Tip:
Highlight text to annotate it
X
- Ça va ?
- C'est la saison !
Cette taille ?
C'est bon ?
- Alors ?
- Y a plus qu'à.
- Vous êtes prêts ?
- Ouais. Et toi ?
- On y va.
- Allez. C'est parti.
Couchez-vous !
Faites pas les cons !
- Bougez pas !
- Gardez les mains en l'air.
Voilà, comme ça !
On reste tranquilles.
Y aura pas de blessé.
Essayez pas de jouer les héros.
- C'est bon ?
- Ouais.
Police ! Pas un geste !
On se casse !
Bougez pas !
Lâchez vos armes ! Tout de suite !
Tout de suite !
On se casse !
Grimpez dans la caisse !
Qu'est-ce que tu fous ?
Monte ! On se casse !
J'ai un grand principe de base :
Ne jamais taper de fourgon blindé.
- Merci.
- Ouais...
Hé ! Enfoiré !
Petits salopards ! Revenez là !
Pas de mentholées.
Buvez un coup.
Allez vous asseoir,
je finis et je viens vous voir.
D'où vous sortez ces cigarettes ?
Tombées du camion.
Deux fois en une semaine.
Vous feriez une course pour moi ?
- Ouais.
- Ça dépend.
- T'es passé chez Williams ?
- Pas encore.
Y a une enveloppe
à récupérer à la Williams Tavern.
- D'accord.
- Combien ?
"Combien ?" Écoute-le, ce gamin.
50 dollars. Ça ira ?
Ça marche.
Brian ?
Faut pas faire de bruit.
C'est sympa, Stacy.
- Viens.
- On peut rien faire.
Ma mère est là-haut.
Traînez pas là. Rentrez chez vous.
Il est pas trop grand,
ce manteau, Jackie ?
Non, il te va bien.
- Alors, tu l'as trouvé ?
- On l'a chopé.
- Il fait froid.
- Ouais.
Encore plus là où il est.
Fais-le sortir. Grouille.
- Sors de là.
- Allez, gicle.
Fais-le monter derrière.
Allez, monte. En voiture.
- Alors, tu m'emmerdes, hein ?
- Quoi ?
Tu m'emmerdes ?
Vas-y, dis-le. Tu m'emmerdes.
Je t'ai pas dit que je touchais
sur tout, par ici ?
- Si.
- Et tu m'as donné quoi ?
- Tu m'as donné quoi ?
- J'ai pas...
Tu cries pas !
Tu cries pas, putain !
Ou je te fais un autre trou, direct.
Pourquoi les gens gueulent
quand ils ont mal, Jackie ?
Siroter un café
ça change pas la température !
T'as raison, ça change rien.
Ça m'éclate quand je vois
des mecs comme toi,
se la jouer gangsters,
les gros durs, bras croisés,
qui parlent la bouche en biais.
Regarde-le.
J'en reviens pas.
T'as envoyé
le petit Sweeney à l'hosto
parce qu'il te devait
de l'argent, hein ?
T'es un putain de gros caïd,
toi aussi, hein ?
- Il pesait combien ? 70 kg ?
- ***.
T'as mon argent ?
- Hein ?
- Non.
Tu as l'argent que tu me dois ?
Voilà votre part.
Ce connard de la William's Tavern
remet ça.
Passez-y et faites-le raquer.
Encore une petite semaine.
J'en ai marre
de ces plans à la con.
Je vais pas l'attendre, ce connard.
Salut les gars. Ça va ?
Vous voulez vous en mêler ?
- T'auras assez chaud ?
- Oui.
- Tu veux pas un pull ?
- Non.
- T'es sûr ?
- Oui.
- T'arrives pile poil.
- Pour ?
- Le match de Sean.
- Je peux pas. Je dois repartir.
- Où sont...
- C'est les play-offs.
Je peux pas. J'ai à faire.
Je serai là
pour le prochain, promis.
Y a quoi, à manger ?
II est arrivé par-derrière...
C'est super.
- Cool !
- C'est eux, là !
- Alors ?
- Nickel chrome.
- Ça a été, l'adhésif ?
- Ouais, ouais.
- Ça m'a arraché la moustache.
- Tu leur as dit quoi ?
Rien. Juste de retrouver le mec.
Je veux pas payer de ma poche.
- Tu bois quoi ?
- Une bière bien fraîche.
Une bière bien fraîche.
- Bon boulot.
- Le poignet un peu niqué.
Et plus de moustache !
Je m'arrache. À bientôt.
J'ai un truc pour vous, les garçons.
Viens, petit bout.
Tu fais quoi sous la pluie ? Viens.
Voilà ta maman.
Stacy ! Katie !
- Appelle-moi.
- D'accord.
- Salut, Katie.
- Salut, Brian.
Katie, tu veux que je te dépose ?
- Dites au revoir à tonton Paulie.
- Au revoir.
Pour les factures.
Et fais-toi plaisir.
Merci.
Tu restes dîner ou tu repars ?
Ouais, je reste. Ça te dérange ?
Le bon vieux temps !
II est là-haut.
- Il s'appelle comment ?
- Marius.
Marius...
Montez voir ce qu'il a à dire.
5000 dollars, c'est bon à prendre.
Jackie ?
- Ma soupe est encore gelée.
- Encore ?
- Ouais, comme d'hab !
- Tu déconnes ?
Marius, ça va ?
Pas vraiment, non.
Je vous explique.
J'ai 60 ans.
Et j'ai commis... un faux pas.
Et ensuite, cette... connasse
et son copain ont appelé ma femme !
"Faux pas", on comprend pas.
Je l'ai baisée.
Il a trompé sa femme.
Je veux qu'ils paient. Surtout elle.
Vous voulez
qu'on tabasse une fille ?
Non, non. Voyez-vous,
cette salope a 2 caniches,
qu'elle aime
comme ses propres enfants.
Kidnappez la femelle.
Il faut que ce soit la femelle.
Je me fiche
du mâle.
Je vous paierai 5000 dollars.
Vous voulez
qu'on kidnappe un caniche ?
Vous nous prenez
pour des cons ou quoi ?
Mais vous voyez...
Tabasser un mec, c'est une chose,
- mais kidnapper un clebs...
- Vous ne comprenez pas.
Il faut qu'elle paie.
Elle a appelé ma femme.
- Il est complètement chtarbé !
- C'est 5000 dollars, Paulie.
Je marche pas.
On filera un billet de 100
à un gamin.
Je marche pas.
Kidnapper un caniche à la con.
Tu délires ?
T'aimes pas ça, mais on devrait
taper un fourgon blindé.
Recommence pas.
Tout le monde se fait choper.
Ça se passe en plein jour,
en public. Infaisable.
D'accord ?
Oh, merde...
Brian ! Ça y est, je l'ai !
Lève-le. Fais-moi voir.
Il a des couilles.
C'est l'autre.
- C'est des tarés !
- Retournes-y !
C'est pas drôle.
C'est un caniche à la con.
- C'est pas drôle.
- Si, un peu.
Non. C'est carrément gênant.
Bon, alors ?
Je connais un mec, Anthony,
il se fait un max de blé
sans rendre de comptes à personne.
Et Pat ?
II faut qu'on se mette
à notre compte.
Cette balance de Gills
donne tout le monde.
Tu m'étonnes !
Avec les marchés qu'ils offrent...
J'aurais dû le buter, cet enfoiré.
C'est sûr.
- C'est réglé.
- Ouais, il a appelé.
Salut, Jackie.
Voilà.
Il a dit 5000.
C'est votre part.
T'as un problème ?
- Ouais, j'ai un problème.
- Ah bon ?
Tu sais quoi ? Garde tout.
Viens là !
Viens là ! Pour qui tu me prends ?
Un pauvre loubard ?
Je te remplis les poches
- depuis que t'es môme !
- Le problème, Pat,
- c'est que ça progresse pas.
- Ah ouais ?
J'ai les flics au cul,
et t'arrêtes pas de faire chier.
Ça me soûle. Change ça,
sinon ça va mal se passer.
T'as pigé ?
T'as pigé ?
Faut que tu lui parles, Brian.
Tu vois ?
Tu vois ? II nous traite
comme des trous du cul !
Calme-toi, Paul.
Ouvre-moi. Ouvre-moi !
Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
Et on repart avec le camion.
C'est aussi simple que ça.
- C'est qui ?
- George Shea.
Je le connais bien. Il est réglo.
Il va pas essayer
de nous arnaquer ?
Non. On est payés cette nuit
et on se casse.
- Il saura qui on est ?
- Il s'en fiche.
Tant que le boulot est fait.
Ça marche, Anthony. À ce soir.
C'est ça, mon chou !
- Brian ? Tu rentres pas chez toi ?
- Occupe-toi de tes oignons, Katie.
- Il a une nana.
- Dis à Paul de venir me voir.
- Ah ouais ?
- Ouais.
- Et rentre chez toi.
- Paie-moi un coup, plutôt.
- Paulie ? Brian veut te parler.
- OK, j'arrive. T'as un endroit...
- J'ai des factures à payer.
- Je les paierai !
- Tu paieras mes factures ?
- Bien sûr.
Je dors sur un canapé...
Je dormirai sur le canapé.
Viens chez moi.
- Comment tu t'appelles ?
- T'as un grand canapé ?
- Je m'appelle Lisa.
- Mon canapé est assez grand !
Je vais parler à mon pote
et je reviens te voir.
On parlera de mon canapé !
Putain, c'est trop !
Je fais une pause.
Bien sûr, pas de souci.
- Tu connais Jay ?
- Lui, derrière ?
Ouais. Il se fait plein de thune,
il deale de la coke.
- Comment tu le sais ?
- Je sais.
- On devrait le faire raquer.
- Il est avec qui ?
- Personne.
- On y va.
- Salut.
- Jay, t'aurais une minute ?
- Salut, toi. T'as vu Charlie ?
- Ça va ?
Tu connais Paulie ?
- Ça va ?
- Ça va.
On pourrait te parler, demain ?
- De quoi ? Tout va bien ?
- Ouais, ouais.
Rendez-vous
demain à 2 h aux Heights ?
D'accord.
T'inquiète. Bonne soirée.
Salut, Pat.
- Ça va ?
- Ouais.
- Y a du monde.
- Ouais.
Vous auriez pas entendu parler
d'un camion plein de télés
qui a disparu ?
Rien du tout ?
- Vous êtes sûrs ?
- Ben ouais.
C'est bizarre, on m'a appelé...
Si vous en entendez parler,
prévenez-moi.
Pas de souci.
Quel connard !
Salut, les mecs !
Allez, en route.
Aide ton frère.
Tiens, ton sac.
- Attends dans la cuisine.
- D'accord. À plus !
Génial ! Sean, aide ton frère
à mettre sa veste.
Cette fermeture...
Il est 8 h du matin.
- Qu'est-ce que t'as foutu ?
- Je suis sorti.
- T'étais où ?
- Épargne-moi ça.
Tiens.
Comme si ça réglait tout !
Allez...
- Brian, ça ne peut plus durer.
- Ouais, d'accord.
D'accord. Tout ce que tu voudras.
Je le ferai plus.
Sors, laisse-moi dormir un peu.
- Oui ?
- Salut, c'est moi.
- Jackie veut nous voir.
- Pourquoi ?
J'en sais rien.
Il a rien dit.
J'y serai.
Pat s'est fait serrer.
Pour quoi ?
Une vieille histoire
de meurtre à la con.
Pour quoi ? Qui... ?
Ce connard de Mickey Gills.
Il arrête pas de balancer
pour avoir une remise de peine.
Il risque de prendre combien ?
S'il plaide coupable,
pour meurtre...
8 ans.
Vous faites pas de bile.
Ça va aller.
- On continue pareil.
- Ouais. Bien sûr.
- Évidemment.
- Pareil.
- Putain, je le crois pas.
- T'en penses quoi ?
On a un rencard.
Elle frappe à ma porte
et elle me dit
qu'elle est mariée...
Salut, Jay.
Salut. Désolé, je suis en retard.
C'est pas grave.
Belle bagnole.
Merci.
- Ça rapporte pas mal, la coke ?
- Ça va.
Tu fais ton business.
Tu vends pas à des mômes ?
- Non.
- Allons droit au but.
Tu te fais plein de blé,
et on veut toucher.
T'as le choix : Tu nous en files
un peu chaque semaine
on les dépouille et on partage.
Tu veux que je piège
mes fournisseurs ?
Je peux pas. Ils me connaissent.
- Ils savent où j'habite.
- Nous aussi.
Tu veux me foutre dans la merde ?
On est du même quartier.
Je fais quoi, moi ?
On les nique.
Si ça marche, il leur faudra
22 kilos tous les 10 jours.
- Je peux fournir.
- Je m'en doute.
- Je vais les chercher.
- Je bouge pas.
Salut, ça va ou quoi ?
- Ça va baigner, Tommy.
- Jay, c'est quoi, ça ?
C'est pas ton jour.
Tu fais une croix là-dessus.
Tu te seras refait d'ici 15 jours.
Je te prends ça. Merci.
Si tu joues au con,
tu reconnais, là ?
Jay, le matos est dans le coffre ?
- C'est ouvert, Tommy ?
- Ouais.
Je prends tes clés.
Je vais les jeter
dans la rue à côté.
Donne-toi 2-3 minutes
pour te remettre.
Tu rentres à Braintree
et tu dis rien à personne. Pigé ?
Essaie-les.
Trop grandes. Je fais du 40.
- Quoi ?
- Je nage dedans.
Mets une 2e paire de chaussettes.
- On les changera.
- Ça ira pas.
C'est l'autre pied, chef.
Tu pourras aider ton frère ?
Vous avez faim ?
Ouais, un peu.
C'est sympa.
T'es jolie.
Ça va, Brian ?
- Ça va.
- Je vous sers à boire ?
Ouais... Stacy ?
- Ça ira.
- Très bien.
- Comme d'habitude ?
- Ouais. Donne-moi...
Non. Je prendrai une pression,
ce que tu as.
Une amie à toi ?
Comment ça ? Elle bosse ici.
Quoi ?
T'es en colère
parce qu'elle connaît mon nom ?
- Tu dis rien...
- Tu m'as pas présentée.
Ça va pas ? C'est que la serveuse.
J'ai vu comment tu la regardais.
Voilà pourquoi on sort jamais.
Tu passes ton temps à traîner.
Tu tiens à remettre ça ?
Ne gâchons pas cette soirée.
Je t'aurais bien présentée,
mais je connais pas son nom.
Voilà.
- Pardon, ton nom, c'est... ?
- Kim.
Kim, je te présente
ma femme, Stacy.
- Enchantée.
- Salut.
- Il te faut un peu de temps ?
- Juste une minute.
D'accord, je reviens. Merci.
C'est bon ?
Je peux avoir 2 menus,
s'il te plaît ?
Prends ton temps.
Tiens.
- Non, elle te l'a donné...
- Prends-le.
Charlie,
tu nous laisses 2 minutes ?
- Salut, Brian.
- Salut, Jay.
- Paulie.
- T'as bien vendu ?
Pas mal. 1800 le kilo.
- 1800 le kilo.
- Ça fait 45000.
12500 pour toi ?
- Ça me va.
- Ça te va ?
- C'est bon.
- Impec.
Faut que j'y aille.
- À vendredi.
- Ça marche.
Faut que je bouge aussi.
Oublie pas, on a rencard à 1 h...
- 45000, ça le fait.
- Ça le fait grave.
Tu m'avances un peu de matos
jusqu'à vendredi ?
- Merci.
- À vendredi.
C'est une bonne affaire.
- Ça marche bien, la bijouterie.
- Soyons clairs. Je te file 10000,
tu me verses 200 par semaine
pendant un an, plus mes 10000.
- Absolument !
- Ça roule. Je reviens.
Salut.
Doucement, là. C'est qui ?
Brian.
- Salut, Jay.
- Ça va ?
T'aurais pas déjà
une partie du blé ?
Je t'ai dit que je l'aurais
que vendredi. Entre.
Merci. Tu fais une fête ?
- Ouais. Tu bois un coup ?
- Volontiers.
Salut, Brian. Je m'appelle Matt.
Ça va ? Ouais, je t'ai déjà vu.
- Tiens.
- Ça me va.
T'as combien ?
- Tu veux quoi ?
- Mille.
- Je les ai pas, là.
- Jay...
Allez, t'as combien ?
Je peux te donner 500.
Je prends. T'as de la coke aussi ?
- Ouais. Laisse-moi une seconde.
- On les emmerde, Jay !
C'est vos copines ?
- Non, des strip-teaseuses.
- Ah, t'es danseuse ?
- Ouais.
- Bouge un peu, pour voir.
Pas mal. Tourne-toi.
Joli.
Salut, ça va ?
Tu me prépares un truc ?
Je te prépare ça.
- Vous fumez quoi ? Du crack ?
- Ouais.
Des freebasers !
On se croirait dans une morgue.
Je veux être mort comme vous.
Tiens, voilà 500.
Je te dois 500, OK ?
Viens, on va se faire un rail.
C'est pas mauvais.
- Faut inspirer à fond.
- D'accord.
Quand c'est plein de fumée,
- t'enlèves ton doigt.
- Je crois que j'ai pigé.
Où il est ? Tout va bien ?
- Il est pas là ?
- Il est pas rentré.
- T'étais pas avec lui ?
- Si, cette nuit.
Bon... Trop, c'est trop.
- Quoi ?
- Il rentre à 3 ou 4 h du mat !
- T'énerve pas...
- Lâche-moi !
- Stacy...
- 15 ans que ça dure !
Je sais.
Il est midi.
- Espèce de connard !
- J'ai passé la nuit
au trou. Fous-moi la paix !
II vient de rentrer.
C'est Paul.
Dis-lui que je le rappellerai.
Il te rappellera.
Des bobards,
comme quoi il s'est fait arrêter.
Faut que je raccroche.
Il s'est passé quoi ?
Rien, j'étais avec une gonzesse.
Ça va ?
Jay !
T'as failli marquer !
J'ai eu ton message. Y a quoi ?
Tu te souviens de Matt,
chez moi ?
- Ouais. Quoi ?
- Quand ça ?
- Quoi ?
- C'était quand ?
La semaine dernière. Alors ?
II deale des stéroïdes
à des mecs de Stoneham.
- Ça rapporte ?
- D'après lui, 20 ou 30000.
- 20 ou 30000 ?
- Ouais !
II deale depuis un moment.
Son fournisseur s'est fait serrer.
Les autres bouffons le harcèlent.
Ils sont pas au courant.
- Sérieux ?
- C'est pas des conneries.
C'est un bon plan.
Un super plan.
- On t'appelle demain.
- Merci, Jay.
- Paulie...
- Porte-toi bien.
Tu vas chez lui ?
Je suis passé voir
s'il avait le blé.
Il deale de la coke.
Tu crois pas qu'il est surveillé ?
Réfléchis.
J'y suis resté que 2 minutes.
- C'est la mienne ?
- Oui.
Merci. Les Celtics
ont gagné le match ?
- Non, les Cavaliers.
- Et merde !
- T'as encore parié sur ces nuls ?
- Ouais.
Les Celtics...
Quoi ?
C'est qui, ce con ?
Je l'avais jamais vu.
C'est quoi, son nom ? Dave.
Salut. C'est qui ?
Matt ?
Tu veux bien me préparer
un peu de matos, je vais passer.
- T'as un truc à me dire ?
- J'ai rien à te...
Ferme ta gueule, connard.
Jay nous a parlé
d'un deal de stéroïdes.
Ah ouais ! J'ai des clients...
- Ils sont pétés de thune.
- Ouais ?
- Pétés de thune.
- C'est quoi, le plan ?
Je peux les piéger.
Ils sont pétés de thune, tu sais ?
- Y en a un qui doit être riche.
- D'accord.
C'était quoi, ça ?
Arrête de me coller, dégage.
- Ça me fera combien de blé ?
- Me colle pas.
Vous me filerez
une part de leur blé ?
Putain, écrase, Matt.
- Dis-moi juste combien...
- Ferme ta gueule !
C'est quoi, ce bordel, Matt ?
Rien.
Combien de fois je l'ai dit ?
Brian, c'est chez moi.
- Il est 3 h du mat.
- T'as raison, Jay.
Désolé.
Putain,
combien de fois je te l'ai dit ?
Tu fais venir personne.
Nettoie-moi ce bordel, bouffon.
Merci, Charlie.
Il faut être sûr qu'il rentre
dans la salle avec le blé.
Tu insistes.
Dis-lui que les stéroïdes
sont à la cave, dans un frigo.
Dès qu'il est entré,
on s'en occupe.
D'accord ?
Tu le vois à quelle heure ?
2 h, jeudi.
2 h... À 2 h 30,
on attendra au snack-bar.
À plus, les mecs.
- T'as fait quoi, hier soir ?
- Rien.
Des trucs avec Stacy.
Il va falloir assurer
sur ce coup-là.
Évidemment.
Salut, Matt.
Salut. Paulie.
- Ça va ?
- Super. Assieds-toi.
- Tu veux un sandwich ?
- Non, c'est bon.
T'as l'argent ?
Ouais. T'as le jus ?
Ouais, au frigo. Assieds-toi.
J'étais...
- Tu prends quelque chose ?
- C'est bon.
Y a pas de problème. Je t'invite.
C'est bon. Je te remercie.
Vous avez qu'à attendre là,
moi, je...
Je vais chercher l'argent.
Je reviens.
Je lui ai dit de l'apporter...
On t'a dit qu'il devait
entrer avec le fric !
Vite, en voiture ! Y a un hic !
- Vite !
- Police !
Les mains sur le capot !
Toi, connard, tu bouges pas !
Pose tes mains... Les clés !
- Putain... ?
- Mains sur le tableau de bord !
- Vous avez de la drogue ?
- Non.
Vous venez faire un deal ?
- Je vois pas...
- Ferme ta gueule.
Vous achetez de la drogue ?
- Où est l'argent ?
- Où est l'argent ?
- Quel argent ?
- Ta gueule !
Joe, fais-le parler !
C'est pas comme ça
qu'il va parler ! Connard !
- Où est l'argent ?
- Je comprends pas.
Où est ce putain de blé ?
Ah ouais ? Tu comprends pas ?
Menteur ! Connard !
On y va !
Vous voulez ma photo ?
Occupez-vous de votre cul !
- À l'aide !
- Où est la clé !
À l'aide ! Appelez...
Dis-moi, t'as quel âge ?
27 ans dans 8 jours.
Non ? Sans déconner ?
Elle fait 22 ans, pas vrai ?
T'es canon. Vraiment canon.
- J'ai du boulot.
- Reste. Joe veut te parler.
- Il s'en remettra.
- Moi, je veux te parler.
Bon, je t'accompagne.
Je vais t'aider.
- Salut.
- Ça va ?
- Je te présente mon pote Josh.
- Salut. Assieds-toi.
- Il s'est cassé en pleine action.
- Ouais, c'est son truc.
- Désolé, je suis parti...
- En pleine baston ?
- T'as pas de couilles ?
- Si. Mais c'était un massacre.
J'en ai rien à foutre.
Tiens, quelques dollars.
Estime-toi heureux.
Non, tu vas t'asseoir là-bas.
Mais non, assieds-toi.
Je te fais marcher.
- Donne-lui à boire.
- Faut qu'on parle.
Je prends ma part.
- Arrête, Jay...
- T'excite pas.
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Comment ça ?
II paraît que vous avez
braqué 2 mecs sur E Street.
Et alors, Jackie ?
Vous faites vos plans
et on touche que dalle ?
Tu voudrais quoi ?
On joue les coursiers pour vous
depuis 15 ans,
et ça nous rapporte rien !
Alors, on se fait des extra.
Les "coursiers", vraiment ?
J'ai des gosses et je suis fauché.
Et pas nous ?
Pat est furax.
Si ça continue
vous aurez des problème.
- Tu nous menaces ?
- Je menace personne.
Bon. C'est comme ça.
- Y a rien à ajouter.
- C'est comme ça ?
- Je te dépose ?
- Non, c'est bon.
Je pars dans 1/4 d'heure,
le temps de nettoyer.
Ça ira, merci. Tiens.
- Mme Reilly ?
- Oui.
Je vous explique.
Votre mari a donc reçu 3 balles.
Une logée dans l'occiput,
une extraite de l'épaule droite,
une autre du bras gauche.
Nous n'allons pas opérer
pour extraire celle de l'occiput,
c'est trop risqué
à l'heure actuelle.
Elle est près de la moelle épinière,
on pourrait la toucher.
Mais nous allons garder
votre mari en observation.
Nous le mettrons sous antibiotiques
et il devrait s'en sortir.
On a de la chance que ce soit
une arme de petit calibre.
Il faut que vous le sachiez,
on a relevé de fortes traces
de cocaïne et d'alcool
dans son sang.
Il va s'en sortir.
Je peux pas te dire.
Il avait une capuche.
- J'ai pas vu son visage.
- Bâ*** !
II était là, avec son pistolet.
- T'as pas une idée ?
- Non, je vois pas.
- Ce connard de Jackie ?
- J'aimerais vraiment savoir.
- Salut.
- Voilà...
Ça va, je vais bien.
Approche. Embrasse-moi.
- J'y arrive même pas.
- Passe par-dessus.
Bouge pas ton bras.
Ça va aller.
Je lui mets de l'eau, là.
Stacy ? Je t'attends dehors.
Salut, Katie.
- Les garçons vont bien ?
- Oui.
- Ils vont bien ?
- Très bien.
Ils sont avec mon père.
T'en fais pas.
J'appelle au boulot,
- qu'ils me remplacent.
- Non, ça va. Je vais dormir.
T'es pas bien ?
Rentre. Pour les garçons.
Salut, Hogie.
- Comment va Brian ?
- Il est à l'hosto,
troué comme une passoire.
Il va bien, tu crois ?
- T'as rien vu ?
- Non, je rangeais le bar.
Brian était le dernier.
10 min plus ***,
- je l'ai trouvé dehors.
- Comment il va ?
C'est toi ?
T'es dingue ?
Moi, tirer sur Brian ?
Je vous ai connus tout mômes.
C'est vos embrouilles à vous, ça.
Comment il va ?
II va s'en tirer.
- Je vais péter un câble.
- Viens t'asseoir.
Désolée, c'était un roast-beef.
Tiens, son sandwich-dinde.
Putain, je suis à l'ouest.
Merci.
- Comment ça va ?
- Bien. Et toi ?
- Stacy ?
- Ouais ?
- Ça va ?
- Oui.
Je me répète,
mais ça peut plus durer.
- Tu vas y passer.
- Je sais.
- Quitte-le.
- Pas maintenant, Katie.
Tu dis ça à chaque fois,
et à chaque fois...
- J'ai nulle part où aller !
- Ah oui ?
J'ai deux gamins ! J'irais où ?
Tu crois que t'es la première
à qui ça arrive ?
- À plus.
- Stacy !
Je t'appellerai.
- Appuie sur le bouton.
- Ça y est.
La voilà.
Je pourrais avoir un antidouleur ?
Vous devez attendre une heure.
Ça fait déjà une heure
que j'attends, putain.
- Je veux un antidouleur.
- Calmez-vous.
Tout ce que je veux,
c'est un antidouleur.
- Y aucune raison...
- Ne crie pas.
- J'ai pas à souffrir comme ça.
- Il a très mal.
Donnez-moi quelque chose.
- Dans une heure.
- J'ai mal, putain !
C'est si dur à comprendre ? !
Vous êtes là depuis quand ?
- C'est ma 2e semaine.
- OK, je vois !
Je veux un antidouleur, putain !
- Je vais chercher le médecin.
- C'est ça !
Te mets pas dans cet état.
Pense à nous.
- Pas maintenant...
- Et les enfants ?
- Tu y penses ?
- Pas maintenant, putain !
Si ! Tu es un drogué !
Tu passes tes nuits
à prendre de la coke et à boire.
Tu avais promis d'arrêter.
- Fous-moi la paix !
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Brian !
- Je me casse !
Je t'en prie ! Brian, tu vas...
Brian, où tu vas ?
- M. Reilly...
- Occupez-vous de vos oignons !
- Vous êtes hospitalisé...
- J'en ai rien à foutre !
Assis !
- Laisse-moi tranquille !
- Attends !
Tu vas te geler !
- Aidez-moi !
- Il est pieds nus !
Matt...
Trouve-lui des fringues.
Trouve-lui des fringues,
avant que je te bute, putain !
Lève ton cul, Brian !
Putain de merde !
Lève-toi, putain !
Tu vaux mieux que ça ! Debout.
Après tout ce qu'on a vécu,
tu me ferais ça ?
T'es plus fort que ça !
T'es dans un état !
Alors, ces fringues ?
Toi, je veux plus te voir.
Je veux plus jamais
voir ta gueule !
Tu vaux tellement mieux
que toute cette merde.
C'est ça que tu veux nous faire ?
Je compte sur toi, moi.
Allez, on rentre. On rentre.
Tu vas rester comme ça,
sans rien dire ?
Allez, Stacy.
J'ai eu plein de trucs à faire.
J'ai rien pris de toute la semaine.
Qu'est-ce que je dois faire ?
Je peux pas passer ?
J'ai envie de voir mes mômes.
Combien de fois il faut
que je te le dise ? Je regrette.
Ça ne suffit plus.
Je dois aller chercher les enfants.
Ça va ?
Stacy a changé d'avis ?
J'en sais rien.
On a parlé de se faire un resto,
Anthony m'a appelé.
Encore un plan de camion.
- Ça me dépannerait bien.
- Tu sais conduire les... ?
- 5 vitesses ?
- Ouais.
- Pas de problème.
- Super.
Mark ! Tu veux me lancer ça ?
Pas sur la rue !
À bientôt, d'accord ?
Fais un bisou à papa.
Je t'aime.
Tu es prêt ?
Alors, on se le fait, ce resto ?
Appelle-moi demain.
D'accord.
- Y a encore de la place ?
- Vas-y.
Je vous l'avais dit. Du gâteau.
- Super.
- Merci.
À plus, les mecs.
Et merde !
Retournez-le.
Tu me remets ?
Et maintenant ?
Emmenez-le.
T'es Paulie McDougan ?
Ouais. T'es qui ?
Ronnie Dents, de Dorchester.
Tu connais Pat Kelly ?
Dans la cour à 1 h.
Il veut te voir.
Sections 3 et 5, groupe A,
dans la cour dans 15 min.
Voilà Pat.
Je te rattrape.
- Brian.
- Ça va ?
Paulie.
Le monde est petit, hein ?
Entre 5 et 7 ans.
Ça pourrait être pire.
On va marcher un peu.
Alors, c'est comme ça
que vous me remerciez ?
Si je suis encore là,
c'est que je me laisse pas niquer.
À la première occase,
vous me lâchez.
- C'est pas ça, Pat.
- Si, c'est exactement ça.
Vous croyez
que je suis pas au courant ?
Sérieux.
Je donne une seule chance,
vous avez eu la vôtre.
N'essayez plus jamais de me niquer.
Je vous ai plutôt bien traités.
On oublie ces conneries.
Faut se serrer les coudes ici.
Putain de trou à rats.
Ça fait plaisir de te revoir.
Ouais, à moi aussi.
Je savais que vous veniez là.
C'est triste.
Mais je suis content de vous voir.
Ouais, nous aussi, Pat.
Tu baises toujours
tout ce qui bouge ?
Là, c'est plutôt mal barré !
T'es marron pour un moment.
- T'as assez donné.
- T'as intérêt !
Inscrivez-vous
à la réunion pour les alcooliques.
Je m'appelle Ray,
je suis alcoolique...
Au début, je me suis dit
que le trafic de clopes
ferait passer le temps plus vite.
Mais avec les paris,
s'ils veulent miser
500 ou 1000 dollars
en nous sortant le coup
du mandat qui arrive ! Non.
On veut pas d'ennuis.
À plus.
Pour mes proches,
je peux rester sobre,
Merci d'être venue.
De rien.
T'as bonne mine.
Merci.
- Et les garçons ?
- Ils vont bien.
Mark t'a écrit des lettres,
mais ils les ont prises.
Ça va, toi ?
Vu qu'on vient de me fouiller,
- ça peut aller.
- Aide-moi un peu.
- T'aider ?
- Oui. Je sais
dans quel pétrin je t'ai mise
et ça me pèse.
Mais là, je suis coincé.
Tu peux passer à autre chose.
Passer à autre chose ? À quoi ?
À quoi ?
Qu'est-ce que tu proposes ?
Je te dis juste
que je comprendrais.
Il faut que j'élève tes fils.
T'as jamais été là.
Et voilà, tu vas te mettre
à me tirer dessus...
Sans mon père, on serait à la rue.
Tu veux faire quoi ?
J'en sais rien.
Tu m'aimes encore ?
T'en as pas marre, des fois ?
D'être en taule ? Je veux !
Non, de tout le truc.
Le turbin, quoi.
Faire la chasse au bifton,
talonnés par les flics.
On joue avec les cartes
qu'on nous donne.
Je suis nul comme père.
Quoi ?
Arrête, Brian.
OK, tu seras jamais élu
meilleur père de l'année !
Ça, c'est clair.
Mais tes mômes, ils t'aiment.
Vraiment.
Ils ont plus de bol que nous.
Ils ont une bonne mère.
Ils t'aiment.
- T'es sûr de ça ?
- Je le sais.
Un jour,
tu te rattraperas avec eux.
Tiens, regarde ce mec, là.
Tu vois qui je veux dire ?
II a pris 35 ans,
pour un braquage de fourgon.
- Ça pourrait être pire.
- Ouais, t'as raison.
"En prison, tu t'ennuies
comme nulle part ailleurs.
"Les jours se suivent
et se ressemblent tous.
"Une bande de lâches planqués
derrière des muscles tatoués.
"Les plus dangereux :
Des gens remplis de crainte.
"J'arrête pas de penser
que je vous ai laissés tomber.
"Vous me manquez.
"Je suis désolé."
Appelez-les quand vous sortirez.
C'est des mecs bien.
Je buvais, ma femme m'a quitté.
C'était l'enfer.
C'est ça, l'alcool.
C'est pas vrai, Danny Sullivan !
Ça fait 15 ans que je l'ai pas vu.
Ah ouais !
C'était un pote de mon oncle ?
Ouais. Il a l'air en forme.
Il y a 20 ans,
j'étais à votre place.
Enfin, bref...
J'ai pu me ressaisir,
reprendre ma vie en mains.
- T'écoutes ?
- Hein ? Oui...
Je m'appelle Dan,
je suis alcoolique.
Merci de m'avoir écouté.
Rentrez dans vos cellules !
Salut, Sully.
Brian Reilly.
On s'est vus quand j'étais môme.
Le neveu de Bobby !
C'était un type bien.
C'est vrai.
Merci.
Tu as entendu
des choses intéressantes ?
Ouais.
Quelques trucs.
- Il te reste combien ?
- Je sors dans 15 jours.
C'est bien.
T'as l'intention de rester sobre ?
Ouais.
Bien sûr.
T'es inscrit à des réunions ?
J'y étais jamais allé avant.
Ici, ça me fait une sortie.
Si tu veux y aller
ou juste parler,
- appelle-moi.
- Brian, c'est l'heure.
Juste une minute.
D'accord. Merci, Sully.
Je t'en prie.
Paulie ?
Tu te souviens du pédophile
à la télé la semaine dernière ?
II est dans la E-12.
Merci, Callahan.
Quoi, putain ?
Viens voir.
Enculé !
Prends ça dans ta sale gueule !
T'aimes ça, baiser des mômes ?
Tu violes des mômes, enculé ?
Tu manges comme un cochon, putain !
Commence pas.
Les voilà.
- À plus.
- Allez, on y va.
- Éclate-toi.
- Merci !
Mange comme tu veux.
Ça va ?
Bon, je serai direct.
On sait tous que c'est vous.
Moi, j'en ai rien à battre.
Mais Callahan risque d'être viré.
Il est déjà suspendu.
Je sais, il vous a bien traités :
Journaux, privilèges...
Mais sur ce coup-là,
j'ai le procureur au cul.
Et ces fumiers aussi sont protégés.
- Vous voulez quoi ?
- Si quelqu'un se dénonce,
on peut éviter
des tas d'ennuis à tout le monde.
Callahan est un type bien.
On risque combien ?
6 mois de plus
ou 90 jours de cachot.
C'est moi.
- Quoi ?
- Vous seul ?
- Oui.
- Attendez...
Tu ferais pareil.
Passe le bonjour aux garçons.
- Vous seul ?
- Oui.
C'est mieux comme ça, Brian.
Tu ferais pareil.
Les garçons voulaient pas venir ?
Si, ils voulaient.
Mark est encore malade.
Sean changera d'avis.
Il faudra y mettre du tien.
Alors...
T'as prévu quoi ?
Je sais pas encore.
Tu vas bosser, hein ?
Oui, mais avant je veux
passer du temps avec vous.
Regarde bien autour de toi.
Parce que plus jamais,
plus jamais je ne vous mettrai
dans le pétrin, toi et les enfants.
Tu me reverras plus jamais
dans ces conditions-là.
Je te le promets.
Callahan !
Ils vous ont collé ici ?
Ça aurait pu être bien pire !
Merci pour tout,
vous êtes un mec bien.
- Prends soin de toi, Brian.
- Merci.
Mon pote !
Tu m'as manqué !
Laisse-moi te regarder.
Fais voir. Où est ton frère ?
II est avec sa copine.
- T'as des copines, toi ?
- J'en ai 2 !
Pas mal !
- Salut, Katie.
- Salut, Brian.
- Ça va ?
- Oui. Bienvenue.
Content de te revoir.
Merci de nous l'avoir gardé.
- Ton frère est avec sa copine ?
- Oui.
Il rentrera tout à l'heure.
Et la Coynes Tavern ?
Transformée en appartements
il y a 2 ans.
Les bobos achètent à tout-va.
Les prix flambent.
Tout est en train de changer.
Faut être riche maintenant
pour habiter Boston Sud !
Alors, on est riches !
Mark m'a dit
que t'avais une copine.
Elle est jolie ?
Très jolie.
C'est pas mauvais.
- Pas mauvais ?
- Oui, pas mauvais.
Comment elle s'appelle ?
Stephanie.
Tu me la présenteras ?
II faut que j'y aille.
À tout à l'heure.
- Tu termines pas ?
- Non.
Rentre pas trop ***, Sean.
À plus, mon pote !
T'es pas obligé de faire waouh !
Tu vas être en retard.
Ta mère va me tuer.
- Tu me manques déjà.
- Bon, salut.
Je t'ai mis un gâteau
en dessert.
OK, merci, papa.
- Salut.
- Je t'aime, Mark.
Moi aussi.
Pourquoi vous frappez
comme si c'était les flics ?
Vous nous devez 600 dollars.
Je l'apprends.
On a envoyé 3 rappels.
Si vous payez pas...
Vous prenez ça à coeur.
C'est votre argent perso ?
Je fais mon boulot.
Tout le monde n'a pas
un boulot régulier.
Désolé. Si vous payez pas,
je vous coupe le gaz.
- Tu vas couper que dalle.
- Calmez-vous.
Remonte dans ta caisse et barre-toi
- avant que je t'éclate.
- Doucement.
Casse-toi.
Appelle les flics.
Je te retrouverai.
T'as vu ce que tu me fais
faire devant ma femme ?
Serre-moi la main
et fais-lui un beau sourire.
Fais-lui au revoir.
Marque-moi où je peux payer.
Merci.
Bonne journée !
J'ai le numéro à appeler
pour payer.
- Je peux plus demander à mon père.
- Je vais me débrouiller.
Genre trouver un boulot ?
Je suis sorti avant-hier,
laisse-moi une chance.
Non, non, je veux dire...
- Quoi ?
- Non, rien.
Regarde qui voilà.
- Salut.
- Ça me fait plaisir !
- À moi aussi, Jackie.
- Content de te revoir.
- T'as fondu, toi !
- Eh oui !
- Comment tu te sens ?
- Différent.
Ouais, je connais ça.
- Pat m'a parlé d'une enveloppe.
- Je t'apporte ça.
Tu veux boire
ou manger quelque chose ?
Non, non. C'est bon.
- T'es en forme.
- J'ai fait un peu de sac.
- C'est bien.
- Merci.
- Voilà.
- Merci.
Assieds-toi, mange quelque chose.
- Allez, assieds-toi.
- Non, c'est bon, Jackie.
J'ai des trucs à faire.
Merci.
- Bon... C'était sympa.
- À bientôt.
J'ai des pizzas !
- Tenez.
- Super, des pizzas !
Allez-y. Piochez.
Pour la facture du gaz. Paie-la.
Où t'as eu ça ?
Je suis passé voir Jackie
pour un boulot.
Il m'a prêté quelques billets.
Ben alors, vous attendez quoi ?
- Alors, Sean, ça va ?
- Pas mal.
T'entends ça ? II m'a dit 2 mots !
Je vais ouvrir.
Comment elle est ?
Brian ?
Quoi ?
Va avec les mômes.
Quoi ?
- C'est pour quoi ?
- Je passais juste te saluer.
Vous avez un mandat ?
Pourquoi ? T'as fait une bêtise ?
D'accord. Vous pouvez sortir ?
- Venez pas chez moi pour rien.
- Je t'ai dit, je passe te saluer.
J'ai compris.
T'as parlé au gars ?
II a pas d'ouverture.
Peut-être d'ici 1 ou 2 mois.
OK, merci.
- Ça marche ?
- Oui. Je vais passer le voir.
- Tout de suite ?
- Oui.
Salut, Brian.
- Ça va ?
- Ouais. Tu t'appelles comment ?
Dave. Mon petit frère
joue au base-ball avec Sean.
- Il assure.
- Merci.
- Tu bosses pour la ville ?
- Ouais.
- C'est comment ?
- Pas mal.
- Comment il faut faire ?
- Tu te souviens de Jim Kelly ?
- Ouais.
- Il m'a pistonné.
Sinon, faut faire la queue
avec 40000 mecs !
Y a mon chef.
Je lui paierai son déjeuner
pour qu'il me lâche.
Bonne journée.
Voilà comment j'ai fini
par venir à ces réunions.
Merci de m'avoir laissé parler.
Finissons comme d'habitude,
en récitant le Notre Père.
Au nom du Père, et du Fils
et du Saint-Esprit, amen.
Notre Père, qui es aux Cieux,
Que ton nom soit sanctifié...
La prière, ça m'a fait fuir.
Oui, je sais.
Ça m'a fait pareil, la 1re fois.
Je veux que tu me fasses confiance.
Dorénavant, tu viendras avec moi.
Si tu te sens mal à l'aise,
souviens-toi d'où tu sors.
Moi, ça m'a toujours aidé.
Je te raccompagne.
Je vais essayer
de te trouver du boulot.
Excusez-moi, vous êtes Jerry ?
Oui. Ça va ?
Je suis Brian. Sully a dû
vous appeler pour du boulot.
Brian ! Oui, Sully m'a appelé.
- Comment ça va ?
- Bien.
- Tu cherches du boulot ?
- Oui, vous auriez ça ?
Tu vois le topo.
Y a pas grand-chose,
mais on peut t'occuper.
- Ça me va.
- Je te donne ma carte.
Tiens, voilà.
Appelle-moi.
On fera ce qu'on peut.
C'est sympa.
Je vous appelle demain.
1, 2 et 3 !
1 seconde, 2 secondes, 3 secondes,
4 secondes, 5 secondes...
Bonjour,
soeur Flora de Sainte-Brigitte.
Vous êtes M. Reilly ?
Oui, ma soeur.
J'appelle
pour les frais de scolarité de Mark.
Vous avez 3 mois de retard.
Oui, ma soeur, je le sais bien.
Je commence un nouveau boulot,
on a un peu de mal...
Nous sommes au courant
de votre situation
mais il faudrait remédier à ça
avant la fin de l'année.
D'accord. J'en suis conscient,
ma soeur, mais...
Je vais m'en occuper.
- Très bien. Dieu vous bénisse.
- Vous aussi.
Salut, Jerry. Alors ?
J'ai essayé de te joindre.
J'aurai rien aujourd'hui.
Appelle-moi demain.
Hé, Freddy ? Ça va ?
- Salut, Paul.
- Content de te voir.
Faut la frapper, cette balle !
- Comment tu vas ?
- Impec.
- Je peux jouer ?
- Vas-y.
- T'es avec qui ?
- Vinnie et Kevin.
- Kevin. Salut. Je peux ?
- Ouais.
Repose-toi.
- Salut, Paulie.
- Joe Biggs. Salut.
Tony ?
Mets 100 dollars sur nous.
Je sors de stage.
C'est du tout cuit.
Tu parles d'un rat, ce Pat !
500 dollars, il nous file.
Moi aussi, ça m'a scié.
- Stacy et les mômes, ça va ?
- Ça va.
Tu t'es fait un peu de blé ?
Ouais, tu sais...
Deux, trois bricoles.
Je passe du temps avec les mômes.
J'essaie de faire ce qu'il faut.
C'est pas facile.
Mais c'est bon d'être dehors.
Ouais.
Avec du blé, ça serait encore mieux.
Paulie, t'es sorti quand ?
- Tu m'as oublié ?
- Mais non, voyons !
T'as mon argent, alors ?
Tout de suite, je peux pas.
Mais d'ici 2 mois...
D'ici 2 mois ? Enfoiré de rapiat !
J'ai passé 5 ans à l'ombre
et tu m'as envoyé que dalle !
Je vais sortir
et compter jusqu'à 20.
Quand je reviens,
je veux voir 2000 sur ce comptoir.
Pour ton propre bien, Burt,
mets de l'argent sur le comptoir.
Alors ?
À la prochaine !
Merde ! T'as même pas
encore changé de fringues.
- Cool.
- C'est une tache !
On va pas crever la dalle, non ?
C'est pour nourrir les mômes !
T'es barje !
Elle te plaît, cette caisse ?
- T'en penses quoi ?
- J'en sais rien.
Elle savait pas qu'il était marié.
- Ça va ?
- T'es sorti quand ?
Y a environ 2 heures.
T'as bonne mine. Ça va ?
Maintenant, ça va. Et toi, dis-moi ?
- Ça a l'air...
- Ils t'ont laissé sortir ?
Content de te voir aussi.
Toujours célibataire ?
- Ouais. Va te faire...
- Un bisou.
Mark ?
- J'arrive, papa.
- Viens.
C'est Mark ?
C'est pas Mark.
C'est Mark ?
- Putain, c'est un géant !
- Pas de gros mots !
Tu vas assurer au football !
- Au baseball.
- Tu te souviens de tonton Paul ?
- Il m'a donné mon 1 er ballon.
- Le dîner est prêt.
- Oui, c'est vrai.
- Non, on reste pas.
Je dois briefer Paulie.
Tu veux pas un burger ?
J'en veux bien un.
- Tu...
- Prends-en un.
- Je peux en faire un autre.
- Mets le pain...
- Allez !
- Celui-là ?
- Super.
- Sers-toi.
- Merci.
- Mark, lave-toi les mains.
Tu veux venir, Mark ?
Je rigole.
Whisky glace.
Un soda.
Un soda ?
Ouais, j'y vais mollo.
- Alors, t'en penses quoi ?
- J'en sais rien.
Les plans de Jackie ou de Pat,
en ce moment, j'aime pas.
Merci. Moi non plus.
On va juste voir.
Les gars. C'est Eddie.
Il va tout vous dire.
Tu bois un coup ?
Tu bois un coup ?
- Non, ça va. Merci.
- Bon, très bien.
Sully est passé, hier soir.
Je l'appellerai.
- C'est quoi, ça ?
- Je t'ai laissé quelque billets.
- D'où ça sort ?
- Arrête.
Tu vas enquêter sur chaque billet ?
On dirait un agent
de conditionnelle ! Cool.
Allez, faut que j'y aille.
Redis-le-moi.
- Y a combien dans son coffre ?
- 40000.
C'est lui, t'es sûr ?
Ouais. C'est bien ce gros tas.
On y va.
Monte dans ta caisse, gros con,
ou je te plombe. Monte !
Grimpe. On va chez toi
vider ton coffre. Grimpe !
Dis bonjour aux mômes.
Voilà.
Je sais pas quoi dire.
Il devait y avoir 40000.
- Ta gueule !
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- 2700 dollars !
- C'est tout ?
- C'est quoi, ce bordel ?
- Il devait y avoir
- 40000...
- C'était garanti !
Hé ! Voilà 700 pour vous.
On garde le reste.
Putain, en plein jour, Jackie !
Note bien ça,
plus jamais on risque notre cul
pour toi et Pat.
- Allez vous faire foutre.
- Ah ouais ?
- Ouais !
- Et ma part ?
Tiens, pour l'école.
C'est quoi, cet argent ?
T'as rien compris, hein ?
- Je veux pas de cet argent !
- Tu veux quoi, putain ?
- Tu me prends pour une conne ?
- Ta gueule !
Tu crois que
parce que je bois pas...
Parce que je bois pas,
ils vont m'envoyer des enveloppes ?
- Tu vas m'écouter, oui ?
- Lâche-moi !
- Qu'est-ce que je peux dire ?
- Tes mômes ont besoin d'un père !
C'est ce que je suis !
C'est ce que je suis !
Vas-y, file. Ça, tu sais faire.
- C'est ce que je suis !
- Claque la porte !
Voilà, c'est ça.
Continue.
- Je crois que je suis amoureuse.
- Sans blague ?
Ça fait... 8, 9 minutes
qu'on se connaît.
Et alors ? Tu veux pas...
Nicole, va pas sur ce terrain.
- Quoi ? On parle, c'est tout.
- Tu es toute jeune.
Tombe pas amoureuse
d'un mec comme moi.
- C'est pas...
- J'aime les voyous.
T'es trop jeune
pour savoir ce que t'aimes.
Les histoires de voyous,
c'est super, excitant et tout.
Ça te fait des trucs à raconter
et tu finis prostrée dans un coin
quand ils te larguent.
- Tu le penses vraiment ?
- Laisse tomber.
On passe
un super bon moment ensemble.
Maintenant,
si ça te convient pas, tu me le dis.
Tu sais quoi ?
Je viens de me rappeler
que je dois aller quelque part.
J'ai compris, j'y vais.
T'étais où ?
Je t'ai attendu et puis...
Je sais. J'étais occupé.
Je sais ce qu'on peut faire.
J'en ai ma claque, là.
Ah ouais ? Quoi donc ?
J'ai repéré un fourgon blindé.
Arrête.
Tu disais que c'était impossible,
que les mecs se font tous choper.
Parce qu'ils sont défoncés à l'héro.
Pas nous.
- Arrête.
- Je déconne pas.
J'en ai marre de ramer.
Tu nous vois prendre un boulot ?
Le plan pourri !
Tu bosses 30 ans et tu crèves.
C'est la vie que tu veux ?
On étudie le coup,
si ça le fait pas, on oublie.
Ça va, les gars ?
On fait un peu d'exercice ?
- C'est interdit ?
- Non.
Mais braquer quelqu'un, oui.
- Je vois pas de quoi vous parlez.
- Bien sûr.
Vous avez eu du bol
que le gros flippe pas.
Mais ça arrivera. Demandez à Pat.
Je peux vous poser une question ?
J'essaie
de me racheter une conduite
mais je vous ai toujours sur le dos.
Vous allez pas lâcher l'affaire ?
Ça remonte à 5 ans.
Passez-moi à tabac une bonne fois
et on sera quittes.
Tu vois ce que je veux dire ?
Esquiver des connards
comme ça toute notre vie !
On a juste besoin
d'un peu de rembourrage
et après on fait ce qu'on veut.
Alors ?
- Ils sont 3 normalement ?
- Oui. Là, c'est nickel.
Il suffit qu'on en chope un
et ils sont à nous.
- Quoi ?
- Je sais pas.
C'est un plan à la cow-boy, ça.
Non, on peut se le taper.
On y va !
C'est là.
On a trois sorties.
C'est leur dernier arrêt.
Ils seront chargés à bloc.
Ça va le faire.
Ça va ?
Écoute, Brian.
Si tu veux pas, je comprendrai.
Je trouverai quelqu'un.
J'ai besoin d'argent.
C'est toi qui vois.
Salut, mon pote.
- Salut.
- Ta mère est là ?
Elle fait une balade.
Désolé
pour l'engueulade qu'on a eue.
C'est parce que j'ai...
J'ai un peu de mal à m'adapter.
On n'a pas beaucoup parlé.
Je voulais
te donner un peu de temps.
T'as le droit de m'en vouloir,
mais ne me dé*** pas.
Je te dé*** pas. Tu es mon père.
Je suis vraiment fier de toi,
de ton comportement,
de ce que t'as fait à l'école
et dans ta vie.
Je voudrais
savoir ce que je dois faire
pour que tu me respectes
comme moi, je te respecte.
Arrête de boire
et ne nous quitte plus.
Ça va, Sean ?
Donc, je m'éjecte et je les braque.
Et toi ?
- J'ouvre le coffre.
- Oui, boum ! Voilà.
Qui c'est ?
Attends, je reviens.
- Ça va ?
- Salut, Sully.
Tu donnes pas de nouvelles.
On s'est engueulés avec Stacy,
j'étais avec Paul.
Elle m'a appelé.
Pourquoi ?
Elle s'inquiétait.
Désolé. Elle est un peu parano.
- T'en as repris ?
- Non.
Elle m'a dit
que tu te faisais du fric.
J'ai pas une thune. N'importe quoi.
Tu veux replonger,
ne plus voir tes mômes ?
Ça te pend au nez.
Même chemin, même destination.
Ça doit être mon destin.
C'est ça que tu veux ?
La solution de facilité, la prison.
3 repas par jour,
zéro responsabilité ?
Je te croyais plus tenace.
J'y arriverai jamais.
Quand j'étais dans...
dans cette cellule, à rêver
de la vie qui m'attendait...
Rien que des conneries, ouais.
Je me la racontais.
C'est impossible pour moi.
Personne n'aime ses mômes
plus que moi. Personne.
Mais en fait, ils sont rien d'autre
que mes victimes.
J'ai rien à leur offrir, que dalle.
Rien de tout ce qu'ils méritent.
Vas-y, te retiens pas.
Il m'a fallu 50 ans pour apprendre
qu'un homme, ça pleure.
Tout à l'heure,
Sean m'a demandé de rester sobre
et de ne plus les quitter.
Ça m'a foutu la trouille parce que
je m'en crois pas capable.
Jour après jour, tu y arriveras.
Ils vivraient bien mieux
sans moi. Sérieux.
C'est vrai.
De toute façon, chaque fois
que je suis là, je fais tout merder.
Allez. C'est parti.
Couchez-vous !
- Couchez-vous !
- Gardez les mains en l'air.
Voilà !
On reste tranquilles.
Y aura pas de blessé.
Essayez pas de jouer les héros.
Police ! Pas un geste !
- Pas un geste !
- On se casse !
- On se casse !
- Lâche ton arme !
Tout de suite !
J'ai dit tout de suite !
Qu'est-ce que tu fous ?
Monte ! On se casse !
Grouille !
T'étais où ?
J'ai marché un peu.
T'as faim ?
Merci.
La nana que je vois
fait des pancakes à tomber.
Je suis sûr que tu vas craquer.
Qu'est-ce que t'as ? Ça va ?
Ouais.
Je sais pas quoi,
elle m'a appris un truc...
Putain, c'est trop bon.
Ça va pas ?
Je peux pas, Paulie.
Je passe. Pour mes garçons.
T'inquiète, je l'avais vu venir.
J'ai prévu un mec.
Faut que je te dise...
Je vais m'en sortir.
Ça fait pas l'ombre d'un doute.
Ce sera mon dernier coup.
Personne me fera replonger.
Sûr et certain.
Je peux rien faire
pour t'en dissuader ?
Ce sera pas pareil.
- Je comprends, Brian.
- Paul...
T'as des mômes. C'est bon.
C'est bon.
Je comprends. D'accord ?
À la une : Le braquage
d'un fourgon blindé en plein jour.
Une fusillade a eu lieu
après ce vol commis par 3 hommes
ce matin à Boston Sud.
Ils se sont enfuis avec leur butin.
Un convoyeur a été blessé
et conduit à l'hôpital...
Bien joué !
Adaptation : Alain Weill
Sous-titrage :
Médiadub International