
Excusez-moi ! Excusez-moi !
Messieurs...
Ciel !
Attends, attends, mon épaule.
Cet homme m'a agressé !
Vous êtes tous témoins !
Il m'a agressé !
Frank !
Frank, ça va ?
Mitch, j'ai froid.
Allez, mon gros.
Je pense que je vois Bleu.
Il a l'air glorieux.
- Ne me lâche pas.
- D'accord.
J'ai bien fait.
Tu as super bien fait.
PRIS SUR LE FAIT ! PRITCHARD EST
VIRÉ POUR CORRUPTION
Salut.
Ça va ?
Ça va.
Tu sais, j'ai eu cet appartement.
Bien. C'est génial.
Tu avais raison à propos de Mark.
Qu'est-ce qui s'est passé ?
Disons que je l'ai pris la main
dans le sac et ce n'était pas joli.
Je penssais qu'il pourrait changer...
Je ne sais pas.
Tu déménages ?
Oui, j'ai une nouvelle piaule
bien loin d'ici.
Et ta petite association ?
Eh bien, ils se modernisent,
ils ont un nouveau local.
Et pour parler franchement,
ils n'ont plus besoin
du parrain.
J'espère que tu me trouves
encore cool sans ça.
Je pense que je peux m'y faire.
Je l'apprécie.
Quoique... Je dois avouer
que j'ai toujours été curieuse
de savoir ce qui se passait là-dedans.
- Oui ?
- Oui.
Mon bail a encore 12 heures
à courir.
Je serais ravi
de te faire faire le tour.
Vraiment ?
Oui.
Peut-être une minute.
Super.
Joyeux mardi.
Ici "Frank le Tonneau" à la
radio Harrison Cougar, 88,6.
Je veux saluer le parrain.
Si ce n'était de toi,
je ne serais pas ici, Mitch.
Je serais probablement mort.
Écrasé au fond d'une piscine
à sec quelque part.
Une petite note à tous
les frères futurs à l'écoute,
le nouveau local est dans l'ancienne
résidence du doyen Pritchard.
Vous vous rappelez ce type.
Je vous invite à venir à notre
soirée portes ouvertes samedi.
Il y aura des chips, des boissons
gazeuses et une course à poil.
Plus à droite. Un peu plus.
Oui, c'est bon.
C'est bon.
- Bienvenue, Booker.
- Merci, monsieur.
- Walsh. Bien fait.
- Frank le Tonneau.
Tu veux aller me chercher
une bière froide ?
Tu es sérieux ?
Tout de suite !
Tout de suite ! Vite,
espèce d'empâté !
Oh, merde !
Reste dans le but.
Il faut rester dans le but.
Tu ne peux pas te balader.
Tu me tues.
Tu peux rester dans le but ?
Concentration, intensité
et "1,2,3" !
Woofers !
Allez, allez, allez, mangez-les !
Faim, faim, faim ! Mangez-les !
Caleb, tu fais quoi dans la boîte ?
Nous en avons parlé, dans la boîte !
Calme-toi, on est en avance par six.
Cet arbitre est là.
C'est ça, tu m'as entendu !
Le quatre joue des coudes
et quelqu'un va se faire blesser.
Quoi ?
Rendons-le officiel alors !
Rendons-le officiel !
Va chercher l'écritoire.
Je serai dans la voiture.
- Respecte-toi.
- Merci.
C'est Frank le Tonneau ?
Hé. Heidi.
- Ça va ?
- Je réussis très bien.
Je fais de la peinture corporelle.
- Je ne savais pas.
- Oui.
C'est génial.
Eh bien, tu as l'air
bien en santé.
Oh, merci.
Oui, toi aussi.
Oh, merci.
On me dit que toi et Marissa n'êtes
plus ensemble. C'est vrai ?
Oui, c'est vrai.
Pauvre toi !
Tu sais, je reçois un petit groupe
chez moi demain soir.
Quelques amis de l'lnternet.
Tu devrais passer.
- Vraiment ?
- Tout à fait.
- D'accord.
- D'accord.
- C'est génial.
- À demain soir.
Génial.
Oui !
Je suis de retour !
Tu le savais !